élections - Page 40
-
Jérôme Fourquet : "De Marx à Mahommet, la puissance du vote religieux dans les quartiers !"
-
Européennes 2024 : à peine lancée, la liste « ruralité » soutenue par Macron pour piquer des voix au RN est déjà en crise. Son co-initiateur, Thierry Coste, claque la porte. (MàJ)
23/01/24
Il claque la porte en pleine crise du secteur agricole à quatre mois du scrutin européen. Le lobbyiste pro-chasse Thierry Coste, proche du patron des chasseurs Willy Schraen, a indiqué ce mardi 23 janvier qu’il ne soutenait plus sa liste « Alliance rurale » lancée en vue des élections européennes. Il critique la stratégie et notamment le « silence » de ce dernier sur la crise agricole.
-
FREXIT : LES POPULISTES EN EMBUSCADE DES ÉLECTIONS EUROPÉENNES 2024 ! | FLORIAN PHILIPPOT
-
Primaire républicaine aux Etats-Unis : le gouverneur de Floride Ron DeSantis se retire de la course et soutient Donald Trump
Avec le retrait du rival de l'ancien président, Nikki Haley, ancienne ambassadrice à l'ONU devient mathématiquement l'unique adversaire de l'archi favori Donald Trump.
-
Municipales : à Marseille, la réforme du scrutin pourrait rebattre les cartes
-
Après les primaires de l'Iowa
Dois-je le dire ? Ma capacité de patience et d'attention n'a pas résisté ce 16 janvier à l'immense ennui que distillait la parole du président de la république. Il ne parvient plus à me surprendre
Le commentaire de Mediapart devient ainsi presque pertinent: "Macron écrit ainsi l'organe gauchiste, a passé une bonne soirée façon ORTF"… et même l'insupportable Mathilde Panot, l'organisatrice des chahuts pitoyables qui discréditent Palais-Bourbon, a pu lui asséner une petite leçon de savoir-vivre démocratique et de droit constitutionnel.
-
Marion Maréchal Le Pen, Nous Voilà ! - Le Forum du PdF
-
Pas d’effet Attal pour les européennes : Bardella toujours 10 points devant !
-
Olivier Véran, tête de liste aux européennes : un poisson d’avril précoce ?
-
Comment Jordan Bardella a nommé Gabriel Attal Premier ministre
On pourrait croire qu’Emmanuel Macron a désigné Gabriel Attal comme Premier ministre. En fait, c’est Jordan Bardella qui l’a nommé.
On imagine mal la frénésie anxiogène que la montée en popularité du président du RN provoque dans la Macronie et le système politico-médiatique encore dominant. Attal est jeune, populaire, bon débatteur, il est le profil rêvé, sur le papier, pour contrer l’irrésistible ascension de Bardella. Cependant, il y a un danger que sa nomination soit une fausse bonne idée. Pour Attal lui-même d’ailleurs, pour commencer. Cette promotion très rapide au plus haut niveau, ou presque, risque de carboniser les ambitions présidentielles du nouveau Premier ministre si cela se passe mal au bout de quelques mois ou quelques semaines. C’est l’espoir d’un Le Maire, d’un Darmanin qui sera comme tant d’autres dans le rêve du rôle de la corde soutenant le pendu.