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élections - Page 550

  • Référendum en Grèce : Tsipras appelle à voter « non », la crainte d’un « Grexit » s’accentue

    Le premier ministre grec Alexis Tsipras, a appelé samedi son peuple à dire « un grand non à l’ultimatum » des créanciers de la Grèce lors du référendum proposé par son gouvernement et qui aura lieu le 5 juillet.

    Dimanche, plusieurs responsables européens se sont émus des conséquences d’une telle éventualité, et de la rupture des négociations, la veille, avec l’Eurogroupe. « Il est évident que, s’il y avait une réponse négative [au référendum], il y a un risque réel (...) de sortie de la zone euro », a alerté le premier ministre Manuel Valls lors du « Grand Rendez-vous » Europe 1, iTélé, Le Monde. Le chef du gouvernement a toutefois assuré que l’économie française ne serait pas touchée par un « Grexit » :

     

    « Une sortie de la Grèce serait grave pour le peuple grec, mais l’économie française ne serait en revanche pas affectée. Mais je ne veux pas me résoudre à ce scénario, il faut tout faire pour que la Grèce [reste dans l’euro]. »

    Samedi, devant la Vouli, le Parlement grec, Alexis Tsipras a estimé que « le peuple grec dira un grand non à l’ultimatum mais en même temps un grand oui à l’Europe de la solidarité », et s’est dit persuadé qu’« au lendemain de ce fier non, la force de négociation du pays sera renforcée » avec ses créanciers — Commission européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international. « Dans le pays où est née la démocratie, nous ne demanderons pas l’autorisation à M. Dijsselbloem [le président de l’Eurogroupe] et à M. Schaüble [le ministre des finances allemand] » de tenir un référendum, a encore déclaré le premier ministre. « Ni les menaces, ni le chantage, ni les tentatives d’instaurer la panique ne changeront la volonté du peuple grec de vivre dans la dignité », a-t-il insisté.

    La suite dans Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Referendum-en-Grece-Tsipras

     

  • Joris Hebrard, maire FN du Pontet, élu vice-président du Grand Avignon

    Le conseil communautaire du Grand Avignon devait élire le vice-président de la communauté d'agglomération, après l'annulation des élections municipales du Pontet de mars 2014, qui ont impliqué la recomposition de l'assemblée communautaire.

    Joris Hebrard, maire du Pontet, vient d'être élu 2ème vice-président du Grand Avignon par 32 voix sur 59 élus communautaires, contre 25 voix pour son opposant Jean-Firmin Bardisa, élu d'opposition sans étiquette (un bulletin nul, un bulletin blanc).

    Michel Janva

  • Politique : une astuce pour faire croire aux électeurs que les députés travaillent

    « Mes chers concitoyens et électeurs, vous pouvez me réélire en toute confiance et compter sur moi pour faire remonter vos préoccupations au plus haut niveau de l’Etat. Rien que sur les 12 derniers mois, j’ai envoyé personnellement plus de 1400 questions écrites au gouvernement, ce qui fait de moi dans ce domaine le deuxième député le plus actif de toute l’Assemblée« .

    Ces mots, le député Jean-Jacques Candelier ne les a pas prononcés. Mais il pourrait. Car il est effectivement le deuxième député le plus actif, et a trouvé l’astuce parfaite pour multiplier les questions au gouvernement. Il lui suffit de prendre tous les rapports commandés par l’administration et de demander aux ministères ce qu’ils pensent de chacune des propositions soumises, une à une. Mais alors que des députés font au moins l’effort de rappeler quelle était la proposition, lui se contente de modifier le numéro de la proposition.

     

    Et même, il n’interroge pas seulement sur les rapports officiels, ce qui serait trop limité. Il questionne aussi sur des rapports privés, comme par exemple le nouveau rapport « Le numérique est une chance pour la France » réalisé par l’entreprise privée CGI.

    Appréciez l’art du copier-coller, qu’il pratique aussi pour le rapport Réseau Seine Escaut, Canal Seine Nord Europe, pour l’Engagement national sur le fret ferroviaire, ou encore pour le Pacte parisien de lutte contre la grande exclusion, pour ne citer que certaines questions publiées cette semaine. Ce dernier rapport était le jackpot puisqu’il comportait 105 propositions et donc, a permis d’envoyer 105 questions en ne changeant que le numéro.

    Source : Numerama

    http://www.contre-info.com/politique-une-astuce-pour-faire-croire-aux-electeurs-que-les-deputes-travaillent#more-38498

  • Loi Renseignement adoptée, le Conseil constitutionnel saisi

    Au terme d’une procédure éclair, le projet de loi sur le renseignement a été adopté en lecture finale. Le Conseil Constitutionnel a été saisi.

    Le gouvernement aura fait aussi vite que possible (hors utilisation du 49-3) pour faire passer la loi renseignement. Il est revenu sur le bureau des députés dès le lendemain de son vote par le Sénat au terme d’une procédure d’urgence avec des amendements adoptés en Commission mixte paritaire et non en séance plénière.
    Dernière formalité : le Conseil constitutionnel suite à une triple saisine : celle du président de la République, celle du président du Sénat et celle d’une centaine de parlementaires. Notons l’hypocrisie du procédé qui consiste à faire voter une loi et à saisir soi-même le Conseil constitutionnel, comme si l’on avait un doute de dernière minute. Cela donnera en tout cas le temps de préparer les décrets d’application, dont on imagine que la publication ne traînera pas non plus !

    Bernard Cazeneuve souligne que les techniques de renseignement n’ont rien à voir avec les pratiques de la NSA

    Laquelle agence ne fait donc pas de renseignement en mettant sur écoute qui lui chante… Plus justement, Jean-Jacques Candelier relève que les lois scélérates sont toujours votées à une forte majorité.

    Parmi les coups de Jarnac du gouvernement, relevons qu’il a sabordé en dernière minute le statut des lanceurs d’alerte.
    La loi prévoyait que des agents de l’État constatant des infractions graves à la loi puissent en référer à la Commission nationale de contrôle des techniques du renseignement (CNCTR), sous le sceau du secret. Dorénavant, ils ne pourront plus révéler d’éléments ou d’informations « protégés au titre du secret de la défense nationale ou susceptibles de porter atteinte à la sécurité des personnels ou des missions des services ».
    En clair, ils ne pourront révéler quoi que ce soit en lien avec le monde du renseignement.

    http://fr.novopress.info/

  • Le Front national au risque de l’histoire, entre diabolisation et neutralisation

    Conférence de Jean-Yves Le Gallou prononcée au Club de l’Horloge, le 11 juin 2015.

    ♦ Exclusion de Jean-Marie Le Pen, création d’un groupe politique à Strasbourg, controverses autour de la « ligne Philippot », émergence de Marion Maréchal Le Pen, le Font national est au cœur de l’actualité. Jean-Yves Le Gallou s’est penché sur le sujet lors d’une conférence prononcée au Club de l’Horloge, le 11 juin 2015, avec pour titre : Le Front national au risque de l’histoire, entre diabolisation et neutralisation. Michel Leblay en a fait ce compte rendu que Polémia reprend. Un point de vue bienveillant mais libre.

    « Dissidence et radicalité sont les maîtres mots dans la nouvelle perspective qui affleure. »

    Polémia.


    Jean-Yves Le Gallou a examiné la question posée selon trois axes :

    • La France face à son destin

    • La dédiabolisation

    • Le revers de la dédiabolisation: le risque de la neutralisation

    La France face à son destin

    Au risque de l’histoire est une expression forte, choisie à dessein d’après le contexte présent.

    Trois raisons expliquent ce choix :

    1/ Jamais l’urgence politique n’a été aussi grande

     Nous assistons à une accélération :

    – de l’entreprise systématique de démolition politique et sociale touchant notre liberté, notre identité et notre souveraineté (la dénaturation du mariage, la réforme de l’école et, dernièrement, celle projetée de l’Ecole polytechnique) ;

     – du grand remplacement

    Il s’agit là du phénomène majeur. Il y a deux ans, environ, le site Fdesouche, au travers de statistiques portant sur une maladie rare, la drepanocytose qui ne touche que les populations d’origine africaine, caraïbe, maghrébine, moyen-orientale ou indienne, indiquait que ces populations représentaient globalement 30% des naissances sur le territoire national.

    En approfondissant l’analyse, notamment par une contre-enquête effectuée par un expert des questions relatives à l’immigration, il s’est révélé que cette statistique était le véritable reflet de la situation. Aujourd’hui, un enfant sur trois, né en France, a des parents d’origine non européenne. Une projection statistique conduit à fixer cette proportion à la moitié des naissances à l’horizon 2025-2030. A terme, relativement proche, les Français dont l’ascendance a formé la population du territoire national seront devenus minoritaires.

    Il y a une vingtaine d’années, lors des campagnes électorales menées par Jean-Marie Le Pen, l’un des slogans du Front national était « Le Pen, vite ! ». Son président prédisait que les Français allaient choisir pour la dernière fois leur destin. L’évolution constatée depuis lors a montré l’acuité de tels propos.

     2/ Jamais le Front national n’a été électoralement aussi haut

    En témoignent, les résultats obtenus aux élections municipales et européennes de 2014 et aux élections départementales de 2015. Tous les sondages, avec les marges d’erreur possibles, placent Marine Le Pen comme l’un des deux candidats qui aura accès au second tour de l’élection présidentielle de 2017. Certes, le paysage politique peut toujours être bouleversé par des événements imprévus.

    3/ Jamais l’ampleur du changement nécessaire n’a été aussi grand

    Le pays a un besoin de changer fondamentalement ses perspectives dans les domaines de la politique étrangère, de la politique européenne, de la politique migratoire et de la politique sociétale.

    Il résulte de ces trois constats que la France est menacée dans son existence même comme nation millénaire porteuse d’une culture propre et d’une civilisation venue du fond des âges. Face à cet état des choses, le Front national a une responsabilité historique. Dans les conditions présentes, la marge de manœuvre est faible et aucune autre formation politique n’est susceptible de le remplacer. Toutes celles qui ont voulu être concurrentes ont été écrasées.

    Le pays est maintenant divisé en trois blocs politiques : le Parti socialiste, les Républicains et ceux qui s’y associent électoralement, le Front national.

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  • L'alliance du populisme et de la droite dite traditionnelle, c’est possible

    Minute évoque le Dansk Folkeparti (Parti du peuple danois) vient de permettre au bloc de droite de renverser le gouvernement socialiste à l’occasion des élections législatives :

    "[...] Le parti dirigé depuis 2013 par Kristian Thulesen Dahl, âgé de 45 ans, est né en 1995 à partir d’une formation antifiscaliste et non pas dans les rivages de la droite radicale. Si, dans les médias français, il est présenté depuis dimanche comme « le parti anti-immigration », au Danemark, certains le classent au centre et il siège à la gauche… des Conservateurs! Le parti mixe en fait un discours très ferme en matière d’identité et des positions économiques et sociales plus consensuelles et assez classiquesdans les pays scandinaves. « La façon dont il combine des propositions sur l’immigration, très restrictives, et des visions plus social-démocrates sur l’Etat-providence explique une grande part de son succès », commente d’ailleurs Nils Holtug, professeur à l’université de Copenhague.

    Avec 21,1 % des voix, DF n’est devancé que par les sociaux-démocrates (26,3 %). Il se place en tête du « bloc de droite » qu’il forme avec Venstre, le parti du centre-droit libéral, et les Conservateurs. DF est ainsi désormais la force prépondérante au sein de la coalition menée par Venstre et appelée à former le nouveau gouvernement. Lors de la précédente mandature dirigée par cette coalition (2007-2011), DF avait alors apporté son soutien aux libéraux sans participer au gouvernement, ce qui avait tout de même déjà permis d’imposer de solides restrictions en matière d’immigration et d’aides sociales aux étrangers.

    Ces résultats électoraux font écho à ceux des élections régionales italiennes, où la Lega Nord (Ligue du Nord, parti populiste et identitaire) s’est aussi imposée comme la force principale de la coalition de centre-droit. Les élus du Dansk Folkeparti ont d‘ailleurs siégé au Parlement européen aux côtés des élus de la Lega Nord pendant dix ans, de 2004 à 2014, successivement au sein des groupes Union pour l’Europe des nations et Europe de la Liberté et de la Démocratie directe. Si la Lega vient de participer à la création du groupe Europe des Nations et des Libertés avec le Front national, dont elle est l’un des principaux alliés avec la deuxième plus importante délégation au sein du groupe, les élus de DF ont choisi de siéger au sein des Conservateurs et Réformistes européens, un groupe « eurosceptique » considéré comme plus modéré que ceux rassemblés autour du FN ou du Ukip britannique. Parmi les alliés de ces Danois au Parlement européen, on trouve les Vrais Finlandais, la NVA flamande, le parti polonais Droit et Justice, mais aussi, parmi plus d’une vingtaine de partis représentant une quinzaine de nationalités, le très respectable Parti conservateur britannique de David Cameron. Comme quoi l’alliance du populisme et de la droite dite traditionnelle, c’est possible."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Lancement Régionales Ile-de-france : Dupont-Aignan, Saint-Just et Bournazel sur TVLibertés

  • Sarkozy, l'ennemi majeur pour 2017, même si ....

    Le corps électoral n'est pas toujours rationnel, loin s'en faut. De surcroît, tout est fait pour le rendre irrationnel lors des campagnes électorales. Ainsi l'importance de l'image présentée par les différents candidats. Ainsi le culte de la petite phrase qui fait mouche.
    Sachant ce que fut depuis trois ans les magistères Hollande-Ayrault puis Hollande-Valls, les Français devraient logiquement les congédier lors de la prochaine échéance électorale majeure que constitue la présidentielle de 2017.
    Or, cela est loin d'être sur. Il suffirait, par exemple suite à un mieux de l'économie mondiale créant par ricocher des emplois en France, pour que la gauche dite socialiste retrouve crédit auprès d'une partie importante du corps électoral, quand bien même le gouvernement en place n'y serait pour rien. On peut donc concevoir l'émergence puis l'existence d'une mode Hollande début 2017 tout comme il y eut une mode Chirac en 1995 avec donc un fort regain de popularité. Souvenons nous aussi de François Mitterrand voué aux gémonies par les Français en 2006 puis triomphalement réélu en 1988.
    Clairement exprimé et contrairement à ce qu'annoncent les actuels sondages, la gauche (ps) ne sera pas nécessairement absente du second tour lors des élections présidentielles de 2017. Il faudra donc que nous tenions compte de cette éventualité, ce d'autant plus que les retournements dans le domaine politique, n'ont nullement besoin de deux ans – c'est très long – pour advenir.
    Concernant le Front National, son intérêt est d'être opposé au candidat le plus à gauche possible lors du second tour des élections présidentielles de 2017. Mieux vaut donc affronter dans ce cadre le candidat du Ps à Alain Juppé, et ce dernier à Nicolas Sarkozy. Plus l'opposant opposé à Marine le Pen lors du second tour sera à gauche, plus importante sera la partie de la droite susceptible de faire le choix du Front National.
    En tant que tel, pour nous qui voulons réellement une alternative à l'actuel système, notre adversaire majeur, celui contre lequel nous devons d'ores et déjà nous mobiliser, n'est autre que Nicolas Sarkozy.
    Le personnage, bien conscient du danger, a déjà commencé à oeuvrer. Pas un hasard s'il vient récemment, aussi bien de réfléchir à une remise en cause du droit du sol, que d'évoquer la fuite des migrants qui nous inonde.
    Lui a déjà donc compris que le danger majeur pour lui n'était autre que le Front National dont il a déjà commencé de labourée les terres électorales.
    Il nous faut en tenir compte, et ce, sans attendre.

    Philippe Delbauvre

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EuFVpFlpZlDvrEmLut.shtml

  • A la veille des régionales, Marine Le Pen mène une double campagne

    Marine Le Pen n’a pas encore officiellement déclaré sa candidature pour les élections régionales dans le Nord - Pas-De-Calais - Picardie. Cela n’a pas empêché la présidente du Front national (FN) de dresser, pendant plus d’une heure, dimanche 21 juin, un large panorama de la campagne à venir au niveau national, dans le cadre d’un discours prononcé face à ses militants, réunis à Vieux-Fumé (Calvados). Près de 450 personnes étaient présentes pour le lancement de la campagne de Nicolas Bay, tête de liste du parti d’extrême droite en Normandie.

    « Nous pouvons gagner plusieurs régions, a assuré Mme Le Pen. Il nous faut simplement arriver en tête au second tour. Sauf si le PS et l’UMP [LR – Les Républicains] fusionnent leurs listes, ce qui ne serait pas étonnant. Ce serait une œuvre de clarification à quelques mois de la présidentielle. » Plus que pour les élections municipales ou départementales, la campagne des régionales de décembre devrait se jouer sur un plan national. La députée européenne a dès lors abordé les thèmes de l’immigration – « ce sont 1,5 million de personnes qui espèrent rentrer dans l’Union européenne » – et de l’Europe, apportant son soutien à la Grèce dans le bras de fer que le pays a engagé avec l’Union européenne pour renégocier sa dette.

    « Syriza est un mouvement avec lequel nous n’avons pas du tout la même vision de l’immigration, de la société, mais est-ce le plus important ? Il a pris la tête des opposants à l’Union européenne, des partisans de la liberté, de la souveraineté », a estimé Mme Le Pen.

    2 000 candidats Front national aux régionales

    Répétant que l’ancrage local était un de ses « dadas » depuis son arrivée à la tête du FN, en 2011, la présidente du parti a enjoint à ses troupes de s’engager dans la bataille des régionales, quelques mois seulement après les élections départementales de mars. « Je ne peux rien faire sans vous. Dès les élections régionales, nous allons voir les conséquences de votre travail aux départementales », a-t-elle jugé. Près de 2 000 candidats du Front national devraient composer les listes du parti pour ce scrutin.

    Pour Marine Le Pen, cet appel aux militants prend une résonance particulière, alors que ses troupes sont appelées à participer à un vote interne devant réformer les statuts du parti, et en particulier supprimer la présidence d’honneur. Les 42 000 adhérents à jour de leur cotisation ont reçu, ou vont recevoir dans les jours à venir, un courrier leur demandant d’approuver ou de rejeter cette refonte de l’organisation. « Personne ne doit pouvoir donner des armes à nos adversaires pour tenter d’entraver le combat que nous menons. Chacun doit respecter la discipline, que l’on soit simple adhérent ou président d’honneur, tout le monde est logé à la même enseigne », a-t-elle affirmé, sans citer le nom de Jean-Marie Le Pen.

    Le cofondateur du FN a été suspendu le 4 mai de sa qualité d’adhérent, une décision qu’il conteste devant le tribunal de grande instance de Nanterre. Pour Marine Le Pen, l’enjeu est important. Bien qu’il ne soit plus considéré comme un moteur pour l’avenir, M. Le Pen conserve une certaine cote d’amour auprès des militants. « Cette révision est prise suite à des événements malheureux, tristes, qui nous ont obligés à prendre des décisions difficiles dans l’intérêt du FN », a regretté Mme Le Pen. Le résultat du vote des militants devrait être connu aux alentours du 11 juillet.

    source: Le Monde.fr ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFVpkAlVptpVvLFlM.shtml