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élections - Page 557

  • Journalistes : coup de barre à droite

    Le corps des journalistes ne ressemble pas du tout à celui de la nation française. D’où cette impression de « caste à part ».

    La polémique s’amplifie : les journalistes sont-ils en majorité de gauche ? Oui : 74 % ont voté François Hollande. Tous les journaux sont-ils « vendus » au pouvoir ? Non, même si les aides d’État profitent aussi à des organes de droite : en tête, Le Figaro devant Le Monde ! 16 millions d’euros chacun.

    Selon le sondage Harris Interactive/Médias suivant la présidentielle de mai 2012, il est flagrant que, constate Harris Interactive, « les journalistes déclarent un vote beaucoup plus marqué à gauche que le corps électoral français, aussi bien au premier tour qu’au second ». En effet, les sondés – parmi les 36.000 détenteurs d’une carte de presse – ont avoué avoir voté dès le premier tour à 58 % pour « leurs » deux candidats préférés : à 39 % pour François Hollande (contre 28 % du corps électoral) et à 19 % pour Jean-Luc Mélenchon (11 % des électeurs). Nicolas Sarkozy, 3e, n’obtenait chez eux que 18 % (contre 27 % chez les électeurs). Marine Le Pen (3e pour les électeurs avec près de 18 %) n’attirait que 3 % des journalistes ! Soit le plus grand écart : 15 points de différence ! Alors que l’écolo Eva Joly (6e avec 2 %) avait les faveurs de 7 % de journalistes, soit +233 % de mieux que Marine Le Pen !

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  • Un recours contre le nom «Les Républicains» sera examiné en justice

    Des organisations et élus de gauche ont obtenu vendredi de la justice qu'elle se penche en urgence sur la légalité de l'utilisation du nom qui doit remplacer l'UMP.

    Le collectif d'avocats mené par Christophe Lèguevaques, inscrit au barreau de Paris, a fini par mettre ses menaces à exécution ce vendredi: il a déposé un recours en justice pour faire invalider l'utilisation du nom «Les Républicains» pour qualifier la nouvelle UMP.

    Les avocats étaient mandatés par les signataires d'une pétition contre «l'accaparement» du terme «républicains»: parmi eux, d'anciens ministres comme Jean-Louis Bianco, Christian Sautter ou Jean-Pierre Chevènement, et des associations comme la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESR), liée au PS, ou Génération République, un collectif proche du MRC. Le recours sera examiné par le tribunal des référés de Paris vendredi prochain à 13h30.

    Lors d'une conférence de presse, le 5 mai, le collectif d'avocats avait affirmé vouloir «empêcher l'exploitation commerciale du mot ‘républicain'». Pour Christophe Lèguevaques, «les Républicains, ce sont les Français. On ne peut pas prétendre exclure les autres Français, qui ne sont pas de droite, ou à l'UMP».

    Dans l'argumentaire, la convention de Paris et «Je Suis Charlie»

    our assurer la recevabilité de leur recours, les requérants s'appuient de plusieurs points. Selon eux, la convention de Paris, signée en 1883 et révisée depuis, interdit aux marques d'utiliser des «emblèmes d'Etat, signes officiels de contrôles et emblèmes d'organisation intergouvernementales». Cette convention interdit aussi l'utilisation de «sigles ou dénominations». Dans les logos déposés en 2014, les plaignants estiment que «l'utilisation du drapeau tricolore national est manifeste», affirme le recours, que le Scan a pu consulter.

    Le référé évoque également le cas de la marque «Je Suis Charlie», que l'Inpi avait refusé d'enregistrer «du fait de sa large utilisation par la collectivité». De plus, tous les mouvements associés au recours contiennent le mot «républicain» dans leur nom. Or, selon le texte, l'Inpi stipule que le nom d'une association «est protégé par le droit d'usage pour l'activité déclarée à la préfecture».

    L'agence de com' des Républicains également visée

    Dans le recours, il est précisé que la plainte concerne l'utilisation du mot «Républicains» par l'UMP, mais aussi l'agence de communication Aubert & Storch, qui est en charge de la communication du parti politique de droite et qui a réalisé le logo du nouveau parti.

    Akhillé Aercke Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFEZEuklFeiGMivar.shtml

  • Crise au Front national : réaction de Pierre Vial

    La réaction de Pierre Vial :

    Le spectacle donné par le Front National est consternant. La façon dont est traité Jean-Marie Le Pen est indigne. Les roquets aboient à qui mieux mieux aux basques du vieux sanglier. Mais ils devraient avoir la prudence de ne pas trop s’en approcher car il a encore de la ressource et, contrairement à eux, une âme bien trempée…

    Cette pitoyable affaire aura eu au moins une utilité : chacun aura pu vérifier qui est qui. Carriérisme, appât du gain (voir les indemnités des élus), lâcheté, trahison… tout y est.

    J’ai, sur certains personnages qui se bousculent aujourd’hui pour cracher plus fort que le voisin sur le vieux chef, des documents d’archives (placés en lieu sûr) datant d’une époque où ils se voulaient des fascistes purs et durs. Amusant, non ?

    Mais il faut penser à l’avenir, surtout pour tous ces braves gens qui ont beaucoup donné — et parfois tout donné — pour un FN en lequel ils voyaient la seule planche de salut.

    C’est pourquoi je propose que se mette en place, avec tous ceux, sans exclusive, qui croient encore que les valeurs fondatrices de notre identité méritent d’être affirmées et promues un FRONT DES PATRIOTES. Car le sort de notre peuple exige de voir au-delà des tristes personnages qui se drapent dans un FN devenu un fromage bien crémeux pour les arrivistes de tous poils. Leur destin est de se retrouver dans les poubelles de l’Histoire.

    Laissons-les dans leur fange et battons-nous pour la seule cause qui vaille : l’avenir de nos enfants et des enfants de nos enfants. Il y a encore dans ce pays des hommes et des femmes qui refusent de se soumettre à un système qui veut tuer l’identité des individus et des peuples. Qu’ils se regroupent et s’organisent et tout deviendra possible.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2015/05/05/crise-au-front-national-reaction-de-pierre-vial-5616664.html

  • La grenouille Mélenchon veut se faire aussi grosse que le bœuf Philippot

    Cette fois ça y est : la campagne électorale pour 2017 est lancée avec pour mot d'ordre principal de démolir par tous les moyens le Front national.

    Cette fois ça y est : la campagne électorale pour 2017 est lancée avec pour mot d’ordre principal de démolir par tous les moyens le Front national. Les observateurs attentifs de la vie publique auront noté que toutes les occasions sont actuellement bonnes pour essayer de dénigrer, accrocher, stigmatiser le FN. Tout le monde se jette dans l’anathème, de la classe politique aux médias en passant par les intellectuels à l’esprit embué, faute d’arguments sur le fond à opposer au diagnostic développé depuis longtemps par le FN et aux solutions proposées. Cette démolition a déjà commencé avec la prise à partie et parfois la mise à l’écart des intellectuels ayant osé penser autrement (Éric Zemmour, Philippe Tesson, Michel Onfray, Robert Ménard, Emmanuel Todd, etc.), et cela durera et s’accentuera jusqu’à l’élection présidentielle, n’en doutons pas.

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  • Le champ libre pour Marine Le Pen

    Il reste bien des défis à Marine Le Pen.

    À une écrasante majorité de 78 %, les Français sondés approuvent la suspension de l’adhérent Jean-Marie Le Pen du parti qu’il a fondé. La manière n’a guère été élégante mais c’est le prix à payer pour un parti installé pour durer, qui doit sacrifier les caciques et les ultras de son camp préférant le confort de l’opposition aux responsabilités du pouvoir, tout en freinant les ardeurs opportunistes des pragmatiques et des ralliés.

    Jean-Marie Le Pen fut visionnaire mais il a vieilli et il n’est plus en phase avec le pays. Les Français n’ont plus rien à faire des vieilles lunes du pétainisme et de l’Algérie française, d’autant qu’il s’est fait une sorte de consensus sur le gaullisme ou la décolonisation.

    Les provocations et foucades du père ont permis au FN de continuer à exister, sur le mode tribunitien, mais ont surtout servi son ego surdimensionné, et non les causes qu’il défendait, quand la fille doit lisser son image pour progresser dans l’électorat.

    Par sa virulence, le père a bloqué son parti à 15 % de l’électorat et empêché que la droite de gouvernement ne se saisisse des problèmes, l’immigration par exemple 1. Grâce à quoi le FN est aussi plus que jamais présent dans la vie politique française, quarante ans après sa naissance, et c’est sa fille qui récolte les fruits de l’intransigeance du père.

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  • Pologne : la gauche disparaît

    Lors du 1er tour des élections présidentielles en Pologne dimanche 10 mai, 3 candidats de droite sont arrivés en tête, tandis que la gauche a été proprement éliminée :

    • 1er le candidat de Droit et Justice avec 35% (le parti du défunt Lech Kaczyński)
    • 2è Plate-forme civique avec 33% pour le président sortant (démocrate chrétien proeuropéen)
    • 3è 20% pour l'indépendant Paweł Kukiz droite nationale (il s'est fait remarqué pour son opposition à la fécondation in vitro et à l'adoption par des homosexuels).

    Magdalena Ogorek, candidate soutenue par l’Alliance de la gauche démocratique (SLD) mais qui se voulait la représentante de toute la gauche, a recueilli 2,4% des suffrages. 

    Le 2è tour aura lieu dimanche prochain entre les 2 candidats arrivés en tête.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Nigel Farage reste à la tête de l'Ukip

    Lu ici :

    Nigel_Farage_of_UKIP"Le comité exécutif de l'Ukip, parti que Farage a cofondé en 1993, n'entendait cependant pas se passer aussi longtemps de son charismatique leader : il a refusé d'entériner la démission de Farage, qui reste donc de fait à la tête du parti.

    "Comme promis, Nigel Farage a remis officiellement sa démission en tant  que leader de l'Ukip au parti. Elle a été refusée à l'unanimité par les  membres du comité (...) Sur ces bases, Nigel Farage a retiré sa  démission et reste président de l'Ukip"

    Nigel Farage va désormais concentrer ses efforts pour que le référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne promis par le premier ministre David Cameron pour 2017 soit organisé plus tôt, « avant Noël 2015 », réclame-t-il.

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Présidentielle 2017 : Manuel Valls s’y voit déjà !

    Manuel Valls, candidat de gauche ? Non, plutôt de celle d’une France d’en haut, déconnectée des réalités, France qu’une majorité de Français d’en bas tend désormais à rejeter hors des urnes.

    Il n’y a donc pas qu’au Front national que ça twiste : au Parti socialiste, ça tangue un peu aussi. Ainsi, dans Le Parisien de ce mardi, ce sondage qui évoque une hypothèse voulant que l’actuel Premier ministre puisse griller la politesse à son président, lors de l’élection présidentielle de 2017.

    « Il n’y a pas photo : pour les Français, comme pour les sympathisants de gauche, Manuel Valls est un bien meilleur candidat que… François Hollande », nous dit ce quotidien. Là où il n’y a pas photo non plus, c’est « qu’à 70 % », lesdits Français préféreraient que l’ombrageux hidalgo porte les couleurs de la gauche, plutôt que l’homme au nom de fromage à pâte molle.

    Si l’on creuse plus avant les chiffres du sondage en question, on apprend encore qu’en cas de second tour à cette fameuse échéance, Manuel Valls battrait Marine Le Pen (55 % contre 45 %), qu’il serait battu par Nicolas Sarkozy (48 % contre 52 %), et que Nicolas Sarkozy triompherait de Marine Le Pen (59 % contre 41 %). En revanche, François Hollande devrait s’incliner devant Marine Le Pen (48 % contre 52 %).

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  • 52% des Français favorables au rétablissement de la peine de mort

    C'est l'information donnée par La Monde. Floris de Bonneville commente ce sondage sur Boulevard Voltaire :

    "Il y apparaît que la peine de mort est souhaitée par 52 % d’entre nous ! Soit 15 points de plus que l’an dernier. Et cela, toutes sensibilités politiques et religieuses confondues. 

Mais quelles pourraient être les causes de ce basculement tout à fait inédit depuis des dizaines d’années, pour ne pas dire spectaculaire ? (...)

    Seule Marine Le Pen (encore elle) détonne sur la question de l’application de la peine capitale. Elle promet d’organiser un référendum proposant aux Français de choisir entre la peine de mort et la perpétuité réelle. Une peine de prison à vie, comme aux États-Unis où nombre de condamnés ont accumulé des centaines d’années de prison. L’assassin ne sortira de sa cellule que les pieds devant.

    On se demande d’ailleurs bien pourquoi la justice française a cette hypocrisie suprême de condamner un assassin à perpétuité pour le laisser sortir 22 ans après. Mais quel que puisse être le résultat d’un tel référendum, tant que la France est dépendante des instances européennes qui, il faut bien le dire, n’ont qu’une lointaine notion de la démocratie, elle ne pourra jamais être appliquée puisque la peine de mort est contraire au protocole du Conseil de l’Europe et à la charte des Nations unies sur les droits de l’homme.

    Souhaitons, tout de même, que pour les actes terroristes et les assassins violeurs d’enfants, la France puisse, un jour et très vite, appliquer cette perpétuité réelle (...)"

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    Mais que chacun se rassure, l'ancien président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, est encore là pour rappeler à quel point l'Union Européenne est démocratique :

    "Le rétablissement de la peine de mort est tout simplement impossible pour un membre de l'UE. Le débat a été clos il y a longtemps. C'est une affaire réglée pour tous les membres"

    Ce qui a été rapidement confirmé par le président en titre, Jean-Claude Juncker :

    "L'abolition de la peine de mort est une condition et un préalable pour rejoindre l'UE et pour y demeurer"

    Philippe Carhon