En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Les journalistes de Quotidien se transforment en zélés auxiliaires de police.
Hold-Up : colère, approximations et mépris médiatique
C’est un documentaire qui a été vu en quelques jours par des millions de Français. À la fois pertinent et approximatif, voire parfois mensonger, Hold-Up n’en est pas moins un symbole frappant de cette colère sourde qui traverse la société française. Une colère à laquelle les médias répondent par un mépris hallucinant.
Revue de presse
USA : violences des antifas et fraude électorale
Aux États-Unis, la mobilisation des partisans de Trump continue, moquée par les médias français.
Pour la première fois, voici la vie détraquée du milliardaire Jeffrey Epstein, confident de Bill Clinton, qui a piégé, pendant 20 ans, pour le compte des services israéliens, des milliers de députés, sénateurs, hommes d’affaires, journalistes, stars de cinéma, scientifiques de renom, recteurs et doyens d’universités, premiers ministres, princes et princesses (dont le prince Andrew), et même des présidents avec le plus grand réseau international de pédocriminels. Nous suivrons son itinéraire de son ascension en tant que professeur de mathématiques à sa mort en cellule en août 2019, en passant par sa rencontre capitale avec Ghislaine Maxwell, la fille d’un autre très grand espion du Mossad, Robert Maxwell, qui avait acheté les médias britanniques pour le compte d’Israël. Pour en parler, Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Pierre Jovanovic, directeur littéraire des éditons Le jardin des livres, pour l’édition française de « L’affaire Epstein » écrite par le grand reporter américain Dylan Howard, Melissa Cronin et James Robertson.
Après bientôt une année complète de l’émission « Le Soleil se lève », l’Équipe Communautaire Paris a prouvé qu’elle savait rassembler en s’inscrivant dans la lignée de Synthèse Nationale.
Une fois encore, elle fait l’exploit de l’union dans le cadre de sa toute nouvelle vidéo nommée « LIBÉRONS LE KRAKEN ». En effet, c’est avec plaisir que l’on découvre la présence des porte paroles de Génération Identitaire (Clément Martin, Jérémie Piano et la très en vogue Thaïs d’Escufon) ainsi que le fondateur d’Academia Christiana (Victor Aubert). Le message véhiculé tout au long de l’émission est strictement positif : trois organisations de droite qui, sur le papier, semblent concurrentes peuvent tout à fait collaborer au-delà des clivages idéologiques qui gangrènent notre milieu depuis des décennies.
Après un hommage au livre « Pour une critique positive » souvent attribué à Dominique Venner, c’est dans une seconde partie d’émission que l’on découvre un nouvel invité de choix : Georges Clément, président du Comité Trump France. Dans un contexte très incertain, le Comité Trump France est venu s’exprimer en exclusivité sur le plateau de l’émission « Le Soleil se lève » afin de revenir sur toutes les fraudes démocrates listées par le camp républicain et, dans un plus large contexte, nous décrypter les enjeux considérables qui englobent cette élection. Un entretien à ne surtout pas rater !
A noter également une apparition très agréable de Mike Borowski, rédacteur en chef du site « Gérard Info » ainsi que la présence d’un imitateur hilarant « Dal Dec » enchainant les caricatures de personnalités médiatiques sous un angle purement de droite.
N’hésitez donc pas à aller regarder cette émission et à la partager. Bon visionnage !
Charles Robin vient de publier aux éditions Krisis La Gauche du Capital, un livre qui fait la somme de ses travaux sur l'idéologie libérale. Venant d'un autre bord, comme autrefois Philippe Muray ou comme son maître à Montpellier Jean-Claude Michéa, il retrouve sans le vouloir et sans le savoir le vieux diagnostic social et politique des papes antilibéraux de la fin du XIXe siècle... Un prodigieux raccourci !
Vous ne vous cachez pas d'être un ancien du Nouveau Parti Anticapitaliste d'Olivier Besancenot, mais vous montrez dans votre livre que les vieilles catégories de « droite » et de « gauche » sont périmées par le lent avènement d'une idéologie globale partagée peu ou prou par l'ensemble de la classe politique - idéologie du Marché que vous appelez le libéralisme. Comment le définiriez-vous en quelques mots ?
ÉLÉMENTS: Comment avons-nous pu croire que nous pourrions faire l'économie du politique et de la production du bien commun ?
PIERRE MANENT. Les nations européennes ont pris leur dernière forme à la suite de la Seconde Guerre mondiale. Leur tâche de reconstruction était dictée par les circonstances. Nous eûmes les Trente Glorieuses, c'est-à-dire un accroissement sans précédent de la prospérité et de l'égalité. Les nations européennes se sentirent portées par un vecteur économique et social qui suffisait à leur donner confiance et direction. Elles y trouvaient aussi une légitimité renouvelée. Ce fut la période des « miracles » économiques. La protection américaine dispensait par ailleurs les Européens de l'obligation de se défendre, en tout cas de produire par eux-mêmes leurs moyens de défense et peut-être même de trouver en eux-mêmes la volonté de se défendre. Ils ont donc désappris la responsabilité politique, jouissant d'une sorte d'extraterritorialité historique et géopolitique. Nous sommes les héritiers trop gâtés de ces deux processus, qui s'achèvent pourtant sous nos yeux : les économies européennes stagnent et la protection américaine n'est plus ce qu'elle a été. Nous nous trouvons donc aujourd'hui devant la nécessité de retrouver un principe intérieur capable de redonner force et légitimité à nos communautés politiques.
Depuis qu’il a abandonné la politique, Arnaud Montebourg a découvert la face sombre du socialisme et le tissu d’inepties dues à son idéologie. De sorte qu’il apparaît désormais comme un ovni. Sa parole est désormais frappée au coin du bon sens et mérite d’être entendue. Voici l’entretien qu’il a accordé au Parisien (22-11) sur la dette et suite à la publication de son dernier ouvrage, l’Engagement (Ed. Grasset). De gauche Montebourg ? Pas sûr. Il semble bien avoir basculé du côté "franchouillard" de la force !
Une des raisons de fond à la crise serait la priorité donnée à la réduction des déficits publics et de l’endettement ?
Une politique qui se concentre sur la réduction de la dette et des déficits fabrique du chômage, et n’a aucune chance de rembourser la moindre dette ni de réduire le moindre déficit. C’est ce qui s’est passé pendant la présidence Hollande. Nous avons eu l’austérité fiscale doublée d’une aggravation du chômage, la double peine pour les classes populaires ! Mais, de surcroît, on n’a diminué ni l’endettement ni les déficits. Dans la crise du Covid-19, nous avons tiré les leçons de la crise financière des années 2008-2010. Ce point est positif. Toutes ces règles euro- péennes relatives aux déficits et à l’endettement qu’on nous a infligées pendant dix ans, et qui ont prolongé inutilement les souffrances des peuples européens, viennent de disparaître par enchantement, démontrant leur parfaite inutilité et leur dangerosité.