entretiens et videos - Page 560
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COLLOQUE DU CEP SUR L'OCCIDENT - ENTRETIEN AVEC DOMINIQUE TASSOT
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COMMENT LES POPULISTES PEUVENT RÉUSSIR?
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I-Média n°222 : Bolsonaro, allô les médias ? Rio ne répond plus !
Une émission présentée Par Jean Yves Le Gallou et Hervé Grandchamp
Bolsonaro, allo les médias ? Rio ne répond plus !
Dimanche 28 octobre, Jair Bolsonaro a remporté haut la main les élections présidentielles brésiliennes. Pour la plupart des médias français cette élection est une catastrophe, c’est la fin du monde, la « fin de l’humanité », Bolsonaro serait « raciste, fasciste, homophobe ». Bref c’est le diable incarné.Le zapping d’I-Média
Sur BFMTV, débat animé entre le journaliste Eric Zemmour et l’historien Patrick Weil. Le débat a abordé la question de l’immigration. Pour l’historien, la France est envahie par « les touriste », tandis que le journaliste soutient que la France est envahie par une immigration de masse : « jusqu’à 400 000 immigrés par année ».Créteil du pistolet au hastag pas de vague
Les professeurs dénoncent sur Twitter leur abandon et les violences qu’ils subissent au quotidien. A l’origine, la publication d’une vidéo sur les réseaux sociaux d’un élève braquant un enseignant.Les tweets de la semaine
Censure dans l’animation, censure dans la série les Simpson. La série réputée pour son humour noir et ses caricatures serait sur le point de supprimer le personnage récurent d’Apu. Le personnage serait « accusé de véhiculer des stéréotypes sur les indiens »Pittsburg, le coupable c’est la rhétorique
Attentat antisémite à Pittsburgh samedi 27 octobre. Pour les médias, le coupable est tout désigné : Donald Trump, son langage et la violence de ses attaques serait un terreau fertile à l’antisémitisme. -
Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°522
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Zoom – Russie : la stratégie d’un retour
Invitée par l’Académie géopolitique de Paris, TV Libertés s’est rendue au Centre spirituel et culturel russe pour suivre un colloque intitulé :”La nouvelle émergence de la Russie”. Parmi les personnes interrogées : Artem Studennikov, ministre conseiller de l’ambassade de Russie en France.
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LIBRE JOURNAL DE LA LIBERTÉ DE PENSER DU 31 OCTOBRE 2018 : “LA VÉRITÉ SUR L’IMMIGRATION”
Anne-Sophie Hongre-Boyeldieu, assistée d’Anne-Laure Maleyre, reçoit :
- Laurent Obertone, journaliste, essayiste
- François Bousquet, écrivain, directeur de La nouvelle librairie
Thème : “La vérité sur l’immigration”
Référence :
Laurent Obertone « La France interdite » (Ed. Ring)
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Bébés sans bras : vers un scandale national ? – Journal du mercredi 31 octobre 2018
Santé / Bébés sans bras : vers un scandale national ?
Alors que 11 nouveaux cas de bébés sans bras ont été recensés, le ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a précisé qu’une enquête avait été ouverte. Tout porte à croire que les causes sont environnementales.Economie / Tourisme : la France a toujours la cote
Malgré un risque terroriste accrue et des politiques de la ville désastreuse, la France demeure la première destination touristique au monde. Des résultats positifs sur lesquels le gouvernement entend s’appuyer pour favoriser une relance sur le marché du travail.Europe / Espagne : Un gouvernement jeune et instable
International / Aéroport d’Istanbul : le rêve de grandeur d’Erdogan
La Turquie rêve plus grand. Le président de la république Recep Tayyip Erdogan vient d’inaugurer le nouvel aéroport d’Istanbul. Une vitrine pour l’homme fort d’Ankara qui entend asseoir la place de sa nation dans la région et dans le monde.Serveur TVL
Lien dailymotion
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Exclusif! Interview du DIABLE (Teaser)
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Notre vision de l'écologie [Rentrée AF Toulouse]
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Marine Le Pen : « Au Brésil, comme ailleurs dans le monde, les peuples reprennent en main leur destin »
Ce dimanche 28 octobre, Jair Bolsonaro a largement remporté l’élection présidentielle au Brésil.
Réaction de Marine Le Pen au micro de Boulevard Voltaire.
Quelle est votre réaction, suite à l’élection de monsieur Bolsonaro à la présidence du Brésil ?
Les élections se suivent et les réactions des médias français se ressemblent. La liberté d’expression, c’est la liberté de dire des choses qui sont différentes de ce qu’ils pensent. La démocratie, c’est aussi la liberté de voter différemment de leurs propres votes. Ils ont du mal à l’intégrer.
Incontestablement, on distingue un phénomène mondial. Les peuples reprennent en main leur destin. Ce n’est pas un jugement de valeur. Après tout, le peuple peut se tromper. La question est de savoir si le peuple a le droit de décider.
Les Brésiliens viennent de dire qu’ils reprenaient le droit de décider pour eux-mêmes. Cette situation brésilienne est méconnue en France. Elle est terrifiante sur le plan de l’explosion de la criminalité. C’est le passif de treize années de gouvernement du Parti des travailleurs. C’est également une situation de corruption généralisée qui a suscité un rejet violent de la part des Brésiliens.Peut-on dire que l’élection de Bolsorano est un coup porté contre le rêve d’une société mondialisée ? S’agit-il d’un retour aux États-nations et à la fierté patriotique ?
Oui. En réalité, ce n’est qu’une élection derrière des dizaines d’autres qui disaient déjà la même chose. C’est objectivement vrai pour toutes les grandes nations du monde. On a vu les nations se détourner de la mondialisation sauvage. On revient à une volonté de préserver la nation et tout ce qui dépend d’elle, c’est-à-dire la souveraineté, les frontières, etc. C’est le cas de la Russie, de la Chine, de l’Inde, des États-Unis et du Brésil. Il y a un vrai phénomène mondial. C’est le cas de beaucoup de pays en Europe. On peut parler, en quelque sorte, d’un retour de balancier au niveau mondial.
Certains traitent Bolsorano de nationaliste, mais il me semble que le Parti des travailleurs était aussi une forme de nationalisme, un nationalisme d’extrême gauche.L’élection de Bolsorano intervient quelques mois avant les élections européennes. On a vu le parti de la majorité appeler à un sursaut des libéraux et des progressistes à l’échelle mondiale. Aura-t-elle un impact sur les listes européennes ?
Je ne sais pas si elle aura un impact, mais elle participe d’une idée intéressante : que le mondialisme sauvage n’est pas une fatalité. C’est un choix qui a été effectué, un choix qui, pour beaucoup, a été démocratique, ces dernières années. Or, aujourd’hui, les peuples qui sont allés au bout de cette logique de la mondialisation sauvage retrouvent en quelque sorte la voie de la nation, de la protection, de la fermeté, de la maîtrise et de la régulation de manière générale.
Oui, je pense depuis longtemps que la mondialisation sauvage est en train de vivre ses derniers moments.