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entretiens et videos - Page 577

  • Le plus d’Éléments n°7 : les jeunes réacs à l’assaut d’Internet et le phénomène Marsault

  • Italie : UNE NOUVELLE REVUE D'HISTOIRE EST NÉE

    1939169943.jpgPRÉSENTATION DE STORIA RIVISTA

    A l'origine de cette heureuse initiative, un groupe d'hommes et de femmes de convictions dont certains sont issus du MSI, le Mouvement social italien. Parmi eux, notre ami Massimo Magliaro que les lecteurs de Synthèse nationale connaissent bien. Nous lui avons posé quelques questions...

    Massimo bonjour, présentez-nous cette revue qui était en gestation depuis quelques temps et qui vient de sortir.

    Cette nouvelle revue voit le jour en Italie veut être une revue à la fois de divulgation et d’approfondissement. C'est un projet ambitieuse et unitaire.

    Son nom : Storia Revista (Histoire Revue) et sa publication bimestrielle. Elle compte un peu moins de deux cents pages.

    Le "chemin de fer" de chaque numéro sera le suivant : la première partie est un recueil d’articles sur des hommes, des idées des faits qui concernent la droite en Italie et dans le monde ; la deuxième est un dossier monothématique consacré à un évènement, une célébration, un contexte raconté et analysé d’un point de vue de droite.

    Pourquoi ambitieuse ?

    Parce que la droite italienne (NDLR : comme partout en Europe) doit avoir l’ambition de retrouver ses valeurs, ses idées et son histoires qui l’ont maintenue unie et vivante pendant si longtemps. La droite doit aujourd’hui demander à l’Histoire, avant tout à son Histoire, les réponses nécessaires pour retrouver le langage perdu de sa propre unité et les raisons profondes de la convivialité, langage et raisons qui lui ont permis d’affronter avec dignité le monde qui continuait à l’assiéger impitoyablement.

    Et tout ceci est fort ambitieux.

    Mais il s’agit également d’un projet unitaire. Dès lors que ce ne sera pas uniquement la voix d’une « petite partie » de notre famille. Ce sera  la voix de toutes les expériences idéales qui ont rempli la vie, les rêves, les projets de ce milieu, qui lui ont donné la force et qui lui ont permis de vivre son propre temps avec fierté et orgueil alors que tout lui était âprement hostile.

    Cette cohérence idéale, ce sens très fort d’appartenance enraciné dans ses gens constituent précisément aujourd’hui le patrimoine principal à récupérer et dans lequel puiser pour construire les routes de l’avenir.

    Pourquoi le nom Histoire Revue ?

    Revue signifie relue, étudiée de nouveau, analysée de nouveau, revisitée. Nous ne nous contentons pas des jugements codifiés, des stéréotypes moraux imposés par le «culturellement correct». L’Histoire, l’histoire avec un H majuscule, ne cesse jamais de parler, de fournir des éléments, des suggestions, du matériel varié. Elle ne cesse jamais d’être interprétée, comprise, jugée. C’est un livre qu’il faut ouvrir et rouvrir, toujours, qu’il ne faut jamais mettre de côté. C’est un terrain qu’il faut sans cesse labourer car il donne toujours ses fruits.

    L’Histoire n’est pas seulement le passé; elle est le présent et aussi l’avenir.

    Un présent qui n’a pas de passé n’aura jamais de futur, lit-on dans la présentation.

    L’horizon dans lequel s’inscrit la revue est vaste, il part naturellement de l’Italie mais il se dilate dans le monde, là où il y a une droite à raconter.

    Massimo, vous assurez la direction de la revue, mais qui sont les autres promoteurs de cette aventure éditorialiste ?

    Histoire Revue s'est dotée d’un Comité directeur composé, outre moi-même, d’Alessandro Amorese, Adalbelto Baldoni, Mario Bozzi Sentieri, Roberto Rosseti et Marco Valle.

    Nombreux sont les collaborateurs, surtout des jeunes. Même des étrangers.

    C’est la jeune et aguerrie maison d’édition Eclettica Edizioni, de Massa, en Touscanie, déjà connue en Italie pour avoir fait publier des textes très intéressants et qui ont remporté un grand succès, qui en a assuré la publication. Il s’agit entre autres de la maison d’édition qui d’ici la fin de l’année publiera en exclusivité l’édition italienne des « Mémoires » de Jean Marie Le Pen.

    Le premier numéro, qui sera présenté dans quelques jours à Rome et puis au fur et à mesure dans le reste de l’Italie, s’ouvre précisément sur la publication en exclusivité (NDLR : rédigée par le directeur, Magliaro) du chapitre des « Mémoires » de Le Pen consacré à la naissance du Front national (auquel sa fille, Marine, vient de changer le nom) et continue avec le premier fascicule d’une histoire ultra-documentée du Msi écrite par Baldoni, un texte inédit d’Amorese sur la monnaie clandestine frappée dans l’après-guerre par le Msi d’Apuania, le portrait du premier «federale» du Msi de Cagliari, Marigo, rédigé par Giuseppe Serra, le récit, signé par Bozzi Santieri, du rôle joué à droite par le quotidien milanais du soir La Notte, un essai de Nazzareno Mollicone sur la politique démographique du Fascisme, une analyse de la droite hongroise d’hier et d’aujourd’hui conduite par Marco Valle, et un inédit sur le jeune Johnny Halliday lorsqu'il était militant de la droite radicale française.

    La deuxième partie de la revue est entièrement consacrée aux années ‘68. Le dossier a pour titre «Le singe de ’68. Cinquante ans après l’Italie paye encore le compte».

    On y trouve des essais et des articles de Baldoni, Gennaccari, Amorese, Rossetti, Volante, Barbetti et Magliaro. Le dossier est enrichi de témoignages de certains des protagonistes de ces faits (entre les quels Jack Marchal), une anthologie de philosophes, d’historiens, d’économistes, de sociologues, d’essayistes, (Spirito, D’Eramo, Rasi, Ginsborg, Bedeschi, Vulpitta, Gnerre, Cipriani, Veneziani, De Mattei, Corrêa de Oliveira, Del Noce, De Turris, Bardèche, Duprat, Evola) et enfin une table ronde avec la participation de Pietro Cerullo, Gennaro Malgieri, Bozzi Sentieri et Adriano Scianca.

    Chaque numéro deStoria.Revue coûtera 13 euros. L’abonnement annuel par contre 60 euros.

    Le dossier du deuxième numéro, dont la sortie est imminente, sera consacré à Giorgio Almirante et à Pino Romualdi à l’occasion du trentenaire de leur mort.

    Rappelons que nous devons à Massimo Magliaro la rédaction d'un Cahier d'Histoire du nationalisme (n°11) consacré à l'histoire du Mouvement social italien cliquez ici. Ce Cahier de 220 pages est sorti en février 2017 à l'occasion du 70e anniversaire du MSI fêter, à Paris à l'initiative des Amis de Synthèse nationale cliquez ici.

  • Des femmes avortent à l’étranger de bébés à un terme avancé, en toute illégalité, aidées par des organismes payés par nos impôts

    6a00d83451619c69e2022ad39a7168200b-250wi.jpgMarie Philippe a créé il y a dix ans le site ivg.net. Elle est interrogée par FC sur son dernier ouvrage.

    "D’après votre expérience, les femmes ont-elles habituellement des séquelles de leur IVG ?

    Les idéologues de l’avortement soutiennent que les femmes vont très bien. Mais, quand on les écoute, on entend qu’elles ont souvent une blessure affective, parfois sournoise, qui peut se manifester de manière très variable : addiction à la cigarette, l’alcool, instabilité affective, dépressions, scarifications, pensées suicidaires... Elles deviennent dures et ont du mal à assumer leur féminité. Elles nous racontent qu’elles ont des cauchemars, des insomnies, une angoisse profonde, une perte de confiance en elles. Elles peuvent même se sentir sales, criminelles. Ce mot terrible, je ne l’utilise jamais, mais elles disent parfois : « J’ai tué mon enfant ! »

    Elles ont entre 14 et 45 ans et viennent de tous les milieux. Elles veulent savoir comment se passe une IVG. Et ce qui se passe après. Elles veulent aussi se livrer. Nous les écoutons longuement et nous continuons, ensuite, à dialoguer, même après l’avortement, si telle a été leur décision. La très grande majorité de ces femmes aimeraient au fond d’elles accueillir leur enfant.

    Ce peut être des femmes musulmanes qui ont déjà plusieurs enfants, et à qui le corps médical dit : « Fatima, vous êtes sûre ? Vous allez être fatiguée... » C’est plus proche d’une forme de racisme à l’égard de cette population qui est ouverte à la vie que de la compassion ! Des jeunes musulmanes sont enceintes dans le cadre d’une relation hors mariage. Elles sont reniées et mises dehors. Elles vivent un calvaire. D’autres encore, jeunes ou moins jeunes, n’ont pas le courage de se battre contre les pressions de leur entourage. Combien me disent : « Marie, je n’en peux plus, je suis trop seule, personne ne m’aide ! » Ou encore : « J’ai ma vie professionnelle et je ne peux pas mettre en cause ma carrière ! » La France a complètement perdu l’amour des bébés. Attendre un enfant n’est plus une joie, mais un « problème » dont il faut se débarrasser.

    Je reçois aussi de plus en plus d’appels qui proviennent de femmes qui ont avorté à l’étranger de bébés à un terme avancé, en toute illégalité, mais aidées par des organismes payés par nos impôts, et qui se sentent, ensuite, extrêmement mal. Le bébé est parfois avorté à vingt-deux semaines alors qu’il est presque viable.

    Pourquoi estimez-vous que ces femmes sont victimes ?

    Les femmes sont prisonnières d’une contraception qui fonctionne mal. Elles croient qu’avec la pilule, elles n’auront pas d’enfant. C’est faux ! La majorité des femmes qui avortent étaient sous pilule ou stérilet. Elles sont comme assujetties à leur compagnon. Ce sont les hommes qui veulent l’IVG. Les personnes qui m’insultent au téléphone sont le plus souvent des hommes. La contraception leur fait perdre le sens de la paternité responsable. Ils sont comme des gamins qui, à l’annonce d’une grossesse, répondent : « Oh ! mais je ne suis pas prêt ! » Il y a une telle pression hédoniste ! Ce petit bout, c’est la catastrophe. C’est l’homme, la clé de voûte. Quand il dit : « On le garde », alors la femme accepte mieux la grossesse.

    La femme est aussi polluée par un discours ambiant sur le « désir » d’enfant. En fait, ce terme n’a pas grand sens, car il désigne un sentiment versatile. Il place l’enfant dans une position de petit prince, fruit d’un présumé « projet parental » au point qu’on entend qu’il vaudrait mieux, pour lui, qu’il soit avorté plutôt que d’être éduqué par une mère célibataire. La pression sociale est très forte.

    Enfin, elles manquent de liberté à cause d’un manque d’informations sur les conséquences graves de l’IVG. Pire, elles ont des informations fausses, par exemple sur le site du gouvernement, qui disent que l’avortement est sans risque, notamment sur leur fertilité.

    Pourquoi ces femmes ne trouvent-elles pas refuge auprès de leur famille ?

    Je suis frappée par le peu de proximité des adolescentes ou des jeunes femmes avec leur mère. Nous leur posons la question : « En as-tu parlé à ta maman ? » Elles disent : « Nous ne sommes pas proches. Depuis que j’ai un copain, la seule chose qu’elle dit, c’est de ne pas oublier ma pilule. » Il y a bien une démission des mères. Aussi, les femmes, à leur tour, n’éprouvent pas le désir de choyer un enfant, de donner la vie. Souvent les mères qui ont elles-mêmes avorté poussent leur fille à faire de même. De façon inconsciente, elles veulent créer un lien à travers cette souffrance vécue comme une malédiction. En revanche, j’observe que celles qui n’ont pas été accueillies du tout, placées dans des familles d’accueil, ressentent un grand besoin d’avoir un enfant pour compenser cet amour qui n’a pas été donné. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • JEUDI 21 JUIN : MICHEL KLEN, AUTEUR DE "LA TRAGÉDIE DE L'ALGÉRIE FRANÇAISE" INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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  • L’Aquarius : terre d’accueil en vue - Journal du Lundi 18 Juin 2018

  • Hervé Le Pouriel, élu de Montfermeil (93), était jeudi l'invité de l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés

    1865909731.jpgEcoutez l'émission

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    Roland Hélie interrogeant Hervé Le Pouriel

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    Hervé Le Pouriel, Arnaud Menu (directeur de Radio Libertés), Roland Hélie et Philippe Randa

    http://synthesenationale.hautetfort.com/