Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 250

  • Il n’y a pas de repas gratuit. Derrière le plan de relance européen, le chantage aux réformes

    C’est un article d’Euractiv qui reprend une dépêche de l’AFP intitulée « Derrière le plan de relance européen, la délicate question des réformes »

    « Ces dernières semaines, « la Commission a mis la pression sur les Etats membres pour qu’ils viennent avec plus de réformes », confie un diplomate européen. 

    Pour toucher les aides du fonds de relance européen, les pays de l’UE risquent de devoir engager des réformes impopulaires, un sujet âprement discuté à Bruxelles avant la remise des premiers plans nationaux.

    Lire la suite

  • « Cessons d’être des Occidentaux et redevenons des Européens d’origine boréenne » (entretien avec Georges Feltin-Tracol)

    empire-defunt-250x250.jpg

    Pour commencer, pouvez-vous nous donner une brève introduction sur votre domaine d’expertise, votre travail et vos activités en cours ?

    J’ai 50 ans. Formé aux sciences politiques, à l’histoire et à la géographie, j’ai aussi suivi des cours de droit constitutionnel.

    J’écris mes premiers articles dès 1993. J’ai publié une dizaine de livres et collaboré à une dizaine d’autres. En 2005, je fonde avec quelques amis le site identitaire français Europe Maxima dont j’assume la rédaction en chef.

    Je collabore aux Cahiers d’histoire du nationalisme, à la revue Synthèse nationale et au Magazine des Amis de Jean Mabire. Je tiens enfin chaque semaine sur le site officiel de TVLibertés un podcast intitulé « Chronique hebdomadaire du Village planétaire ».

    Lire la suite

  • APRÈS LA SCÈNE DU DIVAN, IL FAUT ARRÊTER LA COMÉDIE EUROPÉENNE.

    erdogansuleiman-768x342.jpg

    L’humiliation infligée par le dictateur islamiste turc aux représentants de l’Union Européenne ne devrait pas susciter le moindre reproche envers Erdogan. Il a été fidèle à lui-même, affichant, avec sa grossièreté coutumière, son idéologie fondée sur les retrouvailles entre le nationalisme turc et l’impérialisme musulman. Il joue son rôle, celui d’un ennemi, non d’un partenaire. Le véritable sujet de scandale, c’est l’Union Européenne.

    Lire la suite

  • Le diplomate européiste ne vaut pas plus cher que le tyran oriental

    Le diplomate européiste ne vaut pas plus cher que le tyran oriental

    Sur Liberté Politique, Constance Prazel revient sur l’humiliation d’Erdogan à l’égard de la présidente de la Commission européenne et souligne :

    Mais le scandale est aussi du côté de Mme von der Leyen. N’a-t-elle donc aucun reste de fierté ? A quoi sert de vivre à l’heure du féminisme prétendument triomphant, si une dirigeante de ce niveau n’est pas en mesure d’en imposer à deux hommes ? Il ne fallait pas se contenter de râcler la gorge, il fallait hausser le ton, et si besoin, quitter la pièce en claquant la porte. Au lieu de cela, elle a préféré se soumettre, en allant se mettre au coin, comme un enfant pris le doigt dans le pot à confiture. Son porte-parole a expliqué en termes choisis qu’elle avait « décidé de passer outre et de donner la priorité à la substance sur le protocole. » La formule est élégante, mais laisse pantois, devant une telle démission consentie.

    Lire la suite

  • L’Italie tente de juguler la crise démographique

    5d1498d48c9ab083068b4568-230x180.jpg

    À partir du 1er juillet prochain en Italie, les familles auront droit à une allocation mensuelle allant jusqu’à 250 € par enfant, dès le 7e mois de grossesse, pouvant durer jusqu’à ses 21 ans. Le ministre de la Famille et de l’Égalité des chances, Elena Bonetti, a engagé cette mesure quelques jours après l’annonce, par l’institut italien de statistiques (Istat), de l’aggravation historique de la démographie du pays après un an de pandémie.

    L’Italie a comptabilisé 746 146 décès en 2020, tandis que le nombre de naissances a plongé de 3,8 %, avec seulement 404 104 bébés. En une seule année, le pays a perdu 384 000 habitants. C’est comme si une ville comme Florence avait disparu.

    D’autant plus inquiétant que le pays est déjà le plus vieux d’Europe avec 23,2 % de ses habitants âgés de 65 ans ou plus (20,4 % en France).

    https://www.lesalonbeige.fr/litalie-tente-de-juguler-la-crise-demographique/

  • Julien Odoul (RN) : “Depuis des années, l’UE est le paillasson de la Turquie. Aujourd’hui, on s’étonne qu’Erdogan s’essuie les pieds dessus”

    Sur TVL

    Julien Odoul (RN) : “Depuis des années, l’UE est le paillasson de la Turquie. Aujourd’hui, on s’étonne qu’Erdogan s’essuie les pieds dessus”.

     
  • Le plus gros bobard de la fin du XXe siècle, par Serge Halimi & Pierre Rimbert.

    Il y a vingt ans, le 24 mars 1999, treize États membres de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN), dont les États-Unis, la France et l’Allemagne, bombardaient la République fédérale de Yougoslavie. Cette guerre dura soixante-dix-huit jours et se nourrit de bobards médiatiques destinés à aligner l’opinion des populations occidentales sur celle des états-majors. 

    Lire la suite

  • En Turquie, Ursula von der Leyen privée de siège lors d’une réunion avec Erdoğan

    alerte-info-845x475.png

    Mardi 5 avril, , la présidente de la , et Charles , le président du Conseil européen, se sont rendus à Ankara en  pour rencontrer le président  pour s’entretenir de la situation des droits de l’homme dans le pays.

    La présidente de la Commission européenne n’avait pas de siège prévu pour elle, contrairement à Recep Tayyip Erdoğan et à Charles Michel, et a dû s’installer en retrait sur un divan. « Ehm », murmure-t-elle, visiblement déconcertée par cette erreur de protocole.

    Sur les réseaux sociaux, la vidéo a déclenché les réactions outrées de nombreux internautes et de la presse occidentale dénonçant « une mise en scène sexiste »« une humiliation ».

    https://www.bvoltaire.fr/en-turquie-ursula-von-der-leyen-privee-de-siege-lors-dune-reunion-avec-erdogan/

  • Les rapports difficiles de l’UE avec la Turquie d’Erdogan

    2986693439.png

    Anne Rovan s’entretient ici avec Marc Pierini ancien ambassadeur de l’Union européenne en Turquie, aujourd’hui chercheur invité de l’ONG américaine Carnegie Europe. .

    Le Figaro.- Charles Michel et Ursula von der Leyen rencontrent ce mardi le président Recep Tayyip Erdogan à Ankara. Comment interpréter ce déplacement ?

    Marc Pierini.- Il est l’expression de l’ADN européen, selon lequel la négociation est toujours meilleure que le conflit ouvert. Cette visite me rappelle celle de l’ancien président du Conseil européen Donald Tusk, au plus fort de la crise migratoire en 2015. Charles Michel et Ursula von der Leyen vont en Turquie avec un plateau d’argent chargé de présents, comme les émissaires allaient au palais de Topkapi au temps de l’empire. Il y a une crainte absolue de l’UE de voir Erdogan ouvrir ses frontières pour laisser passer les réfugiés. Elle accepte donc d’allouer des milliards supplémentaires dans le cadre de l’accord UE-Turquie, de parler de l’union douanière et des visas, ou encore de cette conférence sur la Méditerranée orientale voulue par la Turquie, et qui aurait pour conséquence de faire asseoir à la table le président de la «République turque de Chypre du Nord » que l’UE ne reconnaît pas.

    Lire la suite

  • Le plan de relance européen piétine.

    Nous étions déjà dubitatifs quant au déploiement du fameux plan de relance économique européen, décidé l’année dernière, tant les obstacles se sont amoncelés sur le parcours de cette idée généreuse mais… sans doute utopique au sein d’une structure aussi confuse, alambiquée et impotente que l’Union européenne (UE). Et pourtant, le montant de ce plan financier paraît bien modeste au regard de celui que les Etats-Unis ont décidé de mettre en oeuvre pour relancer leur économie : 750 milliards d’euros pour le premier contre 1 900 milliards de dollars (1 595 milliards d’euros) pour le second !

    Lire la suite