Avec 134 voix pour, 45 contre et 5 abstentions, l’Assemblée nationale hongroise a adopté le mardi 15 décembre un amendement à sa constitution pour mieux se prémunir contre l’assaut des idéologues du genre et autres représentants de l’Internationale LGBT. En effet, et même si, comme tient à le préciser le gouvernement hongrois, cet amendement n’est pas dirigé contre qui que ce soit, il permet à la Hongrie d’avoir désormais une définition de la famille dans sa loi fondamentale.
Europe et Union européenne - Page 254
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La constitution hongroise contre le « gender »
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L'Europe et le christianisme : entretien avec l'abbé Berger
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L’Agence européenne des médicaments valide le vaccin Pfizer-BioNTech contre le Covid pour l’UE
Le vaccin de Pfizer et BioNTech a été autorisé par l’Agence européenne des médicaments. Cette étape ouvre la voie au début d’une campagne de vaccination dans les différents de l’Union européenne.
L’Agence européenne des médicaments (AEM) a autorisé le 21 décembre le vaccin Pfizer-BioNTech, ouvrant la voie à un possible début des vaccinations dans l’Union européenne avant la fin de l’année.
(…) RT
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2021, année chaotique ? (Présent)
L’Europe reconfinée
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Entretien avec Thibaud Gibelin : Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne
Propos recueillis par Lionel Baland
pour EuroLibertés cliquez ici
Thibaud Gibelin publie un ouvrage intitulé Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne (Fauves éditions) cliquez là. Lionel Baland l’a interrogé pour Eurolibertés sur le succès rencontré par le Premier ministre hongrois Viktor Orbán
Viktor Orbán est un démocrate-chrétien qui adhérait autrefois aux idées libérales et qui est désormais un national-conservateur. Comment expliquez-vous cette évolution ? Quelles sont les parts d’opportunisme politique et de conviction réelle dans ce changement ?
Viktor Orbán n’est pas un idéologue. Les options doctrinales servent seulement de coordonnées sur l’échiquier politique. Par « idées libérales », il faut entendre qu’à la charnière des années 1980 et 1990 Viktor Orbán désire tourner le dos au modèle socialiste sclérosé et à la domination supranationale soviétique qui pèse sur la Hongrie depuis des décennies. Le système qui prévaut à l’ouest semble un contrepoids, un point de fuite pour refonder la Hongrie sur des bases saines.
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Politique & Eco n°280 avec Charles Gave – Etats-Unis – Europe : le grand basculement de la puissance
Aux Etats-Unis, un risque de basculement institutionnel grave… Avec l’élection de Joe Biden, l’Amérique restera-t-elle une nation démocratique ? Y a-t-il eu fraude ou pas ? Ceux qui pensent qu’il y a eu fraude se font traiter de complotistes et de demeurés mentaux par tous les médias qui nous annonçaient que Trump allait se faire battre alors qu’il a obtenu plus de voix qu’en 2016 !
Qui est Joe Biden ? Un parfait ectoplasme, sans aucun intérêt, mais qui traîne un nombre de casseroles inimaginables.
Que va faire Trump qui reste le président jusqu’au 20 Janvier ? On saura le 6 janvier s’il reste président ou s’il va devoir laisser la place. Si Biden est élu et si vous avez aimé l’impérialisme américain, vous allez adorer les impérialismes turc, chinois ou iranien.L’Europe et La France : vers une économie zombie engendrée par la destruction de la monnaie. L’augmentation de la masse monétaire (voulue par la BCE) n’est pas l’augmentation de la richesse. Entreprises et banques zombies prospèrent au détriment des entrepreneurs véritables et accélèrent la désindustrialisation (Italie, France). Le QE (assouplissement monétaire) condamne les monnaies européenne et américaine et offre de belles perspectives aux monnaies asiatiques (sauf Yen)… Le signe du déclin ?
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La Commission européenne souhaite régulariser 34 millions de migrants présents dans l’Union Européenne
La Commission européenne voudrait régulariser 34 millions de migrants. C’est ce qu’il ressort notamment de son plan d’action « pour l’intégration et l’inclusion » que l’on peut consulter librement ici.
Un plan d’action présenté le 24 novembre 2020, par cette commission, non élue donc, mais qui entend faire la pluie et le beau temps des peuples européens.
La Commission estime dans ce plan « que les obstacles à la participation et à l’inclusion des immigrants dans les sociétés européennes doivent être supprimés »
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Pour que les Européens retrouvent courage, fierté et confiance dans l'avenir
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Oui à l'autonomisme NON À l'indépendantisme ! 2/2
Pourquoi l'Union européenne est-elle de plus en plus détestée ? Précisément parce qu'elle devient jacobine et oligarchique. Elle accomplit en grand avec les États-nations ce que ces mêmes États avaient accompli en petit avec les régions : elle concentre le pouvoir, uniformise les coutumes et favorise une langue unique (hier le français, aujourd'hui l'anglais). Loin d'être un horizon commun de rassemblement pour les peuples qu'elle fédère, elle se transforme en marâtre qui étouffe ses enfants sous une multitude de directives, de recommandations et d'ordonnances. Elle veut décider de tout, par en haut, au lieu de laisser les peuples prendre leurs propres décisions, par en bas. D'où la tentation souverainiste. En redevenant maîtres d'eux-mêmes, les peuples espèrent reconquérir leurs responsabilités perdues. Ils veulent rapprendre à se conduire en adultes.
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Oui à l'autonomisme NON À l'indépendantisme ! 1/2
Par paresse intellectuelle, on confond communément autonomisme et indépendantisme. L'un demande davantage de pouvoir l'autre réclame le pouvoir Ce qui n'est pas la même chose. Or si l'on veut conjurer le spectre de la balkanisation et du séparatisme, c'est la légitime demande d'autonomie des peuples qu'il importe d'exaucer.
La guerre entre les régions et l'État remonte à loin. Le républicanisme français a traditionnellement horreur des identités, qu'il juge incompatibles avec les lumières de la raison. Cette stigmatisation provoque chez nombre de militants régionalistes un rejet presque irréconciliable. Notre pays compte d'innombrables partis et mouvements d'émancipation, en métropole (Pays Basque et Bretagne), en Méditerranée Corse) ou dans l'outre-mer (Nouvelle-Calédonie et Polynésie). Depuis la fin du XIXe siècle, la Bretagne a joué un rôle moteur dans ces révoltes, de Lemercier d'Erm à Olier Mordrel et Fransez Debauvais. Les partis régionalistes et indépendantistes alsaciens furent particulièrement actifs dans les années 1920-1930, et l'on pourrait évoquer aussi le puissant mouvement occitan, le Félibrige provençal ou les Flamands de France.