Europe et Union européenne - Page 290
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Zemmour/C News : crise sanitaire, la défaite du modèle allemand.
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IDÉE PRUSSIENNE, DESTIN ALLEMAND 2/3
Cette tendance à l'autoculpabilité a été remarquée par les observateurs. Commentant l'exposition du Martin-Gropius-Bau, Nicole Casanova a constaté : « Tout y est dénigré : la tolérance de jadis, présentée comme l'esprit mercantile d'un pays désert en quête de colons ; le militarisme, l'esprit d'ordre et de discipline, y sont décrits comme une fabrique de valets ; l'essor industriel du XIXe siècle a suscité un prolétariat qui vit dans des conditions épouvantables ; les rares révoltes ou révolutions sont sauvagement réprimées ; Hitler se réfère tout naturellement à la Prusse ; les conjurés de 1944 sont certes Prussiens, mais c'est cela même qui les a fait si longtemps tergiverser et les a menés à l'échec, car ils ne parvenaient pas à se dresser contre un chef, quel qu'il fût… Aucun de nous, Français, Anglais, Suédois, n'en demandait autant. Ce mea culpa public nous faisait de la peine » (Le Quotidien de Paris, 31 août 1981).
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Pierre Le Vigan : Nietzsche et l'Europe, une mise au point
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IDÉE PRUSSIENNE, DESTIN ALLEMAND 1/3
Avant-propos :
« Le jugement qu'on porte sur les Prussiens est l'un des tests d'intelligence les plus sûrs qui soient » (Ernst Jünger, Journal IV, 30 juin 1945).
Après un long passage au purgatoire de l'histoire, la Prusse est de retour. Tout au long de l'année 1981, on a pu assister, outre-Rhin, à un curieux phénomène : la floraison d'une multitude de publications, de livres, de manifestations, d'expositions, etc. consacrés à la Prusse. Il n'y manquait même pas les autocollants et les T-shirts. Le point culminant de cette Preussenjahr (année de la Prusse) a été constitué par une grande exposition, qui s'est tenue à Berlin, du 15 août au 15 novembre, dans l'ancien Musée des arts et métiers (Kunstgewerbemuseum), actuellement rebaptisé Martin-Gropius-Bau, sur le thème : “La Prusse : Une tentative de bilan” (Preussen : Versuch einer Bilanz).
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Face à la colère populaire, Angela Merkel annule le reconfinement et demande pardon aux Allemands
L’information qui suit doit être connue de chacun. Après avoir essuyé de nombreuses critiques, la chancelière allemande Angela Merkel a annulé mercredi, lors d’une nouvelle réunion de crise avec les 16 Etats-régions allemands, le reconfinement décidé en début de semaine pour le long week-end de Pâques .
A la suite de cette réunion, la chancelière s’est exprimée à la télévision, déclarant avoir fait “une erreur” et demandant pardon au peuple allemand.
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L'Europe, l'Europe, toujours l'Europe..., par la RÉDACTION de L’ASAF.
Les incertitudes qui, il y a encore quelques semaines, planaient sur l’avenir à moyen terme de l’opération Barkhane, semblent avoir été levées lors du sommet du G5 Sahel à N’Djamena le 15 février dernier.
Pour autant, la question de la suffisance des moyens dédiés à ce qui est aujourd’hui l’engagement majeur de l’armée française reste posée et ne paraît pas devoir être résolue rapidement d’autant qu’elle revêt une dimension européenne.
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L'émission "Synthèse" avec Thomas Ferrier sur TV Libertés
Thomas Ferrier est un militant européen. Même s’il connaît parfaitement la législation européenne, il n’est pas pour autant un thuriféraire du "machin bruxellois". Sa conception de l’Europe repose plus sur des réalités civilisationnelles que sur des considérations économiques et technocratiques absconses. De plus, passionné par les différents courants idéologiques qui ont traversé notre continent au cours du XXe siècle, il vient de publier une étude intitulée "Fascismes d’Europe" (éditions Synthèse nationale, collection « Idées »). Dans cet entretien avec Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier, il développe son point de vue sur la question européenne.
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Dans la nouvelle Guerre froide, par Jean-Gilles Malliarakis
On peut dire merci à l’ambassadeur chinois Lu Shaye. En traitant Antoine Bondaz, chercheur français de la Fondation pour la recherche stratégique, de “petite frappe, hyène folle, troll idéologique” il a réveillé les endormis.
Nous avons bel et bien affaire à un communiste et Francis Bergeron, ce 24 mars, peut mettre en cause avec raison, au-delà de son représentant si peu diplomate, le maître du pouvoir de Pékin, “Xi Jinping nouveau Staline“[1]
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Quartiers difficiles : impossible n’est pas danois !, par Philippe Bilger
Dans les zones sensibles, dans les quartiers difficiles, le gouvernement social-démocrate danois a décidé de réduire à 30 % le nombre de non-occidentaux et de massivement reloger les familles concernées dans d’autres logements sociaux. Il se promet d’atteindre cet objectif en dix ans.
Durant cette parenthèse, les infractions commises dans ces quartiers défavorisés seront réprimées plus sévèrement (Valeurs actuelles).
On n’appellera plus ces lieux des “ghettos” mais des sociétés religieuses et culturelles parallèles.
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Les Allemands, leur histoire et leurs névroses 2/2
Le conflit des générations
La VB est également le produit d'un conflit de générations, écrit Armin Mohler. Les pères, revenus des campagnes de Hitler, infatigables reconstructeurs de leur pays ravagé, se heurtent aux fils, dorlotés par les bienfaits du miracle économique. Ces enfants de l'abondance s'engouent pour une philosophie néo-marxiste qui se mue rapidement en sectarisme irréaliste, car la RFA est, avec la Suède, un des États sociaux les plus perfectionnés que l'histoire ait généré. La dimension de “lutte des classes” perd sa raison d'être dans une société où la classe ouvrière est pourvue de droits dûment consignés et pratiqués et reçoit des salaires plus que corrects.