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Europe et Union européenne - Page 307

  • Immigrationnisme : L’Union Européenne condamne la Pologne, la Hongrie et la République tchèque et ouvre la porte à l’adhésion de l’Albanie et de la Macédoine

    Crise du coronavirus ou pas, crise économique, sanitaire, sociale, ou pas, rien ne change sous les voûtes d’acier et de verre des palais européens.

    Alors que le  24 mars dernier, les 27 ministres des Affaires européennes des pays membres de l’Union européenne (UE) ont décidé d’ouvrir les négociations pour l’entrée de l’Albanie et de la Macédoine du Nord comme nouveaux États membres et de ce fait d’élargir une Union Européenne pourtant en panne sèche, dans un arrêté rendu hier jeudi 2 avril, la Cour de justice de l’UE a ouvert la voie à d’éventuelles sanctions pécuniaires contre la Pologne, la Hongrie et la République Tchèque à cause de leur refus d’accueillir un quota de réfugiés en 2015.

    Par ces deux décisions, l’impuissante Union Européenne montre son vrai visage : immigrationniste avant tout au détriment des peuples des pays membres.

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  • Coronavirus : les leçons d’une pandémie (III)

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    L’Etat-stratège est en déconfiture et l’Etat de droit en sommeil

    La plus grande des illusions françaises tient dans un paradoxe : alors que l’identité française est submergée par la mondialisation des produits et des comportements – mondialisation tronquée, d’ailleurs, car si les produits sont souvent chinois, les comportements sont toujours américains, avec une invasion du « globish » dans notre langue, comme si une idée était plus claire et plus forte « in English » -, les discours officiels, eux, continuent à souligner l’exemplarité française, l’exception française que le monde entier nous envie, éperdu d’admiration pour le pays des droits de l’homme. Ainsi en était-il de notre système de santé !

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  • Les conséquences possibles de la crise du Coronavirus

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    Par Michel Leblay, patron d’émission sur Radio Courtoisie  La France, comme l’ensemble de la planète, subit une épreuve encore inimaginable il y a quelques semaines. Apparue en Chine à la fin de l’année 2019 et s’y étant développée, l’épidémie dite du Covid-19 s’est rapidement diffusée à travers les continents. Si l’Europe a paru la région la plus affectée, au vu des dernières évolutions la situation des États-Unis pourrait devenir critique ; quant à l’Afrique, si elle est gagnée par la maladie, aucune prévision n’est encore possible.

    Trois quarts de siècle après la fin de la Seconde Guerre mondiale, alors que les fléaux collectifs avaient disparu du continent européen, laissant penser que tout était possible face à la nature, nos peuples se retrouvent confrontés à une adversité vis-à-vis de laquelle ils n’ont aucune maîtrise. Certes, heureusement, nous sommes pour l’instant loin des hécatombes que provoquaient les épidémies passées, peste, choléra, jusqu’à la grippe espagnole de 1918-1919. Il n’empêche que le bilan des morts progresse quotidiennement, là et ailleurs en Europe, particulièrement en Italie. Il est bien évident que l’affichage médiatique permanent, qui ne saurait se concevoir autrement dans notre monde présent, donne au phénomène, au-delà de la détresse humaine des malades et de leurs proches, une ampleur qui accapare l’esprit de chacun. Ceci dans une ambiance de mesures de confinement de la population tout à fait nécessaire, assorties de toutes les recommandations d’hygiène sanitaire qui bouleversent le rapport à l’autre.

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  • Coronavirus – L’Italie autorise et rembourse le traitement à l’hydroxychloroquine

    Italie – L’Autorité nationale de santé italienne (AIFA) a donné son feu vert à l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour les personnes atteintes du coronavirus (covid 19) et promet que des dispositions seront très prochainement prises pour permettre à chaque médecin de famille de pouvoir en prescrire.

    Cette décision de l’Autorité nationale de santé italienne a été publiée au Journal officiel et concerne les antipaludiques chloroquine et hydroxychloroquine mais aussi les antiviraux utilisés contre le SIDA lopinavir / ritonavir, danuravir / cobicistat , darunavir, ritonavir “pour le traitement, même à domicile, des patients infectés par le SRAS-CoV“.

    Les médicaments à base de chloroquine, d’hydroxychloroquine, de lopinavir / ritonavir, de danuravir / cobicistat, de darunavir, de ritonavir sont entièrement à la charge du Service national de santé pour le traitement des patients souffrant d’une infection par le SRAS-CoV2 (COVID -19), dans le respect des conditions qui lui sont indiquées “, indique la publication au Journal officiel italien.

    https://www.medias-presse.info/coronavirus-litalie-autorise-et-rembourse-le-traitement-a-lhydroxychloroquine/119397/

  • Jean-Frédéric Poisson : « L’Union européenne a prouvé qu’elle ne sert à rien en temps de crise, elle est inutile et nuisible »

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    Au micro de Boulevard Voltaire, Jean-Frédéric Poisson revient sur le rôle de l’ dans la gestion de la crise sanitaire du Covid-19. Il dénonce l’inaction flagrante de l’institution et le manque de solidarité à l’égard des pays les plus touchés.

    Il suggère également de « tirer des enseignements » de manière individuelle et collective, à l’issue de cette crise sans précédent.

    Alors que l’épidémie de Covid-19 continue de faire des ravages, cette crise sanitaire nous ferait-elle prendre conscience de la désindustrialisation de la France ?
    Est-il encore possible de faire machine arrière ?

    Il est bien sûr temps de faire machine arrière. Premièrement, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Deuxièmement, cette crise fait émerger de tels besoins industriels pour notre pays que les Français doivent être convaincus de la nécessité de restaurer notre appareil industriel.
    Troisièmement, la dépendance à l’égard d’un certain nombre de pays étrangers doit nous faire réfléchir sur notre souveraineté industrielle. C’est le cas par exemple sur la question des masques à l’égard de la Chine. C’est aussi un des enjeux de cette crise. Là encore, je pense que les éléments sont réunis pour que les Français comprennent.

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  • Suède: les migrants illégaux ont une priorité plus élevée en matière de soins que les personnes âgées indigènes

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    En vertu de nouvelles directives élaborées pour faire face à la pandémie de coronavirus, les migrants illégaux en Suède pourraient bénéficier d’une priorité plus élevée en matière de soins de santé que les personnes âgées de la population indigène du pays.

    Le Conseil national de la santé et du bien-être social a publié des lignes directrices à l’intention du personnel médical qui stipulent spécifiquement que les patients doivent être traités en fonction de leur santé – et donc de leurs chances de guérison – plutôt qu’en fonction de leur nationalité suédoise ou de leur statut juridique, rapporte le média suédois Nyheter Idag.

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  • Covid-19 : l’UE plus que jamais inexistante sauf pour pousser des cris d’orfraie

    Covid-19 : l’UE plus que jamais inexistante sauf pour pousser des cris d’orfraie

    La Hongrie a pris des mesures conformes à sa constitution dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. Au lieu de s’unir contre l’épidémie, 14 pays de l’UE et la présidente de la Commission européenne jouent les vierges effarouchées contre cette décision nationale hongroise :

    «Dans cette situation sans précédent, il est légitime que les Etats membres adoptent des mesures extraordinaires pour protéger leurs citoyens et surmonter la crise», relèvent l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Grèce, l’Irlande, le Danemark, la Finlande, la Suède, la Lettonie, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas dans une déclaration commune. «Nous sommes toutefois profondément préoccupés par le risque de violation des principes de l’Etat de droit, de la démocratie et des droits fondamentaux découlant de l’adoption de certaines mesures d’urgence», ajoutent-ils.

    Le premier ministre hongrois Viktor Orban a obtenu lundi le feu vert du Parlement pour légiférer par ordonnances dans le cadre d’un état d’urgence d’une durée indéterminée, au motif de lutter contre le nouveau coronavirus. «Les mesures d’urgence devraient être limitées à ce qui est strictement nécessaire, être proportionnées et provisoires par nature» et «faire l’objet d’un réexamen régulier», poursuivent les 14 Etats signataires de la déclaration.

    https://www.lesalonbeige.fr/covid-19-lue-plus-que-jamais-inexistante-sauf-pour-pousser-des-cries-dorfraie/

  • D. Desgouilles/JM. Salgon : Pourquoi les souverainistes perdent-ils leurs guerres ? 2/2 - Questions

  • Tuerie de Hanau : la piste d’extrême-droite écartée, les médias n’en parlent évidemment pas

    « Le 19 février 2020, un homme de 43 ans, Tobias Rathjen, ouvrait le feu dans deux bars fréquentés par des Kurdes et des Turcs dans la ville de Hanau en Allemagne.

    L’appartenance ethnique des 10 victimes avait déclenché sur le champ une vague de jugements sur le caractère raciste de l’attaque. Les journalistes mainstream surenchérissaient à qui mieux mieux sur une fantomatique menace d’extrême-droite devenue, enfin, une réalité en quelques coups de feu et diabolisaient le mouvement anti-immigration AfD.

    Las ! Les conclusions des enquêteurs allemands, que bien entendu ces mêmes médias au collier s’abstiendront de communiquer à leurs lecteurs, excluent la piste du racisme pour privilégier le motif d’une paranoïa couplée à une croyance aux théories du complot.

    Un bobard de plus à mettre au crédit de la grande presse aux ordres du politiquement correct. »

    Source MPI

    http://www.contre-info.com/

  • L’UE survivra-t-elle à la crise du coronavirus ? – Analyse d’Olivier Pichon

    L’histoire de l’union européenne est jalonnée de crises qui, à plusieurs reprises, l’ont mise en péril. Dès les années soixante avec la politique de la chaise vide sous De Gaulle. On notera au passage que la Monnaie vient d’éditer une nouvelle pièce de 10 euros… avec le portrait de de Gaulle, ironie de l’histoire ! Puis, après la crise pétrolière ce furent les dévaluations successives des monnaies, et après 2008 la crise des dettes souveraines, bref on ne compte plus les accidents dont elle s’est toujours tirée par une fuite en avant. Par exemple l’euro, dont Jacques Delors pensait qu’il allait rassembler les pays. Il lança l’union monétaire au début des années 1990 en partant de l’hypothèse qu’elle serait le fédérateur, conduisant – par le biais des crises – à une union fiscale et politique complète.

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