L’ancien ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini a fait part de sa colère contre l’UE et sa gestion de la crise actuelle sur Twitter : « Dégoût et mépris pour cette Europe. Il a fallu 15 jours pour évaluer si, qui et comment aider. Des génies. Alors que des gens meurent. Ce n’est pas une « Union », c’est un repaire de serpents et de chacals. Nous devons d’abord vaincre le virus, puis repenser l’UE. Et s’il le faut, nous disons au revoir. Sans remerciements. Mais allez vous faire f… ». Via Fdesouche
Europe et Union européenne - Page 309
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Matteo Salvini furieux contre l’Union européenne: « Ce n’est pas une « Union », c’est un repaire de serpents et de chacals. Nous devons d’abord vaincre le virus, puis repenser l’UE. Et s’il le faut, nous disons au revoir »
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En pleine crise du coronavirus : vers l’élargissement de l’Union européenne
Alors que la France et le monde sont confrontés à une crise sanitaire sans précédent qui a obligé le confinement de trois milliards de personnes et qui tue chaque jour, nos dirigeants français et européens poursuivent le chemin, jamais remis en cause, d’une mondialisation et d’un élargissement de l’Union européenne.
Peu importe à nos élites bruxelloises qui, à la manière d’une inconsistante Ursula von der Leyen (dont la mesure la plus significative pour lutter contre le Covid-19 fut une vidéo d’elle expliquant comment bien se laver les mains), continuent leur folle politique d’expansion d’une Union européenne dont les failles éclatent au grand jour à l’aune de cette crise.
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Le megakrach qui arrive nous prépare des lendemains qui déchantent
Voila trois mois, j’ai publié, sur YouTube, une vidéo intitulée « Le mégakrach aura bien lieu », et un article du même titre sur Boulevard Voltaire. Je répondais, dans cet exposé, à une interview, pour le journal Les Échos, de David Solomon, patron de Goldman Sachs, qui se voulait rassurant quant à la situation financière mondiale. Selon lui, les bases étaient très solides et seules les politiques populistes de Trump et des autres risquaient de conduire à une récession.
À travers cette interview, j’ai senti qu’il s’agissait avant tout de trouver des boucs émissaires à la catastrophe en gestation qui viendrait infailliblement, compte tenu de la situation totalement dégradée de la finance mondiale, déréglée par une spéculation débridée, encouragée par les politiques laxistes des banquiers centraux et totalement hors de contrôle des gouvernements, incapables de mettre un frein à tout cela, de réguler les activités financières. Et les populistes, abhorrés par le monde de la finance, étaient un bouc émissaire idéal.
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Marine Le Pen : « l’Union européenne, premier mort du coronavirus »
La présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, a affirmé mardi que l’Union européenne était “le premier mort du coronavirus”, en raison de “son incapacité totale à apporter la moindre solidarité” à ses membres, touchés par la pandémie, sur RT.
“L’union Européenne, premier mort du coronavirus !”, a affirmé Mme Le Pen, parce qu’elle a “démontré son incapacité totale à apporter la moindre réaction, la moindre solidarité, la moindre aide”, à ses pays membres.
“Même pire, elle a donné des instructions, qui étaient des instructions mortelles”, en conseillant “vivement aux nations européennes de ne pas limiter la circulation des personnes”, a-t-elle ajouté.
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Coronavirus et technocratie bruxelloise
On ne peut pas dire qu’AGEFI soit une officine “populiste” (filiale de “L’Opinion”, cette lettre est spécialisée dans les informations financières). L’article du Dr Youri Popowski, médecin et entrepreneur, qui a été publié hier, n’en est que plus intéressant. Intitulé “Coronavirus et réglementation européenne”, il apporte un éclairage original sur la pénurie de masques et de gel hydroalcoolique dont nous souffrons actuellement :
On ne trouve plus de masques, plus de solution hydro-alcoolique dans les pharmacies; on manque cruellement d’appareils d’assistance respiratoire dans certains hôpitaux.
Pour quelle raison? L’une des raisons est le CE marquage des produits médicaux. La communauté européenne a concocté des lois qui freinent considérablement la mise à disposition de tous les produits médicaux, en règle générale.
Bloquer ? Non, protéger la population, vous répondra-t-on dans les instances européennes. -
Entretien avec Hubert Védrine
Ancien secrétaire général de l’Élysée de François Mitterrand, Hubert Védrine ministre des Affaires étrangères de 1997 à 2002 incarne, par son pragmatisme et son réalisme, sa finesse d’analyse et sa connaissance des dossiers internationaux, une voix qui compte dans la diplomatie, et est apprécié tant à droite qu’à gauche. Lui qui déplore depuis des années l’absence de véritable « communauté internationale » et l’effacement exagéré des États nations analyse ce que la crise du coronavirus révèle d’une mondialisation qui a été essentiellement, jusqu’ici « une déréglementation financière et une localisation des productions industrielles là où les coûts salariaux étaient les plus faibles ». Pointant du doigt un mode de vie qui se traduit par « une mobilité permanente, sans limite ni entraves » et un tourisme de masse, Hubert Védrine évoque les leçons à tirer et les changements à opérer après cette crise sanitaire inédite.
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Source : Le Figaro 23/03/2020
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Etienne Chouard signal que l'Union européenne est un piège fasciste 2.0 anti démocratie
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L’effondrement d’un monde, par Charlotte d’Ornellas
Les frontières se ferment, les nations devancent l’Union européenne, la souveraineté est louée, les services publics sont encensés, la libre circulation des personnes est contestée, la famille plébiscitée… Le coronavirus impose une remise en cause.
«Hormis un conflit planétaire majeur, que nous jugeons improbable, une pandémie serait l’autre évènement de grande échelle qui, selon nous, pourrait stopper ce processus». En 2005, l’expert en politique internationale Alexandre Adler signait un livre à partir d’un rapport de la CIA. Un paragraphe intitulé « Qu’est-ce qui pourrait faire dérailler la mondialisation ? » donnait cette réponse. Nous y sommes. Quinze ans plus tard, Emmanuel Macron donne raison à la prévision alors que frappe le coronavirus : « Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie au fond, à d’autres est une folie. Nous devons en reprendre le contrôle. » Finie la mondialisation heureuse, place à l’éloge de la souveraineté et du protectionnisme ! La remise en cause est brutale.
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La date de l’explosion du Système dépendra de l’intensité de la crise sanitaire dans le monde
Marc Rousset
Les Bourses européennes ont rebondi, ce vendredi, mais le Dow Jones a perdu 4,55 %, soit 17,3 % sur la semaine, pour finir à 19.173,98 points, c’est-à-dire sa pire semaine depuis la crise financière de 2008, les milliards de Trump et de la Fed, des gouvernements européens et de la BCE ne parvenant pas à éloigner les craintes d’une récession, tandis que le prix du baril de pétrole WTI continuait de dégringoler. L’indice VIX de la peur s’est élevé, le lundi 19 mars, jusqu’à 83, pour retomber à 74,8 mardi, soit un chiffre proche de 2008.
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Le faible taux de mortalité (0,3%) du coronavirus en Allemagne s’expliquerait par le grand nombre de tests réalisés de manière précoce, selon un rapport
Un grand nombre de tests a été pratiqué de manière précoce outre-Rhin par rapport au degré d’avancement de l’épidémie.
[…] Pourquoi un taux aussi faible ? L’explication tiendrait au grand nombre de tests ainsi qu’à leur précocité par rapport au degré d’avancement de l’épidémie. Selon la Fédération allemande des médecins conventionnés, 35 000 personnes ont été testées dans la semaine du 2 mars, alors qu’aucun mort n’avait encore été répertorié outre-Rhin, et 100 000 pendant la suivante, au cours de laquelle ont été enregistrés les premiers décès. A ces chiffres s’ajoutent ceux des tests réalisés dans les hôpitaux et les cliniques, qui ne sont pas connus.
Lors de son point-presse quotidien, mercredi, le président de l’institut Robert-Koch, Lothar Wieler, a annoncé que l’Allemagne pouvait désormais dépister 160 000 personnes par semaine, soit à peu près autant que celles testées en Italie jusqu’à présent. […]