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Europe et Union européenne - Page 402

  • On sent comme un vent de panique à LREM…

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    Le Président a réagi après un rapport de l’ONU, publié ce lundi, indiquant qu’un million d’espèces animales et végétales étaient menacées d’extinction.

    Le chef de l’État a profité de l’occasion pour présenter une série de mesures qu’il envisage de prendre en faveur de la cause écologique.

    Qu’en est-il réellement ? Parmi un modeste inventaire de mesures pressenties, il cite pêle-mêle la lutte contre le gaspillage alimentaire, le recyclage du plastique, l’arrêt du glyphosate ainsi qu’un ensemble de « mesurettes » budgétaires incitatives, voire, pour certaines, contraignantes…

    Tout cela n’est, en fait, qu’un catalogue de bonnes intentions. En effet, la réalisation de ses vœux pieux ne dépend pas que de sa volonté et, dès lors, elle est sujette à caution puisque pas nécessairement à l’abri d’un atermoiement que des promesses antérieures ont déjà connu. Cette espèce d’allocution improvisée et parfaitement informelle avait l’aspect d’une séance de rattrapage destinée à remplir les blancs que sa récente conférence de presse avait laissés apparaître en matière d’écologie.

    Sur la question de la protection de l’environnement, il ne prend pourtant pas beaucoup de risques puisque la plus grande partie de l’électorat, toutes tendances confondues, connaît l’étendue des enjeux sans, pour autant, que les grandes mesures de sauvegarde ne lui paraissent évidentes.

    Alors, pourquoi s’est-il fendu de cet exercice insolite dont peu ont réellement deviné le profit qu’il pouvait en tirer, pas plus qu’ils n’ont vu la nécessité de s’y plier ? N’aurait-on pas eu droit à une petite séance de communication opportune à vocation électorale ?

    En fait, pour saisir sa motivation, il faut, sans doute, se souvenir que la première consultation à avoir lieu depuis son élection sera celle des prochaines européennes. Or, chacun sait bien que la mise sera de taille. S’il les gagne, sa légitimité redeviendra entière et sa dynamique réformatrice ne connaîtra plus d’obstacle sérieux. S’il les perd, alors la fin de partie lui sera bien longue et difficile jusqu’en 2022. D’ailleurs, le gouvernement et le Premier ministre ont été sommés de se bouger pour apporter une aide sans faille à Nathalie Loiseau, qui a du mal à prendre son envol dans la campagne qui débute officiellement le 13 mai 2019 mais qui a démarré, en réalité, depuis de longues semaines déjà.

    D’ailleurs, si, depuis des semaines, les sondages de l’Institut Louis Harris (à l’inverse d’autres instituts plus prudents) donnaient LREM assez largement en tête, il n’en va plus ainsi aujourd’hui. Toute les analyses se rejoignent, désormais, pour reconnaître que le parti macroniste et le Rassemblement national sont, au mieux, donnés au coude-à-coude et, souvent, l’avantage est donné au mouvement conduit par Jordan Bardella.

    Le Président qui cherche à détourner l’attention des électeurs par des artifices peu convaincants. Le Premier ministre Édouard Philippe qui, de Caen le 6 mai, à Strasbourg le 11 mai, va enchaîner les meetings à raison de deux par semaine. Tout cela ressemble étrangement à une fièvre qui s’empare du pouvoir et qui, si elle est assez convenue dans sa forme, paraît tout de même un peu inédite par son intensité. On sent comme un vent de panique qui secoue le vaisseau jupitérien. Cela n’est peut-être pas le meilleur moyen de rassurer l’électorat, qui pourrait légitimement s’inquiéter de cette fébrilité et du manque de sang-froid de ses gouvernants.

    Après deux années mouvementées au cours desquelles Emmanuel Macron a méprisé les Français plus que tous ses prédécesseurs, après cinq mois d’une crise que nul autre n’avait connue de manière aussi intense et longue, après trois mois d’un débat au cours duquel il s’est octroyé sans répartition le contenu et dont il a tenu les commandes sans aucun partage, ce Président sera bientôt à la croisée des chemins, à l’heure de vérité, et cela le rend nerveux.

    Jean-Jacques Fifre

    https://www.bvoltaire.fr/on-sent-comme-un-vent-de-panique-a-lrem/

  • L’Algérie aux Algériens. L’Afrique aux Africains. Européen maître chez toi !

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    Pieter Kerstens

    Les printemps arabes sont derrière nous et les « Révolutions » ont fané le jasmin pour aboutir à des guerres civiles en Lybie et en Syrie, orchestrées par des coalitions ayant des visées nauséabondes.

    En Algérie, l’armée a sorti la clique du dictateur Bouteflika et il semblerait que les manifestations populaires successives aboutissent à un nettoyage anticorruption. Des milliardaires comme les frères Kouninef et Issad Rebrab, ainsi que l’ex-premier ministre Ouyahia et l’actuel ministre des Finances Mohamed Loukal devraient rendre des comptes devant la Justice. Depuis 57 ans, l’Algérie était dominée par un parti unique, le FLN (Front de Libération Nationale), qui s’est accaparé tous les leviers du Pouvoir en instaurant un réel régime totalitaire et menant le pays à la ruine alors même qu’il dispose de richesses innombrables qui lui assurait une totale auto-suffisance alimentaire il y a plusieurs décennies. Possédant des ressources pétrolières, gazières, agricoles et industrielles importantes, capables d’assurer un niveau de vie acceptable pour ses 45 millions d’habitants, force est de constater que ses caisses sont vides, que le chômage touche la moitié des 15 à 25 ans et que les colons Français ont été remplacés par des travailleurs chinois qui s’emparent des marchés publics à vil prix.

    Quand Emmanuel Macron déclare que « la colonisation a été un crime contre l’humanité » et que quelques mois plus tard il rend hommage à Maurice Audin membre du Parti Communiste Algérien, il oublie de préciser que ce militant communiste avait choisi le camp des ennemis de la France. Parce que depuis le 7 janvier 1957, les militaires agissaient en toute liberté car ils étaient investis des pouvoirs de police que leur avait donné le gouvernement socialiste avec le soutien des communistes, pour mener la bataille d’Alger contre le FLN. Notre devoir de mémoire nous impose ce rappel : François Mitterrand, ministre de l’Intérieur avait aussi déclaré « l’Algérie c’est la France ! ».

    PLUS UN EURO POUR L’AFRIQUE. L’ARGENT POUR NOS HOPITAUX D’ABORD !

    De tous côtés on entend des propositions aussi variées que saugrenues pour arrêter l’immigration-invasion qui déferle sur l’Europe depuis trop longtemps et avec la complicité des eurocrates de Bruxelles. Ces euro-mondialistes sont évidemment soutenus par les instances de l’ONU, qui en 2000 avaient pondu un rapport signé par un certain Joseph Chamie, rapport qui conseillait aux gouvernements européens d’accueillir 165 millions d’immigrés extra-européens à l’horizon 2025, seule façon de palier au vieillissement des populations et de pouvoir payer les retraites futures.

     

    Les médias et les partis traditionnels nous inondent d’informations catastrophiques et exploitent la sensibilité et l’émotivité des peuples en ce qui concerne le changement climatique, la culpabilité de l’homme blanc dans les émissions de CO2, l’obligation morale de recevoir tous les immigrés victimes de luttes tribales, de guerres civiles, de famines ou de la montée des eaux, chez nous en Europe à des milliers de kilomètres de leurs maisons.

    Par ailleurs, personne ne parle des dons, des subventions, des aides diverses, des prêts ou des collectes accordés aux pays d’Afrique depuis leur indépendance.

    Cela se chiffre en milliers de milliards de dollars ! Souvent des capitaux privés, mais en majorité surtout grâce à l’argent de nos impôts. Soyons clairs : quand les budgets des Etats européens sont bénéficiaires et que leurs dettes publiques sont soutenables, pourquoi ne pas aider les misérables dans un élan de générosité ?

    Mais on assiste depuis 60 ans à une comédie grotesque qui nous montre que si l’on accorde des aides aux pays sous-développés, ceux-ci ne combattent ni les famines, ni les maladies, ne développent pas leurs systèmes éducatifs ni leurs réseaux de communications. Les occidentaux espèrent s’acheter une « bonne conscience » et la paix dans le monde, en payant des régimes corrompus et des potentats locaux qui s’empressent de virer les capitaux sur des comptes bancaires dans les paradis fiscaux ou en achetant des châteaux ou des propriétés de prestiges dans les lieux huppés de la planète, ou bien en se constituant une « cour » d’obligés.

    Alors, STOP ! Comme on assiste à la décadence, au déclin et à la décomposition de notre société à cause d’un monde métissé, recomposé, divers, hybride et multiculturel qu’on nous impose, il est maintenant urgent de réfléchir et d’agir. OUI, ce gaspillage a trop duré et ces mannes financières déversées sur le continent africain depuis des décennies n’ont servi à rien (à quelques exceptions près) si ce n’est à constater que la démographie et les populations les plus nécessiteuses ont été multipliées par 5 alors que, bien au contraire, les dirigeants

    africains devaient imposer un strict contrôle des naissances. Les défenseurs de la Planète accusent l’homme blanc de gaspillages et de consommations qui mettraient les écosystèmes en danger. Jamais un mot à propos des dérives en Asie, en Afrique, en Amérique du Sud ou dans les pays arabes. Pourquoi ? Ils ne polluent pas ? Ils ne détruisent pas les forêts ni les mers ? Ils seraient, eux, parfaitement respectueux de la Nature ?

    J’ai eu la chance de parcourir une trentaine de pays de par les continents et souvent plusieurs semaines dans chacun d’entre eux ; par curiosité, pour m’instruire, pour y travailler en créant des sociétés et surtout pour essayer de comprendre leur comportement autrement qu’au travers des livres. Hors des sentiers battus et parfois dans des conditions critiques, j’ai pu constater que le réel sur place est souvent très différent de ce que les médias et le monde des pourriticards nous racontent à longueur de temps.

    EUROPE, LIBERE-TOI !

    Les plus gros pollueurs sont les Asiatiques, les Américains et bientôt les Africains. Depuis 40 ans, j’ai vu les vélos disparaître dans les grandes cités d’Asie, cycles remplacés par les mobylettes et les motos et maintenant encombrées par une multitude de voitures et de camions. Idem en Afrique. Et qui parmi les écolos ira là-bas prêcher pour qu’ils arrêtent cette course à un meilleur niveau de vie. Quel Khmer vert ira-t-il en Inde pour stopper la construction de centrales thermiques polluantes ? Quel troll scandinave brandirait-elle son panneau de grève scolaire du vendredi pour interdire la déforestation en Malaisie ? Qui, parmi les humanistes socialaud-écologistes, irait à Lagos ou à Kinshasa pour prôner l’arrêt de l’utilisation des sacs en plastique ou d’un second smartphone ?

    Au Sénégal, en Tanzanie ou en Afrique du Sud, j’ai pu voir la destruction des infrastructures laissées par les Français, les Anglais et les Boers. J’ai constaté que les nouveaux dirigeants imposaient à leurs peuples (souvent constitués de multiples tribus) le rejet des héritages culturels, industriels, administratifs et économiques dans la gestion de leur quotidien, au prétexte d’anticolonialisme et au nom de doctrines absurdes.

    Au Viêt-Nam -surtout au Tonkin- toute trace ou inscription quelconque de la présence de la France a été éradiquée et martelée, même le nom des rues. Seuls subsistent les poteaux en béton d’EDF et les vieilles locomotives diesel qui circulent cahin-caha sur des voies ferrées vétustes ; le réseau routier est lamentable. Mais la soif d’exister fait que ce pays est devenu un exportateur important de chaussures et de produits de la pêche, d’abord vers la France. Et surtout : « Ho Chu Tich muon nam ! » 1.000 ans de vie au Président HO !

    Nous n’avons pas besoin de ces donneurs de leçons, charlatans au service du Nouvel Ordre Mondial qui feraient bien mieux de balayer devant leur porte.

    La France et l’Europe disposent des capacités et des ressources indispensables à leur développement et au bien-être de leurs peuples ; mais réfléchissons quand même sur ces faits incontestables :

    *Entre 1850 et 2016, la forêt en France a progressé de 7 millions à 15 millions d’hectares.

    *Chaque année, partout dans l’Hexagone, la forêt augmente de 40 à 50.000 hectares

    *Depuis 2013, 1,5 million d’habitants ont quitté les villes pour aller à la campagne, favorisant les circuits courts

    *En France, un produit parcourt 1.500 kms avant d’atterrir dans une assiette.

    *90.000 camions convergent tous les jours vers Paris pour assurer l’alimentation de ses habitants

    *Tous les jours, 20% des automobilistes mettent plus d’une heure pour se rendre à leur travail

    *La production électrique en France vient à 75% du nucléaire, avec 16 sites et 59 réacteurs.

    *Entre 1970 et 2010, 350 stations de sports d’hiver ont dénaturé les Alpes, les Pyrénées, les Vosges et le Centre

    *Tous les ans on dénombre 1.400 festivals musicaux en France, sources de pollutions diverses

    *Pour assouvir la consommation des Européens, 90% du trafic des marchandises se passe sur mer avec des cargos de 20.000 conteneurs, qui polluent, chacun, autant que 1 million de voitures pendant 1 an.

    Il est évident par ailleurs que les intérêts des pays d’Europe ne sont pas tous identiques et qu’il est arrogant de croire que l’Homme va sauver la Planète alors que la Nature et le Soleil se rient de nos gesticulations.

    C’est pourquoi, le 26 mai, chaque Européen devra donc exprimer son choix en fonction de ses convictions.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/05/08/l-algerie-aux-algeriens-l-afrique-aux-africains-europeen-mai-6149510.html#more

  • Portrait de Nicolas Bay, candidat sur la liste RN aux élections européennes

  • Européennes : Nathalie Loiseau se croit au débarquement de Normandie !

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    Pour Nathalie Loiseau, plus qu’une campagne européenne, ce sont les grandes manœuvres. Car il y a urgence, ses troupes ayant comme une vilaine tendance à s’embourber sur le terrain, à cause de cette mauvaise météo sondagière qui donnerait les divisions lepénistes bien parties pour déborder ses positions. Après la drôle de guerre de sinistre mémoire, il convient donc de passer à celle de mouvement.

    Voilà pourquoi le généralissime Emmanuel Macron, terré dans son bunker élyséen, commence à sonner le rappel des troupes, les vétérans ayant aussi vocation à répondre à la mobilisation générale. Vendredi prochain, c’est donc Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, qui tentera une percée à travers les lignes ennemies, à Rennes, lors d’un meeting en forme de briefing, histoire de redonner le moral aux jeunes recrues.

    Le Premier ministre a déjà donné à la fois l’exemple, ce lundi dernier, lors d’une précédente réunion, tenue à Caen. Le ton était de circonstance : martial. Et Édouard Philippe de citer l’adjudant qui fit de lui un homme, un vrai, lors de son service militaire : « Sous le feu électoral », on « reste calme et on boit frais ». C’est beau comme du Max Pécas qui, à défaut d’avoir été officier supérieur, fut néanmoins cinéaste ayant donné ses lettres de noblesse au genre fresque guerrière sur grand écran avec Embraye bidasse, ça fume ; sans oublier son œuvre maîtresse, même si réalisée dans un cadre plus civil : On se calme et on boit frais à Saint-Tropez.

    Nathalie Loiseau a, évidemment, reçu la consigne cinq sur cinq, même si son paquetage programmatique semble être, pour le moment, resté bloqué dans les lignes arrière. Peu importe, l’intendance suivra, l’ancien ministre des Affaires européennes ayant affirmé : “Keep Calm and Carry On”, comme on assurait jadis sur les ondes de la BBC, durant le Blitz.

    Profitant du voisinage des plages du Débarquement, Nathalie Loisau a donc assuré mâlement, si l’on peut dire en ces temps « metooesques » : « Le nationalisme, c’est la guerre ! » François Mitterrand n’aurait pas mieux dit ; d’ailleurs, il l’a dit. C’est beau. Pour mieux galvaniser la troupe à l’approche de l’assaut final, elle a même ajouté : « Nous sommes à Caen et ça ressemble un peu à un débarquement allié. […] Dans vingt jours, ce sera notre D-Day. » Là, on objectera à celle qui revendique sa jeunesse gaulliste qu’en 1964, le Général refusait de participer au vingtième anniversaire du débarquement en question, trop américano-centré à son goût. Mais notre walkyrie ne peut pas, non plus, tout savoir ; logique, elle débarque un peu, en politique.

    À quelques semaines de l’offensive, son dispositif stratégique semble prêt, surtout depuis la signature, avec Marlène Schiappa, d’un pacte audacieux (nom de code « Simone Veil ») dont l’objectif stratégique consistera à mener une « politique féministe européenne ». Les hordes du Mordor en tremblent à l’avance. Pourtant, on le sait depuis au moins Sun Tzu, il faut toujours se défier des ennemis de l’intérieur. Le conflit civilisationnel mené par Nathalie Loiseau ne fait pas exception à la règle, tel qu’en témoigne cette cinquième colonne de longue date infiltrée dans les rangs progressistes et dont le chef occulte n’est autre que le ténébreux Benoît Hamon. Lequel n’en finit pas de sournoisement démoraliser les populations en souffrance, assurant que « la campagne de Nathalie Loiseau est nulle », ce qui est tout de même très exagéré.

    En des temps plus anciens, on en a fusillé pour moins que ça.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/europeennes-nathalie-loiseau-se-croit-au-debarquement-de-normandie/

  • Une explosion démographique d’un demi-milliard de musulmans risque de balayer notre civilisation

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    Une explosion démographique d’un demi-milliard de personnes dans le monde arabe menace de balayer la culture européenne, et il ressort clairement des données démographiques officielles des Nations Unies que dans quelques décennies, des masses incroyables émigreront du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, a déclaré dans l’émission Polbeat de la chaîne PestiSrácok.hu l’orientaliste Tamás Dezső, ancien doyen de l’Université Eötvös de Budapest et membre de l’Institut hongrois de recherche sur la migration (MKI).

    « Je ne vois pas quel est le projet de l’Occident pour résoudre ce problème », a-t-il déclaré en réponse aux questions d’István Stefka et Gergely Huth.
    « Pourtant il y aurait une solution », a-t-il ajouté. 
    Par exemple, selon une étude, il faudrait 88,2 milliards de dollars pour reconstruire l’Irak. 
    Or c’est à peu près le montant que l’Allemagne a dépensé en quatre ans pour soutenir les migrants.
    De telles explosions démographiques, dans l’histoire, ont toujours conduit à des conflits violents, c’est pourquoi il est très important que la Hongrie accroisse encore son budget défense.
    Cependant, en tant que scientifique, Tamás Dezső plaide pour une solution pacifique, à savoir le développement des régions touchées par le Printemps arabe.
    « En Irak, où je travaille sur une fouille archéologique, tous les jeunes qui nous aident sont sans emploi. 
    Il est compréhensible qu’ils s’en aillent, mais l’Europe n’est pas assez riche pour sauver tous les pauvres du monde.
    Ce qui est totalement incompréhensible, c’est que l’extrême gauche occidentale soutienne l’afflux musulman, alors que l’idéologie représentée par les imams radicaux est diamétralement opposée à la leur. »
    D’après un sondage bien connu, 44% des musulmans britanniques étaient favorables à l’État islamique, chiffre qui était de 27% après l’attentatdu Bataclan.
    En Occident, une bataille sérieuse se joue autour des immigrés musulmans et les partis de l’intégration perdent du terrain contre les imams extrémistes.
    Résumé (du texte écrit) : Cenator
    Pour information :

    Source du tableau : D. Tamás, Démographie et migration (en hongrois), MKI, 5.11.2018 : p. 5.
    Légende : Fig. 1. Tendances démographiques de pays sélectionnés du monde musulman.
    Colonne 1 : p. ex. Törökország = Turquie, Magyarország = Hongrie.
    Colonnes centrales : accroissement.
    A droite : âge moyen et taux de fécondité.
    Commentaire : Que peut faire par exemple un jeune Afghan de 17 ans, analphabète, sans formation, peut-être déjà père ? 
    Comme le relève T. Dezső dans l’interview, il n’a guère d’autre choix que la guerre ou l’émigration, ou peut-être les deux. 
    lesobservateurs.ch

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/une-explosion-demographique-dun-demi.html#more

  • Sonia Mabrouk : Qu’y a-t-il de plus essentiel pour un pays que la souveraineté et l’enracinement ?

    Sonia Mabrouk : Qu’y a-t-il de plus essentiel pour un pays que la souveraineté et l’enracinement ?

    Sonia Mabrouk, journaliste franco-tunisienne, anime depuis 2017, quotidiennement, sur CNews, Les Voix de l’info, émission dans laquelle elle invite régulièrement Gabrielle Cluzel (Boulevard Voltaire), Alexandre del Valle et L’Incorrect. Elle a été interrogée dans le numéro de mai de ce mensuel, dont elle fait la Une. Extraits :

  • ENVIE D'EUROPE ?

    Deux mots et un constat suffisent à vérifier la futilité et l'inconsistance de la démocratie française : 33 listes ont été enregistrées pour les élections européennes du 26 de ce mois.  

    Cependant, les sondages s'accordent à annoncer une participation de 40%. À supposer que ces 40% de votants se répartissent à parts égales sur les 33 listes, cela fait 1,21 voix, si l'on peut dire, par tête de pipe. Ce n'est pas grand-chose. 

    Certes, ce n'est pas ainsi que les choses se passeront. Il y aura ceux qui auront 20 ou 25% des 40% de votants, ceux qui en auront 13 ou 15, 8 ou 9, etc. Les autres ramasseront les miettes sous la table de ce festin électoral du pauvre. Voire du très pauvre. Car même ceux qui auront les plus hauts scores, n'auront pas grand-chose non plus. Ceux-là crieront victoire. Et les médias retiendront leurs chants, au fond ridicules. L'opinion s'y laissera prendre plus ou moins. Elle oubliera qu'elle n'a pas voté ou bien peu. Et cette comédie s'achèvera avec un semblant de vainqueur et de vaincu.  

    Quelle est la légitimité de ce psychodrame ? Des élus qu'il engendrera ? Elle est nulle. Et les Français le sentent bien, qui ne s'y intéressent guère. 

    Nous ne disons pas qu'il faut s'en désintéresser. Nous dirons même qu'il serait bon que la politique européenne d'Emmanuel Macron soit sanctionnée comme elle le mérite, pour son irréalisme obstinément contraire aux intérêts vrais de la France et de l'Europe.   

    Il n'empêche : selon toute apparence, cette campagne pour l'élection du parlement européen n'est pas plus sérieuse que ce parlement lui-même. Jean-Claude Junker lui-même, un jour de sainte colère, l'avait jeté à la figure des parlementaires abasourdis : « je vous le dis, nous sommes ridicules ». 

    Tant mieux si les partisans d'une Europe des nations et des États y entrent en force. Nous voterons en ce sens. Mais la fracturation de l'Europe de Bruxelles, accélérée par le Brexit, tient à des facteurs objectifs autrement déterminants que les parlotes d'une quelconque assemblée. Le divorce aggravé du couple franco-allemand, la crise financière à venir dont tout le monde pressent l'imminence et sans-doute la gravité, la montée des populismes identitaires qu'ils exercent déjà le pouvoir ou qu'ils ambitionnent de l'exercer avec de bonnes raisons de l'espérer, sont par contre des facteurs objectifs de nature, ceux-là, à opérer la salutaire dislocation des institutions de Bruxelles. Elles ont failli. Elles sont déjà sur la défensive.   

    Alors, comme nous ne sommes pas du tout des ennemis de l'Europe, il faut souhaiter que nous serons capables de la reconstruire sur des bases nouvelles et saines. Une Europe des peuples, des nations et des États, redevenus souverains mais désireux de s'entendre. Pour une Europe grande de nouveau, car elle l'a été bien avant que Jean Monnet. Robert Schuman et consorts eussent existé. Et leurs émules ont échoué. Europe Great again ? Va pour great again ! Moscovici et Barnier comprendront mieux. C'est triste à dire. ■  Gérard POL - lafautearousseau

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    Le pauvre homme est crédité de 4,50% des voix ...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Un entretien avec Vincent Vauclin, tête de liste de la Reconquête présentée par La Dissidence française, sur le site "Nous sommes partout"

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    Source cliquez ici

    La Liste de la Reconquête (cliquez ici) est officiellement validée dans la course aux Européennes. Quelle est votre réaction et celle de vos militants ?

    Vincent Vauclin : Quel que soit le score que nous ferons, c’est déjà une grande victoire. La Dissidence Française a opéré sa transformation en parti politique il y a un moins d’un an : réussir à bâtir et à déposer une liste complète, respectant la parité, dans les délais qui nous étaient imposés relève du tour de force pour une organisation comme la nôtre. Mieux : pour la première fois, c’est une liste 100% nationaliste qui sera proposée au suffrage des électeurs, sur l’ensemble du territoire national. Une liste d’union, puisqu’elle rassemble des cadres et militants de la DF, mais aussi des militants issus de plusieurs autres organisations ainsi que des élus locaux. C’est donc une occasion historique pour brusquer le politiquement correct, démasquer les imposteurs de droite comme de gauche, et imposer nos thématiques dans le débat public.
     
    Nous imaginons que vous ne pourrez pas livrer des bulletins de vote dans tous les bureaux de France; comment les personnes souhaitant voter pour vous pourront-elles agir ?
     
    En effet, compte-tenu du budget que nous souhaitons consacrer à ces élections, vous ne trouverez probablement pas le bulletin de vote de la Liste de la Reconquête dans votre bureau de vote habituel. Mais pas de panique : vous pourrez télécharger et imprimer notre bulletin depuis chez vous pour voter pour notre liste, et ce vote sera effectivement comptabilisé dans les suffrages exprimés.
     
    Autre cas de figure : certaines communes sont dotées de machines à voter électroniques, c’est le cas d’une grande ville comme Le Havre par exemple. Dans ce cas, tous les électeurs de la commune pourront normalement voter pour la Liste de la Reconquête.
     
    Suite à votre épreuve chez Hanouna (cliquez ici), avez-vous eu des retours positifs voire des adhésions ?
     
    Oui cette émission nous a permis d’accroître la notoriété de la Dissidence Française en touchant près de 400 000 téléspectateurs, dont certains nous ont rapidement contactés pour nous rejoindre ou exprimer leur soutien. Cet engouement témoigne de la recomposition du paysage politique français et de l’ouverture d’un espace électoral laissé vacant par le RN : de plus en plus de Français, notamment ceux des nouvelles générations, sont en attente d’une offre politique nouvelle qui assume une certaine radicalité et qui ne passe pas son temps à capituler devant la bien-pensance médiatique.
     
    Finalement, dans la bataille des Européennes ce qui compte le plus ce n’est pas tant le résultat mais le fait que notre famille de pensée puisse se faire entendre ?

    Si nous participons aux élections, nous y allons pour gagner et faire le score le plus haut possible. Mais au-delà de cette considération, notre objectif est d’abord et avant tout de faire émerger durablement un pôle de droite alternative, capable de défier la pensée unique et de formuler des propositions que personne d’autre que nous n’aurait le courage d’assumer : par exemple la remigration. Et pour cela, nous n’avons d’autre choix que de participer à un maximum de scrutins électoraux, car il faut bien admettre que les formes habituelles de militantisme ont aujourd’hui une portée politique très relative, d’une part à cause de la répression croissante du Système qui se saisit de la moindre occasion pour prononcer interdictions et dissolutions, et d’autre part à cause de la censure que nous subissons de plus en plus sur les réseaux sociaux, et sur internet de manière générale.
     
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    Lire aussi sur le site de France Inter (avec au passage une belle pub pour l'émission Synthèse sur Radio Libertés) cliquez là
  • Européennes : rares sont les listes qui, passant la barre des 5 %, pourront avoir des élus

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    Des 33 listes au départ, on ne sait pas encore si toutes seront présentes dans les bureaux de vote, le 26 mai, mais il est assuré que toutes n’atteindront pas la barre des 5 %, au-dessous de laquelle on ne peut avoir d’élus. Ce n’est pas grave pour les toutes petites listes qui profitent de l’élection européenne pour se faire un peu de publicité, l’espace d’une campagne. C’est plus important pour les partis et mouvements qui participent régulièrement au débat politique car leur score, malgré l’abstention prévisible, illustrera leur influence dans le corps électoral. Parmi eux, le PS et Debout la France pourraient bien n’avoir aucun élu.

    Les sondages, à trois semaines du scrutin, ne sont qu’indicatifs mais ils donnent une idée de l’ordre d’arrivée. En tête du peloton, le Rassemblement national et l’alliance LREM-MoDem-Agir-MRSL. Ils se talonnent, mais leur avance est telle sur leurs concurrents qu’ils ne seront jamais rattrapés. Viennent, ensuite, Les Républicains, qui doivent une fière chandelle à François-Xavier Bellamy, La France insoumise, Europe Écologie Les Verts : ils sont assurés d’avoir quelques élus. Mais le PS-Place publique, malgré le soutien de Christiane Taubira, Génération-s, Debout la France, sont actuellement en dessous des 5 % et risquent fort de revenir bredouilles de cette élection. Ne parlons pas des Patriotes de Florian Philippot ni du Parti communiste !

    À gauche, les voix se dispersent, le PS poursuit sa chute, apparemment irréversible : de 8 eurodéputés sortants – ce qui n’était, déjà, pas beaucoup pour un parti alors majoritaire –, il pourrait passer à 0 ! Il faut dire qu’il ne s’est pas remis de sa défaite cuisante aux présidentielles et que le mandat de François Hollande n’a pas contribué à le promouvoir. Sans compter tous les élus qui ont soutenu ou rejoint Macron et ne jurent, maintenant, que par lui – en attendant de s’en séparer, pour ne pas couler avec lui, au cas où son naufrage se confirmerait. Ce n’est pas la première fois que le PS tombe si bas : il n’avait pas fière allure avant que Mitterrand ne le redressât. Mais on ne voit, à l’horizon, aucune personnalité capable de reconstruire l’unité de la gauche.

    Du côté des souverainistes et des eurosceptiques, Florian Philippot ne décolle pas, malgré la couverture médiatique dont il dispose encore, héritée de l’époque où il était vice-président du FN : sans doute les Français n’apprécient-ils pas ceux qui crachent dans la soupe après s’en être longuement nourri. Quant à Nicolas Dupont-Aignan, qui a préféré faire cavalier seul, il n’est pas certain d’avoir des élus et aura tout le loisir, après le 26 mai, de s’interroger sur la pertinence de sa stratégie. S’il s’était allié avec Marine Le Pen, comme au second tour des présidentielles, au prix de quelques concessions réciproques, le problème ne se poserait pas de savoir qui, du RN ou de LREM, passerait en vainqueur la ligne d’arrivée.

    Finalement, qu’on le regrette ou non, l’intérêt de cette élection se résume au duel entre Macron et Marine Le Pen, respectivement représentés par Nathalie Loiseau et Jordan Bardella. Les médias sont obligés de reconnaître que le second est plus dynamique que la première. Nathalie Loiseau, si elle fait figure d’élève studieuse de l’Europe, ne brille ni par son talent oratoire, ni par l’attractivité du projet qu’elle est chargée de défendre. Le réduire à une opposition entre « progressistes » et « nationalistes », entre gentils et méchants, est trop simpliste et caricatural pour convaincre. Si sa liste arrivait en second, ce serait la juste conséquence de l’ambiguïté des options de notre Président et de son impopularité.

    https://www.bvoltaire.fr/europeennes-rares-sont-les-listes-qui-passant-la-barre-des-5-pourront-avoir-des-elus/

  • La Russie reprend la main en Ukraine

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    par Jean-Paul Baquiast

    Ex: http://www.europesolidaire.eu

    Vladimir Poutine paraît avoir compris qu'il ne fallait pas attendre du nouveau président ukrainien Volodymir Zelinsky, dit jeune et inexpérimenté qu'il fasse le moindre effort pour redonner à l'Ukraine des relations normales avec la Russie.

    Par ce terme de relations normales, nous entendons celles que par exemple les Etats de l'Union européenne, à qui l'on ne peut reprocher un excès de poutinophilie, entretiennent avec Moscou. Pour rétablir des relations normales avec l'Ukraine, la Russie doit persuader tous ceux qui dans ce pays rêvent encore d'y multiplier des provocations anti-russes, éventuellement militaires, qu'elle ne les laissera plus désormais faire.

    Sans menacer Kiev de réactions de l'armée russe dont les conséquences pourraient être nuisibles aux stratégies géopolitiques internationales de la Russie, elle vient d'annoncer une mesure qui rendra pratiquement impossibles les interventions ukrainiennes hostiles dans les républiques auto-proclamées peuplées de russophones de Donetsk et de Lugansk.

    Etant donné que l'Ukraine a bloqué ces régions, qu'elle n'a pas fourni de services administratifs à leurs populations, qu'elle n'a pas payé les pensions ou les allocations qui leur sont dues et qu'elle n'a pas permis à ses citoyens qui y vivent de voter aux élections ukrainiennes, la Russie a maintenant autorisé les résidents de ces régions à demander la citoyenneté russe, ouvrant des bureaux régionaux pour étudier et satisfaire le cas échéant celles-ci.

    Jusqu'à présent l'armée ukrainienne avait pu bombarder en toute impunité, en y faisant de milliers de victimes, les districts de Donetsk et de Lugansk en prétendant qu'elle y réprimait les rébellions sécessionniste de citoyens ukrainiens. Désormais, elle ne pourra plus le faire car ce seront des citoyens russes qu'elle bombardera. Dans ce cas, Vladimir Poutine serait légitime, conformément au droit international, s'il intervenait militairement.

    Alors l'Ukraine, malgré sa relative puissance militaire, subira le même sort que la Géorgie lorsque en 2008 ses militaires ont bombardé l'Ossétie du Sud, un territoire empli de détenteurs de passeports russes. Au cours de cette courte guerre la capacité militaire de la Géorgie a été neutralisée en moins d'une semaine, et le reste du monde en a pris acte.

    Moscou pourra prendre bien d'autres mesures pour réduire les capacités économiques et diplomatiques de l'Ukraine, si celle-ci sous la présidence de Volodymir Zelinsky ne revient pas à la raison. Nous en ferons une listé éventuellement. Tout laisse croire que Zelinsky en tiendra compte pour établir les relations normales avec la Russie auxquelles nous faisions allusion. Washington devra s'y résigner.

    Lire une excellente analyse de la française Christelle Néant, excellent connaisseuse de la région

    https://www.agoravox.fr/actualites/international/article/politologue-toute-la-puissance-de-214739
    http://euro-synergies.hautetfort.com/