Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 401

  • Viktor Orbán : « Nous ne devons jamais accepter l’échange de population »

    dszzs20180406014-800x455.jpg

    Lors d’un récent discours, le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orbán a attaqué l’idée que la migration de remplacement ne doit pas être utilisée pour résoudre les problèmes démographiques auquel de nombreux pays occidentaux sont confrontés.

    Le discours d’Orbán a été prononcé au 3e Sommet démographique de Budapest, qui a eu lieu les 5 et 6 septembre dernier. Pendant le discours, Viktor Orbán a souligné que le problème le plus important auquel fait face actuellement l’ Europe est son déclin démographique, selon le média online hongrois 888.

    « Pourquoi est-ce le cas? Certainement pas à cause d’une maladie de la civilisation chrétienne – après tout, le nombre de chrétiens augmente dans le monde entier. C’est une maladie de l’Europe en général » , a déclaré Orbán.

    Pour le premier ministre hongrois, l’immigration ne doit jamais être considérée comme une solution aux problèmes démographiques.

    « Nous ne devons jamais accepter l’échange de population », a déclaré Orbán.

    Orbán a également noté que son gouvernement travaille actuellement à une forte politique qui accorde la priorité à la famille et à leur inciter d’avoir plus d’enfants.

    Sans les familles et les enfants, la communauté nationale disparaîtra, a-t-il expliqué, « et si une nation disparaît, quelque chose d’irremplaçable disparaîtra du monde », rapporte le journal Hungary Today .

    « Nous ne gagnerons que si nous pouvons construire un système où ceux qui portent des enfants vivent beaucoup mieux que s’ils n’avaient pas fondé de famille », a poursuivi Orbán.

    C’est la façon dont le gouvernement hongrois poursuit sa politique familiale.

    « Nous ne gagnerons que si nous pouvons construire un système où ceux qui portent des enfants vivent beaucoup mieux que s’ils n’avaient pas fondé de famille », a poursuivi Orbán.

    C’est la façon dont le gouvernement hongrois poursuit sa politique familiale.

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/17/viktor-orban-nous-ne-devons-jamais-accepter-lechange-de-population/

  • Récession, budget, BCE : changer de logiciel !

    461px-p1000553_paris_i_rue_croix_des_petits-champs_banque_de_france_reductwk-461x475.jpg

    Tous les experts financiers et économiques s’en inquiètent et affirment en chœur que la période des taux négatifs ne peut durer, ils en dénoncent les effets pervers : le coût – 7 milliards par an pour les banques – n’est pas négligeable, les États empruntant à des taux négatifs ne sont pas enclins à faire des réformes de structure, l’assurance-vie des épargnants est en difficulté, la spéculation immobilière s’accélère.

    De plus, dans le même temps, la croissance économique stagne et il existe des craintes de récession, surtout en Allemagne, dont l’économie fondée sur les exportations est menacée en raison des tensions sino-américaines.

    Face à cette situation, le gouverneur de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, décide de reprendre une politique de rachat d’actifs pour stimuler l’économie : il vient d’annoncer la reprise de l’assouplissement quantitatif que la BCE avait arrêtée, fin 2018, après avoir injecté 2.600 milliards d’euros dans l’économie sans vraiment réussir à relancer la croissance.

    Ce sont surtout les banques et, indirectement, la dette des États qui en ont profité !

    Cette fois, Mario Draghi annonce qu’il va injecter à nouveau 20 milliards par mois et « aussi longtemps que nécessaire », ajoute-t-il.

    Mais il ajoute surtout que, pour relancer l’économie, c’est aux États d’agir par la relance budgétaire. Il vise plus particulièrement l’Allemagne, qui a de très importantes marges de surplus budgétaires, ce qui est une faute par rapport au traité de Maastricht, mais Berlin ne veut rien entendre et campe sur son magot…

    Quant à la France, elle est en déficit, elle n’a aucune marge budgétaire. Ainsi, lorsque le ministre de la Santé promet 750 millions d’euros aux urgences hospitalières sur trois ans, ce n’est pas 750 millions de crédits nouveaux mais des réaffectations dans le budget de la santé. Sans commentaire !

    C’est à ce stade que l’on doit sortir des carcans idéologiques pour changer de logiciel budgétaire et financier.

    Il convient de rappeler que l’article 123 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne – repris du traité de Maastricht – interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États d’accorder des découverts aux institutions de l’Union et aux États membres.

    Le système des avances bien connu sous la IVe République et au début de la Ve est révolu ; depuis lors, les États sont soumis au diktat des marchés, ils sont ramenés à des emprunteurs privés et ordinaires.

    Cette règle a été dictée par l’Allemagne, qui vit dans la phobie de l’inflation, car il est vrai que les avances ont suscité de l’inflation mais, en revanche, elles ont permis de relancer l’économie réelle et d’assurer le redressement.

    Rappelons que les avances, jeu d’écritures à la Banque centrale, ne sont jamais remboursées, c’est de la création monétaire, crime de lèse-majesté budgétaire pour certains, nécessité pour les autres !

    Cette règle n’est plus pertinente aujourd’hui, elle doit être dénoncée, même si les Allemands ne veulent pas l’entendre, car contraire au traité et surtout à leur idéologie financière.

    Relevons au passage que l’assouplissement quantitatif est aussi contraire à la lettre, sinon à l’esprit, du traité et, cependant, Mario Draghi l’a fait. La réalité est que l’on ne gouverne pas l’économie avec des traités rigides, il y faut du pragmatisme loin des idéologies.

    En l’occurrence, il faut rétablir les avances à taux zéro des banques centrales aux États pour l’investissement : la France a un besoin important d’investissements dans les infrastructures, la recherche, les équipements militaires, l’intelligence artificielle, l’université…

    C’est en rétablissant ce lien direct que l’économie réelle repartira car l’assouplissement quantitatif profite aux banques et à la dette des États mais les banques hésitent à prêter aux entreprises car elles sont par nature très prudentes. Malgré une légère reprise, les investissements stagnent.

    En revanche, grâce aux avances de la Banque centrale au Trésor, l’État lancera des plans de relance industrielle, à charge pour lui de rétablir un ministre de l’Industrie et de la Prévision, qui fait cruellement défaut aujourd’hui !

    C’est le seul moyen pour relancer la croissance sans accroître la dette de l’État !

    Jacques Myard

    https://www.bvoltaire.fr/recession-budget-bce-changer-de-logiciel/

  • Populisme : C’est une vague ? Non, Sire, c’est un raz-de-marée !, par Jean-David Cattin

    salvinipontida-1080x675.png

    Ceux qui ont trop pris l’habitude du pouvoir sont convaincus que le populisme n’est qu’une parenthèse. Ils pensent qu’il suffit de serrer les dents le temps d’un ou deux mandats et que les choses retourneront à la normale dans les quelques pays qui ont cédé. Il faut supporter Salvini, Trump ou Orbán le temps que leurs électeurs se lassent d’eux. Leurs provocations et leurs excès finiront bien par lasser, n’est-ce pas ? Et si c’était plutôt l’inverse ? Et si la France était le prochain pays à tomber ?

    Casser les règles pour rétablir des règles

    Selon un récent sondage qui vient après beaucoup d’autres de la même teneur, 60 % des Français perçoivent les migrants comme une menace et ils sont même 77 % à penser que « l’arrivée d’un leader fort, capable de casser les règles » serait une « solution pour améliorer la situation du pays ». Il y a aujourd’hui en France une soif de démocratie, de respect de la volonté populaire qui est largement bafouée notamment sur la question de l’immigration.

    Le populisme s’enracine au pouvoir

    On entendait déjà en juillet 2015, un mois après son entrée en campagne électorale, que Donald Trump était un épiphénomène. Après quatre ans de pilonnage intensif de tout ce que l’Amérique (et le monde) compte de politiquement correct, il est maintenant en course pour un second mandat avec l’espoir de l’emporter. Lors des élections législatives hongroises de 2018, Viktor Orbán a battu son score de 2014, maintenant les socialistes la tête sous l’eau depuis plus d’une décennie. Matteo Salvini, malgré le retournement d’alliance du Mouvement 5 étoiles, est au plus haut dans les sondages. Nul doute que l’arrivée au pouvoir d’un très gauchisant Parti démocrate détesté et l’ouverture en cours des frontières italiennes à l’immigration illégale propulseront il Capitano vers des sommets de popularité.

    L’idéologie dominante en insécurité et un gouvernement fébrile

    En réalité, ce sont les tenants de l’idéologie dominante qui sont en train de perdre toute crédibilité par leurs réactions antidémocratiques. Mathieu Bock-Côté a eu une très bonne formule : « Il suffit à la gauche de se voir contestée pour se sentir assiégée. » Parallèlement, il y a un véritable durcissement du régime envers ceux qui le contestent. La censure dont les identitaires sont la cible sur les réseaux sociaux a été revendiquée fièrement par un membre du gouvernement. Puis on est passé à autre chose quand Valeurs Actuelles s’est vu censurer pour avoir simplement relayé un article à propos de Génération Identitaire. 1984 n’est pas loin. D’autant que dans le même temps, la justice n’hésite pas à condamner lourdement des cadres identitaires.

    Tout cela témoigne d’une nervosité manifeste. À raison car les bases idéologiques sur lesquelles reposent le régime actuel se lézardent. Les peuples d’Europe en ont assez de souffrir, la France ne fait pas exception.

    Jean-David Cattin

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/215498/populisme-cest-une-vague-non-sire-cest-un-raz-de-maree-par-jean-david-cattin-les-identitaires/

  • Des Gilets jaunes irlandais se mobilisent contre l'ouverture d'un centre pour demandeurs d'asile

    49938124_291555695042285_5161765952022380544_n.jpg

    En Irlande, le gilet jaune popularisé par le mouvement français est porté, parfois, lors de manifestations. C'était le cas lors d'une marche silencieuse contre l'ouverture d'un centre pour demandeurs d'asile dans la petite ville d'Oughterard.

    Comme le rapportent plusieurs quotidiens irlandais, quelque 1 500 citoyens ont participé, ce 14 septembre, à une manifestation pour protester contre l'ouverture à Oughterard (ouest de l'île, comté de Galway) d'un centre pour demandeurs d'asile.
    Selon l'Irish Times, un comité créé pour empêcher le ministère de la Justice d’ouvrir ledit centre dans l’ancien hôtel Connemara Gateway, est à l'origine de la marche silencieuse qui s'est déroulée de l’église catholique de la ville jusqu'à l’ancien hôtel désaffecté. «Les organisateurs ont conseillé aux manifestants de porter un gilet de haute visibilité», explique le quotidien – en d'autres termes, un vêtement semblable à celui porté par les Gilets jaunes en France.
    Dans une vidéo de la mobilisation diffusée sur les réseaux sociaux, apparaissent de nombreux manifestants revêtant un gilet fluo ; certains d'entre eux portent également des pancartes indiquant : «Oughterard dit non aux centres [d’accueil des demandeurs d'asile] inhumains».
    L’Irish Independent explique que les participants ont été invités à signer une pétition contre l'installation du centre d’accueil. «La pétition et la marche ont pour but de [dénoncer] les méthodes inhumaines de logement des demandeurs d'asile [et] de mettre en lumière le fait que [la ville] d'Oughterard n'a pas la capacité de disposer d'un centre d'accueil», a déclaré Rory Clancy, membre du comité organisateur, cité par le quotidien irlandais.
    [...]
  • Matteo Salvini part en guerre contre le nouveau gouvernement italien

    lesobservateurs.ch
    Matteo Salvini, écarté du gouvernement italien à l’occasion d’un spectaculaire changement de coalition, a annoncé que la Ligue allait déclencher une série de référendums pour tenter de faire barrage aux réformes projetées par le nouvel exécutif.

    L’ex-ministre de l’Intérieur, qui réunissait ses troupes en Lombardie, a par ailleurs accusé de trahison ses anciens alliés du Mouvement 5 Etoiles (M5S), avec lesquels il a gouverné pendant quatorze mois.

    « Nous défierons ces traîtres qui sont retranchés dans leurs bureaux », a-t-il dit à plusieurs milliers de ses partisans rassemblés à Pontida, une petite ville du nord de l’Italie, fief originel de la Ligue. « Dans quelques mois, il y aura un gouvernement du peuple », a même promis Matteo Salvini.

    RTS

  • Le Vlaams Belang, premier parti de Belgique

    Belgique – Vendredi, à Gand, le Vlaams Belang tenait son meeting de rentrée politique. Tom Van Grieken, le président du parti nationaliste flamand, y a dévoilé la nouvelle affiche de campagne présentant le Vlaams Belang comme la seule alternative.

    Le président du Vlaams Belang a profité de ce meeting pour affirmer son ambition : faire du Vlaams Belang le premier parti du pays en 2024.

    Au même moment, la presse belge signalait les résultats du tout dernier sondage politique. Le Vlaams Belang y est déjà devenu le premier parti de Belgique en intention de votes ! Le VB recueillerait 24,9 % des voix (contre 18,5 % aux élections du 28 mai dernier).

  • La Rackete contre Lois Démocratiques

    Carola-Rackete
    Carola Rackete, c’est le nom de cette gauchiste allemande, intrônisée capitaine du bateau Sea watch.
    Adepte du forcing sur les ports européens, elle s’est distinguée à Lampédusa pour imposer sa cargaison banboulesque à une Italie, qui n’en voulait pas.
    Jusque là, on savait qu’en Allemagne elle avait été reçue comme une héroïne, parce qu’elle aurait sauvé de la noyade un nombre important de candidats à l’immigration.
    En la circonstance, le terme « sauver » n’est pas approprié, car personne n’a obligé ces individus à se jeter à l’eau avec un canot en caoutchouc, pour traverser la Méditerranée.
    On sait quel est le rôle néfaste de ces ONG gauchisantes, lesquelles, sous couvert « humanitaire » se livrent à un trafic éhonté d’êtres humains, en s’association avec la maffia de passeurs sans foi ni loi.
    En Allemagne, comme en France, cette femme, d’ailleurs masculine dans son genre, est considérée comme un héroïne, une sorte d’Antigone ou de Jeanne d’Arc, par les immigrationistes.
    Le pape Bergoglio (alias François) doit être fier d’elle, alors qu’elle ne prend aucun risque.
    Elle bénéficie au contraire de l’approbation et du soutien des médias, de la Justice et des Etats soumis à Bruxelles.
    Car elle reste dans la droite ligne de la bien pensance et du Traité de Marrakech.
    Mais nous n’avons pas encore tout vu de cette énorme tromperie.
    Dernièrement, elle a été invitée, parmi des experts sur les migrations, le 3 octobre, à Bruxelles pour une conférence sur le sauvetage des « migrants ».
    Et récemment encore, le Parlement catalan, a remis un prix à cette passeuse qui crache allègrement sur la législation des pays, dits d’accueil.
    Félicitée et récompensée pour « ses actions humanitaires ».
    Comme quoi, il suffit maintenant de frauder les lois, en faisant entrer de gré ou de force, des indésirables pour être considéré comme quelqu’un de bien, et un parfait citoyen.
    Pour que l’action, autrefois punissable soit vue comme un fait héroïque.
    Les jeunes Identitaires, en voulant candidement faire respecter, sans violence, le non franchissement de la frontière franco italienne.
    Une action purement symbolique, devront pour cela faire de la prison avec une amende destinée à les anéantir.
    On croit rêver …
    En même temps que Rackete, le directeur de l’ONG Open Arm, a été aussi récompensé.
    Un doigt d’honneur (ou plutôt pour lui, de déshonneur) à toutes les victimes, passées et à venir de la délinquance de ces chances pour la France.
    Activité anti-nationale et frauduleuse de ces ONG que contredisent pourtant les paroles faussement rassurantes de Macron: « Les français et les françaises, qui se sentent oubliés, dans ce vaste mouvement du monde, devraient se voir mieux protégés. Tout ce qui forge notre solidarité nationale, sera refondé, réinventé, fortifié. »
    Justement monsieur Macron, 70 à 8O% des français attendent des actes et pas des paroles.
    Ils veulent l’arrêt de l’immigration.
    Ils ne veulent plus de ces bateaux transporteurs de clandestins.
    Mais on ne peut être un mondialiste sans frontièriste et en même temps assurer la protection des frontières.
    Cette submersion migratoire remonte à plusieurs décennies et le visage de notre pays s’en trouve déformé.
    Paris ne sait plus où mettre ces nouveaux arrivants et ne pense pas à remercier Rackete pour ses bons offices.
    Voilà le commentaire d’un blogueur sur le Net : « Paris est sale, Paris est dangereux, Paris craint… En 10 ans cette ville est devenue un cloaque.
    Des bobos, le nez dans leur smartphone, des roms voleurs, des pickpockets dans les gares, des frotteurs et des obsédés sexuels sans complexe, des clandos qui trainent partout, des racailles en recherche d’un mauvais coup, des vendeurs africains qui se précipitent sur le touriste, des escrocs en costard, des dealers et des toxicos, des rats énormes en plein jour, des poubelles qui débordent, des rues sales avec des détritus en décomposition. Bref, une ville de merde. Je suis mieux dans ma cambrousse ! »
    Serait-ce là, l’avenir environnemental des villes françaises ?
    Onyx

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/la-rackete-contre-lois-democratiques.html#more

  • Grand Remplacement en Europe : le Portugal, un exemple ?

    grand-remplacement-europe-portugal-588x330.jpg

    Polémia continue son tour d’Europe du Grand Remplacement. Après avoir étudié l’emblématique cas de la Suède puis l’inquiétante submersion démographique de la Belgiquel’espoir d’une réaction politique au Danemarkle désastre multiculturel britanniquele suicide de l’Allemagneles tentatives de résistances de l’Autrichel’espoir naissant en Italiela spirale infernale en Espagne et l’islamisation galopante des Pays-Bas… C’est au tour du Portugal d’être étudié par Nicolas Reilhac, qui prend le relais de Paul Tormenen sur ce cas spécifique. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les inquiétudes sont bien moins importantes au Portugal que dans le reste de l’Europe de l’ouest…
    Polémia

    Une vision globale de la tragédie migratoire de L’Europe tend à distinguer les pays d’Europe occidentale, envahis, occupés et pour certains d’entre eux, en proie à une islamisation à marche forcée et promis à un avenir de soumission, et d’autre part les pays de Visegrad qui font le choix de prendre le parti de la Résistance.

    Et pourtant il existe à l’Ouest de notre continent un pays discret et petit par sa taille mais grand par son histoire, qui ne connait pas pour l’instant une invasion migratoire et des menaces de Grand Remplacement. C’est le Portugal.

    Dans ce pays, en effet, les Lois font l’objet d’une application empreinte de fermeté. La population éprouve une certaine méfiance envers les migrations économiques. Il existe une société qui n’est pas en cours de décomposition comme en Grande Bretagne ou chez nous dont l’exemple accablant est salutaire aux Portugais. Enfin, point important, les pompes aspirantes aspirent peu. A ce titre la présence maghrébine apparaît comme non significative.

    Le contexte portugais peut être considéré comme favorable à l’immigration

    Un pouvoir politique bienveillant qui veut davantage de migrants

    Le premier ministre socialiste a pris des positions très favorables à l’immigration. « Nous avons besoin de plus d’immigration et nous ne tolérons aucun discours xénophobe » a-t-il affirmé lors du congrès de son parti en 2018. Il a également rappelé lors d’une réunion à Bruxelles en 2018 que son pays prônait une politique « responsable et solidaire » à l’égard des migrants.

    Le Portugal qui a renoué avec la croissance manque effectivement de main d’œuvre et, selon une étude d’une fondation portugaise proche du pouvoir, le pays aurait besoin de 75 000 nouveaux arrivants/an pour maintenir une population active stable.

    Enfin le Portugal qui se veut un bon élève en la matière, se positionne au premier rang des pays volontaires pour accueillir des « réfugiés » du type Aquarius.

    Une réglementation proche des normes européennes et de l’humanitarisme international

    Sans entrer dans un exposé juridique, on peut avancer que la réglementation de l’immigration, dont l’application est confiée au « Servicio de Estrangeiros e Fronteiras » (SEF), est globalement comparable à celle que veut imposer l’Union européenne.

    Elle vise notamment à encourager l’accueil des immigrés et des « réfugiés ».

    Des lois et des décrets parus en 2018 appliquent des directives européennes pour faciliter l’octroi de permis de résidence notamment en faveur d’étudiants lusophones de haut niveau et d’entrepreneurs.

    Si le « droit du sang » demeure la règle, depuis 2018 les règles ont été assouplies. Les enfants d’étrangers deviennent Portugais si un des parents est au Portugal depuis au moins 2 ans et non plus 5 ans comme précédemment.

    Enfin, des lois interdisent les discriminations raciales dans les services domestiques, commerciaux et de santé.

    Une expatriation portugaise significative et un besoin de main d’oeuvre

    Tout le monde se souvient de l’émigration massive des Portugais dans les années 60 et 70, notamment vers la France où tout le monde a apprécié – et regrette – leur gentillesse, leur capacité de travail et leur respect de nos lois. Pas de délinquance portugaise ; pas de trafiquants de drogue ni de maquereaux ; pas de violeurs ni de surineurs à 10 contre 1.

    Ce type d’émigration est terminé. Cependant au cours des trois années de récession qui ont suivi la crise financière de 2011, plusieurs centaines de milliers de Portugais ont quitté leur pays parmi lesquels de nombreux jeunes diplômés. Ceci explique largement le besoin de main d’œuvre.

    De plus la population portugaise est vieillissante et pâtit d’une natalité déprimée, d’où un besoin réel de main d’œuvre.

    Un outre-mer présent

    Le Portugal a gardé des liens étroits avec ses anciennes colonies et les échanges avec des pays comme le Brésil, l’Angola, le Cap vert sont nombreux et constants. Il n’existe apparemment pas de raisons de désaccords profonds ou d’inimitié. Il convient de noter que, d’une manière générale, ces populations sont lusophones et chrétiennes.

    Les chiffres de l’immigration ne reflètent cependant pas à ce jour une invasion migratoire

    Les étrangers : 4,6 % de la population portugaise

    En 2018, le SEF a décompté 480 000 étrangers au Portugal soit 4,6 % de la population portugaise.
    Un quart sont Brésiliens, dont beaucoup sont descendants de Portugais, d’Allemands ou d’Italiens.
    84 000 viennent d’Afrique noire soit 1 % (certains disent 149 000) et 60 000 sont des Asiatiques.
    Finalement le plus gros contingent est celui des Européens : autour de 200 000.

    Cette population étrangère est en forte progression : + 17 % en 2018 par rapport à 2017.

    Des naturalisations en nombre limité

    De 2008 à 2016, on compte 225 000 naturalisations, dont 60 000 Brésiliens, 83 000 Subsahariens et 47 000 Européens de l’Est.

    En 2017, il y a eu 18 000 naturalisations. Un chiffre en baisse par rapport aux années précédentes, dont un tiers de Brésiliens et un autre tiers venant d’Afrique noire. Les demandes sont cependant en hausse.

    Une immigration clandestine limitée

    On ne peut pas dire que le Portugal affronte une immigration clandestine débridée comme la France. Le SEF dénombrait 1839 immigrants illégaux en 2018.

    Cependant, le président d’une association d’aide aux réfugiés parle de 30 000 illégaux. Par ses décrets de 2018, le gouvernement a assoupli les règles pour permettre leur régularisation.

    Des réfugiés évanescents

    Dans le cadre d’un programme de réinstallation qui courait de 2015 à mars 2018, le Portugal a accueilli 1 552 réfugiés. Seule une moitié d’entre eux est restée dans le pays pour s’y fixer, les autres préférant des cieux d’assistance plus cléments. Devinez lesquels !

    Des maghrébins absents

    Voilà une nouvelle qui va réjouir les affreux identitaires. L’immigration maghrébine est faible. Parmi les 480 000 étrangers, le seul pays maghrébin cité est le Maroc qui arrive en 31e position avec 1 539 ressortissants.

    Pourquoi ne peut-on pas parler aujourd’hui d’invasion migratoire ?

    Au Portugal les lois visant l’immigration sont appliquées et respectées

    Les lois portugaises sur l’immigration sont respectées et font l’objet d’une application ferme et stricte.

    On ne rentre pas comme on veut au Portugal. Par exemple, pour demander une autorisation de résidence de travailleur salarié, il faut avoir un visa valide, présenter un contrat de travail, bénéficier de moyens de subsistance et d’un compte bancaire, disposer d’un hébergement, ne pas avoir commis de crime puni par une peine de prison supérieure à un an être enregistré à la Sécurité sociale et auprès du fisc. Si ces conditions ne sont pas remplies, la résidence n’est pas autorisée et on doit quitter le pays, voire être expulsé.

    Pour qu’un étranger reste au Portugal il doit avoir un travail. S’il le perd, il a 6 mois pour en trouver un autre, sinon c’est la porte de sortie.

    Les « demandeurs d’asile spontanés » qui se présentent aux frontières sont « detained » ou plutôt retenus dans des centres d’accueil. Ils y sont gérés et doivent s’y rendre périodiquement pour leur suivi administratif et des formations. Leur présence est donc contrôlée et ils ne peuvent pas se disperser dans la nature portugaise.

    Cela ne veut pas dire que leur requête est acceptée et il est le plus souvent constaté que leur dossier ne réunit pas les conditions pour recevoir le statut de réfugié. Dans cas, ils sont expulsés s’ils n’ont pas trouvé du travail au bout de 6 mois.

    De même, les mineurs non accompagnés sont dirigés sur un centre d’accueil qui leur est spécialement dédié et nulle part ailleurs. On essaye de les former. En cas d’échec ils sont renvoyés chez eux ce qui ne pose aucun problème avec les pays d’origine.

    Au Portugal, l’expulsion est une réalité

    Tout demandeur d’asile débouté, tout étranger sans titre de séjour ou sans travail ou qui se montre agressif envers les forces de l’ordre, peut être expulsé. Et l’expulsion est une réalité. Si nécessaire, un personnel du SEF accompagne l’intéressé dans l’avion jusqu’à sa destination. Et si l’on pose la question de savoir si l’administration portugaise connait des difficultés avec le pays d’origine, on vous répond d’un air étonné qu’il n’y en a jamais.

    L’immigré doit travailler

    Un emploi est indispensable pour rester au Portugal. C’est une condition sine qua non. C’est à l’immigré de conclure un contrat de travail au Portugal ou de procéder à une recherche d’emploi. Il ne peut espérer aucune allocation de chômage.

    Certains créent leur propre emploi et sont acceptés. Une communauté afghane est citée mais pas seulement. Visiblement ceux-là ne sont pas des assassins déséquilibrés comme en d’autres lieux.

    Il est vrai que le Portugal connait actuellement une expansion intéressante et que le taux de chômage est bas (autour de 6 %). En revanche les salaires sont peu élevés et leur niveau est de nature à décourager les impétrants. C’est d’ailleurs ce qui se passe.

    Les aides sociales sont particulièrement faibles

    Le Portugal est un des pays de l’UE où les aides sociales, du fait de leur faible montant, ont le moins d’impact pour réduire le risque de pauvreté. C’est en particulier le cas les aides sociales pour les familles.

    Quant aux migrants, réfugiés et demandeurs d’asile ils n’ont droit qu’à très peu d’aides sociales ce qui à l’évidence est très décourageant puisqu’ils savent comment cela se passe en France et ailleurs.

    Les formalités administratives ne suivent pas

    Les délais du processus d’autorisations de résidence et de travail sont tels qu’en 2018 on comptait 100 000 dossiers en attente !

    Les étrangers doivent parfois attendre des années pour être régularisés ou obtenir la nationalité portugaise du fait de procédures longues et complexes

    Cette lenteur administrative soulève les protestations de la CEDH et d’Amnesty International, ce qui en soi parait un bon signe.

    Une opinion publique très partagée

    Il existe au Portugal un courant immigrationniste qui exerce une forte pression à caractère gaucho-islamophile mais qui n’est pas aussi puissant que le nôtre.

    Les Portugais, peuple charitable, se montrent plutôt favorables aux demandeurs d’asile. En revanche, il semble qu’ils éprouvent beaucoup moins de sympathie pour l’immigration économique qui leur apparaît comme une concurrence. Le fait que le Parti communiste portugais n’est pas dans la réalité favorable à l’immigration mérite d’être souligné.

    Conséquences

    Une immigration mesurée et maîtrisée

    Jusqu’à aujourd’hui cette immigration est étroitement liée aux besoins en travailleurs du Portugal et à la volonté réelle des immigrés de trouver du travail et de le garder. On ne vient pas au Portugal pour les aides sociales. Il n’y a pas de pompe aspirante. Ce sont d’ailleurs les raisons pour lesquelles une moitié des « réfugiés » du type Aquarius quittent le pays.

    On ne peut pas aujourd’hui qualifier l’immigration en direction du Portugal de submersion migratoire.

    Les immigrés doivent s’intégrer

    Le Portugal attend des immigrés non lusophones qu’ils fassent les efforts nécessaires pour s’intégrer, en particulier en apprenant la langue et en respectant les Lois et les us et coutumes portugais.

    La société portugaise demeure encore assez largement une société traditionnelle attachée à sa religion : le catholicisme, à qui cet Etat laïque reconnait la primauté religieuse, et aux valeurs du travail et de la famille. Des écarts ou des contestations de la part d’immigrés ne sauraient être tolérés par la population.

    Au Portugal, c’est aux immigrés et aux étrangers de s’adapter à la société portugaise et non l’inverse comme le souhaitent en France Terra Nova, le rapport Tuot et la gauchosphère. Ceux qui ne sont pas d’accord s’en vont.

    Une présence très faible de l’Islam

    La mosquée de Lisbonne avance le chiffre de 50 000 musulmans au Portugal, mais elle est la seule. Le chiffre le plus probable se situe entre 15 000 et 20 000 personnes soit 0,2 % de la population.

    Le Portugal a connu le joug musulman pendant plusieurs siècles et ne souhaite pas son retour.

    Cette situation n’est pas étrangère au climat de sécurité qui caractérise le pays.

    Un grand climat de sécurité

    Selon le Global Peace Index, le Portugal est le 3e pays le plus sûr au monde. Il n’y a eu que 87 homicides sur tout le territoire en 2018.

    Il y a eu 408 viols en 2017 c’est-à-dire le même chiffre quotidien qu’en France si l’on en croit Obertone.

    Conclusion

    Au Portugal, l’immigration existe mais apparaît maîtrisée. Il ne semble pas pertinent de la qualifier de submersion migratoire et d’évoquer un Grand Remplacement.

    Ce constat est valide aujourd’hui mais pourrait évoluer en fonction de l’évolution de la politique gouvernementale à venir et surtout de la problématique démographique du pays.

    Le détestable exemple de l’Europe occidentale, et notamment de la France qu’ils observent avec intérêt, semble soulever chez les Portugais de l’ironie mais aussi de l’inquiétude. Sur la question migratoire, nous sommes devenus leurs Ilotes que peut-être ils n’ont pas envie d’imiter.

    Nos gouvernements, quant à eux, pourraient se référer à l’exemple portugais : respect strict par les immigrés des Lois et des us et coutumes du pays qui les accueille, exigence d’un emploi, expulsions effectives et pas de pompes aspirantes. Contrairement à l’idéologie qui prévaut en France, c’est aux immigrés de s’adapter à la société portugaise et non l’inverse.

    Nicolas Reilhac 14/09/2018

    https://www.polemia.com/grand-remplacement-europe-portugal-exemple/

  • 82 migrants de l’Ocean Viking débarquent à Lampedusa. Pour Matteo Salvini, il s’agit de la reddition de l’Italie face à la volonté de l’Europe

    L’Ocean-Viking, qui recherchait un port pour débarquer les 82 migrants qu’il transportait, a été autorisé par l’Italie à accoster sur l’île de Lampedusa ce samedi 14 septembre. L’ancien ministre de l’Intérieur Matteo Salvini n’approuve pas ce débarquement et parle d’une « reddition »:

    « Manifestement, la promesse de Conte envers l’Europe était que l’Italie revienne dans le camp de réfugiés de l’Europe. Ils rouvrent les ports et pensent à taxer l’épargne de la banque, c’est de la folie. Renvoyons-les chez eux dès que possible. » Le chef de la Ligue ne se fait aucune illusion sur ce qui arrive: le débarquement à Lampedusa est « la reddition de l’Italie face à la volonté de l’Europe. Si la répartition d’immigrants doit se faire en Italie, où la Ligue gouverne, ce sera un « non ». Je dis aux maires de dire non: les réfugiés seront peut-être répartis en Italie, mais les administrateurs de la Ligue diront non.

    Il Giornale

    https://www.tvlibertes.com/actus/82-migrants-de-locean-viking-debarquent-a-lampedusa-pour-matteo-salvini-il-sagit-dune-reddition-de-g-conte-a-leurope

  • Révolte de dix gouverneurs de la BCE contre Draghi pour éviter l’effondrement monétaire !

    1624555301.jpgMarc Rousset

    La Bourse de Paris a clôturé, vendredi 13 septembre, à 5655, soit pratiquement le plus haut annuel de 5672 du 25 juillet, avec une hausse de 19,55 % depuis le 1er janvier. Wall Street a terminé aussi au plus haut, rassuré par le grand jeu, pour relancer la croissance, de Mario Draghi qui a menti publiquement en proclamant que le « consensus entre les gouverneurs était tellement important qu’un vote eût été inutile » et dévoilé un vaste programme supplémentaire de laxisme monétaire.

    Mario Draghi, prenant acte du ralentissement économique en zone euro, a abaissé le taux négatif de dépôt des banques à la BCE de -0,4 % à -0,5 % pour inciter les banques à prêter aux entreprises et aux ménages. Un système de taux par paliers a été prévu pour alléger les charges d’intérêt actuelles des banques européennes, soit 1,7 milliard d’euros. Draghi a aussi annoncé une reprise des achats d’obligations de dette publique et privée par la BCE, à raison de 20 milliards d’euros par mois, à compter du 1er novembre, « aussi longtemps que nécessaire ». Des prêts géants « LTRO » aux banques en quasi-faillite seront aussi accordés par la BCE.

    En fait, la zizanie la plus complète et la révolte règnent à la BCE, où les dissensions ont éclaté au grand jour ! « La BCE a dépassé les bornes »« il n’était pas nécessaire de recourir à des mesures d’une telle portée »« avec la décision d’acheter encore plus d’emprunts d’État, il sera encore plus difficile pour la BCE de sortir de cette politique. Plus elle dure, plus les effets secondaires et les risques pour la stabilité financière augmentent », a déploré le très sage et compétent Jens Weidmann, président de la Bundesbank, dans le grand quotidien allemand Bild, visant sans le nommer « Draghila » !

    Déplorant plus particulièrement le « redémarrage » des achats d’obligations qui ont déjà permis de déverser 2.600 milliards d’euros sur les marchés entre mars 2015 et fin 2018 pour faire baisser les taux et relancer l’activité, le gouverneur néerlandais Klaas Knot n’a pas hésité à lancer un pavé dans la mare de l’univers feutré de la BCE, sous forme d’un communiqué : « Cette large panoplie de mesures est disproportionnée par rapport à la situation économique, et il existe de bonnes raisons de douter de son efficacité. »

    Plus grave encore, avant la prise de fonction de la très diplomate et juriste – mais non compétente en matière monétaire – Christine Lagarde, le 1er novembre, la BCE se trouve contestée et fragilisée par dix gouverneurs sur vingt-cinq qui représentent au minimum 60 % du PIB de la zone euro. Se sont opposés au laxisme monétaire, entre autres – ce qui les honore -, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, et le Français Benoît Cœuré, membre ultra-compétent du Comité exécutif, qui devrait occuper la place de Lagarde. Les dix gouverneurs contestent l’urgence et les mesures prises unilatéralement par Draghi. Selon l’agence Bloomberg, « il s’agit d’un désaccord jamais vu dans le mandat de 8 ans de Draghi à propos d’une décision majeure de politique monétaire ».

    La triste réalité, c’est que les banques (diminution des marges et pénalité de 7,1 milliards d’euros sur les dépôts à la BCE) et les compagnies d’assurance-vie (mort lente avec la chute des rendements des fonds en euros et risque de faillite en cas de remontée des taux et donc de krach obligataire) sont en danger mortel. L’erreur de la Fed et de la BCE est de mener depuis trop longtemps une politique monétaire à seule fin d’éviter un krach boursier et obligataire, ce qui se traduit par des bulles boursières et immobilières encore plus élevées, le maintien en vie des entreprises zombies, la spoliation des épargnants.

    Le seul avantage est d’assurer la solvabilité des États qui, tels les paniers percés français et italiens, continuent à s’enfoncer dans la dette publique. Dès la moindre remontée des taux, avec une charge de la dette de déjà 40 milliards d’euros, la France sera en faillite !

    Il ne reste plus, en fait, à des pays comme la France, que le choix de sombrer de deux façons : soit par la fuite en avant monétaire actuelle qui se terminera par des krachs boursiers et obligataires, l’hyperinflation et la situation de l’Allemagne en 1923, soit par la hausse des taux et la fin du laxisme monétaire qui conduira à la récession, à la déflation, au chômage et à un krach mondial, style 1929, infiniment plus violent. Dans les deux cas, ne survivront économiquement que ceux ayant acheté de l’or et des actifs réels.

    Boulevard Voltaire cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/