Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 417

  • Brexit : connivence entre la majorité parlementaire britannique, européiste, et la nomenklatura eurocratique

    Brexit : connivence entre la majorité parlementaire britannique, européiste, et la nomenklatura eurocratique

    De Bernard Antony :

    Brexit or not Brexit : palinodies ?

    Il y a bien sûr une clé d’interprétation de tous les atermoiements britanniques et eurocratiques pour la mise en œuvre du « brexit ».

    La clé, c’est qu’il y a une connivence pour que celle-ci n’ait pas lieu entre la majorité de la classe parlementaire britannique, nullement en accord avec ses électeurs, et la nomenklatura eurocratique. 

    Quant à Theresa May, elle aura été une artiste dans cette conjoncture, digne de donner des leçons à Macron, car voulant, et simultanément, ne voulant pas, de la sortie de son pays du bidule bruxellois. Et voici que le président du Conseil Européen, Donald Tusk, va à son secours en proposant un report « flexible » de 12 mois pour la mise en œuvre du Brexit. Ce qui aurait bien sûr pour effet de faire encore élire des députés britanniques au Parlement européen qui, une fois élus, n’auront pas envie d’en sortir…

    Il faut bien sûr que Tusk obtienne la semaine prochaine l’accord des 27 dirigeants des pays membres de l’UE. Gageons que ce sera le cas, sauf veto de Macron.

    Après quoi, beaucoup d’eau coulera sous les ponts de Londres et de Strasbourg, et peut-être la conjoncture paraîtra-t-elle favorable à Theresa May (ou à son successeur ?) pour tenter un autre référendum ?

    Sur le débat d’hier au soir entre les têtes de liste pour les élections européennes.

    C’est mal parti pour madame Loiseau ! Je me garderai bien de tomber dans la facilité, d’ironiser, tellement son personnage se prête à la caricature. Cette pauvre dame qui n’a pas eu la décence de demeurer dans sa charge de ministre ferait peut-être meilleure figure dans le cinéma en jouant par exemple quelque personnage de second rôle de Simenon.

    Hier au soir, il lui manquait d’évidence de pouvoir tricoter tranquillement. À la vérité, elle ne faisait pas médiatiquement le poids en comparaison de la pétulante et jolie petite peste de la France Insoumise, ou encore de Jordan Bardella, tranquillement sûr de lui.

    La désignation de madame Loiseau me confirme dans mon idée que Macron débloque narcissiquement de plus en plus, et je persiste à penser qu’il ne terminera pas son quinquennat.

    François-Xavier Bellamy est sympathique mais il fait par trop encore jeune professeur voire bon premier de la classe, très poli. Il a judicieusement apporté Homère pour parler de sa conception de l’Europe mais, pour le reste, il manquait un peu de souffle, un brin de piment tribunicien. On ne voit pas un Démosthène ni un Cicéron pointer sous Bellamy.

    Je ne sais plus lequel du calamiteux Hamon ou d’un autre de la gaucherie désunie a défendu l’idée d’une « constitutionnalisation » obligatoire dans tous les pays de l’UE du droit à l’avortement [c’était Hamon, NDMJ]. La sacralisation de l’IVG est désormais le dogme fondamental de la religion de la République du Panthéon. Ils ont bien été cinq ou six à rappeler l’insanité que « la femme doit pouvoir faire ce qu’elle veut de son corps ». Insanité, parce que justement l’embryon n’est pas « son corps » mais déjà le corps de son enfant, qu’elle a, comme toutes les femmes en voie de maternité, l’incomparable, la sublime mission de faire venir au monde et non de lui ôter la vie.

    Dommage qu’aucun autre candidat n’ait répondu aux fanatiques de l’IVG en formulant cette objection de conscience !

    https://www.lesalonbeige.fr/brexit-connivence-entre-la-majorite-parlementaire-britannique-europeiste-et-la-nomenklatura-eurocratique/

  • L’Italie rétablit la filiation naturelle dans les formulaires

    L’Italie rétablit la filiation naturelle dans les formulaires

    Le gouvernement populiste italien a rétabli cette semaine les termes de “père” et “mère” sur les formulaires pour les cartes d’identité. Matteo Salvini, vice-Premier ministre et patron de la Ligue, a salué :

    “On retrouve un peu de bon sens”.

    Le lobby LGBT, mais aussi des figures du Mouvement 5 étoiles (M5S), l’allié gouvernemental de M. Salvini, sont rapidement montées au créneau pour dénoncer la mesure.

    Ce matin, Matteo Salvini était à Paris dans le cadre d’une réunion des ministres de l’Intérieur. Il en a profité pour rencontrer Marine Le Pen, avec laquelle il prévoit d’organiser un meeting en commun vers la fin de la campagne des élections européennes.

    https://www.lesalonbeige.fr/litalie-retablit-la-filiation-naturelle-dans-les-formulaires/

  • Un débat ou un peloton d’exécution ?

    Un débat ou un peloton d’exécution ?

    François Billot de Lochner a eu le courage de regarder le débat hier soir entre les têtes de listes aux européennes :

    12 candidats alignés le long du mur comme au peloton d’exécution : c’était le triste spectacle de l’Emission politique, le premier grand rendez-vous de la campagne des élections européennes ce jeudi 4 avril sur France 2. En toute sincérité, notre admiration va à tous ceux qui se sont prêtés à l’exercice de regarder ce pensum, à ce charcutage pitoyable de l’expression politique.

    En effet, chaque candidat s’est vu octroyer un temps de parole de 12 minutes. 12 petites minutes, éclatées en parcelles infinitésimales, rendant plus absconse que jamais une parole publique en mal de légitimité. Les journalistes recrutés pour l’occasion, Thomas Scotto et Alexandra Bensaïd, donnaient l’impression d’avoir échoué sur le plateau d’Intervilles, multipliant les blagues ratées pour donner aux téléspectateurs sur la voie de l’endormissement le sentiment que la politique, en 2019, c’est funIncapables d’arbitrer entre les candidats, et de faire circuler intelligemment la discussion, ils sont apparus comme des obsédés du chronomètre, au détriment du développement d’une pensée raisonnable et argumentée. Peut-on faire de la politique sérieusement quand on s’exprime par tranches de 15 secondes ? Les candidats n’avaient pas grand-chose à dire, et l’on ne sait pas précisément si c’est le manque d’idées qui a donné lieu à ce débat bégayant, ou si sa forme maladroite ne pouvait tout simplement pas accoucher d’autre chose que de propos moribonds.

    Malgré tout, qu’en retirer ? D’une manière assez étonnante, c’est très largement l’euroscepticisme qui a prévalu sur l’ensemble du débat. Le désenchantement européen est bien là. Avec une touchante naïveté – il est même étonnant que les rédacteurs en chef de l’émission aient laissé passer cela –, Alexandra Bensaïd a fait se déployer sur les écrans une magnifique infographie pour nous expliquer ingénument que l’Union européenne nous faisait perdre des milliards chaque année, et nul ne s’est amusé à la contredire. Tous, au fond, savent que cette Europe que l’on nous a tant vantée est incapable d’affronter les défis qui sont les nôtres aujourd’hui, à commencer par l’immigration et l’islamisation du contient et le désarroi identitaire dans lequel elles nous plongent. Sans oublier, évidemment, la pauvreté croissante, le chômage qui ne diminue pas, et les dépôts de bilan qui se multiplient.

    Nathalie Loiseau, la candidate LREM, comme Jean-Christophe Lagarde, tout deux les plus volontiers « européistes », avaient bien du mal à faire souffler un vent d’enthousiasme sur le plateau.

    La gauche de la gauche s’est enfoncée dans l’utopisme le plus délirant, en vantant les mérites d’une fraternité universelle à laquelle plus personne ne croit : le disque est bien rayé, et même les nouvelles têtes, comme Raphaël Glucksmann, n’ont pas l’air d’y croire.

    Pour les Républicains, la confrontation à ses adversaires a fait ressortir la fragilité de François-Xavier Bellamy, mal à l’aise pour articuler ses fameux grands principes à une pensée concrète non technocratique.

    Les politesses et les ronds-de-jambe, ironiques ou non, entre Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan, Jordan Bardella et François Asselineau, ont fait vraiment mesurer à quel point un tel morcellement de la droite souverainiste est absurde. Dans le marasme général, ce dernier s’est toutefois distingué par des arguments précis et percutants contre les contradictions dans lesquelles s’empêtrent sans cesse les tenants du modèle dominant : pourquoi vitupérer contre la Hongrie et la Pologne, quand on alimente un système qui leur verse des milliards chaque année ? Pourquoi se lamenter sur les afflux de migrants, quand on préfère financer l’Estonie ou la Grèce, plutôt que d’apporter une aide au développement ciblée à destination des pays francophones d’Afrique ?

    Une chose est certaine, et dans une certaine mesure, il nous faut nous en réjouir : le système de Bruxelles et de Strasbourg a vécu, et l’ensemble de la classe politique sent confusément qu’à plus ou moins brève échéance, il faudra – enfin – penser d’abord à la France.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-debat-ou-un-peloton-dexecution/

  • Débat sur les européennes : la grande cacophonie – Journal du vendredi 5 avril 2019

    Débat sur les européennes : la grande cacophonie

    Le débat sur les européennes vire à la cour de récréation. Pendant plus de 3 heures, 12 têtes de liste pour les élections européennes se sont écharpées sur le plateau de France 2 faisant la part belle à la forme plutôt qu’au fond.

    Marine le Pen rencontre Matteo Salvini

    Un rendez-vous discret mais qui pourrait peser dans une hypothétique alliance des parties patriotes en Europe. Marine le Pen a rencontré le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini à Paris à moins de deux mois du scrutin continental.

    Requin et surfer à la réunion : l’impossible vivre ensemble ?

    Et un peu de fraîcheur avant l’arrivée des beaux jours avec un détour par la Réunion où les surfers doivent composer avec d’encombrants voisin : les requins. Depuis plusieurs années des dispositifs ont été mis en place pour permettre aux passionnés de glisses et aux prédateurs sous-marins de cohabiter.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/debat-sur-les-europeennes-la-grande-cacophonie-journal-du-vendredi-5-avril-2019

     

  • 20 ans après l’intervention de l’Otan en ex-Yougoslavie, quelles leçons pour aujourd’hui ?

  • Européennes : un débat à quitte ou double

     

    Européennes : un débat à quitte ou double

    Après avoir voulu évincer plusieurs personnalités du débat, France 2 a finalement invité les 12 principales têtes de liste. De quoi rendre le rendez-vous crucial pour plus d’un candidat.

    La Justice n’a pas la cote !

    L’appareil judiciaire au coeur des critiques ! Une étude révèle qu’une large majorité de français est insatisfaite de l’institution judiciaire. Retour sur les causes de ce désamour.

    Matteo Salvini en route vers les européennes

    A moins de deux mois des élections européennes, tous les feux sont au vert pour la Ligue de Matteo Salvini. Entre les victoires régionales et les sondages largement favorables, le parti du ministre de l’intérieur italien peut espérer faire une entrée fracassante au parlement européen.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/europeennes-debat-quitte-double-journal-du-jeudi-4-avril-2019

  • Le plus d’Eléments n°11 : quel populiste êtes-vous ? Les 36 familles du populisme

    Retrouvez l’équipe du magazine Éléments autour d’Olivier François : le philosophe Alain de Benoist, éditorialiste du magazine « Eléments », et Pascal Eysseric, directeur de la rédaction.
    Au menu du jour : à l’heure du retour du peuple, quel populiste êtes-vous ? Avec ou sans gilet jaune ? Social, conservateur ou national ? Quant à la question de savoir, pourquoi le libéralisme est-il une erreur anthropologique, rien ne vaut l’éclairage d’Alain de Benoist.

    https://www.tvlibertes.com/le-plus-delements-n11-quel-populiste-etes-vous-les-36-familles-du-populisme

  • L’harmonie, une caractéristique essentielle de notre civilisation

    Venise-2-Ligne-droite.jpg

    Ligne Droite cliquez ici

    L’harmonie est sans conteste l’une des caractéristiques les plus emblématiques de notre civilisation. Aussi n’y aura-t-il pas de redressement véritable de notre pays comme de notre continent sans un retour à l’harmonie. La notion, qui paraît au premier abord plus intuitive que rationnelle, est cependant essentielle. Elle correspond en effet à un ordre social équilibré qui agence les êtres et les choses au service du bien commun et s’appuie sur les valeurs fondatrices de notre civilisation. Aussi, quels que soient les efforts menés par ailleurs, Ligne droite estime qu’il n’y aura pas de renaissance si l’ordre et les valeurs propres à l’harmonie ne s’imposent pas à nouveau au sein de notre nation.

    L’harmonie au cœur de notre civilisation

    Il importe en effet que notre pays et notre continent renouent avec cet ordonnancement supérieur qui a fait depuis ses origines la grandeur et la force de notre civilisation. L’harmonie n’était-elle pas présente dans les cités grecques comme nous le rappelle aujourd’hui la beauté exceptionnelle de leurs temples et de leurs monuments? Une harmonie présente ensuite tout au long de notre histoire, notamment dans les cathédrales et les édifices royaux, et qui, au-delà de l’architecture, irradiait la société française toute entière. Certes, notre pays a connu bien des difficultés mais il n’a presque jamais perdu les fondements qui, en termes d’ordre et de valeurs, ont assuré sa pérennité. Aujourd’hui, il en va différemment car la France connaît un chaos qui menace son existence même. Aussi l’harmonie est-elle aujourd’hui plus nécessaire que jamais.

    Un ordre qui donne à chacun sa place

    Elle est en effet à l’origine d’un ordre qui structure la société en offrant à tous les citoyens une place légitime dans l’édifice social. Une place qui leur permet de savoir qui ils sont et d’où ils viennent mais aussi de connaître leur rôle dans la communauté et d’obtenir la reconnaissance et le respect de leurs pairs. Ainsi, par exemple, est-il nécessaire que chaque Français soit reconnu et rétribué en fonction de son mérite, de son talent et de son travail. De même, en tant que membre de la communauté nationale doit-il jouir d’une préférence qui concrétise son appartenance à la nation et lui permet de se sentir chez lui dans son propre pays. Autant d’impératifs qui construisent un ordre clair et légitime, indispensable à l’harmonie sociale. Malheureusement, cet ordre est aujourd’hui bafoué par l’idéologie déconstructiviste du Système, sa volonté de promouvoir les minorités et son obsession maladive de favoriser l’immigration.

    Un ordre équilibré et mesuré

    Face à ce chaos créé de toute pièce par l’oligarchie, l’harmonie est d’autant plus nécessaire que l’ordre qu’elle véhicule est très éloigné de la caricature qu’on en donne habituellement. Il s’inspire en effet de la formule grecque “rien de trop” qui est le refus de l’excès alors que notre monde est aujourd’hui marqué par la culture du No Limits c’est à dire de l’excès en tout. De fait cet ordre cultive l’équilibre et la mesure propres à la civilisation européenne et réussit à marier en un même élan des éléments apparemment opposés : la force et la douceur, le beau et l’utile, le communautaire et le personnel. Il n’a donc rien de totalitaire ni de brutal et ne cède pas à l’hubris. Il n’a jamais conduit à la démesure et l’harmonie qui le porte est toujours à dimension humaine.

    Un ordre qui œuvre au bien commun

    Pour autant l’harmonie ne conduit pas à l’individualisme car son rôle consiste au contraire à ordonner les membres de la communauté autour d’un objectif commun. Avec elle les acteurs de la société sont appelés à concourir au même but, à la manière d’un orchestre dans lequel chacun joue de son instrument, permettant ainsi à l’ensemble de faire entendre une symphonie. Une démarche au service du bien commun radicalement contraire à celle que nous connaissons aujourd’hui en France où la société est dominée par l’individualisme et pousse chacun à demander toujours plus de droits et d’avantages sans se préoccuper d’apporter quoi que ce soit à la communauté.

    Les valeurs qui rendent l’harmonie possible

    Cet ordre mesuré et équilibré qui structure la société et garantit sa dimension collective ne suffit cependant pas à créer l’harmonie car celle-ci n’existe que fondée sur des valeurs. Ainsi par exemple un ordre imposé dans un cadre dictatorial n’aurait rien d’harmonieux car il bafouerait la liberté, une valeur fondamentale propre à la civilisation européenne. Aussi l’harmonie doit-elle s’appuyer sur des valeurs fondatrices, celles qui tirent leur légitimité de leur permanence et de leur ancienneté et qui ont façonné notre civilisation depuis ses origines.

    Les valeurs fondatrices de notre civilisation

    Il s’agit notamment de la famille, aujourd’hui oubliée et méprisée par le Système, ainsi que de l’éducation détruite par le refus de l’excellence, de la sélection et de l’enracinement. Il y a également la liberté, paradoxalement occultée par l’état de droit et la dictature des minorités. Il faut aussi citer la nation mise en cause par le vivre ensemble, ainsi que le travail ruiné par le libre-échangisme sauvage et l’assistanat généralisé. Compte également la reconnaissance du mérite, rendue impossible par l’égalitarisme et la discrimination positive. Citons enfin l’identité, gravement érodée par la marée migratoire et l’entreprise de déconstruction. Le rejet ou l’oubli de toutes ces valeurs pourtant fondatrices entraîne la disparition de l’harmonie dans notre pays et par voie de conséquence menace notre civilisation. Elle instaure un grave désordre qui désarçonne nos compatriotes et prive nos enfants de tout repère.

    C’est donc pour mettre un terme à ce chaos politiquement correct que le retour à l’harmonie est à ce point nécessaire. Une action de redressement que Ligne droite juge essentielle et que la droite nouvelle devrait conduire en s’affichant comme le défenseur de l’ordre et des valeurs, c’est-à-dire comme le champion de l’harmonie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Marine Le Pen à une journaliste d’Euronews : «Merkel s’en mord les doigts d’avoir accueilli 1M de migrants et commence à serrer toutes les vis»

    Marine Le Pen (RN) à Sophie Claudet (Euronews) : «L’Allemagne s’en mord les doigts aujourd’hui d’avoir accueilli 1M de migrants et Mme Merkel est en train de serrer toutes les vis, il n’y a qu’un malheur, c’est que quand Mme Merkel fait venir 1M de personnes, il y en a combien de centaines de milliers qui se retrouvent après en France ?»
    – Euronews, 3 avril 2019

    (À partir de la 14ème minute)

    http://www.fdesouche.com/1186545-marine-le-pen-a-une-journaliste-deuronews-merkel-sen-mord-les-doigts-davoir-accueilli-1m-de-migrants-et-commence-a-serrer-toutes-les-vis