Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 437

  • LREM : la liste Loiseau, une drôle de basse-cour

    LREM : la liste Loiseau, une drôle de basse-cour

    La liste LREM aux européennes, c’est une véritable Cour des Miracles. Nous y trouvons des membres de LREM, des anciens du PS, du Parti radical, de LR, des proches d’Alain Juppé, un Europe-Ecologie Les Verts, un ancien député italien, quelques journalistes recasés, les inévitables homosexuels

    Derrière Nathalie Loiseau, celle qui se découvre opportunément tête de liste en plein débat face à Marine Le Pen, on découvre Pascal Canfin, un ancien ministre de Hollande. Le Canard enchainé avait ironisé sur lui en révélant qu’il avait refusé d’embarquer dans un avion pour le Mali car il y avait un Malien expulsé.

    Le ministre délégué au Développement Pascal Canfin a décidé “en conscience” de ne pas embarquer vendredi dans un avion partant pour le Mali où il aurait dû participer à une réunion sur le développement, en raison de la présence d’un Malien frappé d’expulsion. C’était une décision du ministre “prise en conscience”, a dit mardi son entourage, renvoyant aux propos de Pascal Canfin à l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné qui a révélé l’affaire, et ajoutant qu’il “ne souhaitait pas commenter davantage”.

    • Marie-Pierre Vedrenne,
    • Jérémy Decerle
    • Catherine Chabaud, journaliste, déléguée à la mer et au littoral sous Hollande, avait soutenu l’Aquarius, ce navire favorisant l’immigration.
    • Stéphane Séjourné, 6e sur la liste, est un militant LGBT pacsé avec Gabriel Attal, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Education nationale.
    • Fabienne Keller (7e), la vice-présidente d’Agir et proche d’Alain Juppé.
    • Bernard Guetta, ancien journaliste de France Inter 
    • Irène Tolleret, Conseillère départementale de gauche de l’Hérault
    • Stéphane Bijoux, directeur des rédactions des télés Outre-mer chez France Télévision.
    • Sylvie Brunet, membre du CESE
    • Gilles Boyer, ancien directeur de campagne d’Alain Juppé
    • Stéphanie Yon-Courtin, juppéiste, maire de la commune Saint-Contest dans le Calvados
    • Pierre Karleskind, proche de Richard Ferrand, vice-président du Conseil régional de Bretagne
    • Laurence Farreng, proche de François Bayrou et actuelle directrice de la communication de la ville de Pau.
    • Dominique Riquet, successeur de Jean-Louis Borloo à Valenciennes, Parti radical, député européen.
    • Véronique Trillet-Lenoirélue régionale PS passée chez LREM,
    • Pascal DurandEELV, député européen.
    • Valérie Hayer, vice-présidente du Conseil départemental de la Mayenne.
    • Christophe Grudler, Modem, conseiller départemental du Territoire de Belfort.
    • Chrysoula Zacharopoulou, gynécologue-chirurgienne et co-fondatrice de l’association Info-endométriose (Grèce).
    • Sandro Gozi, ancien député italien, ancien secrétaire d’État italien aux affaires européennes, fédéraliste, membre du Parti Démocrate (italien), il a fait partie du cabinet de Romano Prodi, président de la Commission européenne. Il a participé à la réunion du Groupe Bilderberg de 2017.
    • Ilana Cicurel, avocate, ancienne directrice générale de l’Alliance israélite universelle.
    • Max Orville, MODEM
    • Catherine Amalric, membre du mouvement radical, médecin et adjointe au maire à Aurillac
    • Guy Lavocat, membre du Club XXIe siècle, qui milite pour la diversité…
    • Charline Mathiaut, gestionnaire immobilier
    • Xavier Fournier, ancien LR, conseiller municipal de Nantes.
    • Nawel Rafik-Elmrini, avocate et adjointe aux affaires européennes à Strasbourg
    • Mao Péninou, proche de Cambadélis, ancien adjoint d’Anne Hidalgo à la Mairie de Paris.

    https://www.lesalonbeige.fr/lrem-la-liste-loiseau-une-drole-de-basse-cour/

  • Voile islamique en Nouvelle-Zélande : la compassion n’est pas la soumission

    IMG_6941-845x475.jpg

    Ainsi donc, après la tuerie de Christchurch qui a fait 50 morts, imitant le Premier ministre Jacinda Ardern, de nombreuses femmes à travers la Nouvelle-Zélande ont choisi de porter le « hijab » en signe de solidarité musulmane. On les a vues, le 22 mars, sur les réseaux sociaux sous le hashtag #HeasScarfforHarmony (« Foulard pour l’harmonie »).

    « Les femmes vivent d’émotion, ne pensent qu’aux émotions », disait Oscar Wilde, auquel on prête parfois aussi cette boutade affreusement misogyne que d’autres attribuent à Charles Baudelaire : « Aimer une femme intelligente est un plaisir de pédéraste. » Il est un fait, pour faire une synthèse polie, que se laisser submerger par l’émotion peut obscurcir le discernement.

    Parce qu’associer « foulard » à « harmonie », est un oxymore qui claque comme une gifle pour toutes celles qui ont été et sont encore insultées, emprisonnées, fouettées ou même assassinées pour avoir refusé de le porter. D’autant plus cinglante qu’elle est administrée par leurs sœurs, ces féministes occidentales en lesquelles elles placent leurs espoirs pour porter leur combat.

    Parce que supposer que le voile est l’attribut par excellence des musulmanes, c’est laisser entendre que celles qui n’en portent pas – et qui confessent pourtant cette religion – n’en sont pas. Ou pas de « vraies ».

    Parce qu’il n’a jamais été besoin de s’identifier jusqu’à se grimer pour condamner. Nos gouvernants sont-ils venus en soutane ou col romain rendre hommage au père Hamel ? Et, de façon générale, alors que d’après l’ONG Portes ouvertes, plus de 4.300 chrétiens ont été tués à cause de leur religion en 2018, aucun gouvernant à travers le monde ne s’est senti obligé de se travestir pour compatir… mais il est vrai que de ces victimes-ci, peu se soucient.

    Certaines ont poussé le raffinement jusqu’à se montrer index levé, pose préférée des djihadistes sur les photos, et qui serait, pour Romain Caillet (Libération), le « geste traditionnel effectué par la plupart des musulmans au moment de prononcer leur chahâda, la profession de foi dans l’islam, l’index dressé symbolisant l’unicité d’Allah ».

    Donc, pour compatir, en sus de se travestir, il faudrait aussi se convertir ?

    « Ces femmes néo-zélandaises qui se couvrent d’un voile et lèvent leur index vers le ciel comme le font les islamistes mesurent-elles un instant le sens de leur geste ? #idiotesutiles #christchurch », commente, sur Twitter, Laurent Bouvet.

    Non, sans doute ne mesurent-elles rien, donnant raison à cet affreux jojo d’Oscar Wilde et à ses clichés abominablement sexistes : toutes préoccupées à se contempler dans le miroir flatteur du selfie posté sur Facebook, les ménagères grégaires – il paraît que c’est le pays – s’aiment dans cette posture compassionnelle qu’elles trouvent belle, et dont, écervelées, elles ne voient pas la portée.

    Idiotes utiles, en effet, d’un Erdogan qui a félicité la Nouvelle-Zélande comme « un exemple à suivre par les dirigeants du monde entier », et pour la remercier de tant de gracieusetés l’a provoquée, avec l’Australie, évoquant leurs soldats tués pendant la Première Guerre mondiale dans la bataille de Gallipoli dont les Ottomans sont sortis victorieux : « Il y a un siècle, vos aïeuls sont repartis à pied ou dans des cercueils. Si votre intention est la même que la leur, nous vous attendons. » La Nouvelle-Zélande peut voiler ses femmes, lui ne voile pas ses menaces.

    Gabrielle Cluzel

  • Face à la Chine, Macron se réfugie derrière Merkel – Journal du mardi 26 mars 2019

     

    Face à la Chine, Macron se réfugie derrière Merkel

    La visite officielle du président chinois Xi-Jinping se poursuit en France. Après la signature de plusieurs contrats Airbus, l’heure est, ce mardi, placée sous le signe de l’Union Européenne avec la venue d’Angela Merkel et du président de la Commission Européenne Jean-Claude Juncker… Une image d’Europe unie pour tirer les avantages du conflit sino-américain.

    Fonction publique : le système qui marche sur la tête

    Grosse flemme dans la fonction publique. C’est en tout cas ce qui vient à l’esprit lorsqu’on lit le rapport de l’inspection générale des finances sur les fonctionnaires… 30% des agents observés dans l’étude travaillent moins que le seuil légal de 35 heures par semaine. Un constat qui prouve avant tout les failles du système public.

    Brexit : Exit Theresa May

    Soirée cauchemardesque pour Theresa May. Lundi soir, la chambre des Communes a voté un amendement contre la volonté du premier ministre pour prendre l’initiative sur la mise en place des nouveaux accords sur le Brexit…

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/face-a-la-chine-macron-se-refugie-derriere-merkel-journal-du-mardi-26-mars-2019

  • L’union des droites remporte une nouvelle victoire au sud de l’Italie

    L’union des droites remporte une nouvelle victoire au sud de l’Italie

    Une coalition menée par la Ligue a remporté une nouvelle victoire lors d’élections régionales dimanche en Basilicate (sud de l’Italie), dernier test avant les européennes du 26 mai.

    Le candidat de cette coalition régionale qui réunit principalement la Ligue de Matteo Salvini et Forza Italia (FI), le parti de Silvio Berlusconi, remporte 41,9% des voix. La Ligue obtient 19,2%, loin devant FI, qui doit se contenter de 8,9%.

    Le centre gauche, en difficulté dans tout le pays depuis sa défaite lors des législatives de mars 2018, perd la région malgré un bon score (33,3%), qui en cache cependant un très mauvais: au sein de cette coalition, le Parti démocrate (PD), pilier du centre gauche en Italie, n’obtient que 7,8% des voix.

    Le Mouvement 5 Etoiles (M5S, antisystème) reste avec 20,4% le premier parti de cette région du Sud déshérité, mais ce score est également une énorme contre-performance après les 44% engrangés lors des législatives de 2018.

    Matteo Salvini a réagi :

    « Merci, la Ligue a triplé ses voix en un an, victoire en Basilicate aussi ». « Mes salutations à la gauche et maintenant on change l’Europe ».

    https://www.lesalonbeige.fr/lunion-des-droites-remporte-une-nouvelle-victoire-au-sud-de-litalie/

  • Réunion publique à Buzet-sur-Baïse (47) : discours de Marine Le Pen

  • Trump et la pseudo ingérence russe : l’enquête fait flop – Journal du lundi 25 mars 2019

     

    Trump et la pseudo ingérence russe : l’enquête fait flop

    Pas de preuve de collusion entre les Russes et Donald Trump pendant la campagne présidentielle. Après 22 mois d’accusations et de sous-entendus, l’enquête fuite dans les médias et révèle peu à peu l’absence de charge contre le locataire de la Maison Blanche… Une déception pour le Système qui ne compte pas en rester là.

    Gilets Jaunes Acte XIX : le calme après la tempête

    Après un samedi noir, l’acte XIX des Gilets Jaunes s’est déroulé relativement sereinement. Dans son siège éjectable, Christophe Castaner avait prévu un dispositif policier très important. Résultat : des manifestants dissuadés, des arrestations préventives en pagaille et un noyau dur toujours aussi déterminé.

    Européennes : Marine Le Pen et Emmanuel Macron, le face à face Acte II

    Deux ans après l’élection présidentielle, le scénario du face à face entre la présidente du Rassemblement National et Emmanuel Macron est en passe d’être rejoué pour les élections européennes. Le scrutin se polarise entre les autoproclamés progressistes et les “souverainistes”.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/trump-et-la-pseudo-ingerence-russe-lenquete-fait-flop-journal-du-lundi-25-mars-2019

  • Vers une alliance entre Vox (Espagne) et le PiS (Pologne) au Parlement européen

    Vers une alliance entre Vox (Espagne) et le PiS (Pologne) au Parlement européen

    Le président de Vox, Santiago Abascal, a rencontré mercredi dernier à Varsovie Jaroslaw Kaczynski, le président du PiS. Trois députés européens du PiS ont participé à la rencontre. L’un d’eux a ensuite déclaré que son parti et Vox s’accordaient sur le fait que « l’Europe devrait être une union d’États souverains, et non une fédération ». Selon la porte-parole du PiS,

    « la discussion a été productive et peut être considérée comme un signe avant-coureur d’une coopération substantielle après les élections ».

    Les deux parties veulent « que les États jouent un rôle plus important et que la compétence de Bruxelles en matière d’immigration de masse soit limitée ». « Vox est aussi un parti qui met l’accent sur les racines chrétiennes de l’UE et qui veut protéger la famille traditionnelle, ce qui est conforme aux positions du PiS », a-t-elle ajouté.

    Cela voudrait donc dire que le PiS a l’intention de continuer à faire vivre le groupe CRE (Conservateurs et réformistes européens) après le Brexit (s’il a lieu avant les élections). Car si ce groupe est le troisième du Parlement en nombre, il n’a en réalité que deux partis importants : le PiS et les Conservateurs britanniques. Vox n’a encore aucun élu au Parlement européen, mais il a réussi une percée spectaculaire sur la scène politique espagnole et pourrait obtenir 8 sièges selon les sondages actuels, ce qui en ferait le deuxième parti du groupe CRE.

    Verra-t-on le Fidesz hongrois rejoindre ce parti si sa suspension devait se prolonger ? Le quotidien hongrois Magyar Nemzet (La Nation hongroise), qui soutient le gouvernement et le parti au pouvoir, avait appelé Viktor Orbán et le Fidesz à quitter le PPE pour conclure une alliance avec La Ligue, le FPÖ et le PiS.

    La Ligue est aujourd’hui dans le même groupe que le RN. Mais comme le dit Sophie Montel, il existe des frictions entre les élus RN, les Hollandais (PVV) et la Lega. Les Italiens, qui sont au gouvernement dans leur pays, sont très sérieux au sein des institutions européennes et ils pourraient être tentés de rejoindre le PiS, également au pouvoir en Pologne.

    https://www.lesalonbeige.fr/vers-une-alliance-entre-vox-espagne-et-le-pis-pologne-au-parlement-europeen/ 

  • Le candidat nationaliste a dépassé les 10% à l’élection présidentielle slovaque

    Slovaquie – L’information est passée inaperçue en France mais à la mi-mars, aux élections présidentielles de Slovaquie, Marian Kotleba président du parti nationaliste L’SNS (Notre Slovaquie) a réalisé l’exploit de franchir le cap des 10%, se classant quatrième avec 10,6% des voix.

    Son parti mène en ce moment une campagne contre l’américanisation de la Slovaquie.

  • KOSOVO : L’EXEMPLE A NE PAS SUIVRE

    54524967_10157240136909216_624185247780569088_n.jpg

    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Mercredi 20 mars dernier, il y a quelques jours, cela faisait 20 ans que les premières bombes  américaines et celles des  pays membres de l’OTAN dont, hélas, celles de la  France, tombaient sur la Serbie et sa province du Sud, le Kosovo.

    La Serbie fut notre alliée pendant la Grande guerre, il n’y a qu’à comptabiliser le nombre d’avenues Pierre Ier de Serbie qui existent dans certaines villes de France et de Navarre. Ces raids de bombardement qui durèrent pendant près de 80 jours, aboutirent à déposséder ce pays de sa province historique, le Kosovo, majoritairement peuplée d’Albanais, suite à un très fort différenciel de natalité  et à une sournoise et massive immigration. (Noter qu’Il y a aussi des Albanais en Macédoine qui constituent environ un quart de la population, ce quin’est pas sans poser des problèmes de cohabitation.) Et en plus, ce 20 mars coïncida avec la confirmation de la condamnation, par la Cour pénale internationale de La Haye, du leader des Serbes de Bosnie, Radovan Karadzic, à la détention perpétuelle.

    Comment expliquer ce « deux poids, deux mesures », si l’on compare son sort avec celui d’Hashim Thaçi, le leader des musulmans kosovars ? Que l’ex-Président de la Républika SRPSKA de Bosnie, Karadzic, ait une responsabilité dans le massacre de Srebrenica en compagnie de son chef militaire d’alors, le général Mladic, c’est plus que probable. (Au fait, que faisaient les troupiers de l’ONU, notamment Hollandais, qui étaient sur place ? Rien, rien, comme d’ailleurs ceux stationnés dans les années 1990 au Rwanda, ni comme les militaires français qui, le 5 juillet 1962 à Oran, restèrent l’arme aux pieds pendant la chasse aux Pieds noirs.) Mais ceci est une autre histoire.

    Thaçi aussi coupable que Milosevic ou Karadzic

    Il y a une Injustice dans le traitement de ces deux personnalités, à tout le moins manque de symétrie judiciaire, car le Président Hashim Thaçi du Kosovo, cet Etat bidon, Etat mafieux, est passé au travers des mailles des filets onusiens et otanien. (Kosovo, un « Etat » toutefois reconnu par une centaine de pays, - dont la France, toujours à la pointe d’une mauvaise action diplomatique, mais pas par l’Espagne, et on la comprend avec son problème catalan !). 

    Le chef de « l’Etat » kosovar est à tout le moins, le responsable présumé d’une entreprise de nature « criminelle ». Ce n’est pas moi qui le dis mais, notamment, la Suissesse Carla del Ponte, procureur général au TPIY, le tribunal pénal international sur l’ex-Yougoslavie, dans différents rapports adressés aux Nations unies. Elle y dénonça, en son temps, notamment les trafics d’organes et les prélèvements de sang effectués contre leur volonté sur des prisonniers serbes, miliciens ou civils. Le chef de l’UCK ne pouvait pas ne pas être au courant de ces actes « délictueux », pour rester correct. L’UCK d’Hashim Thaçi, était une organisation terroriste notamment soutenue par nos « bons » amis et alliés Allemands, qui luttait contre les Serbes pour arracher « leur » province à la domination de Belgrade. Les alliés pensèrent qu’il aurait été trop énorme de rattacher directement le Kosovo à l’Albanie voisine, alors ils préférèrent créer un Etat fantoche pour une période, sans doute transitoire. Les masques sont tombés et 20 ans après ce dépeçage, - le Monténégro se sépara aussi de la Serbie, faisant de ce pays une contrée sans débouché maritime -, la minorité serbe qui est restée, ne survit dans ses enclaves que grâce à la protection onusienne et à l’action désintéressée d’associations caritatives. On sait que le berceau de la nation serbe est niché ici, dans ce Kosovo, - pensons à la bataille perdue  de « Kosovo Polje » en 1389 -, majoritairement peuplé d’une population d’origine ethnique albanaise.

    Le « 9-3 », un Kosovo français ?

    Soudainement, en évoquant le Kosovo, je pense à notre Île de France, - allez savoir pourquoi ? -, et, notamment, à la basilique de Saint-Denis où reposent les restes de certains de nos monarques, basilique nichée au cœur d’un département, le « 9-3 », en voie d’islamisation définitive. La Serbie cogne à la porte de l’Union européenne et, un comble, à celle de l’OTAN qui tua, bon an, mal an, un grand nombre de civils innocents. Saluons tout de même au passage, une fois n’est pas coutume, la décision prise à l’époque, par Jacques Chirac, qui ne voulut pas que nos aviateurs bombardent Belgrade.

    Où en sommes-nous en cette période anniversaire ? Le Kosovo est perdu pour la Serbie, c’est clair. Mais il y a au nord la poche de Mitroviça, peuplée à 100 % de Serbes. Les présidents des deux pays se sont discrètement rencontrés pour discuter d’un éventuel partage territorial : un Kosovo amputé de Mitroviça  en échange de l’abandon de toute idée de souveraineté par la Serbie sur le Kosovo, et d’une vallée limitrophe peuplée d’une minorité musulmane. Et cet artificiel Kosovo n’ayant aucune capacité à vivre réellement en autonomie pourrait, à terme, se rattacher à l’Albanie qui, confidentiellement, ne souhaite que ça, réalisant ainsi son rêve de « Grande Albanie ». Le salaire immérité de son adhésion à l’Alliance atlantique ? D’ailleurs, les sentiments des populations, s’expriment par drapeaux interposés : les Kosovars n’arborent que très rarement l’emblème artificiel concocté par les instances mondialistes pour leur pays, mais carrément l’aigle noir à deux têtes sur fond rouge, les couleurs  de Tirana. Mais il y a un « hic » à cette solution qui serait, somme toute, de nature in fine, à pacifier un conflit territorial sans fin au cœur des Balkans : la sacrosainte Intangibilité des frontières. Pourtant, l’ex-URSS a bien éclaté en 1991, comme l’ex-Yougoslavie elle-même, sans oublier l’ancienne Tchécoslovaquie.  

    Comme d’ailleurs, en Afrique, le Soudan à qui a été arraché le  Sud chrétien et animiste, surtout pétrolier !, et l’Erythrée à l’Ethiopie. Et qui peut nous dire si demain, le Royaume-Uni ne sera pas désuni sous l’impact d’un « Brexit » dur, entrainant alors l’Ecosse dans la sécession ? Les Europhiles nous disent que le nationalisme « c’est la guerre ». La guerre, ce sont de mauvais traités qui la préparent. Est-il utile de rappeler que pour le second conflit mondial, tout partit des Sudètes, cette région peuplée à 100 % d’Allemands, qui « enveloppait » la Tchécoslovaquie, et de l’invraisemblable poche de Dantzig ? Sans oublier que le traité de Trianon amputa la Hongrie de l’ex-Empire austro-hongrois, d’au moins 50 % de son territoire ? Ceci donnant d’ailleurs l’occasion à Viktor Orban, de proposer la nationalité magyare à toutes les minorités hongroises vivant « hors de ses murs », en Slovaquie, Voïvodine et Roumanie. Même les pacifiques contrées comme l’Autriche et l’Italie vivent, parfois, une « guerre des nerfs » à propos du Sud-Tyrol pour les uns, du Haut Adige pour les autres, un même territoire germanophone. Pour ne pas déterrer la hache de guerre avec la défunte Italie fasciste, De Gaulle, si prompt plus tard à renier l’Algérie française mais à agiter les passions souverainistes au Québec, refusa d’annexer le Val d’Aoste, pourtant francophone à l’époque, pour préserver l’entente future avec Rome. Alors oui, « les mauvaises paix préparent les bonnes guerres ». Mais de nos jours, à tout le moins chez nous, dans cette partie encore « civilisée » de l’Occident européen, il ne serait pas utile de modifier la géographie politique, - oublions les querelles linguistiques de nos voisins belges et autres -, alors que des hordes étrangères, inassimilables par leur nombre, se ruent sur nos frontières, à l’exception notable désormais, de notre sœur latine, et de la Hongrie.

    Les Etats-Unis vont nous « larguer » ? Tant mieux !

    Les Etats-Unis, leader de la coalition qui détruisit l’intégrité territoriale de la Serbie, semblent changer de cap sous la houlette de Donald Trump. Ils s’éloignent et oublient apparemment, leur tropisme européen*, pour se concentrer sur leur traditionnelle « chasse gardée », l’Amérique latine. Parallèlement, ils regardent de plus en plus vers le Pacifique. Raison de plus pour les nationalistes, patriotes, identitaires et autres « lépreux » européens que nous sommes, de se concentrer sur l’essentiel, en oubliant des querelles de frontières dépassées… L’essentiel ? La sauvegarde de nos populations, la conservation de notre exceptionnel patrimoine civilisationnel, contre une envahissante immigration incontrôlée, majoritairement afro-musulmane, encouragée par une pseudo élite masochiste, trahissant sa pourtant traditionnelle  mission de conductrice de peuples.

    L’occasion pour les pays qui le veulent et le peuvent, de se grouper pour assurer une défense commune indépendante.

    47690235.jpg

  • Les leçons à tirer de l’assassinat raciste manqué de peu à Milan

    B9718968853Z.1_20190320153214_000+G5KD7FS6I.1-0.jpg

    Bernard Plouvier

    On imagine que tous les chefs de famille, que toutes les mères européennes autochtones connaissent l’information : le 20 mars, un « Italien » nommé Ousseynou Sy (en réalité un immigré sénégalais) a voulu immoler 51 enfants italiens, en mettant le feu au car scolaire dont il était le conducteur attitré.

    Prévenus, les carabiniers ont pu éteindre l’incendie, après avoir évacué les enfants avant qu’ils ne grillent, immolés au racisme de cet individu « en colère parce que des Noirs meurent lors de leur transit en Méditerranée »... un voyage que nul Européen ne leur a demandé de faire.

    La première leçon à tirer de cette tentative d’assassinat raciste, qui n’a échoué que de très peu, porte sur les emplois qu’il est dangereux, voire stupide de confier à des immigrés « bizarres » : armée, police, gardiennage de prison, mais aussi tout poste les mettant en situation de dominance sur des personnes qui ne peuvent se défendre.

    Comme un nombre non négligeable d’attentats racistes ou djihadistes ont été perpétrés par des immigrés qui ne posaient apparemment pas de problème – c’est-à-dire des individus sans manifestation psychiatrique évidente, non catalogués fanatique religieux ou proclamant haut et fort leur racisme anti-Blancs -, il est un devoir de précaution : celui d’interdire tout emploi sensible à « nos chers immigrés ».

    Et l’on rappelle que dans de très nombreuses « démocraties » (dont la France), aucun gouvernement n’a pris l’avis de la Nation souveraine à propos de l’immigration extra-européenne qui confine à l’invasion et s’avère, année après année, de plus en plus dangereuse.

    Non plus seulement par un risque de remplacement de population majoritaire – du fait d’une natalité bien supérieure à celle des Européens autochtones -, mais aussi par la multiplication des viols et des appels au meurtre de Blancs, par les attentats de mahométans et par des manifestations de racisme dirigé contre les Européens.

    On parlait autrefois d’importer des travailleurs et l’on a importé la haine raciale et le Djihâd !  

    Une autre leçon à tirer est celle de la nécessité, pour tout Européen, de se munir d’un téléphone portable lorsqu’il s’aventure en cité riche en indésirables, pour lancer en cas d’urgence un appel au secours.

    Cela s’est avéré efficace à Milan et on ne peut que féliciter les forces de l’ordre italiennes. Reste à savoir si, dans la France de MM Macron et Castaner, les policiers, surmenés à force de frapper et de mutiler du Gilet Jaune, réagiraient aussi vite et avec autant d’efficacité. Il faut l’espérer, car sinon l’on serait en droit d’imaginer que nos impôts et taxes, qui forment une charge non négligeable, sont détournés à d’autres fins que celle d’assurer la sécurité des honnêtes citoyens, raison première du Pacte social.

    Que l’on exige la fermeture des téléphones portables des élèves et des étudiants durant les cours, c’est une mesure logique. Mais que l’on interdise les téléphones portables à l’école, c’est une mesure stupide dans l’état d’insécurité des populations européennes envahies de sujets à-demi fous de haine. 

    Une fois encore, il est urgent de consulter les peuples d’Europe sur la nécessité de poursuivre l’immigration-invasion et sur l’option inverse, celle du Grand Retour à l’envoyeur.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/03/24/les-lecons-a-tirer-de-l-assassinat-raciste-manque-de-peu-a-m-6138459.html