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Europe et Union européenne - Page 440

  • Affaire de la Salpêtrière : les Fake News permanentes du gouvernement avec Nicolas Dupont-Aignan

    Affaire de la Salpêtrière : les Fake News permanentes du gouvernement avec Nicolas Dupont-Aignan

    Hôpital de la Pitié-Salpêtrière : les Fake News du gouvernement

    Le 1er mai, Christophe Castaner monte au créneau. Il dénonce une attaque à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière par des manifestants. Appuyés par les médias, les condamnations s’enchaînent. Nicolas Dupont-Aignan accuse le gouvernement d’agiter les violences et de se rendre coupable des Fake News qu’il dénonce. Il réclame la démission du ministre de l’Intérieur.

    L’incendie de la cathédrale de Notre-Dame de Paris : les questions interdites

    Alors que le terrible incendie à la cathédrale Notre-Dame de Paris faisait encore rage, le gouvernement expliquait qu’il s’agissait d’un accident. Toute forme d’interrogation sur les causes du drame était taxée de complotisme. Nicolas Dupont-Aignan a relayé la parole des Français qui s’interrogent et veulent des réponses.

    Debout la France met le cap sur les Européennes

    Crédité de moins de 5% des intentions de vote dans les études d’opinion, Nicolas Dupont-Aignan a saisi la Commission des sondages. Pour lui, les chiffres de son parti sont sous-évalués.

    https://www.tvlibertes.com/affaire-de-la-salpetriere-les-fake-news-permanentes-du-gouvernement-avec-nicolas-dupont-aignan

  • Une autre liste dans la mouvance patriote et identitaire, celle de Renaud Camus et du SIEL

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    Le mouvement souverainiste SIEL a annoncé qu'il présentait aussi une liste intitulée "La Ligne claire" aux élections européennes du 26 mai prochain. Cette liste sera conduite par l'écrivain Renaud Camus, auteur du fameux livre sur le Grand remplacement. Parmi les candidats, il y a en deuxième position Florina Lignier, la jeune étudiante amiénoise victime de la répression policière (elle a perdu un oeil lors d'une manif de Gilets jaunes en décembre dernier), et Karim Ouchickh, président de ce mouvement.

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  • les bus ne marqueront plus l’arrêt à la gare de Bruxelles-Nord à partir de lundi

    Les chauffeurs disent craindre les épidémies de gale, de tuberculose et de paludisme signalées parmi un groupe de migrants qui séjourne aux abords de la gare.

    Les chauffeurs de De Lijn s’arrêteront plus aux arrêts situés aux abords de la gare Bruxelles-Nord à partir de lundi, selon Het Nieuwsblad et Het Laatste Nieuws. Cette information a été confirmée par Geert Witterzeel du syndicat chrétien ACV. Les chauffeurs se plaignent depuis des mois des conditions dangereuses et insalubres autour de la gare du Nord de Bruxelles.

    La porte-parole de De Lijn, Anneliese Meynaerts, indique que la société de transport n’a pas été informée de cette décision.

    Plus tôt cette semaine, Het Laatste Nieuws a signalé une épidémie de gale, de tuberculose et de paludisme parmi le groupe de migrants qui y séjournent. Les chauffeurs ne veulent plus s’arrêter aux arrêts de bus situés autour de la gare du Nord par crainte des maladies. Les syndicats ACV, ACOD et ACLVB ont donc convenu que les chauffeurs ne s’y arrêteraient plus.

  • Au Parlement européen, les députés LR ont voté toutes les dérives sociétales

    Au Parlement européen, les députés LR ont voté toutes les dérives sociétales

    De Benoît Dumoulin dans l’Incorrect :

  • Kosovo, le plus gros bobard de la fin du XXe siècle ?

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    Deux articles de Nicola Mirkovic et d’Antoine de Lacoste, publiés récemment sur ce site, saluent, à juste titre, celui du Monde diplomatique dans lequel Serge Halimi règle son compte à l’incroyable campagne de « bobards » à laquelle la quasi-totalité de la presse française a prêté son concours, pendant les 78 jours de la « guerre du Kosovo ».Il aura, en effet, fallu vingt ans pour que cette imposture et ses soutiens soient exposés crûment dans un organe de presse ayant pignon sur rue !
    Cependant, l’attention portée exclusivement à ces 78 jours masque un fait plus important encore, à savoir que ces contre-vérités et inventions, aussi burlesques que criminelles, n’auraient pas été gobées par les opinions publiques si elles n’avaient été précédées de huit années d’un pilonnage tout aussi intense de fausses nouvelles visant à diaboliser la Serbie. 
    Si cette désinformation a pu fonctionner si facilement, c’est qu’avait été instaurée dans nos médias une vision manichéenne dans laquelle les Serbes étaient le Mal absolu et leurs adversaires des anges purs.
    Pendant la période des bombardements (dont le prétexte était un imaginaire risque de désastre humanitaire au Kosovo), quelques voix éclairées auxquelles il était impossible d’interdire l’accès aux médias, comme celle de Régis Debray, ont contribué à fissurer le mur de censure implicite derrière lequel les « bobards » se donnaient libre cours. 
    Ces quelques voix qui réussirent à percer le mur de l’unanimisme complice ont permis, ensuite, à de vrais journalistes d’investigation comme Serge Halimi 1 et Pierre Péan 2de se glisser dans la brèche et de mettre au jour les manipulations sous-jacentes à cette sinistre propagande. 
    Il n’en va pas de même concernant les bobards des huit années qui précédèrent. 
    On a sans doute encore en tête la litanie des « informations » inventées de toutes pièces ou monstrueusement déformées (car les Serbes, naturellement, ne furent pas irréprochables !), mettant en scène les horreurs perpétrées par les Serbes, que nos médias ont déclinées sur tous les tons, en censurant impitoyablement toute contre-expertise (et pourtant, il en existait en abondance !) démontrant leur fausseté. 
    Épuration ethnique des Croates puis des Kosovars, viols massifs, camps de la mort, incrimination de génocide à Srebrenica … la liste en est trop longue pour qu’on les rappelle ici. 
    C’est sur ce terreau qu’ont pu prospérer les mystifications de la guerre du Kosovo, et ne pas le prendre en considération est se condamner à ne rien comprendre à l’hybris guerrière qui a saisi nos médias à cette occasion.
    Sur tout cela, un quart de siècle plus tard, non seulement les opinions publiques restent totalement mystifiées, mais mieux : ces bobards continuent d’être entretenus dans nos médias, notamment à chaque fois qu’un ancien dirigeant serbe est traduit devant le Tribunal pénal international. 
    Il est clair que tous ces bobards n’avaient qu’un but : préparer les opinions publiques à accepter, voire à désirer, l’agression militaire et le dépeçage de la Serbie. 
    Non, le Kosovo n’est pas « le plus gros bobard de la fin du XXe siècle » ; ce n’en est que l’apothéose programmée. 
    À quand la dénonciation, par Le Monde diplomatique, de la contribution des mêmes médias à cette « fabrication du consensus » ? 
    Notes:
    1. L’opinion ça se travaille, Agone, 2000 
    2. Kosovo: Une guerre « juste » pour un État mafieux, Fayard 2013 

    Maurice Pergnier

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/kosovo-le-plus-gros-bobard-de-la-fin-du.html#more

  • Ce sera difficile pour le Fidesz de continuer à faire partie du PPE si le PPE fait une alliance avec la gauche pro-immigration

    Ce sera difficile pour le Fidesz de continuer à faire partie du PPE si le PPE fait une alliance avec la gauche pro-immigration

    La coalition avance à droite… Matteo Salvini a rencontré Viktor Orbán hier à Budapest. Le Premier ministre hongrois a déclaré :

    « Pour nous les Hongrois, la valeur la plus importante est la liberté. C’est pourquoi c’est nous qui décidons avec qui nous voulons collaborer. Ça, c’est notre principe de base. C’est avec plaisir que nous sollicitons les avis de tout le monde et que nous les écoutons, car nous sommes un pays amical. Mais quant à la décision, elle nous appartient. La situation est la suivante. C’est le peuple italien qui décide par qui l’Italie est dirigée, c’est le peuple hongrois qui choisit comment et par qui la Hongrie est dirigée. Et aujourd’hui, c’est le Premier ministre de la Hongrie qui a rencontré le vice-premier ministre de l’Italie, afin de discuter du futur de l’Europe. Nous souhaitons être davantage respectés. »

    Viktor Orbán a dit que ce sera difficile pour le Fidesz de continuer à faire partie du PPE si le PPE fait une alliance avec la gauche pro-immigration.

    La semaine prochaine c’est Heinz-Christian Strache, président du FPÖ et vice-chancelier autrichien, qui sera à Budapest.

    https://www.lesalonbeige.fr/ce-sera-difficile-pour-le-fidesz-de-continuer-a-faire-partie-du-ppe-si-le-ppe-fait-une-alliance-avec-la-gauche-pro-immigration/

  • L’UE, ennemi des peuples européens et de leur civilisation

    La question européenne occupe une place centrale dans la propagande du Système. Face à ses adversaires nationalistes et populistes, le Système se présente comme le défenseur de l’Europe. Pendant longtemps, pour promouvoir le marché unique et l’Euro, il a mis en avant le thème d’une Europe gage de prospérité : le chômage et les difficultés des classes moyennes ont depuis ruiné l’argument. Pour convaincre l’opinion de la nécessité de l’élargissement, les oligarques ont également fait valoir la nécessité d’organiser le continent européen autour des valeurs de démocratie et des droits de l’homme : là encore l’argument est devenu moins convaincant, l’Europe étant désormais le plus souvent perçue comme une institution bureaucratique, gouvernée par des technocrates non élus. Le dernier argument du Système conserve lui en revanche toute son efficacité : l’Europe est présentée comme le garant de la paix et de la solidarité entre Européens, seule à même de les protéger contre les risques du désordre mondial. Le Système parvient à convaincre sans difficulté en faisant valoir que malgré ses défauts l’idée européenne mérite d’être défendue, tandis que l’arrivée au pouvoir des populistes et nationalistes mettrait en danger la coopération entre Européens et même la paix.

    Or tout est faux dans cet argumentaire. L’Europe de l’UE est le contraire de la prospérité, le contraire de la démocratie, le contraire de la protection des populations, le contraire de la solidarité, le contraire de la paix. L’Europe de l’UE est le contraire de l’Europe.

    • L’UE ne promeut pas la paix et la solidarité entre Européens : elle organise au contraire une concurrence générale

    La propagande présente l’UE comme un ciment entre Européens, un facteur de paix, un ferment de solidarité. Or c’est faux.

    L’UE est tout au contraire construite pour l’essentiel autour du principe cardinal de libre concurrence. Elle est dès lors le théâtre de la concurrence de tous contre tous : concurrence entre entreprises, entre Etats membres, entre populations mêmes.

    La concurrence entre entreprises est normale en système capitaliste. Mais la concurrence gouverne également les rapports entre les Etats membres. Certains attirent à eux les délocalisations internes à l’Europe en jouant sur leurs faibles salaires. D’autres mettent en œuvre le dumping fiscal pour attirer les sièges sociaux et l’installation chez eux de titulaires de hauts revenus. Dans ce contexte certains Etats accumulent les excédents budgétaires et commerciaux tandis que d’autres additionnent les déficits.

    L’UE organise également une concurrence entre les populations européennes. Elle a par exemple autorisé le travail détaché, qui permet à une entreprise française, par exemple, de faire travailler un salarié, polonais par exemple, en acquittant les charges sociales en vigueur dans le pays d’origine, très inférieures à ce que sont les charges sociales imposées en France. Ce système, qui joue au détriment des salariés ouest européens, est de plus en plus pratiqué : le nombre des travailleurs détachés ne cesse d’augmenter et est actuellement en France de plus de 500.000 (voir ici).

    Soulignons que les traités européens eux-mêmes indiquent que les institutions européennes n’ont pas compétence pour procéder à une quelconque harmonisation salariale et fiscale. Les décisions en matière fiscale et salariale doivent être prises au sein du Conseil européen, à l’unanimité qui plus est : aucune harmonisation n’est envisageable dans ces conditions, les pays qui profitent du système de dumping refusant bien entendu tout accord.

    • L’UE n’est pas européenne : elle n’est qu’un maillon de la mondialisation

    L’Europe est présentée par le Système comme un processus vers une coopération toujours accrue des Européens, pouvant aller à terme vers leur unification progressive. L’expression « construction européenne » utilisée de façon systématique vise à rendre compte de ce processus et de cette marche en avant vers un avenir meilleur. Les populations européennes sont séduites par le discours pro-européen du Système parce qu’elles sont attachées au principe de l’unification européenne : celle-ci leur paraît en effet à la fois comme une garantie de paix entre Européens et comme une nécessité face aux tentations impérialistes et agressives des grandes puissances. Or le discours de l’UE est une tromperie.

    L’UE, tout d’abord, n’est pas européenne : c’est une institution sous domination américaine. Ce sont les Etats-Unis qui ont voulu la CEE, comme le rappelle Philippe de Villiers, qui souligne notamment le rôle de Jean Monnet, personnalité aux ordres des Etats-Unis. Sur le plan de la défense en particulier, l’Europe est intégrée dans l’OTAN, dirigée par les Etats-Unis. De façon plus générale, sur le plan diplomatique, la plupart des pays européens, à commencer par l’Allemagne, donnent la priorité à leur alliance avec les Etats-Unis.

    De même, sur le plan économique, l’Europe n’est qu’un maillon de la mondialisation, laquelle a été mise en place là encore à l’initiative et sous la direction des Etats-Unis. C’est ainsi que l’UE a participé à l’entreprise d’abaissement progressif des barrières douanières, engagée dès après la seconde guerre pour constituer un marché mondial. De même l’UE a décidé, en 1988, la libération des mouvements de capitaux internationaux, non seulement au sein de l’UE mais à l’échelle mondiale : cette mesure décisive a rendu possibles les délocalisations.

    • L’UE ne protège pas les peuples européens : elle veut au contraire les diluer et les remplacer

    Le Système affirme que la construction européenne constitue pour les populations une protection. Face aux menaces qui croissent – hyperpuissance de la Chine, explosion démographique de l’Afrique, monde musulman conquérant – l’opinion est particulièrement sensible à cette dimension. Or cette promesse de protection est un mensonge.

    Bien loin de protéger les populations européennes, l’UE tout au contraire ouvre les frontières à l’immigration. Le cadre de vie des populations autochtones en est déstabilisé. Elles sont concurrencées sur le marché du travail par les immigrés qui viennent casser les salaires. Elles sont placées dans la vie quotidienne, dans la rue comme au travail, en position de stress et de risque. Un nombre croissant de pays européens, la France et la Grande-Bretagne en tête, font face désormais à un processus d’invasion.

    Malgré les inquiétudes grandissantes des populations européennes, manifestées notamment par le succès croissant des partis populistes, les dirigeants de l’UE et des pays membres répètent qu’ils ne modifieront pas leur politique d’ouverture, qu’ils ne fermeront pas les frontières et que les populations européennes devront s’adapter à un métissage inévitable. Déclarant que les Etats membres devront se répartir les réfugiés, ils veulent contraindre et punir les Etats européens récalcitrants, en prenant appui sur ce qu’ils appellent les « valeurs européennes ».

    Bien loin de protéger les populations européennes, les dirigeants de l’UE et des Etats membres ont résolu au contraire de les diluer dans un melting pot, au sein duquel européens de souche et personnes originaires de l’immigration seront fondus pour constituer, comme l’explique lumineusement Renaud Camus, une nouvelle population de consommateurs et de travailleurs interchangeables et dépourvus d’identité.

    On se situe avec l’UE dans le pur registre totalitaire. C’est le monde orwellien, dans lequel le mensonge est érigé en vérité : l’UE se déclare l’instrument de la construction européenne alors qu’elle est au contraire une machine de guerre contre l’Europe, contre ses peuples et contre sa civilisation.

    Dans ce contexte, ceux qui, comme l’ex FN, laissent penser qu’ils sont nationalistes et anti-européens commettent une grave erreur. La plupart des électeurs en effet sont profondément attachés à l’idée d’une union entre Européens, et ce à juste titre : il serait effectivement éminemment souhaitable de construire une Europe unie et solide. Cette Europe devrait choisir de mettre en commun sa défense et sa diplomatie, en laissant aux Etats membres la responsabilité des autres domaines de l’action publique. Cette Europe également devrait passer avec la Russie un accord privilégié.

    L’union nécessaire des Européens est une évidence. Parce qu’ils constituent une civilisation. Parce qu’ils ont la même culture religieuse. Parce qu’ils cultivent les mêmes mœurs européennes. Parce qu’ils pratiquent des langues de même origine indo-européenne. Parce qu’ils appartiennent à la même race. Parce qu’ils sont menacés sur leur territoire, en tant que peuples et en tant que civilisation. Mais cette union entre Européens suppose de combattre et de répudier l’UE…

    Voir également cette chronique : « La construction européenne est une escroquerie »

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • Matteo Salvini et Viktor Orban partenaires dans la lutte contre l’invasion migratoire

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    Matteo Salvini et Viktor Orban se sont retrouvés le long de la barrière anti-migrants dressée par Budapest il y a bientôt 4 ans. Des images qui illustrent bien ce qui unit la Hongrie et l’Italie : la lutte contre l’immigration. Les deux hommes entendent monter une alliance de partis anti-immigration en Europe après les élections européennes.

    Matteo Salvini a ainsi redit son souhait de travailler avec le Premier ministre hongrois sur l’immigration :

    Le problème n’est pas de redistribuer les migrants en Europe, le problème est d’avoir une Europe qui protège ses frontières terrestre et maritimes.

    Viktor Orban a même ajouté qu’il serait difficile à son parti, le Fidesz, de trouver sa place au parlement européen si le PPE n’allait pas dans le sens d’une collaboration avec des partis comme la Ligue du nord. La semaine prochaine, il doit recevoir le vice-chancelier autrichien Heinz-Christian Strache, président du FPÖ, le parti de la Liberté d’Autriche.

    https://fr.novopress.info/214431/matteo-salvini-et-viktor-orban-partenaires-dans-la-lutte-contre-linvasion-migratoire/

  • Véronique Besse à Nicolas Dupont-Aignan : “Les Amoureux de la France n’existent plus. Vous les avez fait voler en éclat”

    Véronique Besse à Nicolas Dupont-Aignan : “Les Amoureux de la France n’existent plus. Vous les avez fait voler en éclat”

    Nos amis du PCD nous ont transmis une lettre de Véronique Besse, ancien député MPF et maire des Herbiers, fondatrice des Amoureux de la France, à Nicolas Dupont-Aignan, datée du 8 avril, prenant acte de la fin de cette démarche… et sa nécessité toujours actuelle. Extrait :

  • Hongrie : Orbán prône une alliance entre les conservateurs européens et la droite identitaire de Salvini autour d’une ligne anti-immigration

    Le Premier ministre national-conservateur hongrois Viktor Orban et le patron de l’extrême droite italienne, le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, ont annoncé jeudi à Budapest vouloir engager une « coopération » après les européennes autour d’une ligne anti-immigration.

    « Nous recherchons clairement une coopération avec M. Salvini, sous une forme qui devra être définie », a déclaré le dirigeant hongrois au cours d’une conférence de presse commune. « Je suis convaincu que l’Europe a besoin d’une alliance de partis anti-immigration. »

    Toujours membre du Parti populaire européen (PPE, droite), dont il est suspendu depuis mars en raison de dérapages europhobes, M. Orban a redit son souhait de voir cette formation, à laquelle appartient notamment le CDU allemande, « coopérer avec les partis anti-immigration ».

    A défaut, « il va être difficile pour nous de trouver notre place » au sein de ce parti après le 26 mai, a-t-il ajouté. « Il serait préférable pour l’Europe que ce ne soit pas Macron, mais Orban et Salvini qui soient aux commandes » concernant le contrôle des frontières, a-t-il estimé.

    (…) L’OrientLeJour


    (…) Viktor Orban explique avoir « intérêt à consolider une bonne relation » avec le vice-président du Conseil italien. « Les gens, ici, le voient comme un compagnon de destin, nous subissons tous les deux des attaques, alors que c’est le héros qui a arrêté les migrations en mer, comme nous sur terre », dit-il en référence à sa politique consistant à entraver le passage des migrants sur la route des Balkans en 2015.

    Pour lui, « le PPE se prépare à se suicider, s’il veut se lier à la gauche et ainsi couler avec elle », à l’issue du scrutin européen.

    « Ne nous attachons pas à gauche, cherchons une autre voie, celle de la coopération avec la droite européenne. Nous ne savons pas quelle formation Salvini construira, mais espérons qu’il réussira à en créer une forte. Le PPE doit coopérer avec cette droite européenne. »

    Il s’agit bien sûr, dans son esprit, de répondre aux pressions migratoires : « Il faut prévoir le grand exode et, s’il n’est pas possible de l’empêcher, il faut l’arrêter. C’est pourquoi je pense que Salvini est aujourd’hui la personne la plus importante en Europe. »

    (…) Le Monde

    http://www.fdesouche.com/1200849-hongrie-orban-prone-une-alliance-entre-les-conservateurs-europeens-et-la-droite-identitaire-de-salvini-autour-dune-ligne-anti-immigration