Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 433

  • Immigration clandestine : « Si le bateau arrive en Espagne, ils sont chanceux, sinon ils perdent l’argent et recommencent »

    passeur-immigration-clandestine-600x397.jpg

    2000 euros, c’est le prix minimum pour atteindre l’Europe clandestinement depuis l’Afrique du Nord à bord de petits bateaux.

    Malgré une surveillance accrue, les filières de passeurs se multiplient et peuvent rapporter gros.

    Un passeur a accepté de témoigner et livre plus de détails.

  • En catimini, le Parlement européen poursuit son œuvre fédéraliste

    2018-07-19-17-26-23-1200x800-845x475.jpg

    Alors que les citoyens de l’Union européenne sont en pleine campagne électorale, en vue du suffrage qui aura lieu le 26 mai prochain pour désigner les députés européens, le Parlement de Strasbourg poursuit, en catimini, son œuvre fédéraliste.

    C’est ainsi que, le jeudi 4 avril dernier, l’instance européenne a voté un « règlement carte d’identité » instaurant le principe d’un document officiel porteur d’un symbole européen, d’un format et d’une couleur identique dans les différents pays de l’Union. Il est également prévu que ces différentes caractéristiques communes devront, peu à peu, compléter les documents que chaque État continuera à émettre, tout en gardant la possibilité (mais pour combien de temps ?) de maintenir des éléments spécifiquement nationaux.

    Pourtant, interrogé sur l’instauration de ce nouveau titre officiel, qui a tout d’une pièce d’identité européenne, le rapporteur du projet, le Belge Gérard Deprez, membre du groupe des libéraux et démocrates, déclare sans ambages : « Il n’est pas question de remplacer les cartes nationales d’identité par une carte européenne ; ni d’obliger les États membres qui n’en délivrent pas à en délivrer une ; ni de créer une banque de données européenne des empreintes digitales ; ni de constituer une base légale pour en créer une au niveau national comme se plaisent à le proclamer certains, au mépris de la vérité ! »

    Alors, à quoi va-t-elle servir ? Toujours selon l’eurodéputé belge, ce nouveau document serait simplement destiné à faciliter la circulation des personnes au sein de l’Union européenne. Mais n’est-ce pas, déjà, le but assigné d’une carte d’identité nationale ? Par ailleurs, les passeports actuellement délivrés par les États membres ne portent-ils pas, déjà, la mention « Union européenne » ? Quant à la bannière étoilée, ne figure-t-elle pas, par exemple, sur les nouveaux permis de conduire ? Autant dire que les explications avancées par l’élu européen ne sont pas très convaincantes. En réalité, avant même le choix des peuples qui aura lieu dans quelques semaines, et vraisemblablement inquiets du progrès des votes observés ces derniers mois dans plusieurs pays de l’Union, le Parlement de Strasbourg, encore majoritairement occupé par des fédéralistes, tente de poser quelques repères forts de dernière minute.

    Sans doute les élus concernés, savamment encouragés par une Commission apeurée, espèrent-ils faire émerger dans l’urgence et la précipitation cette notion de citoyenneté européenne après laquelle ils courent désespérément mais qui semble s’éloigner au gré des élections nationales. Citoyen européen « par les papiers » à défaut de l’être de cœur, c’est le message que porte cette nouvelle tentative de forcer l’avenir et le destin de peuples décidément récalcitrants. Comme si la distribution, sous un prétexte fallacieux, d’un documents officiel venu d’ailleurs pouvait, à elle seule, forger un sentiment d’appartenance à une entité supranationale dans laquelle de moins en moins de citoyens européens se reconnaissent.

    C’est dire la déconnexion totale qu’il existe désormais entre l’Europe fédéraliste et ultralibérale voulue par Bruxelles et les peuples qui subissent, au quotidien, la pression et les diktats de cette institution hors-sol. Le 26 mai prochain, sans doute pour la dernière fois, les citoyens qui composent les 27 pays de l’Union européenne (les Britanniques ayant déjà choisi) auront la possibilité de reprendre leur destin en main. Ce projet de carte d’identité européenne fixe l’objectif poursuivi par les fédéralistes : la fin des nations. ce funeste projet, il est encore possible de répondre par le choix d’une Europe des peuples libres et des grands projets. Ni plus ni moins que celle voulue par le général de Gaulle.

    Olivier Damien

    https://www.bvoltaire.fr/en-catimini-le-parlement-europeen-poursuit-son-oeuvre-federaliste/

  • Jean Messiha : “A Bruxelles, nous formerons une grande alliance des souverainistes et des patriotes”

    Jean Messiha s’exprime sur la notion d’identité nationale, selon lui en “menace d’extinction en France“.

    Pour Boulevard Voltaire, il revient également sur les enjeux des prochaines élections européennes pour les partis patriotes de chaque pays.

  • Débat saboté, cacophonie programmée ?

    6a00d8341c715453ef0240a49d1fab200b-320wi.pngLamentables choix, ce 4 avril, que ceux de l'Émission politique sur la chaîne étatique France 2. On la supposait devoir lancer la campagne des élections au Parlement européen. Assisté d'Alexandra Bensaïd, qu'on a connue meilleure, Thomas Sotto, responsable du plateau, confirma pendant toute la soirée, de manière impressionnante, le soupçon qui nous suggérait de le considérer comme un souriant crétin. Totalement au-dessous de son rôle. Un cavalier incapable de monter son cheval.

    On semble dès lors fondé à se demander si tant de médiocrité n'était pas voulue. Cette prestation misérable n'était-elle pas destinée à flatter la comparaison avec cet interminable monologue présidentiel des semaines précédentes baptisé grand débat national ?

    Mais peut-être une telle question, quelque peu complotiste, surestime-t-elle à son tour les princes qui nous gouvernent…

    En tout état de cause, la gestion d'une pareille apparence de controverse, sur un sujet aussi important, que celui de la future gouvernance de l'Union européenne, dépassait les moyens mis en œuvre.

    Ça commençait par une pitrerie, chaque intervenant étant prié d'apporter un objet symbolique, qui une paire de menottes, qui un morceau, vrai ou faux, du mur de Berlin, etc. Et ça tourna très vite en un brouhaha, sans que le maître des horloges, trop poli pour être honnête, parvînt jamais à calmer le chahut.

    Chacun voyant midi à sa porte, les avis se partageront quant à déterminer le meilleur, ou le moins exécrable, des participants. Je vote pour mon papa, le plus fort du monde. Hélas, on doit en convenir, avec le grand Galabru, qui le disait déjà en son temps : c'est très dur d'être bon dans un mauvais film.

    Les commentaires divergeront donc totalement.

    Si telle collaboratrice ou tel lecteur du Monde semble trouver que François-Xavier Bellamy à droite, et Ian Brossat, du PCF, à gauche, émergeaient au-dessus de la moyenne, si la plupart jugent le jeune Glucksmann hors sujet, d'autres ont pu apprécier en Madame Loiseau, vêtue de rose, dans un environnement de vestes masculines bleues un amusant paradoxe ; presque seule à défendre l'acquis communautaire, elle représentait l'unique parti qui n'a jamais siégé à Strasbourg.

    Élections européennes dites-vous ? Mais on a surtout entendu parler de petits intérêts, en général imaginaires, de l'Hexagone, dans un contexte mal compris, aussi bien par les trois quarts des débatteurs que par la majorité de leurs électeurs.

    Certes on s'est chamaillé autour de la question migratoire, préoccupation légitime de ceux qu'on stigmatise avec beaucoup de mépris comme des populistes. Elle exaspère les tenants du politiquement correct ; elle fracture l'opinion européenne en deux blocs antagonistes ; et elle amène, avec beaucoup de retard, les partis du centre droit à se rapprocher des différents partis qui se sont développés, depuis 40 ans, sur cet unique mécontentement. Regrettons simplement que les solutions proposées concrètement n'aient pas pu se voir développées. Au moins avons-nous entendu une tirade éloquente, et sans doute sincère, du représentant communiste. Il y réaffirma son option en faveur d'un accueil, encore plus large et généreux, des derniers futurs électeurs d'une gauche décidément en perdition. Merci camarade stalinien pour cette piqûre de rappel.

    Au lendemain de ce pseudo-débat cacophonique, avouons quand même que nous eussions préféré l'évocation prioritaire des vrais problèmes européens. Aucune des questions régaliennes qui se posent à l'ensemble du Vieux Continent, n'a été abordée : ni la justice, ni la police, ni la défense. Encore moins celles de la recherche, de la cybersécurité, qui nous concerne tous, de l'Estonie au Portugal, ni, globalement, de nos moyens militaires insuffisants ou de notre industrie de défense.

    Tous semblaient déplorer le manque d'emplois. Hélas, on n'a guère perdu son temps de parole pour défendre l'entreprise, l'apprentissage, l'investissement ou l'épargne.

    Avec beaucoup de sincérité l'authentique écolo de service nous a parlé du bonheur. Au moins ne l'a-t-il pas promis.

    Pour le débat comme pour l'amour, comme aussi bien pour la guerre, il vaut toujours mieux n'être, ni un tout seul, ni douze, mais deux. Ceci disqualifie aussi bien le solo jupitérien du mois précédent, que cet inaudible et inutile tumulte dodécaphonique d'un soir.

    JG Malliarakis 

    https://www.insolent.fr/

  • Brexit : connivence entre la majorité parlementaire britannique, européiste, et la nomenklatura eurocratique

    Brexit : connivence entre la majorité parlementaire britannique, européiste, et la nomenklatura eurocratique

    De Bernard Antony :

    Brexit or not Brexit : palinodies ?

    Il y a bien sûr une clé d’interprétation de tous les atermoiements britanniques et eurocratiques pour la mise en œuvre du « brexit ».

    La clé, c’est qu’il y a une connivence pour que celle-ci n’ait pas lieu entre la majorité de la classe parlementaire britannique, nullement en accord avec ses électeurs, et la nomenklatura eurocratique. 

    Quant à Theresa May, elle aura été une artiste dans cette conjoncture, digne de donner des leçons à Macron, car voulant, et simultanément, ne voulant pas, de la sortie de son pays du bidule bruxellois. Et voici que le président du Conseil Européen, Donald Tusk, va à son secours en proposant un report « flexible » de 12 mois pour la mise en œuvre du Brexit. Ce qui aurait bien sûr pour effet de faire encore élire des députés britanniques au Parlement européen qui, une fois élus, n’auront pas envie d’en sortir…

    Il faut bien sûr que Tusk obtienne la semaine prochaine l’accord des 27 dirigeants des pays membres de l’UE. Gageons que ce sera le cas, sauf veto de Macron.

    Après quoi, beaucoup d’eau coulera sous les ponts de Londres et de Strasbourg, et peut-être la conjoncture paraîtra-t-elle favorable à Theresa May (ou à son successeur ?) pour tenter un autre référendum ?

    Sur le débat d’hier au soir entre les têtes de liste pour les élections européennes.

    C’est mal parti pour madame Loiseau ! Je me garderai bien de tomber dans la facilité, d’ironiser, tellement son personnage se prête à la caricature. Cette pauvre dame qui n’a pas eu la décence de demeurer dans sa charge de ministre ferait peut-être meilleure figure dans le cinéma en jouant par exemple quelque personnage de second rôle de Simenon.

    Hier au soir, il lui manquait d’évidence de pouvoir tricoter tranquillement. À la vérité, elle ne faisait pas médiatiquement le poids en comparaison de la pétulante et jolie petite peste de la France Insoumise, ou encore de Jordan Bardella, tranquillement sûr de lui.

    La désignation de madame Loiseau me confirme dans mon idée que Macron débloque narcissiquement de plus en plus, et je persiste à penser qu’il ne terminera pas son quinquennat.

    François-Xavier Bellamy est sympathique mais il fait par trop encore jeune professeur voire bon premier de la classe, très poli. Il a judicieusement apporté Homère pour parler de sa conception de l’Europe mais, pour le reste, il manquait un peu de souffle, un brin de piment tribunicien. On ne voit pas un Démosthène ni un Cicéron pointer sous Bellamy.

    Je ne sais plus lequel du calamiteux Hamon ou d’un autre de la gaucherie désunie a défendu l’idée d’une « constitutionnalisation » obligatoire dans tous les pays de l’UE du droit à l’avortement [c’était Hamon, NDMJ]. La sacralisation de l’IVG est désormais le dogme fondamental de la religion de la République du Panthéon. Ils ont bien été cinq ou six à rappeler l’insanité que « la femme doit pouvoir faire ce qu’elle veut de son corps ». Insanité, parce que justement l’embryon n’est pas « son corps » mais déjà le corps de son enfant, qu’elle a, comme toutes les femmes en voie de maternité, l’incomparable, la sublime mission de faire venir au monde et non de lui ôter la vie.

    Dommage qu’aucun autre candidat n’ait répondu aux fanatiques de l’IVG en formulant cette objection de conscience !

    https://www.lesalonbeige.fr/brexit-connivence-entre-la-majorite-parlementaire-britannique-europeiste-et-la-nomenklatura-eurocratique/

  • L’Italie rétablit la filiation naturelle dans les formulaires

    L’Italie rétablit la filiation naturelle dans les formulaires

    Le gouvernement populiste italien a rétabli cette semaine les termes de “père” et “mère” sur les formulaires pour les cartes d’identité. Matteo Salvini, vice-Premier ministre et patron de la Ligue, a salué :

    “On retrouve un peu de bon sens”.

    Le lobby LGBT, mais aussi des figures du Mouvement 5 étoiles (M5S), l’allié gouvernemental de M. Salvini, sont rapidement montées au créneau pour dénoncer la mesure.

    Ce matin, Matteo Salvini était à Paris dans le cadre d’une réunion des ministres de l’Intérieur. Il en a profité pour rencontrer Marine Le Pen, avec laquelle il prévoit d’organiser un meeting en commun vers la fin de la campagne des élections européennes.

    https://www.lesalonbeige.fr/litalie-retablit-la-filiation-naturelle-dans-les-formulaires/

  • Un débat ou un peloton d’exécution ?

    Un débat ou un peloton d’exécution ?

    François Billot de Lochner a eu le courage de regarder le débat hier soir entre les têtes de listes aux européennes :

    12 candidats alignés le long du mur comme au peloton d’exécution : c’était le triste spectacle de l’Emission politique, le premier grand rendez-vous de la campagne des élections européennes ce jeudi 4 avril sur France 2. En toute sincérité, notre admiration va à tous ceux qui se sont prêtés à l’exercice de regarder ce pensum, à ce charcutage pitoyable de l’expression politique.

    En effet, chaque candidat s’est vu octroyer un temps de parole de 12 minutes. 12 petites minutes, éclatées en parcelles infinitésimales, rendant plus absconse que jamais une parole publique en mal de légitimité. Les journalistes recrutés pour l’occasion, Thomas Scotto et Alexandra Bensaïd, donnaient l’impression d’avoir échoué sur le plateau d’Intervilles, multipliant les blagues ratées pour donner aux téléspectateurs sur la voie de l’endormissement le sentiment que la politique, en 2019, c’est funIncapables d’arbitrer entre les candidats, et de faire circuler intelligemment la discussion, ils sont apparus comme des obsédés du chronomètre, au détriment du développement d’une pensée raisonnable et argumentée. Peut-on faire de la politique sérieusement quand on s’exprime par tranches de 15 secondes ? Les candidats n’avaient pas grand-chose à dire, et l’on ne sait pas précisément si c’est le manque d’idées qui a donné lieu à ce débat bégayant, ou si sa forme maladroite ne pouvait tout simplement pas accoucher d’autre chose que de propos moribonds.

    Malgré tout, qu’en retirer ? D’une manière assez étonnante, c’est très largement l’euroscepticisme qui a prévalu sur l’ensemble du débat. Le désenchantement européen est bien là. Avec une touchante naïveté – il est même étonnant que les rédacteurs en chef de l’émission aient laissé passer cela –, Alexandra Bensaïd a fait se déployer sur les écrans une magnifique infographie pour nous expliquer ingénument que l’Union européenne nous faisait perdre des milliards chaque année, et nul ne s’est amusé à la contredire. Tous, au fond, savent que cette Europe que l’on nous a tant vantée est incapable d’affronter les défis qui sont les nôtres aujourd’hui, à commencer par l’immigration et l’islamisation du contient et le désarroi identitaire dans lequel elles nous plongent. Sans oublier, évidemment, la pauvreté croissante, le chômage qui ne diminue pas, et les dépôts de bilan qui se multiplient.

    Nathalie Loiseau, la candidate LREM, comme Jean-Christophe Lagarde, tout deux les plus volontiers « européistes », avaient bien du mal à faire souffler un vent d’enthousiasme sur le plateau.

    La gauche de la gauche s’est enfoncée dans l’utopisme le plus délirant, en vantant les mérites d’une fraternité universelle à laquelle plus personne ne croit : le disque est bien rayé, et même les nouvelles têtes, comme Raphaël Glucksmann, n’ont pas l’air d’y croire.

    Pour les Républicains, la confrontation à ses adversaires a fait ressortir la fragilité de François-Xavier Bellamy, mal à l’aise pour articuler ses fameux grands principes à une pensée concrète non technocratique.

    Les politesses et les ronds-de-jambe, ironiques ou non, entre Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan, Jordan Bardella et François Asselineau, ont fait vraiment mesurer à quel point un tel morcellement de la droite souverainiste est absurde. Dans le marasme général, ce dernier s’est toutefois distingué par des arguments précis et percutants contre les contradictions dans lesquelles s’empêtrent sans cesse les tenants du modèle dominant : pourquoi vitupérer contre la Hongrie et la Pologne, quand on alimente un système qui leur verse des milliards chaque année ? Pourquoi se lamenter sur les afflux de migrants, quand on préfère financer l’Estonie ou la Grèce, plutôt que d’apporter une aide au développement ciblée à destination des pays francophones d’Afrique ?

    Une chose est certaine, et dans une certaine mesure, il nous faut nous en réjouir : le système de Bruxelles et de Strasbourg a vécu, et l’ensemble de la classe politique sent confusément qu’à plus ou moins brève échéance, il faudra – enfin – penser d’abord à la France.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-debat-ou-un-peloton-dexecution/

  • Débat sur les européennes : la grande cacophonie – Journal du vendredi 5 avril 2019

    Débat sur les européennes : la grande cacophonie

    Le débat sur les européennes vire à la cour de récréation. Pendant plus de 3 heures, 12 têtes de liste pour les élections européennes se sont écharpées sur le plateau de France 2 faisant la part belle à la forme plutôt qu’au fond.

    Marine le Pen rencontre Matteo Salvini

    Un rendez-vous discret mais qui pourrait peser dans une hypothétique alliance des parties patriotes en Europe. Marine le Pen a rencontré le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini à Paris à moins de deux mois du scrutin continental.

    Requin et surfer à la réunion : l’impossible vivre ensemble ?

    Et un peu de fraîcheur avant l’arrivée des beaux jours avec un détour par la Réunion où les surfers doivent composer avec d’encombrants voisin : les requins. Depuis plusieurs années des dispositifs ont été mis en place pour permettre aux passionnés de glisses et aux prédateurs sous-marins de cohabiter.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/debat-sur-les-europeennes-la-grande-cacophonie-journal-du-vendredi-5-avril-2019

     

  • 20 ans après l’intervention de l’Otan en ex-Yougoslavie, quelles leçons pour aujourd’hui ?