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Europe et Union européenne - Page 433

  • Au moment où s'ouvre le Salon de l'Agriculture, le Parti de la France présente ses 12 propositions pour le monde rural :

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    Jean-François Touzé, secrétaire national du PdF
    En dix ans un tiers des exploitations agricoles à disparu en France dans l'indifférence générale y compris celle des syndicats censés les représenter mais fonctionnant de plus en plus comme les mandants de leurs propres intérêts ou de ceux exclusifs des grandes exploitations. Entre un tiers et la moitié des exploitants gagnent moins de 350 euros par mois, l'immense majorité des éleveurs touchant moins de 1 000 euros. 75 % des exploitants à la retraite touchent une pension inférieure à 450 euros mensuels. Tous les deux jours, un agriculteur se suicide. Voilà le quotidien, voilà la réalité de notre monde paysan.
    Au moment où s'ouvrent les portes du Salon de l’agriculture 2019 et où Emmanuel Macron, lors de son inauguration samedi, toujours dans l'incantation, s'est autoqualifié de « patriote de notre agriculture », les Français attachés à notre ruralité sont en droit d'exiger des actes.
    Le Parti de la France demande à l'Exécutif de s'engager sur douze points essentiels.
    1. Alléger la pression administrative et normative pesant sur les exploitations et procéder au gel de toute nouvelle évolution réglementaire risquant de générer de nouvelles charges.
    2. Réduire le coût du travail, notamment saisonnier, pour permettre aux employeurs agricoles d'être compétitifs par rapport à leurs concurrents européens.
    3. Permettre par la loi un rééquilibrage équitable entre les intérêts des agriculteurs, des industries de transformation, et surtout ceux de la grande distribution en mettant un coup arrêt aux pratiques et méthodes de cette dernière trop souvent établies sur la base du fait accompli. C'est aux producteurs qu'il appartient de fixer les prix.
    4. Limiter le développement et les effets de l'agriculture cellulaire encouragée par les multinationales de l’industrie agro alimentaire et les fonds de pension anglo-saxons.
    5. Légiférer contre l'accroissement des accaparements de terres fertiles par des groupes étrangers sans rapport avec le domaine de l'agriculture et, à l'inverse, prendre des mesures pour assurer la transmission et les successions dans la pérennité des exploitations et chaque fois que cela est possible, dans le cadre familial.
    6. Promouvoir la qualité française par l’instauration d'un label de référence tout en agissant dans le cadre de la Politique Agricole Commune pour une protection des productions communautaires, le refus des traités commerciaux qui ouvrent les portes à des produits qui ne respectent pas les normes imposées à nos agriculteurs, et une dynamisation de nos exportations.
    7. Stopper le processus en cours de transfert des aides européennes à l’agriculture vers un budget dédié à l'accueil des migrants.
    8. Garantir le versement dans des délais raisonnables des aides promises par la Commission européenne et par les Régions aux exploitants, en particulier aux producteurs laitiers qui font le choix du bio.
    9. Mettre fin à l'agribashing. Nos compatriotes agriculteurs sont de plus en plus en proie à des campagnes incessantes de dénigrement sur les thèmes de la pollution, de la malbouffe, de la maltraitance animale, alors que l'agriculture française est exemplaire dans sa réduction des traitements phytosanitaires et des pesticides, comme dans sa recherche de qualité. Ces campagnes doivent cesser tout comme doivent cesser les actions pro véganisme.
    10. Développer la recherche pour une agriculture française de la précision et de l'excellence
    11. Soutenir les filières à forte potentialité comme les céréales, la viticulture et les produits laitiers.
    12. Mettre fin aux sanctions contre la Russie qui, en suscitant des mesures de rétorsion contre l'Europe et donc contre la France, met en péril de nombreuses exploitations, touchant en particulier les filières du porc, du lait et des fruits et légumes.
  • Européennes : ce sondage qui met LREM au zénith pose quelques questions

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    À trois mois des élections européennes, un sondage BVA place le parti d’Emmanuel Macron nettement en tête, à 25 %, suivi par le Rassemblement national, à 19 %. Nettement derrière, aucune liste ne dépasse les 10 % : Les Républicains sont juste à 10 %, EELV à 9 %, La France insoumise à 7,5 %, Debout la France à 6 % et le PS à 5 %. Enfin, on trouve une série de petites listes à moins de 5 % et, donc, dans l’incapacité d’avoir des élus : gilets jaunes à 4 %, Génération.s de Benoît Hamon à 3 %, UDI et PCF à 2 % chacun, Jean Lassalle à 1,5 %.

    Ce sondage apparaît très étonnant pour la droite – et inquiétant pour elle si les résultats finaux devaient être ceux-là. En effet, le total des voix de droite des trois grandes listes (RN+DLF+LR) est de 35 %. Un score total très bas, quasiment jamais vu. À comparer au total des mêmes formations lors de la présidentielle de 2017 où Marine Le Pen, François Fillon et Nicolas Dupont-Aignan totalisaient alors 45 % ! L’électorat de droite se serait évaporé à hauteur de 10 % ! Or, quand on regarde où il aurait pu se nicher, par exemple chez LREM que l’on dit attractive pour certains électeurs de droite, on constate que le parti présidentiel fait peu ou prou le score d’Emmanuel Macron : 24-25 %. Et il est difficile d’envisager que ces électeurs de droite fantômes soient partis chez Hamon, Mélenchon ou dans les listes résiduelles.

    De l’autre côté, à gauche et au centre, on observe au contraire une grande stabilité : LREM, donc, toujours à 24-25 %, le PS et Hamon toujours à 6-8 %, et le total EELV + France insoumise + PC correspond exactement au score de Jean-Luc Mélenchon (19 %) à la présidentielle.

    Cela ne fait que redoubler le scepticisme : où se sont donc volatilisés les électeurs de droite ?

    Il faut lire les petites lignes du sondage pour comprendre :

    – la marge d’erreur est comprise entre 1,4 et 3,3 points. À ce compte-là, si, par hypothèse, les trois partis de droite sont sous-estimés de la totalité de la marge, on retrouverait précisément les 10 % d’électeurs de droite disparus !

    – avec une telle marge d’erreur, un échantillon aussi réduit (474 personnes ont exprimé une intention…) et une multiplication des petites listes données à 1, 2 ou 3 %, il suffit que 7 ou 8 personnes se déclarent pour que Jean Lassalle atteigne 1,5 % !

    – sur les 929 personnes interrogées, seules 474 se sont déclarées certaines d’aller voter, soit une participation de 51 %. Normal, pour des élections européennes, même si, il y a cinq ans, cette participation n’était que de… 42 %. Il se pourrait donc que ce sondage surestime nettement la participation, et une participation favorable au pouvoir, puisque le sondage ne comptabilise pas les blancs ni les nuls. C’est un phénomène classique aux élections européennes, qui fonctionnent comme un scrutin de mi-mandat : le parti au pouvoir y est sanctionné. On voit mal comment le parti d’Emmanuel Macron, empêtré dans la crise des gilets jaunes, l’affaire Benalla et une situation économique décevante, échapperait à cette loi.

    Certes, les droites sont encore loin de proposer une alternative forte et crédible, comme celle qui se dessine en Italie actuellement. Mais les raisons qui les ont hissées, en 2017, à plus de 45 % des suffrages sont plus que jamais d’actualité. Il serait donc étonnant que les électeurs de droite, animés d’une certaine colère et d’un esprit de revanche compréhensible, laissent passer le scrutin de mai 2019 pour offrir une victoire symbolique à Emmanuel Macron dont l’image, la politique et les résultats sont le sujet d’interrogations profondes.

    Le parti d’Emmanuel Macron en tête à 25 % ? On a le droit de douter. Et quelques solides raisons aussi.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/europeennes-ce-sondage-qui-met-lrem-au-zenith-pose-quelques-questions/

  • Arme fatale, fenêtre de tir

    vote-urne.jpgLe site atlantico interrogeait Stephan Sylvestre, ingénieur en physique appliquée, professeur à l’ESG Management School et spécialiste en risques énergétiques, sur la découverte par les britanniques dans leurs eaux territoriales, en Mer du Nord, d’un énorme gisement de gaz de schiste, «l’équivalent d’un siècle de consommation britannique. »  Un ballon d’oxygèneune divine surprise pour le gouvernement de Theresa May, apte à ragaillardir les milieux économiques en cette période d’incertitude sur les modalités et les conséquences du Brexit. «Dans le contexte du bras de fer américano-européen sur les accords commerciaux notait aussi M. Sylvestre, cette découverte va servir les Européens, même après la sortie de la Grande-Bretagne de l’UE. En effet, les Américains exercent une forte pression pour obliger l’Europe à s’approvisionner en gaz naturel liquéfié yankee à la place du gaz russe délivré par le (gazoduc) Nord Stream 2. Mais si l’Europe parvient à produire son propre gaz, l’argument tombera et l’administration américaine aura plus de mal à justifier sa politique douanière actuelle. Quant à l’Allemagne, elle ne se désengagera pas pour autant du projet Nord Stream 2 ; mais elle disposera d’un atout supplémentaire pour négocier avec (la compagnie russe) Gazprom le prix et les volumes de son gaz. (…). »

    Tensions et pressions sont aussi au menu du parti populaire européen (PPE), écartelés entre ses différentes tendances, menacés par des forces centrifuges qui fragilisent cette coalition de circonstance. Un PPE rapportait Euractiv cette fin de semaine, qui peine de plus en plus, à l’approche des élections du 26 mai, à gérer le cas Viktor Orbán  dont les élus de son parti, le Fidesz, siègent au PPE en compagnie de parfaits eurofédérastes immigrationnistes.

    «Tout a commencé après que Viktor Orbán a lancé une campagne dénigrant (le président la Commission européenne) Jean-Claude Juncker.» «Les critiques à l’égard de Viktor Orbán prennent de l’ampleur au sein du groupe politique européen, et ce particulièrement après (une nouvelle campagne d’affichage) du gouvernement hongrois représentant Jean-Claude Juncker et (le milliardaire immigrationniste et mondialiste) George Soros et les accusant de vouloir faire envahir la Hongrie par des migrants. (M. Juncker ) avait réagi en déclarant que le Premier ministre hongrois ferait mieux de quitter le PPE, la plus grande famille politique européenne. » Or, pour des raisons tactiques aisément explicables, «plusieurs partis européens membre du PPE interrogés par Euractiv semblent préférer une approche moins radicale face au chef du gouvernement Hongrois. Un membre du parti chrétien-démocrate allemand CDU a déclaré que l’idée d’exclure Viktor Orbán du PPE avait suscité un  débat houleux au sein du groupe parlementaire de la CDU à Berlin, où de nombreux membres avaient exprimé la crainte que le Hongrois ne se rallie à Matteo Salvini ou à Marine le Pen Si nous le rejetons, Matteo Salvini l’accueillera à bras ouverts… »

    Mais les Français qui ont instinctivement plus de sympathie et d’empathie pour M. Orban que pour M. Juncker se mobiliseront-ils dans les urnes pour les élections européennes, scrutin boudé plus généralement par un européen sur deux? La dernière enquête Ifop pour le JDD indique que 82% des Français interrogés estiment qu’il est très important de voter à ce scrutin… mais dans le même temps, ils sont plus de la moitié à dire qu’ils s’abstiendront.

    C’est ce paradoxe qui explique pour une très large part les sondages qui placent la liste LREM/MoDem en tête des intentions de vote, sachant que les catégories les plus perméables au discours macroniste-européiste sont a priori les plus mobilisés ou les plus mobilisables. Le baromètre BVA pour RTL, Orange et La Tribune réalisé le 20 et le 21 février relève ainsi que « c’est chez les 65 ans et plus (76%), les cadres (68%) et les habitants d’agglomération parisienne (74%) que l’intérêt (pour le scrutin européen) est le plus fort.» A contrario, « il est significativement plus réduit» au sein des catégories et dans les zones géographiques qui donnent à l’opposition nationale ses meilleurs scores: « les moins de 35 ans (55%), les 35-49 ans (53%), les employés et ouvriers (53%) et les habitants de communes rurales (53%). »

    Ce même sondage crédite ainsi la liste d’union LREM/MoDem de 25% des voix devant la liste du Rassemblement National (19%) et loin derrière les listes LR, (10%), EELV (9%), LFI (7,5%), DLF(6%), PS (5%) Génération.s (3%),  PC (2%)… Un sondage Harris Interactive et Agence Epoka diffusé ce dimanche crédite lui la liste LREM/MoDem de 22% des suffrages, celle du  RN de 19% (20% en cas d’absence d’une liste GJ) , la liste  LR de 12% et de scores à peu près identiques pour les autres listes que ceux indiqués dans le baromètre BVA.

    Il serait très malheureux, a fortiori dans ce contexte, assez inédit, ou moins de deux ans après son arrivée au pouvoir, les options politiques, économiques, la vision du monde de la majorité présidentielle et de son incarnation jupiterienne sont frontalement rejetées par une très nette majorité de Français - et au sein de celle-ci par un noyau dur animé par une grande colère -,  que nos compatriotes ne se saisissent pas de l’arme du voteRichard Dessens l’écrivait sur le site eurolibertés vendredi, « le grand combat européen annoncé par Emmanuel Macron entre démocraties libérales légales mais illégitimes, et démocraties illibérales, ou populismes, lèpres ou crypto-fascismes si ce n’est encore pire, repose sur la peur de peuples en réveil. L’avatar des Gilets Jaunes français, ou un Brexit dur de plus en plus assumé par le Royaume-Uni, les votes italien, hongrois, autrichien, polonais, sans compter les poussées anti-libérales de toutes sortes partout en Europe, constituent des évènements certes disparates, protéiformes, mais révélateurs d’un mal-être européen en ordre dispersé de plus en plus inquiétant pour les intérêts des élites qui depuis plus de cinquante ans tiennent dans une main de fer les dogmes de leur idéologie dévastatrice.»

    Mais il est désormais de bon ton d’expliquer dans les gros médias que nous serions entrés dans une nouvelle phase, comme le prouveraient d’autres enquêtes indiquant notamment une lassitude, un rejet croissant par nos compatriotes de la mobilisation des GJ et une légère mais significative remontée de la cote de popularité de M. Macron dans l’opinion; deux tendances enregistrées dans la dernier sondage Odoxa. Une double phénomène qui a toute sa logique et que nous avions expliqué dans de récents articles. Mais la grosse manip n’est jamais loin quand cette même enquête met en balance d’un côté le trio qui bénéficie le plus de la sympathie ou du soutien des Français, à savoir Alain Juppé, Nicolas Sarkozy et Jean-Yves Le Drian (!!!) et de l’autre   le palmarès des personnalités les plus rejetées, à savoir Marine Le Pen (52 %), Jean-Luc Mélenchon (50 %) et Marion Maréchal (49 %)» !

    Manipulations dont ne se privent pas non plus la probable? possible? présumée? potentielle? tête de liste de liste LREM/MoDem,  le ministre des Affaires européennes, Nathalie Loiseau. Pour essayer de compenser son déficit de notoriété, celle-ci multiplie ces derniers temps les critiques  contre Marine; c’est somme toute de bonne guerre. Mais les attaques de Mme Loiseau… ne volent pas haut. Dans un tweet en date de ce vendredi, elle prenait prétexte d’une phrase d’un discours de  la présidente du RN lors de son tout récent déplacement en Haute-Marne. « Nous vivons un contexte de tensions, disait Marine, que le pouvoir entretient sciemment : on l’a vu avec les provocations verbales de M. Castaner, ou de Mme Schiappa contre les partisans de la Manif pour Tous, ou avec l’incident diplomatique disproportionné avec l’Italie. »

    L’exégèse qu’en fait Nathalie Loiseau est la suivante: « lorsqu’il y a des violences, Marine Le Pen prend parti contre les forces de l’ordre et lorsque il y a ingérence étrangère elle prend parti contre la France. Vous n’arrivez pas, Madame Le Pen et surtout vous n’y arrivez pas: pas de projet, que du rejet. » Cette énarque macroniste croit-elle  aux énormités qu’elle professe? Quand on obéit à la feuille de route de ce gouvernement, accuser Marine, et à travers elle le RN, d’inciter au désordre, à la violence, de collusion avec l’étranger, et de défendre une politique dangereuse est un exemple chimiquement pur d’inversion accusatoire!

    Alors oui, affirme Bruno Gollnisch, il s’agit de redoubler d’efforts pour  convaincre les Français de voter utile le 26 mai. Priver la liste LREM/MoDem de la première place sur le podium serait d’une portée symbolique, psychologique très importante et aurait bien évidemment pour avantage d’accélérer la nécessaire recomposition politique que nous appellons de nos voeux. Or, comment ne pas voir, pris en étau d’un côté entre la tentation totalitaire de la Caste euromondialiste, une accélération des mesures liberticides, de dépossession de notre souveraineté nationale, et de l’autre la poursuite d’une politique d’immigration massive, que nous sommes engagés dans une course contre la montre? Les occasions de recouvrer la maîtrise de notre destin vont aller toujours  en  s’amenuisant, nos compatriotes doivent impérativement se saisir de  toutes les fenêtres de tir!

    https://gollnisch.com/2019/02/25/arme-fatale-fenetre-de-tir/

  • Hervé Juvin : "Energie, alimentation, territoires : quels enjeux pour la France et l'Europe ?"

  • Migrants : l’Espagne va augmenter la hauteur des clôtures frontalières à Ceuta

    L’Espagne, confrontée à une forte pression migratoire, va augmenter la hauteur des doubles clôtures frontalières qui séparent du Maroc son enclave de Ceuta, a annoncé samedi le ministère espagnol de l’Intérieur.

    « La hauteur de la clôture sera augmentée de 30%, atteignant les dix mètres, là où se sont produites le plus d’entrées« , a annoncé le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, lors d’une visite à Ceuta, dans des propos reproduits dans un communiqué de son ministère.

    (…) Les travaux de renforcement de cette clôture à Ceuta « commenceront dans à peu près un mois et demi« , selon le ministère espagnol.

    La clôture a été prise d’assaut à plusieurs reprises ces dernières années par des migrants africains qui souhaitaient pénétrer dans l’enclave espagnole qui, avec celle de Melilla, constitue la seule frontière terrestre entre l’Afrique et l’Union européenne.

    Certains de ces assauts ont été violents, comme ceux de juillet et août derniers, quand les migrants ont pénétré dans Ceuta en lançant de la chaux vive et des excréments contre les forces de l’ordre, blessant plusieurs d’entre eux.

    (…) RTBF

    http://www.fdesouche.com/1164573-lespagne-va-augmenter-la-hauteur-des-clotures-frontalieres-a-ceuta-elles-ont-ete-prises-dassaut-a-plusieurs-reprises-par-des-migrants-africains

  • La Chambre des députés italiens a adopté jeudi un texte permettant aux citoyens de proposer des lois

    (Belga) La Chambre des députés italiens, dominée par les populistes du Mouvement 5 Etoiles (M5S, antisystème) et de la Ligue (extrême droite) a adopté jeudi un texte permettant aux citoyens de proposer des lois, une possibilité qui n’existe pas aujourd’hui.

    Le texte adopté prévoit qu’un projet de loi découlant d’une initiative citoyenne et ayant recueilli au moins 500.000 signatures doit être approuvé dans les 18 mois par le Parlement qui ne peut pas y apporter des modifications substantielles. Si le Parlement ne l’adopte pas dans ces délais ou s’il le modifie en profondeur, un référendum +propositif+ est alors organisé. La loi est considérée comme adoptée dans sa forme originelle si plus de 25% des électeurs ont voté et si le +oui+ l’emporte lors de ce référendum. A l’heure actuelle, la constitution italienne ne prévoit qu’un référendum abrogatif, visant à supprimer des lois, entièrement ou en partie, et le quorum est fixé à 50% plus un des électeurs. Ce projet de loi, qui modifie deux articles de la Constitution, doit pour cette raison encore passer l’examen du Sénat, puis retourner à la Chambre des députés et de nouveau au Sénat. Toutes les modifications de la Constitution italienne exigent une double approbation des deux chambres du Parlement. Cette idée de loi d’initiative citoyenne, ou référendum +propositif+ comme il a été baptisé en Italie, est un cheval de bataille du M5S qui a fait de la démocratie directe et de l’implication des citoyens dans le processus décisionnel une de ses priorités lors de la dernière campagne électorale. Théoriquement, le référendum peut porter sur n’importe quel type de loi, pourvu que ces dernières respectent la Constitution. Un jugement préventif sur l’admissibilité, ou non, du projet de loi sera demandé à la Cour constitutionnelle dès que le document aura recueilli au moins 200.000 signatures et avant qu’il n’arrive au Parlement. Le référendum d’initiative citoyenne, le RIC, est une des revendications majeures des « gilets jaunes » en France. (Belga)

    http://www.fdesouche.com/1164021-litalie-veut-permettre-aux-citoyens-de-proposer-des-lois-au-parlement

  • Bastion social : « Nous refusons d’être les Palestiniens de l’Europe ! »

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    Propos recueillis par Nous sommes Partout cliquez ici

    La République aux abois a annoncé lors du dîner du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF), la dissolution de mouvements « d’extrême-droite dont le Bastion Social ». Mouvement surtout connu pour sa volonté de venir en aide aux Français et aux Européens les plus démunis aux travers de projets de solidarité et de défense du patrimoine local comme en Alsace. L’annonce du chef de l’Etat, en tout cas, n’a entamé en rien l’esprit de combat des militants. Rencontre avec Tristan Rochelle, responsable du Bastion Social Lyon. 

    Le 21 février 2019,  lors du dîner annuel du CRIF, structure représentant moins d’1% de la population française, selon les propos de son président François Khalifat, Emmanuel Macron a annoncé la dissolution du Bastion Social, présenté comme un levier de l’antisémitisme. Quelle est votre réaction à la suite de cette annonce inattendue ?

    Tristan Rochelle : En réalité, ça n’a rien d’extrêmement surprenant. Ce n’est pas la première fois que notre éventuelle dissolution est évoquée ou demandée. Il faut le voir comme une forme de consécration. Nombre de mouvements nationalistes ont déjà subi le même sort depuis Occident en 1968. C’est l’une des armes favorites du régime et pour cause, depuis cinquante ans, il réitère les mêmes erreurs face aux mouvements d’opposition nationale.

    Cet effet d’annonce n’est-il pas lié au fait que vous êtes en train de mener une action très importante en Alsace avec votre programme de réhabilitation de maisons traditionnelles pour en faire un lieu de vie et d’accueil pour les SDF ?

    T.R : En effet, cette nouvelle réquisition solidaire est symptomatique de la vitalité et du regain d’énergie de notre mouvement. Il est dans l’intérêt du régime d’étouffer les braises avant qu’elles ne deviennent incendie. Le contexte de dépérissement progressif du mouvement des Gilets Jaunes n’y est pas étranger non plus. On a coutume de dire que ceux qui font les insurrections à moitié ne font que creuser leur propre tombe.

    Le Bastion social oeuvre principalement en direction des plus démunis, les abandonnés de la République. Qu’avez-vous à répondre à cette accusation d’antisémitisme qui semble venir à point nommé après le saccage du cimetière de Quatzenheim ?

    T.R : Si le CRIF le dit, c’est sans doute que c’est vrai. Après tout, qui sommes-nous pour oser douter de leur bonne parole ?

    Selon le quotidien 20 minutes, des tags sur les tombes laissent à penser que les profanations auraient été commises par le mouvement autonomistes des « Loups noirs alsaciens », regroupant trois nonagénaires … L’âge des présumés protagonistes démontre que vous n’avez rien à voir avec cette « mouvance ». N’avez-vous pas l’impression de servir de bouc émissaire ?

    T.R : Cette affaire n’est qu’une grotesque mascarade. La dernière en date était la délirante affaire des « Barjols » (NDLR SN : élucubrations journalistiques sur un fantomatique complot contre Macron en 2018 et qui ont fait un flop). Les gens ne sont pas dupes, la principale vertu du mouvement des Gilets Jaunes aura d’ailleurs été de nous le démontrer.

    L’annonce a dû être un choc pour tous les militants qui agissent sur le terrain dans un esprit de solidarité pour aider les plus démunis. Que comptez-vous faire face à cette Fatwa républicaine ?

    T.R : Cela ne fait que nous conforter dans nos convictions, la lutte continue. Nous nous battons pour un idéal, pas pour un sigle ou une tête d’affiche. Comme le dit un chant qui nous tient à cœur : « Que nous font insultes et horions ? »

    L’annonce d’Emmanuel Macron est d’autant plus  surprenante que, lors de son discours, le président du CRIF a bien identifié ceux qui sont les principaux responsables de l’antisémitisme en France, les islamo-gauchistes, dont vous êtes aussi les victimes puisque vos locaux sont systématiquement la cible des Antifas pro-palestiniens dont l’ultraviolence n’est nullement censurée sur les réseaux sociaux et encore moins dans la réalité. L’état se trompe visiblement de cible. comment l’analysez-vous ?

    T.R :Le régime ne se trompe pas de cible, il attaque ceux qui lui semblent représenter un potentiel obstacle à son maintien et à la poursuite de ses méfaits. De plus, nous tenons à rappeler que nous avons toujours soutenu le combat du peuple palestinien pour la reconquête de son indépendance et nous nous sentons profondément solidaires de tous les peuples luttant pour leur liberté. Nous refusons d’être les palestiniens de l’Europe.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/22/bastion-social-nous-refusons-d-etre-les-palestiniens-de-l-europe.html

  • Européennes2019 : la DF appelle au rassemblement des nationalistes

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    Communiqué Vincent Vauclin,

    Président de la Dissidence Française cliquez ici

    Dans un contexte de crise profonde de représentation politique, de répression arbitraire de la liberté d’expression et d’opinion, et de révolte populaire contre la lobbycratie incarnée par Macron, il est plus urgent que jamais de formuler une alternative politique véritable au mondialisme libéral.

    Ainsi, les élections européennes de Mai prochain seront l’occasion de faire entendre une autre voix, et de mener une offensive résolue contre le politiquement correct et la pensée unique.

    C’est la raison pour laquelle nous avons proposé, il y a deux semaines, l’organisation d’une primaire de la droite nationale, destinée à désigner une candidature unique qui représenterait notre famille politique aux élections européennes. Si cette idée a reçu un large soutien de la part des militants de tous horizons, elle ne semble pas avoir convaincu les responsables des autres organisations puisqu’aucun n’y a répondu positivement.

    Il est pourtant capital que toutes les tendances du nationalisme français soient représentées par une liste unitaire lors de ce scrutin : ce sera l’une des ambitions de la Liste de la Reconquête, présentée par la Dissidence Française et qui se veut ouverte aux candidatures extérieures.

    Nous lançons donc un appel aux cadres et militants nationalistes, quelles que soient leurs appartenances, pour qu’ils participent à nos côtés à cette grande mobilisation et soutiennent cette dynamique de rassemblement des forces de résistance au Système.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’Allemagne se montre réticente face au retour de ses djihadistes

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     EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Donald Trump a beau tweeter frénétiquement, les Allemands ne l’entendent pas de cette oreille. Le président américain avait demandé à ses alliés européens de prendre les mesures nécessaires au rapatriement des djihadistes capturés par les troupes au sol de la coalition.
    Les djihadistes seraient relativement nombreux, environ 800 si l’on en croit le compte Twitter du locataire de la Maison-Blanche. Mais si Donald Trump n’hésite pas à les qualifier de « fighters », de combattants, la réalité est sans doute plus complexe : il y a parmi eux nombre de femmes et d’enfants dont les cas posent un problème épineux aux Etats européens.
    Une réaction unie de l’Allemagne face à ce retour

    De l’autre côté du Rhin, la ministre de la Défense d’Allemagne n’a pas hésité à prendre parti : les ressortissants allemands capturés en Syrie doivent être jugés sur place. Elle estime en effet que les djihadistes, une fois rapatriés, n’auraient pas de mal à échapper à la justice : la question du djihad est juridiquement très complexe à caractériser. Pas de preuve matérielle, pas de témoins … Tandis que sur place, les autorités syriennes disposent de tous les éléments à charge. La ministre des Affaires étrangères allemande a soutenu cette réaction confirmant les difficultés engendrées par de telles démarches.

    À Damas, Bachar el-Assad doit regarder avec beaucoup d’amusement ce spectacle. Les pays occidentaux ont voulu sous-traiter aux Kurdes les combats contre Daech et finalement ne récoltent aujourd’hui que la monnaie de leur pièce.

    Qu’en est-il de la France sur ce sujet ?

    Ainsi, parmi les 150 djihadistes que la France est censée rapatrier prochainement, on compte à peine 50 hommes. Pourtant selon des interviews rapportés par BFMTV ces femmes djihadistes sont loin de regretter leur choix ainsi que la barbarie qu’elles voient perpétrer. Un responsable du camp de Syrie dénonce que « Même si elles disent aujourd’hui ne plus être avec Daech, la plupart continuent d’avoir une pratique extrémistes de la religion musulmane. Qui seront prêtes à tout sacrifice pour que l’Islam prospère à nouveau. »

    https://fr.novopress.info/