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Europe et Union européenne - Page 441

  • Julien Langella : « Le premier écosystème d’un homme, c’est son peuple ! »

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    Entretien téléphonique avec Julien Langella, porte-parole d’Academia Christiana ♦ Le premier colloque annuel d’Academia Christiana se tiendra le 26 octobre 2019, à Paris, sur le thème : « Regards croisés sur notre identité » et sera organisé en partenariat avec la revue Éléments.
    Les orateurs de qualité se succéderont, qu’ils soient catholiques, païens, athées ou agnostiques pour évoquer la question brûlante de l’identité.
    Nous avons interrogé Julien Langella, par téléphone, sur ce colloque, sa vision de l’identité et sur les troubles au sein de l’Eglise sur ce sujet clivant.
    Polemia

    Promouvoir le Beau, le Vrai et le Bien

    Polémia : A lire le programme, on a l’impression que païens et chrétiens tenteront de régler leurs différends ! N’y parlera-t-on pas trop de religion au détriment de l’identité ?

     Julien Langella : Alors, l’objectif n’est pas du tout de verser dans le débat contradictoire. Notre objectif n’est pas non plus d’être dans l’œcuménisme narcissique où on s’auto congratulerait d’être d’accord sur presque tout.

    Notre but c’est de faire se croiser des regards qui peuvent varier sur l’identité, car nous n’avons pas la même foi et parfois pas les même convictions philosophiques. Certains héritages nous touchent par exemple plus que d’autres selon nos convictions. Pour nous, l’héritage médiéval et peut-être pour les néo-païens un héritage germanique ou grec ou encore plus ancien.

    Ces regards identitaires, bien que différents, veulent promouvoir le Beau, le Vrai, le Bien, les vertus de liberté, de force, de grandeur, de recherche du noble geste… Cela nous parle évidemment à nous catholiques, puisque ce sont toutes ses valeurs qui ont été portées au pinacle par le catholicisme médiéval…

    Je pense que l’on peut s’entendre sur ces questions-là avec des néo-païens ou des athées…

    Le but finalement n’est pas de parler de nous mais de parler de notre identité avec ce que nous sommes.

    Polémia : Etant donné la qualité des intervenants, le colloque s’annonce comme un moment de grande intelligence. Quel est son objectif affiché ?

    Julien Langella : Le premier objectif affiché, c’est de faire se rencontrer et se parler des gens qui échangent déjà de manière informelle mais, cette fois-ci, de manière publique afin d’assumer des positions qui nous sont communes sur la défense intégrale et intransigeante de notre identité et de notre longue mémoire.

    Mais la question identitaire n’est pas seulement culturelle. Elle est aussi économique. Quel système économique est le mieux à même de promouvoir notre identité, de la valoriser et de la protéger ?

    Il en est de même pour la question écologique. Quelle écologie identitaire, sachant que le premier écosystème d’un homme, c’est son peuple ?

    Polémia : L’ambition est-elle d’établir un programme commun ?

    Julien Langella : Non, l’objectif n’est pas de faire une Convention de la Droite Identitaire. Ce que l’on souhaite faire, c’est une démonstration de force d’une droite authentique qui soit identitaire et antilibérale. Ce sont nos deux chevaux de bataille.

    Nous faisons ce colloque pour montrer qu’il existe des gens suffisamment intelligents pour pouvoir parler ensemble de ces sujets-là, pour combattre ensemble sur ces sujets-là, pour défendre ensemble leur identité et faire ensemble cette synthèse à laquelle une partie de la droite échappe, engoncée dans son tropisme libéral et bourgeois. Nous voulons dynamiter tout cela et unir les intelligences et les cœurs autour de cet espoir afin d’accoucher d’initiatives concrètes.

    Nous, à l’Academia Christiana, nous sommes un institut de formation et nous avons par exemple des gens de chez nous qui conseillent des personnes qui vont se présenter aux élections municipales dans quelques mois.

    Identité charnelle et culturelle

    Polémia : Aujourd’hui, de nombreux travaux de généticiens viennent confirmer définitivement que les populations humaines diffèrent génétiquement – et de manière significative – entre elles. Selon vous, l’identité d’un peuple est-elle avant tout culturelle ou génétique ?

    Julien Langella : Pour moi, l’aspect génétique, l’aspect biologique, l’aspect racial – comme on le disait à une époque où on avait encore le droite de le dire, mais tout cela signifie de toutes manières exactement la même chose – fait partie intégrante de notre identité et doit être défendu.

    Je crois que le bon Dieu a fait des humanités différentes et on ne doit pas s’excuser d’aimer une belle peau rose constellée de grains de beauté. On ne doit pas s’excuser de vouloir que les Européens restent des blancs. En effet, je crois qu’il existe des différences biologiques. Dans le monde anglo-saxon, la recherche à ce sujet est bien plus libre que chez nous. Il y a chez eux un aspect pragmatique qui nous fait défaut.

    Il suffit de regarder la répartition des prix Nobel en sciences dures… Il n’y a quasiment que dans les faux prix Nobel comme celui de la Paix que vous avez des extra-européens qui sont représentés.

    Regardez les sprints, regardez les sports à explosion comme le basket… Il est évident que les Africains sont sur-représentés.

    Pour moi, cette réalité fait partie de l’identité. Cependant, c’est une condition nécessaire mais pas suffisante pour définir notre identité. Pour moi, un Européen est évidemment un blanc. D’ailleurs, le cardinal Joseph Ratzinger, futur pape Benoit XVI, disait : « L’Europe est en voie d’extinction ethnique. » Il ne dit pas démographique. Il emploie le terme « ethnique ». Cela signifie que, pour lui, l’Europe est de moins en moins blanche.

    Donc pour nous, c’est un véritable problème. On doit affronter ça sereinement et l’analyser sans aucun tabou. Jean-Paul II disait : « Toute vérité est nôtre. »

    Je suis ravi de voir que des analyses scientifiques viennent confirmer ce que je pense d’instinct sur la question raciale.

    Quant à l’aspect culturel, je pense qu’il n’y a qu’un seul moyen de devenir Français ou Européen, c’est d’en hériter. Et, éventuellement, on peut le devenir par infusion dans un milieu gaulois, patriote et spirituellement enraciné.

    L’Eglise en pleine tourmente identitaire

    Polémia : Vous évoquerez le combat identitaire et l’Eglise. Quel regard portez-vous sur le raport actuel de l’Eglise à l’identité ? Du pape François au curé de campagne, la préoccupation identitaire ne semble pas la priorité de l’Eglise !

    Julien Langella : En Europe occidentale, oui. Dans le reste du monde, pas du tout.

    C’est-à-dire que le discours du pape François, au niveau de l’Eglise universelle, est en réalité très minoritaire. Quand on entend Mgr Turkson ou le cardinal Sarah, on entend un discours anti libéral et anti-immigration ! Pour eux, un monde sans frontières, c’est d’abord un monde sans limites, notamment économiques. En ce moment, au sein de l’Eglise, c’est en effet le chant du cygne des vieux cathos gauchistes qui sont en train de mourir, krach démographique oblige, et qui poussent leur dernière complainte.

    On sait que l’Eglise a traversé d’autres pontificats catastrophiques et elle s’en est toujours relevée. Quand tous les empires se sont écroulés, nous sommes là depuis 2 000 ans.

    Je pense qu’on a le devoir de dire au pape François : « Attention ! » Quand il parle politique, identité ou immigration, c’est Bergoglio qui parle et nous ne lui devons aucune allégeance !

    Le problème, c’est que, il y a un siècle et demi, personne ne connaissait le visage du pape ! Il y a une hypertrophie médiatique qui fait qu’on en a fait une star ! Et dans certains diocèses français, à la même époque, on ne connaissait même pas la tête de l’évêque… L’Eglise, c’était le curé du coin ! L’Eglise subit donc une dérive libertaire et gauchiste mais aussi une crise de taille. Le gigantisme et l’hypertrophie médiatique m’inquiètent énormément.
    Cependant, au milieu de la crise, ça me rassure beaucoup de voir le nombre de vocations dans les milieux traditonnalistes. L’Eglise de demain ne sera pas celle que nous subissons aujourd’hui. Et nous avons le devoir, avec charité et respect filial, de dire : « Là, vous vous trompez ! » J’invite tous les catholiques à dire à leur curé : « Je crois que vous vous trompez. »

    Le pape Benoit XVI disait : « La charité dépourvue de vérité n’est qu’une coquille vide. » Je crois que nous sommes en plein là-dedans.

    Entretien téléphonique avec Julien Langella

    https://www.polemia.com/julien-langella-premier-ecosysteme-homme-peuple/

  • Hier après-midi à Rome : immense rassemblement pour soutenir Mattéo Salvini et exiger des élections immédiates

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    Suivre sur le site de Lionel Baland cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/19/cet-apres-midi-a-rome-immense-rassemblement-pour-soutenir-sa-6184244.html

  • Grand Remplacement : le « complot » est une réalité

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    Par Camille Galic, journaliste, essayiste ♦ Invité sur BFM le 7 octobre dernier, Robert Ménard a rejeté l’idée d’un « match retour » entre Macron et Marine en 2022, estimant que la présidente du Front national « n’était pas une bonne candidate » pour la prochaine présidentielle au motif que sa présence donnerait à l’actuel locataire de l’Elysée « l’assurance d’être réélu ». Pour autant, le maire de Béziers rejette lui aussi « l’emploi de l’expression Grand Remplacement », selon laquelle « la population européenne serait remplacée de manière organisée par une population immigrée », théorie qu’il juge « complotiste ».

    C’était déjà ce que proclamait le 4 juin 2016 Florian Philippot, qui rejetait avec condescendance ce concept, ajoutant : « Ce que je n’aime pas dans cette notion, c’est que c’est extrêmement flou et qu’on peut y mettre ce qu’on veut derrière, y compris des théories qui seraient racialistes et complotistes. » Lui préférait évoquer le « phénomène qui s’appelle l’immigration massive, dont sont responsables la droite et la gauche depuis des années et des décennies ». Tout à fait d’accord. Mais s’est-il jamais demandé si, « depuis des décennies », « la droite et la gauche » mais malheureusement aussi les Eglises, dont celle de Rome où le Souverain Pontife a inauguré le 29 septembre place Saint-Pierre un monument aux Migrants (selon lui : « la chair de l’Eglise »), ne sont pas en service commandé ?

    Grand remplacement réalité ou intox ? Il est temps de trancher !

    La panacée onusienne des « migrations de remplacement »

    Comme Robert Ménard aujourd’hui, Philippot semblait en effet avoir oublié un document irrécusable prouvant l’existence, la détermination et la nocivité des « remplacistes » : le rapport diffusé début janvier 2000 par la « Division de la Population, Département des Affaires Economiques et Sociales des Nations Unies ».

    Ce texte capital envisageait froidement les « migrations de remplacement » (eh oui !) comme seule « solution au déclin et au vieillissement des populations » de notre continent, faute de quoi les gouvernements seront contraints de « réviser beaucoup de leurs options et programmes économiques, sociaux et politiques ». Un « accroissement de la population d’âge actif par le biais d’une migration internationale demeurera, pour le court et le moyen terme, le seul choix permettant de réduire l’importance de la baisse », martelait ce rapport qui soulignait encore que le maintien d’un niveau de vue décent « exige dans tous les cas de figure une immigration beaucoup plus importante que dans le passé [avec] l’intégration d’un nombre important de migrants récents et de leurs descendants » (dont, soit dit en passant, 40% sont au chômage en France).

    Quel nombre ? Interrogé dans Libération le 6 janvier 2000, le démographe français Joseph-Alfred Grinblat, l’un des auteurs du rapport onusien, assénait froidement : « A évolution constante, l’Union comptera 5 millions d’habitants de moins en 2025, 40 millions de moins en 2050. […] Par simple projection mécanique […], l’Europe, pour simplement maintenir sa population active à son niveau absolu de 1995, aurait besoin de 24 millions d’immigrés d’ici à 2025. S’il s’agit de préserver l’équilibre actuel entre actifs et inactifs, les besoins de main-d’œuvre étrangère montent carrément à 159 millions de personnes, dont 23 millions pour la France, 26 millions pour l’Italie et même 44 millions pour l’Allemagne. »

    Pour rétablir l’équilibre, l’expert conseillait-il le lancement d’une politique résolument nataliste comme s’y essayent maintenant la Hongrie et la Pologne ? Evidemment pas : ce que suggérait ce parfait VRP du mondialisme, c’est « le relèvement de l’âge de la retraite à 75 ans », en tablant perversement sur l’égoïsme et l’hédonisme des Occidentaux prêts à tout, y compris à subir un grand remplacement, pour préserver leurs « acquis ».

    Les résultats concrets du « fantasme »

    Près de vingt ans plus tard, la révolution ourdie par les idéologues manipulateurs du « Machin » (dont l’omniprésent milliardaire Soros qui, via sa fondation Open Society, finance les No Borders) agitant des chiffres extravagants pour mieux faire accepter une déferlante moins spectaculaire, est en marche. Par intérêt immédiat — après nous le déluge ! — ou par un dévoiement (parfaitement organisé) du devoir d’accueil à un prochain de plus en plus lointain, les envahis se résignent.

    Après l’arrivée de plus d’un million de réfugiés, Mme Merkel et le patronat allemand, dirigeants de Volkswagen et de Mercedes en tête, ne se sont-ils pas publiquement réjouis du « formidable coup d’accélérateur » que cette masse allogène, jeune et masculine en grande majorité, allait donner à l’économie germanique ? Jusqu’à présent, c’est plutôt la cadence des viols qui augmente puisqu’on ne compte plus les malheureuses gamines agressées et parfois assassinées par des Irakiens et autres Afghans (l’un d’eux est actuellement recherché pour le viol de deux gamines de 13 et 16 ans) qui s’est accélérée. Et la direction de Volkswagen a dû constater tristement qu’il faudra « au moins cinq ans » pour former ces gaillards — supposé d’ailleurs qu’ils le souhaitent — aux métiers de l’industrie les plus basiques et les convaincre que la discipline, des horaires et des équipes, est aussi la force principale des usines.

    Selon Caritas International, l’Italie s’est classée en 2018 – avec 5 255 503 résidents étrangers réguliers sur son territoire (8.7% de la population) – en troisième position de l’Union européenne derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni, et juste devant la France en ce qui concerne l’accueil — forcé — de migrants.

    Grand Remplacement en Europe. La folie suédoise

    En Suède, le tsunami migratoire à très forte connotation musulmane a provoqué selon Sheri Berman, professeur à l’Université de Columbia, une « révolution anthropologique d’ampleur historique » aux conséquences incalculables et la France, dont toute l’actualité judiciaire, de la meurtrière « guerre entre tribus » à Marseille aux insupportables violences dans les transports ou les écoles, est dominée, est liée à la présence toujours plus massive d’allogènes, est sur la même voie.

    Mais qu’importe aux « remplacistes » institutionnels et à leurs courroies de transmission « caritatives » qui soutiennent mordicus que nos pays sont bien assez riches pour recevoir toute la misère du monde, les réfugiés économiques — et, demain, climatiques — ayant autant de droits que les politiques ! L’essentiel est que les migrants soient désormais chez eux chez nous, d’où ils ne partiront pas. Toute incitation à leur retour au pays est d’ailleurs considérée comme raciste. Et donc condamnée, en vertu des totalitaires « lois-baillons » imposées par l’Union européenne à tous les Etats membres et dont, persécutés par la justice française, les jeunes militants de Génération Identitaire et le courageux Eric Zemmour viennent encore tout récemment de faire les frais.

    https://www.polemia.com/grand-remplacement-complot-realite/

  • Irène Dimopoulou : “Combien de combats perdus en raison des lâchetés et compromissions de la droite libérale ?”

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    Irène Dimopoulou, longtemps directrice de l’hebdomadaire nationaliste grec Empros (En avant), et aujourd’hui assistante parlementaire d’un eurodéputé grec, a profité de la tribune qui lui a été offerte lors des Journées de Synthèse Nationale pour pointer les lâchetés et compromissions des droites libérale et libertaire.

    https://www.medias-presse.info/irene-dimopoulou-combien-de-combats-perdus-en-raison-des-lachetes-et-compromissions-de-la-droite-liberale/113376/

  • COMMENT NOS ENNEMIS SE REGALENT DE NOTRE FAIBLESSE (Olivier Piacentini)

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    olivier-piacentini.jpgEcrivain, essayiste, Olivier Piacentini (49 ans) est notamment l’auteur des ouvrages suivants (aux Editions de Paris) : Vers la Chute de l’Empire Occidental, Le Dossier Noir du Socialisme Français, Le Crépuscule de l’Occident (2017), La Mondialisation Totalitaire (2018), OPA sur l’Elysée (2018)… Il intervient régulièrement sur les réseaux sociaux et a accepté notre proposition de reprendre son article, récemment posté sur Facebook, concernant l’agression de la Turquie contre les Kurdes et le récent chantage d’Erdogan d’ouvrir les vannes du déferlement migratoire à 2 millions de migrants potentiels. En quelques phrases bien senties, tout est dit sur la faute originelle de Madame Merkel et la duplicité d’Erdogan…

    Il y a trois ans, Mme Merkel négocia, sans associer ni même prévenir aucun de ses partenaires européens, un accord avec Erdogan : pour 6 milliards d’euros de « rançon », la Turquie s’engageait à retenir les migrants sur son sol. Ce sont désormais deux millions de réfugiés qui sont retenus sur le territoire turc, à la merci d’Erdogan et de l’AKP. Et voilà comment transformer un islamiste patenté, ennemi  déclaré de l’Europe et de l’Occident, qui proclama un jour qu’il œuvrait à l’islamisation du vieux continent, en maître de la politique migratoire de tous les pays européens, l’arbitre de notre identité multiséculaire.

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  • Eric Zemmour a décidé de saisir la Cour européenne des droits de l’homme

    En septembre 2016, lors d’un numéro de « C à vous », Eric Zemmour avait déclaré que les musulmans devaient choisir « Entre l’islam et la France » et « que la France vivait depuis 30 ans une invasion ».

    A la suite de cette émission, le polémiste a été condamné à 3000 € d’amende par la justice française pour provocation à la haine religieuse.

    Selon Le Point, il a décidé de saisir la CEDH. « La décision de condamner Zemmour porte atteinte à la liberté d’expression et constitue une atteinte au procès équitable », a déclaré son avocat Me Antoine Beauquier à l’hebdomadaire le Point.

    Notre recours pose la question suivante : la France laisse-t-elle encore à quelqu’un le droit d’être un polémiste ? 

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  • Les États-Unis augmentent les droits de douane pour une série de produits issus de l’Union européenne

    L’augmentation des droits de douane annoncée par les États-Unis sur toute une série de produits européens est entrée en vigueur ce vendredi. En tout, 7,5 milliards de dollars de droits de douane supplémentaires seront désormais appliqués sur un éventail de produits européens : avions, vins français, fromages italiens ou encore whiskys écossais.

    Une décision validée par l’Organisation mondiale du commerce (OMC), qui a autorisé Washington à imposer des droits de douane alourdis sur des biens européens importés outre-Atlantique, pour une valeur équivalente aux effets nocifs, estimés à 7,496 Milliards de dollars par an, qui ont notamment été engendrés par les subventions européennes (Allemagne, Royaume-Uni, Espagne et France) attribuées à l’avionneur Airbus, faussant ainsi la concurrence avec l’américain Boeing.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/comme-annonce-les-etats-unis-augmentent-les-droits-de-douane-pour-leurope

  • Pendant que la Turquie bombarde les Kurdes, l’UE n’interrompt pas les négociations d’adhésion

    Pendant que la Turquie bombarde les Kurdes, l’UE n’interrompt pas les négociations d’adhésion

    Le groupe parlementaire Identité et Démocratie, auquel appartiennent les députés RN élus au Parlement européen, a organisé le 15 octobre un colloque intitulé “Où va la Turquie ?”

    Ce sujet était choisi il y a plus d’un mois, bien avant l’offensive turque contre les Kurdes de Syrie… car la dérive d’Erdogan n’est pas nouvelle. Mais avec cette nouvelle agression (la Turquie occupe toujours la partie nord de Chypre), les députés ont demandé à l’UE de sortir de l’ambiguïté et de mettre fin au processus d’adhésion de la Turquie.

    Les dirigeants de l’UE n’osent pas trop s’en prendre à Erdogan, qui menace de son côté de laisser entrer en Europe les milliers de réfugiés stationnés sur son territoire suite à la guerre en Syrie… Le Conseil des affaires étrangères de l’UE, qui s’est tenu le 14 octobre, a débattu de l’action militaire menée par la Turquie. Mais sans évoquer le processus d’adhésion à l’UE…

    Dans son communiqué de condamnation de l’offensive turque, la France n’évoque pas la rupture des négociations d’adhésion :

    La France réitère sa ferme condamnation de l’offensive unilatérale engagée par la Turquie dans le nord-est de la Syrie. Cette offensive remet en cause les efforts sécuritaires et de stabilisation de la Coalition globale contre Daech. Elle entraîne des conséquences humanitaires importantes. Elle porte donc atteinte à la sécurité des Européens.

    Voici le communiqué du groupe ID du 14 octobre :

    « La délégation française du groupe Identité et Démocratie demande à la France et à l’Union Européenne d’adopter une position ferme contre l’invasion turque. »

    Le président Erdogan a bombardé le territoire syrien, notamment la ville de Qamishli, habitée par des tribus arabes, des chrétiens d’Orient et des Kurdes. D’après nos informations, de nombreuses victimes sont déjà à déplorer notamment dans les familles chrétiennes.

    Ce Vendredi, le Secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, était présent à Istanbul au milieu d’une crise internationale qui souligne les ambigüités de la communauté internationale au Proche Orient et tout spécialement de la France.

    En effet, l’opération menée par la Turquie engage tout l’OTAN puisque nous faisons partie de l’alliance. Une position que Federica Mogherini, haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité/vice-présidente de la Commission européenne, a souvent souligné, allant jusqu’à fortement associer la Turquie aux trois éditions de la conférence internationale intitulée : Supporting the Future of Syria and the Region.

    La délégation française du groupe Identité et Démocratie demande à la France et à l’Union Européenne d’adopter une position ferme contre l’invasion turque. Pourquoi ne dénoncèrent-elles pas le soutien turc aux factions islamistes de la « rébellion » syrienne ? Pourquoi l’Union Européenne continue-t-elle de soutenir la Turquie alors que Recep Tayyip Erdogan nous menace d’utiliser l’arme de la submersion migratoire à chacune de ses décisions ? Pourquoi Josep Borrell, candidat au poste de Haut Représentant de l’Union Européenne pour les affaires étrangères continue-t-il à souhaiter le retour des djihadistes de nationalité européenne ?

    Nous disons toute notre fraternité aux habitants du Nord Est de la Syrie, avec une pensée toute particulière aux chrétiens d’Orient qui y vivent.

    Notre délégation organise une conférence au sujet de la Turquie ce mardi 15 octobre.

    https://www.lesalonbeige.fr/pendant-que-la-turquie-bombarde-les-kurdes-lue-ninterrompt-pas-les-negociations-dadhesion/

  • Brexit : enfin la fin ? – Journal du jeudi 17 octobre 2019

     

    Brexit : enfin la fin ?

    L’Union Européenne et le Royaume-Uni ont trouvé un nouvel accord pour le Brexit… un accord qui pourrait cependant être remis en cause par le vote de la Chambre des communes…

    Les radars en perte de vitesse

    Les recettes des radars automatiques en chute libre. Après avoir considérablement augmenté depuis 2011, les radars n’ont rapporté que 864 millions d’euros en 2018. Un manque à gagner pour l’Etat qui cible, une nouvelles fois, les gilets jaunes.

    Pollution lumineuse : un drame écologique peu connu

    Alors que la question écologique occupe largement l’espace médiatique, un phénomène demeure méconnu : la pollution lumineuse. L’omniprésence de la lumière artificielle en milieu urbain a fait disparaître l’obscurité de la nuit pour bon nombre d’êtres humains… les conséquences pour l’Homme, la faune et la flore sont dramatiques.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/brexit-enfin-la-fin-journal-du-jeudi-17-octobre-2019

  • Brexit : accord à l’arraché entre Londres et Bruxelles

    Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a annoncé sur Twitter qu’un accord avait finalement été trouvé.

    Londres et Bruxelles sont finalement parvenus à un accord sur le Brexit jeudi. Et ce, à deux semaines de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, programmée pour le 31 octobre. C’est ce qu’a annoncé en fin de matinée le président sortant de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. «Là où il y a une volonté, il y a un #deal – on en a un ! C’est un accord juste et équilibré pour l’UE et le Royaume-Uni et il témoigne de notre engagement à trouver des solutions. Je recommande que #EUCO approuve cet accord», a tweeté le chef de l’exécutif européen.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/brexit-accord-a-larrache-entre-londres-et-bruxelles