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Europe et Union européenne - Page 738

  • « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté »

    Le Parlement européen de Strasbourg recevait hier en séance plénière Beata Szydlo,  Premier ministre de Pologne, membre du mouvement conservateur catholique, (réactionnaire et patriote disent même ses détracteurs), le  PiS, le parti droit et justice du  Jaroslaw Kaczyński. Est ce vraiment étonnant, il est   accusé de dérive autoritaire par les donneurs de leçons bruxellois. Il est vrai que le Pis n’hésite pas à défendre les valeurs traditionnelles et à  dénoncer  les ingérences de l’Europe bruxelloise dans ses affaires intérieures. Les questions de souveraineté sont éminemment sensibles en Pologne comme dans d’autres pays de l’Est d’ailleurs, lesquels  gardent le souvenir douloureux  du joug communiste. Ils ne se sont pas  libérés d’un totalitarisme pour  en subir un nouveau  sans broncher…

     Beata Szydlo, à,  la tête d’un gouvernement qui est entré en fonction  dans la foulée des élections du mois d’octobre dernier, a tenu à expliquer deux reformes jugées « controversées » par les européistes et autres démocrates progressistes, à savoir, celles de  la Cour constitutionnelle et desmédias publics.

     La loi sur la Cour constitutionnelle était «nécessaire pour corriger une loi non-démocratique prise par le gouvernement précédent». «Mon parti n’a jamais voulu dominer le tribunal constitutionnel, mais uniquement rétablir un certain équilibre». Quant à celle sur les médias publics, elle «ne lèse pas les règles européennes». «C’est une tentative de rétablir leur neutralité, il n’y a pas d’atteinte à la Constitution», a précisé Mme Szydlo. « Je suis venue ici parce que j’ai un grand sens des responsabilités, mais j’ai vraiment un sentiment d’injustice. La Pologne est un pays démocratique, ces débats sont dégradants, ils n’ont pas de sens », a-t-elle conclu.

    Toujours d’une kolossale finesse, Martin Schulz, le président socialiste allemand du Parlement, n’avait pas hésité à dénoncer il y a quelques semaines la «poutinisation » de la Pologne. Dans sa bouche ce n’est bien évidemment pas un compliment. Certes Vladimir Poutine a été réélu démocratiquement à une large majorité,  a restauré la fierté de son pays, son  rôle sur la scène internationale, a puissamment contribué à le sauver du chaos et de sa vente à la découpe à des intérêts étrangers… Autant de tares poutiniennes peut être pour  herr Schulz ? Mais  fermons la parenthèse.

    Quand bien même les relations entre la Pologne membre de l’Otan et la Russie sont assez délicates, pour toutes les raisons  historiques que l’on sait, l’eurodéputé libéral belge Guy Verhofstadt a émis le même son de cloche que M Schulz. Il a lui aussi fustigé le «(démantèlement du) système de contrôle démocratique» auquel se livrerait un  gouvernement polonais qu’il accuse de  faire le jeu du président russe.

     Le Monde a fait part de la gêne des «institutions européennes» qui «semblent en tout cas très inquiètes et embarrassées par ce bras de fer qui s’est enclenché avec la Pologne. Et ce d’autant plus qu’elles sont déjà confrontées à une situation inédite et dramatique de  poly-crises  (migrants, terrorisme, référendum britannique, etc), selon l’expression de Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne (…). à Bruxelles, beaucoup considèrent cette stratégie de la fermeté comme très risquée et, de nature, si elle paraît trop intrusive (sic) , à alimenter le discours eurosceptique du gouvernement ». Et à conforter, ajouterons-nous,   les critiques de ceux qui constatent que cette Europe qui  n’avait pas de mots assez durs pour conspuer par exemple  la « démocratie autoritaire »  de Viktor  Orban,  a  pourtant  une conception assez curieuse du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes,  à décider eux-mêmes, à rester eux-mêmes.

    Bien sûr,  Bruno Gollnisch se félicite que la Pologne rejoigne le camp de la résistance aux diktats progressistes,  cosmopolites, internationalistes,  immigrationnistes comme dernièrement laHongrie ou la Slovaquie. Les députés nationaux, patriotes, ont critiqué vivement les attaques contre le gouvernement du  parti droit et justice, qui est une émanation directe, légitime,  du vote  souverain du peuple polonais, telle qu’il s’est exprimé dans les urnes.

    Les instances bruxelloises, à l’instar d’une certaine gauche française, des cénacles mondialistes,  restent pétries par le fameux dogme révolutionnaire : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté».  De « leur»  liberté  bien sûr…

    http://gollnisch.com/2016/01/20/pas-de-liberte-pour-les-ennemis-de-la-liberte/

  • Pays-Bas : nouvelle manifestation du peuple contre l’invasion migratoire

    Des oeufs, des pierres et des feux d’artifice contre la mairie de Heesch aux Pays-Bas pour dénoncer l’accueil programmé de migrants. Un millier de personnes refusent de voir arriver dans leur petite ville 500 demandeurs d’asile durant les dix prochaines années. Des incidents ont éclaté dimanche soir entre manifestants et force de l’ordre. “Quand ils ne peuvent pas se débarrasser de ce problème à La Haye, ils l’amènent ici explique un manifestant. Mais nous n’en voulons pas non plus, ils peuvent les garder, pas question qu’ils viennent. S’ils veulent violer ma fille, il n’y aura pas 500 policiers pour la protéger.”

    Des incidents qui interviennent quelques heures après les propos incendiaires de Geert Wilders. Le député d’extrême-droite estiment qu’il faut enfermer les migrants dans les centres d’accueil afin de protéger les femmes.

    Les Pays-Bas accueillent un nombre record de réfugiés, ils étaient 54.000 demandes d’asile à la fin du mois de novembre.

    http://www.contre-info.com/

  • Des islamistes infiltrés parmi les gardiens des centres d’asile font la chasse aux réfugiés chrétiens

    Le journal allemand Die Welt consacre un dossier aux persécutions que subissent les demandeurs d’asile chrétiens de la part d’islamistes. Certains membres du personnel de sécurité des centres d’asile, eux-mêmes d’origine turque ou arabe, ont été déplacés pour avoir agressé des immigrés chrétiens.

    Le service d’urgence d’une clinique de la région de Hesse décrit les contusiens, hématomes et traumatismes constatés sur un demandeur d’asile converti au christianisme et roué de coups par quatre des vigiles du centre d’asile. Les quatre vigiles étaient musulmans et voulaient le punir pour sa conversion au christianisme.

    Ce demandeur d’asile et 13 autres chrétiens hébergés dans le Oberurseler Asylheim sont fréquemment insultés par des « réfugiés » musulmans, en particulier quand ils ont une Bible à la main. Ces chrétiens n’imaginaient pas qu’en arrivant en Europe, ils tomberaient sur des gardiens islamistes…

    Après consultation entre le centre d’asile et la police, les vigiles concernés ont été immédiatement … déplacés.

    Des faits similaires ont été signalés en Rhénanie et à Berlin. Des gardes engagés sur base d’une recherche de profil « multiculturel » se montrent anti-chrétiens et n’hésitent pas à faire preuve de violence.

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  • « Nous venons en paix », mais avec nous, mieux vaut des mosquées que des bonshommes de neige !

    « Nous venons en paix », c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM ! Aujourd’hui, la vague de froid en Grande-Bretagne a des conséquences inattendues : elle nous apprend que les bonshommes de neige, c’est haram. Petits anglais, cessez donc de faire ces bonshommes blasphématoires pour l’islam !

    Avec la vague glaciale qui vient de s’abattre sur l’est de la Grande-Bretagne, avec des températures atteignant — 12°, les petits Anglais s’amusent dans la neige comme ici à Bradford.
    Cependant les mosquées remplacent maintenant les traditionnels bonshommes de neige, respectant ainsi la fatwa lancée en 2015 par cet érudit religieux d’Arabie Saoudite contre les bonshommes de neige, affirmant que cette pratique n’est pas acceptable pour l’Islam.

    Personne ne doit construire des bonshommes de neige ou des représentations d’animaux, a déclaré Mohammad Saleh Al Minjed. Mais faire des constructions en neige des choses sans vie, comme les navires, les fruits et les bâtiments, est acceptable.

    Sources : Telegraph /Daily Mail

    http://fr.novopress.info/

  • Pas de France apaisée sans natalité française, pas d’Europe sans Européens !

    L’opinion, le Lab d’Europe 1, Le Figaro l’ont fait savoir à leurs lecteurs, «un an avant la campagne présidentielle, Marine Le Pen cherche à rendre son image plus consensuelle. En début d’année la présidente du Front National annonçait une diète médiatique, une relation plus directe avec les Français et une communication moins clivante». « Objectif? Conjurer un récent sondage Ifop qui révèle que 67% des Français trouvent Marine Le Pen sectaire. Interrogé la semaine dernière par Ouest France,le sondeur Jérôme Fourquet sentait que c’était clairement à destination des retraités et des CSP + que l’eurodéputée devait se tourner pour améliorer son score. Une analyse partagée par le FN. »Aussi indique Le Figaro, «une stratégie  n’a pas tardé à être mise en œuvre ». «Contacté par Le Scan, Florian Philippot a été interrogé  sur La France apaisée, le slogan de la nouvelle affiche nationale puisque «à l’inverse, Manuel Valls excite les tensions, il n’incarne pas l’apaisement», «la France apaisée, c’est justement ce que propose la Nation, assure l’eurodéputé. Il précise que de nouvelles thématiques vont être avancées par le FN comme le stress au travail, la refondation de l’entreprise. Nous allons aussi parler davantage de notre politique étrangère, souligner que nous nous sommes toujours opposés à l’engrenage au Moyen-Orient. L’apaisement, c’est aussi ça, insiste-t-il.»

    L’apaisement, Florian a raison,  c’est effectivement cela, c’est  aussi la capacité à dialoguer avec tous, et notamment sur les questions d’orient a rappelé Bruno Gollnisch ces dernières heures. Il est bon de le rappeler, au regard du déferlement de propos haineux contre le  FN qui ont été  entendus au cours de cette campagne des régionales,  que ce soit dans les rangs de la gauche,  de l’extrême gauche ou dans  ceux de la droite euro-atlantiste.

     Dimanche encore, le président de la région  PACA, Christian Estrosi, invité d’Europe 1,  a tenu un  langage de matamore contre l’opposition patriotique : «Le Front National, que j’ai toujours combattu, est l’ennemi à abattre en 2017 (…)  je voterai pour celui ou celle qui aura le plus de chances de battre le Front National en 2017». Une façon d’avouer  qu’il glisserait un bulletin Hollande dans l’urne en cas de duel entre le président  sortant  et Marine au second tour.

    Plus largement, il est  légitime de se demander aussi si les ennemis à abattre ne sont pas plus  pas plus largement les peuples européen rétifs au multiculturalisme d’essence mondialiste, idéologie qui imprègne les « élites » bruxelloises.

    Certes, après l’émotion suscitée par les  agressions contre les femmes allemandes lors de la saint-sylvestre, la pression populaire a contraint  la coalition  au pouvoir en Allemagne à promettre   le rapatriement  dans leur pays d’origine des  migrants maghrébins indésirables. Mais au delà de cette annonce, l’objectif reste bien  de faciliter l’accueil de migrants et autres réfugiés, dont faut-il le rappeler, une  nette  majorité d’Européens ne veulent pas.

    Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a ainsi  évoqué samedi, dans un entretien accordé   au quotidien Süddeutsche Zeitung, l’instauration d’une taxe européenne sur l’essence. Celle-ci aurait pour vocation de donner « les moyens pour une réponse européenne à la question des réfugiés », «si les budgets nationaux ou le budget européen ne suffisent pas… »

    « Le problème du contrôle des frontières extérieures de l’Union européenne doit être réglé sur la scène européenne » a déclaré M. Schäuble, qui expliquait  déjà, en janvier 2011, depuis le Forum économique mondial(iste) de Davos et en présence de Nicolas Sarkozy, que pour consolider le système européiste, il était indispensable d’aller plus loin dans la fuite en avant, dans l’effacement de la souveraineté des nations européennes

    Une disparition de  nos souverainetés  qui découle  aussi de cette peste blanche  décrite et prophétisée dés les années 70 par Pierre Chaunu , à savoir  l’effacement de la démographie européenne, de souche.

    Déjà, selon les prévisions de l’ISTAT,  pour la première fois depuis 1919, la population de l’Italie  a diminué l’année dernière rapporte Les Echos. «  Les naissances sont tombées en 2015 sous le seuil psychologique des 500.000, à peine 400.000 si les deux parents sont italiens. Le taux de fécondité est l’un des plus bas du monde avec 1,37 enfant par femme ». Même l’Allemagne fait « mieux » avec un taux de   1,39…

    En France, pays loué pour sa relative bonne santé démographique, soit 1,99 enfant par femme en 2013, ce qui  la place dans le peloton de tête européen  avec  l’ Irlande,  l’Islande, Chypre,  le Luxembourg , la natalité aurait baissé de près de 3% sur les onze premiers mois de 2015. Plus que la crise économique, il  les démographes pointent  la baisse du nombre de Françaises en âge de procréer. Malgré la présence d’une immigration extra européenne très massive,   il n’y avait plus que 8,6 millions de femmes âgées de 20 à 40 ans, contre prés de neuf millions en 2006.

    Les résultats des travaux  d’une équipe de démographes américains  qui s’est livrée à une  analyse comparée  de la natalité  en Europe et aux Etats-Unis, entre 2000 et 2009 », viennent d’être publiés  dans la revue Population and Development Review. Ils sont aussi très  éclairants.

    Il est rapporté que 17 pays de  notre continent enregistrent  un nombre de naissances inférieur à celui des décès, notamment en Allemagne, en Italie, en Russie, nations européennes  parmi les plus peuplés.  La moyenne européenne se situant  à 1,55 enfants par femme,  taux qui n’assure pas le renouvellement des générations.

    Il y a dix ans déjà, alors  commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, le socialiste espagnol Joaquin Almunia, rendant compte d’un rapport préparé conjointement par la Commission européenne et le comité de politique économique, déclarait que « sans réformes profondes des systèmes de retraite, le vieillissement de la population européenne entraînera une réduction de moitié des taux de croissance de l’UE d’ici à 2030. »

    Il est donc toujours aussi invraisemblable, incompréhensible que ce défi,  cette question essentielle, ce drame des berceaux vides,  qui menace la pérennité même de notre civilisation n’interpellent pas nos dirigeants et les instances bruxelloises.  Technocrates européistes   qui ont  un avis sur tout, veulent régenter jusqu’aux aspects les plus intimes de  nos existences,  émettent  des directives contraignantes   y compris sur le sujets les plus accessoires, mais qui là sont muets et inertes.

    Hors de  question pour nos «élites» mondialisées  de réfléchir aux  conditions d’un rebond démographique en Europe en dehors du recours à l’immigration. Encore un domaine ou l’idéologie, le dogmatisme l’emporte sur la raison, le bon sens, le vœu des peuples.  

    http://gollnisch.com/2016/01/19/pas-de-france-apaisee-sans-natalite-pas-deurope-sans-europeens/

  • Kyenge Kashetu en « mission européenne » aux Fidji : 1,2 million d’euros

    Kyenge Kashetu, la Congolaise la plus célèbre d’Italie, a organisé un séminaire sur le changement climatique aux îles Fidji. 42 députés se la sont coulé douce, certains ne participant même pas aux travaux, dont 3 députés français.

    Ah le bon, l’excellent fromage du Parlement européen ! On en a de temps en temps quelques échos dans les journaux. Le quotidien italien Libero a ainsi raconté, vendredi 15 janvier, « l’excursion de Kyenge aux Fidji ». Cécile Kyenge Kashetu, la Congolaise la plus célèbre d’Italie, désormais chargée de définir la politique d’immigration du Parlement européen, est aussi « vice-présidente de l’assemblée paritaire Union européenne – ACP (Afrique Caraïbe Pacifique) ». C’est à ce titre qu’elle a conduit aux îles Fidji, en juin dernier, une mission de 102 personnes : 42 députés européens, 29 fonctionnaires, 31 traducteurs. Vol en classe affaires pour tout le monde, hôtel quatre étoiles et, en prime, une indemnité de « travail » journalière de 152 euros par député, pour une réunion de trois jours. Le thème des discussions ? « Le changement climatique des mers et des océans », on s’en serait douté.

    Coût de l’opération ? Au moins 1 230 702 euros déjà budgétés, mais le chiffre est susceptible d’augmenter encore, car, comme l’a expliqué le directeur des politiques extérieures, Bernard Hellot, « les députés ont le droit de présenter leurs demandes de remboursement jusqu’au mois d’octobre de l’année suivante » : jusqu’à octobre 2016, donc, pour bien se souvenir de ce qu’ils ont pu dépenser aux Fidji.
    L’affaire fait du bruit en Italie, où l’on n’a pas oublié les folles dépenses de Kyenge Kashetu, à l’époque où cette grande conscience de la gauche immigrationniste était ministre de l’Intégration. Il Giornale n’a pas hésité à titrer : « Kyenge guide le congé des députés européens aux îles Fidji ».

    Il faut dire que, si Kyenge elle-même semble avoir eu la décence de participer aux « travaux » prévus, plusieurs députés, d’après le journal officiel du Parlement européen, en ont séché une partie. Pour se pencher de plus près sur « le changement climatique de l’Océan », probablement. Parmi les députés portés comme absents à « au moins une des trois journées de discussion », on compte un Allemand, un Espagnol, deux Polonais… et trois Français. Libero leur a adressé à deux reprises (la seconde fois, le 7 janvier, en déposant une lettre directement dans leur casier au Parlement européen) une demande d’explications : « est-il vrai que, aux Fidji, vous étiez absents au moins un jour sur trois ? Et si oui, pourquoi ? » Aucune réaction jusqu’à présent.

    Les trois Français sont les députées MoDem Marielle de Sarnez et Nathalie Griesbeck, et (comme chevalier servant de ces dames ?) le désormais célèbre Aymeric Chauprade.

    http://fr.novopress.info/197120/kyenge-kashetu-en-mission-europeenne-aux-fidji-12-million-deuros/#more-197120

  • Politique nataliste en Hongrie

    Pendant que la France prévoit de rembourser les avortements à 100% alors que certaines échographies en cas de grossesse ne le sont pas entièrement, voici ce que fait la Hongrie :

    "Pour répondre à la faiblesse démographique de son pays, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán vient de lancer un programme de soutien à la famille inédit en Hongrie. Toute famille s’engageant à avoir trois enfants en dix ans obtiendra 10 millions de forints (soit environ 32.000 euros) en vue de l’achat d’un logement familial. Et un prêt de 10 millions supplémentaires à taux préférentiel. Enfin, le taux de TVA pour l’achat du logement en question sera considérablement réduit.

    Mais ce sont surtout les conditions d’obtention de cette aide qui attirent l’attention. Outre le fait que le logement a vocation à devenir le foyer effectif de la famille, celui-ci doit être une construction neuve (achat d’un logement neuf ou construction neuve sur un terrain vierge). Ceci permettra de soutenir le secteur du bâtiment. Dores et déjà, des municipalités rurales favorables à ce projet se sont proposées de mettre à disposition des familles éligibles à ce programme des terrains constructibles. Par ailleurs, les parents désireux d’obtenir cette aide doivent répondre à plusieurs critères de probité, en particulier ne jamais avoir fait l’objet de condamnations lourdes, et avoir travaillé durant les dernières années. Sauf raisons médicales, la non-tenue de l’engagement d’avoir trois enfants dans les dix ans impliquera le remboursement à l’État des sommes indûment perçues.

    L’annonce de cette mesure en décembre 2015 est intervenue au terme d’une année où la Hongrie a vu plus de 400.000 clandestins traverser son territoire. Pour répondre à ce phénomène, Orbán a fait ériger une clôture aux frontières serbe et croate, ce qui a eu pour effet de détourner intégralement le flux migratoire de la Hongrie (...)"

    Pour finir d'irriter nos féministes pro-avortement, voici ce que disait en décembre dernier le président du Parlement hongrois László Kövér :

    "Nous aimerions que nos filles considèrent que le paroxysme de l’accomplissement de soi est de nous faire des petits-enfants"

    Philippe Carhon

  • Vidéo : des journalistes de France 3 découvrent les « zones de non-droit » en Belgique

    « Arrête de filmer, rentre à la maison ! » Des journalistes de France 3 et de la chaîne belge RTL Info ont été agressés, vendredi 15 janvier dans la matinée, alors qu’ils réalisaient un reportage à Molenbeek, près de Bruxelles (Belgique). Les reporters se trouvaient devant le domicile de Chakib Akrouh, le jihadiste qui s’est fait exploser pendant l’assaut à Saint-Denis quelques jours après les attentats du 13 novembre et que le parquet de Paris a identifié, jeudi.

    « On avait décidé de se rendre au domicile familial, dans une petite cité à l’intérieur de Molenbeek. On a fait une rapide enquête de voisinage, mais personne ne souhaitait parler », raconte Pascal Verdeau, journaliste à France 3.
    En remontant vers la voiture, lui et son caméraman, Tahar Nasri, croisent une équipe de RTL info qu’ils mettent en garde en raison de la tension ambiante. « On était en train de monter dans le véhicule quand le confrère de RTL a sonné à la porte de la famille », raconte le journaliste.

    Le caméraman de France 3 pris à la gorge

    « A ce moment-là, trois hommes sont descendus, dont le frère de Chakib Akrouh. J’ai entendu des cris alors je suis sorti de la voiture et mon caméraman a pris sa caméra », raconte Pascal Verdeau. La suite est filmée par les caméramans de France 3 et de RTL, selon deux angles différents.

    Dans la vidéo mise en ligne par RTL, on entend le frère de Chakib Akrouh agresser verbalement les reporters, en leur demandant de partir : « Mon frère, il est mort. Casse-toi ! J’ai pas d’informations. » Les journalistes tentent de le calmer. Sur les images de France 3, on voit un homme, sans doute un proche de Akrouh, frapper un journaliste de RTL, puis s’en prendre physiquement à celui de France 3.

    Ça a été très violent et très soudain. On ne l’a même pas vu arriver. Le type, visiblement rompu aux arts martiaux, a fait tomber mon caméraman et l’a attrapé par le cou alors qu’il était au sol. J’ai réussi à parer un coup de poing dit Pascal Verdeau

    Un troisième proche a tenté de calmer les deux autres, sans succès. « Mon sentiment est qu’on était dans une zone de non-droit », analyse Pascal Verdeau. Son JRI a porté plainte après cette agression. De son côté, la rédaction de RTL fait part « de sa profonde indignation » dans un communiqué, rapporte Le Soir.

    Source : Francetvinfo

    http://www.contre-info.com/video-des-journalistes-de-france-3-decouvrent-les-zones-de-non-droit-en-belgique#more-40632

  • L’UE à rebours de ses principes ?

    La démocratie, la liberté et la subsidiarité sont des principes essentiels de la construction européenne. Cependant l’UE s’est récemment considérablement écartée de ces lignes de force. Et cela continue de produire des effets. Le Recteur Gérard-François Dumont tire la sonnette d’alarme.

    LES traités de l’Union européenne, complétés par d’autres traités ratifiés par les pays membres de l’UE, énoncent clairement plusieurs principes. Parmi ces derniers, trois, issus de la longue histoire de l’identité de l’Europe [1], apparaissent essentiels : la démocratie, la liberté et la subsidiarité. Or l’Union européenne s’est considérablement écartée des ces trois principes au cours de l’année 2015 et cela va continuer à produire des effets dans le futur. Considérons successivement la démocratie et l’autonomie locales bafouées (I), la liberté et le respect des droits de l’homme oubliés (II) et la subsidiarité non respectée (III).

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