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Europe et Union européenne - Page 737

  • Philippe Baillet, Le parti de la vie ; Clercs et guerriers d’Europe et d’Asie

    2833559705.JPGPhilippe Baillet, Le parti de la vie ; Clercs et guerriers d’Europe et d’Asie

    Akribéia, 2015

    Le nom de Philippe Baillet ne vous est peut-être pas inconnu : il est le traducteur français de Julius Evola mais également l’auteur de nombre d’articles et de quatre autres livres. Le parti de la vie se compose justement de huit de ses études, certaines déjà publiées, d’autres considérablement enrichies par rapport à leur première version. Deux d’entre elles (sur Yukio Mishima et Giorgio Locchi dont un texte inédit en français se trouve d’ailleurs en annexe) sont inédites.

    Ces articles ont été rassemblés à dessein et explorent plusieurs aspects de ce que l’auteur nomme "le parti de la vie". Il le désigne comme suit : « ce vaste mouvement historique européen dont Nietzsche fut tout à la fois le fondateur, le penseur inaugural et, parfois, le poète. Il englobe donc l’œuvre de Nietzsche lui-même et tout ce qui s’inscrit vraiment dans sa postérité, dont notamment le phénomène national-socialiste [et] le fascisme historique ». L’ombre du philosophe au marteau plane donc plus que toute autre sur cet ouvrage.

    Dans une préface éclairante, Philippe Baillet explique le but de son livre : donner les traits fondamentaux d’une vision du monde, d’une Weltanschauung, qui, à la suite de Nietzsche, se veut un rejet de ce monde moderne « voué au culte de la marchandise, à la fabrication de l’artifice et à l’attrait pour le difforme ». Face à des Européens affaiblis et perdant peu à peu leurs instincts essentiels, engoncés dans leurs pseudo-valeurs égalitaristes et humanistes, Le parti de la vie se veut un plaidoyer en faveur des éternelles lois de la vie, de la sélection, de la perfection, en un mot : de l’esthétisme.

    Fort d’une culture et d’une érudition impressionnantes, l’auteur revient en détail sur plusieurs grandes figures chez qui l’on retrouve des qualités essentielles. L’historien italien du phénomène fasciste Renzo de Felice est par exemple loué, non pour ses opinions politiques mais pour la probité philologique de son œuvre, « signe de grande santé intellectuelle ». Plus loin, c’est Abel Bonnard en tant que « poète de l’ordre » et ennemi acharné de la laideur et de l’individualisme qui voit son œuvre (en particulier Les Modérés datant de 1936) décryptée par Baillet. Celui-ci analyse les aspirations profondes des figures qu’il présente et souligne ce qu’elles peuvent apporter à notre vision du monde. Ainsi Mishima et son « dépassement de l’individualité ». Comme l’indique le sous-titre du Parti de la vie, l’Asie tient une place réelle dans l’ouvrage en ce sens que les enseignements de sa pensée traditionnelle peuvent nous aiguillonner, nous Européens, vers la prise de conscience des impasses de l’intellectualisme. Des similitudes existent et il est souligné par exemple que, chez Lao-Tseu comme chez Nietzsche, on perçoit ce fil directeur qu’est la vitalité, fruit d’une « vision biocentrique de la vie ».

    Alors que de nombreux mythes entachent la connaissance et la réelle compréhension du fascisme et du national-socialisme, Philippe Baillet revient sur plusieurs d’entre eux. Il met en lumière bien des faits méconnus ou incompris mais pourtant lourds de sens. La partie de l’ouvrage consacrée à Giorgio Locchi est, à cet égard, révélatrice. Même s’il est oublié aujourd’hui, Locchi demeure une référence fondamentale pour son analyse du phénomène fasciste en Europe. Pour lui, le phénomène fasciste, interprété de manière plus philosophique qu’historique, est « la première manifestation politique d’un phénomène culturel et spirituel : [le]« surhumanisme ». » Fruit d’une vision du monde où le mythe est primordial, on y retrouve, comme chez Nietzsche, cette idée de « sélection voulue, systématique et appliquée ». Par ailleurs, Locchi insiste sur l’origine nietzschéenne du système de valeurs du phénomène fasciste (donc de la Révolution Conservatrice et, par incidence, du National-Socialisme où se retrouve le « même univers de pensée »). Ce système de valeurs basé sur le surhumanisme et l’homme nouveau est singulièrement opposé à celui de l’égalitarisme qui comprend « le christianisme en tant que projet mondain, la démocratie, le libéralisme, le socialisme, le communisme. »

    En à peine plus de 200 pages, Philippe Baillet remplit le but assigné à cet ouvrage : fournir des cartouches intellectuelles à notre vision du monde. Son livre est riche et, surtout, il est à méditer en ces temps incertains. Face au spectre des « guerres raciales et civilisationnelles, entrecroisées avec des guerres civiles » qui nous attendent, nous devons impérativement nous préparer avec une doctrine claire nous permettant de nous affirmer en tant qu’héritiers de la tradition européenne. Ce livre nous y aidera.

    Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • Elections slovaques: à droite toute!

    Ex: http://thomasferrier.hautetfort.com

    On s’attendait à une victoire de Robert Fico, premier ministre sortant du SMER, parti social-démocrate aux accents nationalistes et anti-migrants. Elle a été au rendez-vous certes mais apparaît davantage comme une victoire à la Pyrrhus. Avec 28.3% des voix, le SMER perd 16 points, ce qui peut s’apparenter à une sérieuse déconvenue, et n’obtient que 49 sièges, loin des 75 sièges requis pour former une majorité. Au moins Robert Fico peut se satisfaire de l’absence d’un grand parti d’opposition.

    Les grands gagnants sont les différentes formations de droite nationale dont la division ne fut désastreuse pour aucune. Le Parti National Slovaque (SNS), qui avait été écarté du parlement en 2012 avec 4.6% des voix (< 5%, synonyme d’élimination), renaît littéralement sous la conduite de son nouveau dirigeant Andrej Danko et obtient 8.7% des voix et 15 sièges. L’éviction du Le Pen slovaque, Ian Slota, en 2013, est pour beaucoup dans ce résultat. C’est certes un score inférieur à celui que les sondages pouvaient lui faire espérer. Mais la concurrence fut forte. Ainsi, le LSNS (« Parti du peuple – Notre pays ») de Marian Kotleba, considéré parfois comme néo-fasciste, obtient 8% des voix (contre 1.6% en 2012) et 14 députés. A ces deux partis classique, il faut ajouter le mouvement Sme Rodina (« Nous sommes une famille » du populiste Boris Kollar, qui pendant toute sa campagne a tapé sur les migrants musulmans. Il obtient 6.6% des voix et 11 sièges.

    La droite eurosceptique et libérale incarnée par le mouvement Sloboda a Solidarita (« Liberté et solidarité ») s’impose comme deuxième parti du pays avec 12.1% des voix (contre 5.9% en 2012) et 21 sièges. Les autres formations de droite s’en sortent honorablement, à savoir le nouveau venu SIET (5.6% et 11 sièges) et le mouvement OL’ANO (11% des voix et 19 sièges, +2.4 points). Seul les chrétiens démocrates (KDH) échouent de peu et sont éliminés, avec 4.9% des voix (-4 points). Enfin, le Mouvement des Hongrois (SMK/MKP) avec 4% des voix reste à peu près au même niveau qu’en 2012 (-0.26).

    Avec une droite nationale réunie à 23.4% des voix, on peut dire que l’opinion publique slovaque s’est radicalisée suite à la crise des migrants. Il s’agissait pour les Slovaques de mettre la barre suffisamment à droite pour donner à Robert Fico des arguments solides pour résister aux pressions de l’Union Européenne. C’est désormais le cas. Même si ce dernier est malgré tout fragilisé et va probablement devoir s’allier avec ces formations ou en tout cas avec une partie d’entre elles. 

    Ces résultats vont encourager ceux qui pensent que soutenir au pouvoir une ligne dure aboutit à décomplexer la population et à ouvrir la porte à des formations beaucoup plus radicales. Le cas hongrois l’indique aussi avec un Jobbik qui est souvent en deuxième position derrière le mouvement de Viktor Orban et ce au détriment de la sociale-démocratie. En revanche, en Tchéquie, depuis l’époque des années 90 où le parti des Républicains inquiétait l’opinion occidentale, aucun mouvement nationaliste n’a émergé, mais la droite tchèque est assez à droite pour l’empêcher.

    Le groupe de Visegrad commence désormais à se singulariser par cette montée d’un courant nationaliste et donc potentiellement ou ouvertement eurosceptique, qui est en réalité motivée par une inquiétude croissante des populations face à l’immigration non-européenne et/ou musulmane qui touche l’Europe occidentale. Boris Kollar a notamment fait campagne sur le fait que Bratislava n’ait pas à connaître la situation de Cologne et de Paris. En France, on préfère fermer les yeux, comme ce politologue de BFM-TV expliquant ce matin que la France était le pays d’Europe ayant le moins d’immigrés, ce qui va contre tout sens commun, puisque ne prenant pas en compte les flux antérieurs.

    Thomas FERRIER (Le Parti des Européens)

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2016/03/08/elections-slovaques-a-droite-toute.html

  • ’Europe se livre aux Turcs

    8562-Chard.jpg

    (Présent 8562)

    Gribouille se jetait à l’eau pour éviter d’être mouillé par la pluie. Hollande et Merkel, nos Gribouille, ont poussé l’Union européenne à se livrer à la Turquie musulmane pour éviter d’être envahie par des « migrants » musulmans. C’est ce qui vient de se décider au sommet européen, en présence du Premier ministre turc ; on discutera des détails et des modalités pendant quelques jours encore, mais le principe est acquis.
    8562P1.jpgAnkara gardera les candidats au départ vers l’Europe chez elle et acceptera même le retour de ceux dont nous ne voulons pas, en échange de six milliards d’euros. En novembre dernier, il n’était question que de la moitié. Mais, depuis, la Turquie a fait monter les enchères. Elle aurait tort, de son point de vue, de ne pas profiter de la situation : l’UE est aux abois, prête à se soumettre aux exigences de ceux auxquels elle a remis son sort. Mais ce volet financier n’est pas le pire ! La Turquie entend que ses ressortissants soient dispensés de visa pour pénétrer dans l’espace européen et ce dès le 1er juin, et que les négociations en vue de son adhésion à l’UE reprennent. « Nous voulons que cinq chapitres de négociations soient ouverts aussi vite que possible », a exigé le chef du gouvernement turc, Ahmet Davutoglu. Il dit « nous voulons » et l’Europe s’incline.

    L’Allemagne et la France, entre autres, étaient hostiles, jusqu’ici, à faire de ce pays à 85 % musulman le 29e membre de l’Union, pas seulement pour cette raison culturelle, mais aussi parce que plus il y a d’adhérents, moins elle est gouvernable. Et puis, les droits de l’homme n’y sont pas respectés. Ils ne le sont toujours pas, le gouvernement vient d’interdire un journal de l’opposition. Peu importe ! Aujourd’hui, foin de ces considérations, devant l’urgence, les dirigeants européens cèdent sur tout, ou presque, pour arrêter ces millions d’individus qui se pressent à nos frontières.

    Faire appel à la Turquie scelle l’impuissance de l’Europe face à une situation dont elle est responsable. Elle a décrété la libre circulation des personnes à l’intérieur de l’espace Schengen sans avoir rendu ses frontières hermétiques. Puis Mme Merkel a crié « bienvenue ! » à tous ceux qui voulaient venir, ils sont venus et ils continuent. On ne sait qu’en faire ! Il était question de les répartir : sur les 160 000 prévus, il y a six mois, il n’y en a que mille qui ont été acceptés ailleurs. Les pays de l’Est étant les plus réticents, ce sont eux aussi qui ont bataillé pour que l’on ne cède pas tout à la Turquie.

    La route des Balkans étant fermée, les « réfugiés » s’entassent dans des conditions épouvantables en Grèce devenue cul-de-sac. Alors que, dès novembre, Erdogan s’était engagé à empêcher l’embarquement pour les îles grecques, 15 000 à 20 000 candidats à l’exil continuent d’y arriver chaque semaine depuis les côtes turques. Bruxelles n’a pourtant déboursé pour Athènes que 380 millions, alors qu’elle est prête à donner six milliards à Ankara, qui ne fait pas (encore) partie de l’UE ! Dès le 1er juin, les 75 millions de citoyens turcs pourront librement venir chez nous, sans visa. Ils ne s’en priveront pas. Ce ne sera pas le remplacement de musulmans par d’autres : ils s’ajouteront à ceux que nous avons déjà.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/199199/leurope-se-livre-aux-turcs/

  • L’Europe prise à la gorge, Ankara pousse son avantage

    Ce n’est pas « un bruit de chiotte »,  pour reprendre l’expression élégante du ministre de l’Education Nationale Najat Vallaud-Belkacem, commentant les rumeurs d’une démission de Manuel Valls en cas de recul de François Hollande sur le projet de loi El Khomry. La preuve, le président de la république s’en est félicité, bien plus bavard pour l’occasion que pour sa remise de la Légion d’honneur la semaine dernière à  l’islamiste « modéré » et « grand ami » de notre civilisation helléno-chrétienne (non?), le prince héritier et ministre de l’Intérieur d’Arabie saoudite Mohamed Ben Nayef. M. Hollande a en effet jugé positif le sommet UE-Turquie qui s’est achevé dans la nuit de lundi à mardi à Bruxelles pour régler le problème de l’invasion migratoire de ces derniers mois, via (notamment) le territoire turc. Cet accord sera-t-il plus efficace que le plan d’action élaboré déjà fin novembre entre Ankara et l’Union européenne pour stopper les migrants? Ces derniers  continuent de débarquer quotidiennement  par milliers  depuis les côtes turques sur les plages grecques. Emporté par l’enthousisame, le président du Conseil européen, Donald Tusk, veut y croire. Il a promis hier que « le temps des migrations irrégulières en Europe est révolu ». « C’est un bon accord, qui va changer la donne », a acquiescé le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. Une nouvelle réunion se déroulera les 17 et 18 mars pour peaufiner les détails.

    Certes les observateurs n’ont pas manqué de relever que Berlin s’est opposé  dans la déclaration finale, à la phrase  mentionnant triomphalement que « la route des Balkans » -par laquelle 850 000 immigrés ont pénétré en Europe ces derniers mois- « est désormais fermée ». Mme Merkel ne voulait pas donner raison au pays qui ont (ré)instauré frontières, filtres  et quotas (Slovaquie, Croatie, Autriche…) pour freiner l’invasion…

    D’ailleurs les Bruxellois se sont empressés de réaffirmer leur souhait de la disparition des contrôles aux frontières instaurés par certains Etats européens, d’un rapide « retour à la normale » , à la libre circulation au sein de l’espace Schengen « d’ici la fin de l’année. »

    Mais la mesure-phare qui a fait l’objet de tous les commentaires et dont François Hollande s’est réjoui comme d’un « acte très important », c’est l’annonce par le Premier ministre turc, Ahmet Davutoglu, de « la décision audacieuse (de la Turquie) d’accepter le retour de tous les migrants irréguliers en provenance de la Grèce, quelle que soit leur origine ». Une audace très largement soufflée à Ankara par  l’Allemagne et la Commission européenne.

    Ainsi indiquait succinctement le site de France info, « en échange (de la reprise par les Turcs de certains immigrés, NDLR), les Européens s’engageraient à reprendre, par des voies légales et sûres, le même nombre de réfugiés syriens directement depuis le sol turc. Quelques 70 000 places théoriques, déjà réparties entre les 28 l’an dernier, serviraient à accueillir ces réfugiés, selon une source européenne. Cet engagement de la Turquie s’ajouterait à celui d’accélérer la mise en œuvre d’un accord dit de réadmission, qui prévoyait qu’elle reprenne à partir de juin les migrants économiques pour les expulser à son tour vers leurs pays d’origine. »

    François Hollande n’y trouve rien à redire et a jugé que la Turquie devait « être aidée, puisqu’elle accueille 2,5 millions de réfugiés aujourd’hui », « être soutenue pour ce qu’elle doit faire »; « la Turquie bénéficiera de trois milliards d’euros. Si c’est nécessaire, l’aide pourra être augmentée. »

    Si tu croises un ours sur un pont pourri, appelle le cher oncle dit un proverbe turc. Il est  flagrant que la situation  très alarmante  à laquelle est confrontée une Europe faible et dépassée par les événements la  pousse  à accepter bien des choses d’Ankara. Les contreparties exigées par le gouvernement islamiste turc en paiement de sa générosité sont assez exorbitantes.

    Ainsi  le gouvernement Erdogan,  en échange de la promesse de ne pas accabler l’Europe davantage sous le flots des migrants, exige non plus les trois milliards d’euros évoqués par M. Hollande,  comme cela avait été décidé ces derniers mois,  mais six milliards, le double, pour l’accueil des réfugiés.

    Entendons nous bien, et si l’on veut bien laisser de côté les responsabilités du gouvernement de Recep Tayip Erdogan (comme celles de notre gouvernement socialiste), dans la déstabilisation  de la Syrie et de la région , l’aide apportée à la Turquie par l’UE n’est pas illégitime. Et ce, d’autant que la Turquie elle même est fragilisée, pourrait entrer dans une spirale de violence et de terrorisme qui ajouterait du chaos au chaos à la frontière immédiate de l’Europe.

    Pour autant, les autres exigences portées par ce chantre du néo-ottomanisme qu’est le brillant Premier ministre Davutoglu  lors de ce sommet ne sont pour nous absolument pas  recevables. Il a ainsi demandé la suppression « d’ici juin » des visas pour les ressortissants Turcs circulant dans l’espace Schengen. Mais aussi l’ouverture « aussi vite que possible de cinq chapitres de négociations » pour l’adhésion de la Turquie dans l’UE.

    Faut-il le rappeler avec Bruno Gollnisch, la Turquie n’est pas géographiquement, culturellement, physiquement européenne et ce grand pays n’a donc pas vocation à rejoindre l’UE.

    A fortiori en pleine poussée islamiste,  et sous la gouvernance  d’un  parti comme l’AKP, qui a comme objectif principal, défini comme tel,  la ré-islamisation des Turcs et qui demande à la diaspora turque en Europe de ne pas s’assimiler. Tout en menant dans le même temps une politique très libérale d’acquisition de la nationalité turque en faveur des Azéris, Kazakhs, Ouzbeks,Turkmènes,  de tous les  citoyens musulmans issus des ex-républiques turcophones de feu l’URSS.

    Certes, les obstacles  sur la route d’une entrée de la Turquie dans l’UE sont nombreux, mais si l’on pouvait faire confiance à l’Europe de Bruxelles pour défendre une  Europe européenne cela se saurait.

    http://gollnisch.com/2016/03/08/leurope-pris-a-gorge-ankara-pousse-son-avantage/

  • Y-a-t-il un chef d’État européen qui connaisse la géographie ?

    Depuis quelques jours, le demi-monde des media se répand en lamentations : l’islamiste turc Erdogan, le russophobe enragé, fait des misères à un canard turc ! Pour un Européen, cette information est un non-événement. Après tout, en France, ne règne pas trop non plus la liberté d’expression, puisqu’une doyenne d’université interdit la conférence d’un spécialiste français de l’Afrique mondialement reconnu, au prétexte (non avoué, bien sûr) que cette conférence pourrait chagriner de gentils toutous trotskistes et autres gauchistes, dinosaures de la lutte antifasciste… soit des individus qui ignorent tout des réalités du fascisme, mort, au choix, en 1943 ou en 1945.
    Or, à l’occasion de la turquerie dépourvue d’intérêt pour un Européen, l’on apprend que des pitres du « Gouvernement européen » agitent leur index et rappellent que la Turquie est « candidate à l’admission dans la Communauté européenne ». Où ces génies ont-ils appris l’histoire et la géographie de notre continent ?
    Depuis plus d’un millénaire, les Européens se sont battus pour repousser l’islam conquérant et l’on voudrait – dans une Europe où l’on a déjà accueilli près de 60 millions de musulmans – y faire entrer 80 millions supplémentaires, et ce en une période de reviviscence du djihadisme terroriste le plus abject !
    En outre, la Turquie, c’est, pour 95% de son territoire, l’Asie Mineure (ou Anatolie), un pays peuplé à 100% d’Asiates (dont une énorme majorité issue de la variante touranienne des peuples asiatiques).
    Si l’on suit le « raisonnement » purement économique des « chefs » de l’Europe Unie (qui ne sont que des sous-ordres des maîtres de l’économie mondiale), on ne voit aucune raison de ne pas accueillir, au sein de la « Communauté européenne », les autres Touraniens : Azéris, Tadjiks, Usbeks et autres Turkmènes, sous prétexte d’échanges commerciaux.
    Que nos « chefs », étatiques et supra-étatiques, soient vendus corps et biens à la finance et au négoce multinational, on le sait depuis les années 1980. Mais il y a des limites à la stupidité, du moins devrait-il y en avoir.
    Que l’on commerce entre Europe et Asie, soit ! On ne fait que poursuivre une tradition vieille de plusieurs millénaires. Mais que l’on veuille faire passer des Asiates pour des Européens, l’Asie Mineure pour une province européenne, il y a de quoi hurler de rire, puis s’indigner, enfin se révolter.
    Si les Nations européennes laissent s’accomplir sans réagir une telle absurdité, elles auront démontré leur total aveulissement et n’auront plus qu’à disparaître ou à se laisser réduire en esclavage.

    Dr Bernard Plouvier

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/03/07/y-a-t-il-un-chef-d-etat-europeen-qui-connaisse-la-geographie-5770427.html

  • Chaque immigré va nous coûter en moyenne 450.000 euros, selon une étude allemande

    Hans-Werner Sinn, directeur de l’Institut Ifo de Munich pour la recherche économique, dresse un sombre tableau des coûts de l’accueil des demandeurs d’asile.

    Selon les calculs des chercheurs de cet institut, l’Etat providence allemand va devoir débourser au moins 450 milliards d’euros pour le million de demandeurs d’asile qu’elle a laissé entrer.

    Cela signifie 450.000 euros par immigré. Mais en vérité, ces coûts pourraient être encore beaucoup plus élevés.

    Car les calculs sont vraisemblablement trop optimistes au sujet de l’arrivée des immigrés sur le marché du travail. La plupart d’entre eux n’ont aucune formation. Près de 20 % sont mêmes analphabètes. Comment imaginer qu’ils trouveront un emploi après leur régularisation administrative ?

    Déjà aujourd’hui, en Allemagne, les immigrés représenteraient au moins 25 % des dépenses de l’aide sociale. 

    http://www.medias-presse.info/chaque-immigre-va-nous-couter-en-moyenne-450-000-euros-selon-une-etude-allemande/50559

  • ça va mal finir?

    L’Europe aux abois cherche désespérément à stopper l’invasion migratoire, dont la spontanéité et le caractère massif, même si elle a été encouragée l’année dernière par les folles déclarations d’Angela Merkel, reste pour le moins un sujet d’interrogation…Alors que les commerçants Calaisiens manifestent aujourd’hui à Paris pour crier leur colère et leur désespoir face à la destruction l’activité économique de leur ville générée par l’invasion des migrants, se déroule ce lundi un sommet de l’UE à Bruxelles. Il a pour objet d’obtenir d’Ankara, contre espèce sonnante et trébuchante, des actions concrètes pour enrayer le flot des réfugiés que la Turquie laisse s’écouler vers les pays de l’Union. Recep Tayip Erdogan entend monnayer également son aide en échange d’une accélération du processus d’adhésion de son pays à l’Europe…Dans un entretien paru hier dans Bild, la chancelière allemande a déclaré que la Grèce, menacée de crouler définitivement sous le poids de ses migrants (70.000 nouveaux immigrés  aujourd’hui, 100 000 demain…) allait être soutenue «de façon solidaire» par l’UE, expliquant que  «la Grèce devait avoir créé 50.000 places d’hébergement pour les réfugiés avant la fin 2015. Le retard doit être comblé au plus vite.»

    Hier soir, les 28 dirigeants de l’UE, se sont prononcés dans une déclaration commune pour la fermeture de «la route des Balkans» empruntée par les migrants .Une manière pour les européistes de valider dans la panique et  a postériori (de rattraper par le col?) les décisions prises unilatéralement, sans l’accord de Bruxelles,  par l‘Autriche, la Hongrie, la Slovénie et la Croatie,  qui avaient décidé de rétablir filtres et frontières  dans la zone Schengen.

    Il convient bien sûr d’être circonspect sur la méthode Coué qui a conduit les responsables de l’UE à déclarer également  que  «le flot des migrants irréguliers le long des Balkans occidentaux arrive à sa fin.» Qu’est-ce qui permet à cette UE dépassée par les événements  de l’affirmer avec autant de certitude ?

    Il est tout aussi légitime de s’étonner de l’unanimité du tir de barrage, du tombereau d’injures adressées, articles après articles, au candidat républicain Donald Trump. Signe qui ne trompe pas, et le procédé a été (est encore souvent) utilisé contre les dirigeants du FN, M. Trump est toujours représenté dans journaux et sur les sites d’information français  par des photos désavantageuses ou le présentant  sous un jour ridicule, contrairement à ses rivaux républicains ou démocrates.

    Dernier épisode en date de cette diabolisation amenant très rapidement les journalistes à franchir lepoint Godwin, les commentaires ayant accompagné ce samedi 5 mars, un meeting de Donald Trump à Orlando (Floride) , vainqueur le même jour de deux caucus dans le Kansas et le Maine -son concurrent  Ted Cruz l’a emporté dans le Kentucky et Louisiane.   M. Trump a ainsi demandé à ses partisans de faire le vœu de le soutenir jusqu’au bout: «Levez votre main droite. Je jure que peu importe les conditions, qu’il y ait un ouragan ou quoi que ce soit, je voterai pour que Donald Trump comme président

    Une aubaine pour la journaliste Janie Velencia, officiant  dans la version américaine du Huffington Post, qui écrit: «Ce rassemblement de Donal Trump ressemble à une scène de l’Allemagne nazie». «La montée de Donald Trump au sommet des candidats républicains a été de plus en plus reliée àl’ascension d’Hitler, les deux hommes ayant usé d’une rhétorique raciste et d’avoir accusé différents groupes de minorités d’être à l’origine des problèmes du pays. Ce dimanche, cette comparaison est devenue encore plus apparente quand des images d’un rassemblement de Trump à Orlando, en Floride, ont émergé, rappelant les sinistres meetings des Nazis dans les années 30.» Une antienne délirante  reprise diffusée et répandue sur les réseaux sociaux,  par d’autres journalistes , animateurs comiques…

    A l’appui de cette diabolisation le Huffington Post  (dans sa version française cornaquée par Anne Sinclair) et i Télé ont publié la semaine dernière un sondage YouGov qui, comme de bien entendu, «montre que l’image du milliardaire américain est au plus bas.» «Seulement 11% des sondés ont une opinion positive du grand favori de la primaire républicaine (…). Ils sont donc 59% à avoir une mauvaise image du probable rival d’Hillary Clinton (…). Près des deux-tiers pensent que son élection aura des conséquences négatives. Elle aura un impact négatif sur la démocratie américaine pour 61%, sur la paix dans le monde (63%) ou les droits des minorités aux Etats-Unis (67%). Quant aux relations franco-américaines, 57% des sondés estiment qu’elles se dégraderont.»

    Certes, le clivage droite-gauche rend compte d’une très sensible différence d’appréciation du personnage: «plus on glisse vers la droite de l’échiquier politique et plus la défiance à son égard diminue. Ainsi 77% des sympathisants socialistes ont une mauvaise image mais la proportion chute à 55% pour les proches du parti Les Républicains.»

    «Quand on interroge les électeurs du Front National, le constat est encore plus impressionnant. Une majorité relative des soutiens de Marine Le Pen a carrément une bonne image du populiste américain. 29% disent avoir une opinion positive alors que seulement 26% en ont une mauvaise.Dès lors, il n’est pas étonnant que ces sympathisants FN soient les seuls à souhaiter l’émergence d’un Donald Trump à la française. Seulement 14% des Français le veulent, dont 7% des électeurs PS et 18% chez les Républicains. En revanche, 39% des électeurs d’extrême-droite se prononcent pour (22% y sont opposés) ».

    D’ailleurs, «la présidente frontiste, officiellement candidate à la présidentielle de 2017 depuis quelques semaines, est la personnalité qui s’apparente le plus à Donald Trump (…).  Quand on interroge les Français, c’est en effet le nom de (Marine Le Pen)  qui arrive très nettement en tête. Avec 32% des réponses, elle devance largement Nicolas Sarkozy (10%) et Bernard Tapie (9%).

    Certes, certaines des mesures prônées par ce candidat républicain laissent (pour le moins) perplexes,  mais il est assez criant que ce qui lui est en vérité  reproché  c’est sa volonté, du moins affichée comme telle, de rompre avec l’interventionnisme d’inspiration messianique  des Etats-Unis sur la scène internationale. Pour faire court,  le retour à un certain isolationnismequi contraindrait notamment les Européens à reprendre la maîtrise de leur destin et à se défendre en comptant sur leur propre force…Une émancipation qui est   vécue comme un drame par les dirigeants des  partis bruxellois, ce qui est là aussi particulièrement révélateur…  M. Trump s’est ainsi prononcé non seulement pour une remise à plat des traités d’alliance militaire entre son pays le Japon et la Corée du Sud, mais aussi pour une réduction de la présence militaire américaine en Europe. Il juge en effet que la Russie n’est pas une menace pour les Européens.

    Faute impardonnable aux yeux des idéologues du globalisme-mondialisme constate Bruno Gollnisch, il a manifesté également son souhait de stopper les négociations avec l’Union européenne dans le cadre du marché transatlantique (TIPP ou Tafta)  et manifeste le même refus du traité Nafta (North American Free Trade Agreement) avec le Canada et le Mexique, et  du  TPP (Trans Pacific Parnership) avec certaines nations asiatiques.

     Autre crime aux yeux des soutiens de Hillary Clinton et de la majorité des cercles neocons dont il contrarie les plans, Donald Trump dit du bien de Vladimir Poutine (Trump est un «leader talentueux» a jugé de son côté le président russe) à qui il entend laisser  les coudées franches pour éradiquer l’Etat islamique et rétablir la paix et la sécurité du régime laïque syrien.

    Aux yeux de nos médias couchés, alignés, accrochés à un  Système qui craque de toute part, voilà  quels sont les vrais de motifs de la  détestation du populiste Trump. Et puis rendez vous compte, aux Etats-Unis aussi, Mecque du progressisme, ce «pays-monde» vanté par Jacques Attali,  comme un modèle d’avenir, notre horizon indépassable,  le peuple veut renverser la table,  ne veut plus marcher dans les clous, secoue le prêt-à-penser…

    http://gollnisch.com/2016/03/07/ca-va-mal-finir/

  • L’arme migratoire : un bon moyen pour la Turquie de faire casquer l’UE

    L’accord qui se profile entre les technocrates de l’UE et la Turquie est une catastrophe. En plus des milliards d’euros dépensés par les européens (qui ne serviront à rien), les turcs exigent la libéralisation des visas de ressortissants turcs vers l’UE ! Pour terminer, la Turquie accepte que les pays européens renvoient des clandestins, uniquement si en échange, l’UE en accueille d’autres ! 1 pour 1 ! C’est une véritable mascarade…

    La Turquie a demandé à l’Union européenne trois milliards d’euros d’aide supplémentaire « d’ici 2018 », promettant en échange d’augmenter drastiquement sa coopération dans la crise migratoire pour tarir les flux de migrants, a déclaré le président du Parlement européen Martin Schulz lundi.

    « Cet argent additionnel va demander des procédures budgétaires additionnelles. Le Parlement européen est prêt a accélérer les procédures », a déclaré M. Schulz en marge d’un sommet UE-Turquie à Bruxelles, où Ankara s’est montré prête à accepter des retours massifs de migrants, y compris de réfugiés syriens.

    La Turquie a proposé de reprendre sur son sol des personnes que l’UE lui renverrait, si l’Europe s’engage parallèlement à accueillir le même nombre de réfugiés syriens provenant directement de Turquie, selon un principe de « un pour un ».

    On ignore cependant encore si l’opération de retour vers la Turquie concernerait toutes les personnes arrivées en Grèce ou uniquement les migrants « irréguliers ». Se posent aussi des questions de légalité du mécanisme et de logistique.

    La Turquie a également demandé une accélération de la libéralisation des visas pour ses ressortissants souhaitant voyager en Europe, mais cette libéralisation ne se fera que quand l’accord de réadmission sera complètement appliqué, a indiqué une source européenne.

    Source

    http://www.contre-info.com/larme-migratoire-un-bon-moyen-pour-la-turquie-de-faire-casquer-lue#more-41239

  • Le 53e Salon International de l’Agriculture ne changera rien à la grande faillite du monde paysan

    Loup Mautin, agriculteur en Normandie, écrit dans Nouvelles de France :

    "Le grand rendez-vous agrico-médiatique annuel vient de fermer ses portes au parc des expositions de Paris. A l’heure du bilan, c’est le sentiment d’une immense occasion ratée qui prédomine. Nous avons vu les banderoles et les t-shirts, nous avons entendus les sifflets et les invectives, nous avons assisté au chahut des éleveurs sur le stand du ministère de l’agriculture, nous avons attendu le commissaire Phil HOGAN à la porte de sa voiture fuyant les lieux, mais tout cela nous laisse sur notre faim.

    Vitrine artificielle d’un monde pourtant bien réel, le 53e Salon International de l’Agriculture ne changera rien à la grande faillite du monde paysan. 40% des exploitations françaises connaissent des difficultés financières et nombreuses sont celles qui disparaitront avant la fin de l’année… probablement sans bruit, mais avec leurs drames et leurs souffrances.

    Il s’agit là d’un monde que nous connaissons bien et que nous aimons.

    Ce sont les paysans du bout des chemins, ceux qui commencent tôt et finissent tard, les pieds dans la boue, les mains gelées et qui ne sont pas allés à Paris. D’ailleurs ils ne vont jamais à la capitale et en sont fiers. Ils ont bien le temps de s’arrêter quelques instants pour boire un café ou rendre un service mais leur travail les préoccupe. Les vêlages, la traite, les travaux des champs sont la priorité. Leur labeur les passionne même s’ils savent que tout cela ne rapporte rien en ce moment. Il faut pourtant tenir comme l’ont fait avant eux leurs parents et leurs grands-parents. Ils ne sont pas dépensiers et possèdent bien quelques économies accumulées lors des bonnes années, mais cette fois la crise est sérieuse. Ils ne le savent pas, mais ils ont été sacrifiés. Alors, ils disparaîtront car leur modèle a été jugé obsolète par l’UE. La lenteur des cycles naturels repoussera l’échéance et fera traîner la fin mais elle sera inéluctable. Contraints et forcés, ils éprouveront alors la honte car ils considèreront cette liquidation comme leur échec. Ils souffriront de la publicité qui en sera faite car à la campagne tout se voit et tout se sait, mais ils ne diront rien.

    Les raisons de cette faillite sont connues. Elles tiennent, surtout, à l’implosion du modèle agricole français qui a perdu toutes ses protections au profit de la concurrence libre et non faussée du grand marché mondial sans frontières, sans régulation, sans quotas, promue par la commission européenne. Son modèle? Les usines agricoles allemandes, avec main d’œuvre bulgare payée à la roumaine, dont les produits ont donné le coup de grâce à nos éleveurs à qui on avait pourtant assuré que les tarifs étaient imbattables.

    Il est encore temps d’éviter cet immense gâchis car la France est auto-suffisante dans de nombreuses productions et si nous protégions le marché français, que nous distribuions dans les restaurants et les cantines les produits de nos régions, nous arriverions à revaloriser nos produits.

    Protégez-nous, rendez-nous notre souveraineté !"

    Michel Janva

  • Colloque de l’Institut Iliade : Face à l’assaut migratoire, le réveil de la conscience européenne !

    Le prochain colloque de l’Institut Iliade se tiendra le 9 avril prochain à la Maison de la Chimie, dans le VIIe arrondissement de Paris. Consacré à la nécessaire affirmation de l’identité européenne menacée par l’invasion migratoire, il devrait intéresser nos lecteurs au plus haut point.

    Les exactions de masse commises le soir du Jour de l’An dans de nombreuses villes d’Allemagne et d’Europe annoncent les risques que représente l’immigration massive pour nos peuples et notre civilisation. Le rouleau compresseur est en marche ! Celui, implacable, et mortel, du Grand Remplacement de population, facilité par l’effacement de notre mémoire, de notre identité et de notre légitime fierté d’Européens.

    L’Iliade appelle à un sursaut intellectuel et moral afin de réaffirmer nos valeurs, nos libertés et nos droits sur la terre de nos ancêtres.

    La matinée est consacrée à l’analyse de l’assaut migratoire, avec notamment Bernard Lugan : (« La grande invasion des années 2000, un phénomène sans précédent dans l’histoire de l’Europe et du monde »), François Bousquet (« L’idéologie ‘Big Other’ : les autres avant les nôtres », un diaporama consacré à « Un exemple de submersion migratoire islamique : la situation au Kosovo » ou l’évocation du Camp des Saints avec une discussion entre Christopher Gérard et Jean Raspail.

    L’après-midi vise à définir, face à la menace, les conditions et leviers du nécessaire réveil de la conscience européenne, avec Ivan Blot [« L’Être des nations contre l’avoir des marchands »], Renaud Camus [« La fierté contre la repentance »], Jean — François Gautier [« La pérennité de l’âme européenne »] et Jean-Yves Le Gallou [« Pour la préférence de civilisation »]. Une table ronde animée par Patrick Pehele réunira des représentants de la « Génération 2013 », jeunes engagés dans la Cité dont les initiatives sont autant de « signes du réveil » européen.

    • Samedi 9 avril à partir de 10 h
    • Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75 007 Paris
    • Entrée simple : 10 €
    • Tarif de soutien : 30 €
    • Tarif bienfaiteur : 100 €
    • Inscription sur https://www.weezevent.com/colloque-institut-iliade-2016

    http://fr.novopress.info/