Entretien avec Maître Thibault de Montbrial, avocat au Barreau de Paris et Président du Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure :
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Entretien avec Maître Thibault de Montbrial, avocat au Barreau de Paris et Président du Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure :
516 plaintes, dont 40 % pour agressions sexuelles, le chiffre ne cesse d’augmenter, de même que la colère des allemands. Face à l’ampleur internationale de la vague d’agressions, des soupçons de planification fleurissent.
516 plaintes pour agressions, dont 40 % concernent des faits d’agressions sexuelles. Le chiffre ne concerne que la ville de Cologne alors que la vague d’agressions de la part d’immigrés clandestins ou non a touché aussi Hambourg (133 plaintes, notamment pour agression sexuelle), Berlin, Düsseldorf, Francfort, Stuttgart ou Munich.
Partout les faits sont similaires : les victimes, des femmes, évoquent des groupes d’hommes entre 18 et 35 ans de type arabe ou maghrébin, souvent alcoolisés, qui les ont encerclées par bandes de 20 ou 30, et agressées verbalement puis physiquement par des attouchements sur tout le corps, en particulier les parties sexuelles. On leur a volé leurs affaires personnelles ; beaucoup ont reçu des coups et se sont plaints d’agressions physiques allant parfois jusqu’au viol.
La police de Cologne a déclaré n’avoir jamais eu à faire face à de telles violences auparavant et avoir été complètement dépassée par le nombre d’agresseurs, l’empêchant de porter secours aux femmes attaquées. Le chef de la police de Cologne a été mis à pied vendredi 8 janvier après de nombreuses critiques, officiellement notamment sur une communication très tardive et limitée. Il avait néanmoins affirmé samedi que les personnes sur lesquelles elle enquêtait étaient « originaires en grande partie de pays d’Afrique du nord » et « en grande partie des demandeurs d’asile et des personnes se trouvant en Allemagne illégalement ».
Élément qui, curieusement, n’a pas été répété par la police dans son communiqué de dimanche 10 janvier. Étonnant quant on constate que face à ces violences en série, 119 personnes sont suspectées, pour une majorité des hommes « réfugiés ». Ainsi, samedi 9 janvier, les enquêteurs ont arrêté un Marocain de 19 ans soupçonné de vol de portables le soir de la Saint-Sylvestre sur la place principale de Cologne. Cet homme est déjà connu des services de police.
L’Allemagne n’a pas été la seule cible : à Zurich, en Suisse ; à Helsinki, en Finlande, et aussi à Salzbourg et Vienne en Autriche, des faits de même nature ont été perpétrés au même moment, quoiqu’avec une moindre ampleur. Ces agressions ont elles donc été organisées ?
Beaucoup sont de cet avis, comme le ministre de l’Intérieur de Rhénanie et le ministre de la Justice fédéral. Pour Arnold Plickert du syndicat de la police de Rhénanie, cela ne fait aucun doute : « C’était une action planifiée, c’est ce que nous avons pu constater. (…) Nous devons savoir qui a organisé cette action et expliquer pourquoi elle a pu avoir lieu. Nous devons savoir comment ces 1 000 hommes sont venus devant la gare de Cologne et comment ils ont pu communiquer ensemble ? »
Les agresseurs semblent avoir opéré comme lors du printemps arabe sur la place Tahrir en Égypte, où des femmes égyptiennes et des journalistes ont été attaquées, violentées, violées, par des groupes d’hommes.
http://fr.novopress.info/196811/agressions-cologne-516-plaintes-ce-jour/#more-196811
Toute l’Europe parle et s’effraie –à raison- de l’ignoble chasse à la blanche qui s’est déroulée à Cologne dans la nuit de la Saint-Sylvestre. Si l’ampleur de cette chasse est inégalée, il faut noter qu’elle ne fut pas la seule. Bien d’autres cas de harcèlements ou d’agressions sexuelles ont été relevés en Allemagne (Stuttgart, Munich, Hambourg et Berlin notamment), en Suisse ou en Finlande lors de cette même nuit.
Et nous ne parlons que du nouvel an… N’oublions pas les milliers de cas que l’on recense dans tous les pays d’Europe depuis l’arrivée massive de ceux qu’on appelle bien pudiquement « migrants » ! Chaque jour, en Norvège, en Suède ou en France, des femmes se font agresser, brutaliser ou violer dans l’indifférence quasi totale des pouvoirs publics et des médias qui font tout pour étouffer ces affaires afin d’éviter les « amalgames ». Cette fois, c’en est trop et le système ne peut plus cacher l’évidence. Certains tomberont de haut. Tant mieux.
Qui sont les coupables ? Des Norvégiens ? Des Suédois ? Des Français ? Non, des « migrants » ou, devrais-je dire, la vague la plus récente d’immigration extra-européenne sur notre sol. A Cologne, les coupables ont de suite été identifiés comme « d'apparence arabe ou nord-africaine » mais on précise maintenant que la plus grosse partie d’entre eux étaitdes Syriens. A Zurich, ce sont des « hommes à la peau sombre » qui ont œuvré tandis qu’en Finlande, on parle d’Irakiens…
Les précédentes vagues d’immigration ont déjà contribué et continuent à contribuer grandement à l’insécurité de nos femmes. Les Européennes n’ont pas attendu ces derniers mois pour vivre dans la peur. Rappelez-vous de ce rapport de la police d’Oslo de 2011 qui démontrait que 100% des viols commis entre 2005 et 2010 avaient comme coupables des étrangers. Rappelez-vous des tournantes dans les cités qui ont défrayé la chronique il y a quelques années. On pourrait multiplier les exemples… Qui est en cause ? Les Européens ou les non-Européens ? Les races existent-elles, oui ou non ? Vous répondrez à ces questions par vous-mêmes en considérant toutefois que plusieurs pays (comme laNorvège ou la Belgique) croient bon de donner des cours de respect de la femme aux clandestins fraîchement débarqués. Ceux-ci y apprennent que violer est interdit et que porter une jupe ne veut pas dire : « je suis une prostituée »…
Les « migrants », c’est un fait, sont en très grande majorité des hommes. Des hommes jeunes faut-il préciser. Ils arrivent en Europe sans familles et sans femmes. Voilà qui facilite déjà la chasse à la Blanche : ne pas être vu/contrôlé par sa (ou ses) femme(s), ses sœurs, sa mère, sa famille, sa communauté. L’Europe, c’est la sortie entre mecs ! Plus de contrôle social, rien. La liberté, la belle vie ! L’image de l’Occident où tout est permis ! Jouir sans entraves ! Finies les soi-disant traditions et tout le toutim, le migrant est venu ici profiter de la licence et il s’affranchit vite des anciens interdits. En témoigne parfaitement la consommation d’alcool qui est la sienne et qui a été fort remarquée à Cologne… Est-il musulman? Oui et non, comme nos racailles de cité quoi… A la mosquée le vendredi et aux putes le samedi. Son modèle ? Ces princes saoudiens du genre Majed ben Abdoullah ben Abdoulaziz Al-Saoud. Celui-ci mène « une vie complètement trash, à mille lieux des traditions islamiques saoudiennes particulièrement puritaines : il passerait en effet la plupart de son temps à se saouler et sniffer de la cocaïne, entouré de prostituées». Complètement dépravé, sa grandeur a surtout été récemment inquiétée par les autorités de Californie pour « des actes sadiques sur ses employées féminines. » Comment justifie-t-il son comportement ? «Je suis un prince et je fais ce que je veux ! ». Vous l’aurez compris, le « migrant », c’est un peu la version pauvre d’un prince saoudien…
Pour le clandestin, l’équation est simple : Europe = terrain de jeu. Un policier allemand l’annonce clairement: lors de la nuit du nouvel an, les migrants « voulaient surtout commettre des agressions sexuelles ou, pour le dire de leur point de vue, s'amuser sexuellement ». Abu Osman, qui prend des cours de respect de la femme en Norvège, le dit lui-même : « les hommes sont faibles » et il est difficile de se contrôler. Le psychologue Per Isdal confirme que "de nombreux réfugiés viennent de cultures où il n'y a pas d'égalité hommes-femmes et où les femmes sont les propriétés des hommes." Horreur ! Ces « migrants » ne seraient-ils pas comme nous ?
En plus de dénigrer la femme, notre migrant est prisonnier du monde qu’il s’est créé. Pour lui, les Blanches sont des filles faciles. Elles se couvrent peu (seules les prostituées font ça dans son pays) et sont toutes des salopes, il l’a vu dans les multiples pornos qu’il a regardés sur son Iphone ! En plus, la Blanche, c’est tout à la fois un rêve d’élévation, une quête, une prise de guerre mais surtout une envie de salir et de se venger de ces Européens riches et jouisseurs qui ont asservi le monde et sont les alliés du grand méchant Satan américain ! On l’a incité à venir ici… il ne s’est pas fait prier ! Il veut venir en profiter lui aussi de ces créatures intrigantes qui vivent dans des pays où on ne risque pas grand-chose à les importuner. C’est gagnant-gagnant ! Y a qu’à se servir ! La police est impuissante et débordée… En plus, le système en place fait de lui, le clandestin, une victime qui peut tout se permettre sur un sol qui n’est pas le sien… Pourquoi bien se comporter ? C’est le monde libéral du 0 barrières qui s’ouvre à lui ! Il peut insulter, salir, détruire, violer, qui l’arrêtera ? Serait-ce ces Européens qu’il considérait (à raison ?) comme sans couilles mais qui se réveillent peu à peu maintenant qu’il s’en prend de manière si flagrante à ses femmes et à ses filles ?
Rüdiger / C.N.C.
Béatrice Bourges au Forum féminin eurasiatique le 24 septembre 2015 à Saint Petersbourg.
Si les sites parallèles d’information n’existaient pas, jamais les médias européens n’auraient dit un mot – fût-il aseptisé et passé au crible du laser « vivrensembliste » – au sujet des agressions de femmes dans de nombreuses villes d’Europe. Nous pouvons être persuadés de cela sans argumenter davantage, puisque nous sommes désormais rompus au décryptage du mensonge journalistique planifié. Rien n’aurait filtré tandis que des centaines – voire des milliers – d’Européens furent les témoins de scènes inédites dans nos sociétés. Peut être, « au mieux », nous aurait-on parlé du bout des lèvres de quelques débordements inhérents aux assemblées de jours de fête.
Cette situation doit nous conduire à diffuser plus que jamais et à relayer inlassablement les informations dont nous disposons. Certes, ces mots s’apparentent à prêcher ici auprès de convaincus. Il faut toutefois se persuader, à la vue des événements récents, que le pouvoir politico-médiatique serait prêt à occulter des agressions conjuguées à l’échelle de notre continent. Rien de moins. Ce qui nous renseigne sur une autre échelle : celle de la volonté instruite de priver les citoyens du droit à vivre libres.
Le lobby LGBT nous apprend que lors d’une réunion de la Commission européenne, l’entourage de M. Juncker s’est inquiété de l'initiative citoyenneMum, Dad and Kids. Le président Juncker s’est prononcé en faveur d’une révision de l’initiative lors d’une prochaine réunion de la Commission, qui devrait se tenir en début d’année.
Paul Moynan, membre du comité citoyen Mum, Dad and Kids à déclaré à ce sujet :
« Il est regrettable et antidémocratique que la Commission semble en vouloir à toute initiative qui ne correspond pas à leur agenda politique »