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Europe et Union européenne - Page 851

  • Gabriele Adinolfie publie aux Bouquins de Synthèse nationale un livre sur l’Europe

    Gabriele Adinolfi nous expose dans ce petit livre de 80 pages, initialement édité en Italie, sa vision de l’Europe.

    Partant du constat que dans le monde globalisé actuel les nations européennes ne peuvent plus, seules, avoir la force nécessaire pour faire face aux blocs (USA, Chine, Inde, pays émergents…), celles-ci risquent d’être amenées à disparaître de la compétition internationale.

    GA

    Seule la création d’une Europe forte et unie, reposant sur la défense de ses identités nationales et régionales, peut inverser les choses. C’est ce à quoi Gabriele Adinolfi nous invite à réfléchir.

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    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/gabriele-adinolfie-publie-aux-bouquins-de-synthese-nationale-un-livre-sur-leurope_132056.html#more-132056

  • Islande : le gouvernement étudie la possibilité d’enlever aux banques le pouvoir de créer de la monnaie

    Attendons la décision finale des instances politiques islandaises. Affaire à suivre.

    Vu sur 7sur7 : La proposition est étudiée dans un rapport signé par un parlementaire du Parti du progrès (centriste, au pouvoir), Frosti Sigurjonsson. Cet entrepreneur et économiste avait déjà été l’un des artisans du processus d’annulation de la dette immobilière des ménages lancé en mai, afin de rétablir les finances du grand nombre d’Islandais étranglés par des emprunts contractés avant la crise financière de 2008.

    Crises financières
    Sa proposition, à la demande du Premier ministre Sigmundur David Gunnlaugsson, tente de rompre avec un système qui a entraîné l’île dans une succession de crises financières.

    D’après une étude de quatre économistes de la banque centrale publiée lundi, le pays en a connu « plus de 20″ depuis 1875, les crises « graves » arrivant « tous les quinze ans en moyenne ».


    Inflation
    Pour M. Sigurjonsson, le problème vient de l’emballement du crédit chaque fois que l’économie accélère. La Banque centrale d’Islande n’arrive pas à l’endiguer et il dégénère en inflation, prise de risque exagérée et spéculation, menace de faillites bancaires et interventions étatiques coûteuses.

    En Islande comme dans toutes les économies de marché modernes, la banque centrale contrôle la création de monnaie en pièces et billets, mais pas toute la création de monnaie, qui intervient dès qu’une banque commerciale accorde un crédit. Elle ne peut que tenter de l’influencer par ses outils de politique monétaire.

    « Système de monnaie souveraine »
    La proposition est de mettre fin au privilège concédé à des acteurs privés, en faveur d’une architecture dirigiste appelée « système de monnaie souveraine ».

    La banque centrale déterminerait le rythme de la création monétaire en fonction des besoins perçus de l’économie. »Le pouvoir de créer la monnaie est maintenu séparé de celui de décider comment cette monnaie nouvelle est utilisée », a souligné M. Sigurjonsson. Et « comme pour le budget de l’État, le Parlement débattra de la proposition du gouvernement pour l’allocation de la nouvelle monnaie ».

    Qu’en pense le premier ministre ?
    Les banques garderaient la gestion des comptes et moyens de paiement, ainsi que la fonction d’intermédiaires entre épargnants et emprunteurs. Le sort de la proposition reste incertain car le premier ministre n’a pas donné d’avis définitif.

    « Les conclusions seront une contribution importante à la discussion à venir, ici et ailleurs, sur la création et la politique monétaires », a-t-il déclaré dans un communiqué.

    http://www.contre-info.com/islande-le-gouvernement-etudie-la-possibilite-denlever-aux-banques-le-pouvoir-de-creer-de-la-monnaie#more-37436

  • L'Europe accule les gouvernements rétifs à l'échec

    L'analyse économique de François Reloujac dans Politique Magazine d'avril.

    "Il ne se passe pas un jour sans que les médias n’évoquent le « Grexit » (la sortie de la Grèce de l’euro), les tribulations du gouvernement français face à une Commission européenne qui la somme de respecter ses engagements financiers et la « politique non conventionnelle » suivie par la BCE. Le point commun à tous ces sujets ? La décomposition avancée de l’Europe.

    Les débats autour de la situation en Grèce montrent à quel point l’absence de solidarité entre les états européens – assumée par les divers gouvernements et alimentée par les médias – est patente. On a beaucoup glosé sur le manque d’honnêteté des Grecs lorsqu’ils sont entrés dans la zone euro et sur la façon dont les partis successivement au pouvoir ont utilisé la monnaie unique en vertu de leurs intérêts partisans jusqu’au moment où le peuple s’est révolté, pour l’instant uniquement dans les urnes. On a beaucoup moins fait allusion aux décisions européennes qui ont nui (l’euro fort), ou nuisent encore (l’embargo russe décrété dans le cadre de la crise ukrainienne), à l’économie grecque. Mais depuis qu’un gouvernement improbable est sorti des urnes, menaçant l’establishment politique, l’Union européenne a décidé de jouer la politique du pire. Le 10 mars dernier, le commissaire Dijsselbloem déclarait ainsi cyniquement que « s’il y a une pression sur la liquidité de l’état grec, cela pourrait accélérer la mise en œuvre des réformes » imposées par la « Troïka », quoiqu’elles aient déjà montré leur nocivité absolue.

    En fait la Commission européenne a peur. Peur que l’exemple grec ne devienne contagieux, à commencer par l’Espagne prochainement. Il faut donc, par tous les moyens, acculer le gouvernement Tsipras à l’échec. Tout le monde s’y met, hors de Grèce. Des chaînes de télévision qui rediffusent d’anciens reportages sur l’actuel ministre grec de l’économie en détournant le sens de ses positions. Jusqu’aux journaux les plus importants qui déforment sciemment les mesures proposées par le gouvernement grec, notamment pour lutter contre la fraude fiscale. Le but est toujours le même : déconsidérer ce gouvernement aux yeux de l’opinion publique européenne et pousser le pays vers la sortie de l’UE Même la Banque centrale européenne s’y est mise en imposant à la Grèce des mesures spéciales qui vont au-delà de ce que prévoit le respect des traités.

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    Paula Corbulon

  • Pierre Lellouche : « La CEDH installe un gouvernement des juges européens »

    Le proposition de loi de Pierre Lellouche à l’Assemblée nationale a peu de chance d’être adoptée. Elle consiste à renégocier les compétences de la Cour européenne des droits de l’homme.

    Le député UMP conteste notamment cette « tour de Babel » qui réécrit le droit français et s’est illustrée dans le dossier de Djamel Beghal, le mentor des frèresKouachi.

    Cette initiative aura, au moins, le mérite – espérons le ! – de soulever un certain nombre de problématiques importantes concernant la souveraineté du droit français bafoué au profit de juridictions supranationales.

    Pierre Lelouche s’est livré lors d’un entretien sur ce sujet au journal Marianne

    En voici un extrait :

    Vous considérez que la CEDH entrave la France dans sa lutte contre le terrorisme ?

    La CEDH laisse les terroristes qui sont condamnés et quelque soit leur nationalité se prévaloir de la saisine directe de la Cour pour faire en sorte qu’ils ne puissent être ni déchus de leur nationalité quand ils sont double-nationaux ni être expulsés. Ce que prévoit pourtant la loi. L’affaire la plus choquante est celle de Djamel Beghal.

    La CEDH ne voulait pas qu’il soit expulsé de France, donc nous l’avons abrité en attendant qu’il soit condamné pour une autre affaire. Ce Monsieur Beghal a été hébergé aux frais du contribuable et il a pu recevoir les frères Kouachi mais aussi Monsieur Coulibaly qui se sont illustrés avec les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher.

    Ce n’est qu’un exemple, je passe sur les « malheureux » pirates somaliens du Ponant dont la Cour a estimé qu’ils avaient passé trop de temps en prison. Tout cela pourrait presque prêter à sourire. Mais cela donne quand même l’impression que dans cette tour de Babel qu’est la CEDH, on ne connaît pas la même réalité que la nôtre, nous qui sommes confrontés à des flux de terroristes en Europe, que nous devons arrêter, condamner et, au besoin, expulser.

    Or, la jurisprudence de cette Cour fait que l’Etat a abdiqué sa compétence en matière de sécurité nationale comme dans d’autres, ce qui relève selon moi, d’un déni démocratique qui va contribuer au divorce entre les Européens et la machine européenne car ce système est tyrannique puisqu’il n’y a aucun recours possible une fois que la Cour a rendu un arrêt.

    http://fr.novopress.info/

  • L’UE autorise la mise sur le marché d’un médicament coupe-faim aux effets secondaires alarmants

    Il n’y a que les profits immédiats qui intéressent le gouvernement d’occupation bruxellois. Les technocrates se moquent de la santé des européens.
    Même la France s’alarme de la mise sur le marché de cette nouvelle molécule… N’ayant plus de souveraineté nous sommes obligés d’accepter l’AMM de l’UE sous peine de sanctions.

    Le médicament anti-obésité américain Mysimba a été approuvé la semaine dernière par la Commission européenne, en dépit d’une forte opposition de la France, a indiqué jeudi l’agence du médicament ANSM. Le médicament en question, produit par le laboratoire californien Orexigen Therapeutics, est appelé Mysimba en Europe et Contrave aux États-Unis. Il associe deux molécules, la naltrexone et le bupropion (autrefois appelé amfébutamone), utilisé dans le sevrage tabagique.

    L’ANSM avait réclamé un réexamen par Bruxelles du dossier de ce coupe-faim, qui avait déjà reçu un avis favorable de l’Agence européenne du médicament (EMA) pour sa commercialisation en Europe en décembre dernier, mais elle n’a été suivie que par l’Irlande, l’Autriche et l’Italie. « L’autorisation de mise sur le marché a finalement été octroyée jeudi dernier au niveau européen » a indiqué Joseph Emerich, directeur des médicaments en cardiologie à l’ANSM.

    L’agence française avait justifié son opposition par une « efficacité limitée sur la perte de poids » et des problèmes de sécurité. Elle évoquait en particulier des »incertitudes sur des risques » d’ordre neuropsychiatrique (dépression, suicide…) et cardiovasculaires, sur le long terme, de ce produit. M. Emerich a ajouté jeudi que la tolérance du médicament était limitée, puisque50% des personnes ayant participé à un essai clinique avaient abandonné en cours de route en raison d’effets indésirableset que les résultats définitifs de cet essai n’étaient pas encore connus.

    Source : Le Figaro

    http://www.contre-info.com/lue-autorise-la-mise-sur-le-marche-dun-medicament-coupe-faim-aux-effets-secondaires-alarmants#more-37407

  • La Commission européenne enterre l'initiative citoyenne européenne

    D'Yves Daoudal :

    "En réponse aux critiques qui s’accumulent à propos de l’« initiative citoyenne européenne », la Commission européenne a répondu qu’elle ne changerait rien. Bref, que la chose allait mourir de sa belle mort, sans qu’il y ait besoin de sédation profonde… Conformément à ce qui était prévu, mais cela elle ne le dit pas.

    [...] Cette innovation démocratique majeure du traité de Lisbonne était censée permettre la participation des citoyens au processus de décision européen. C’était une exigence pour rapprocher les citoyens de Bruxelles, pour combler le « déficit démocratique » dont souffre l’UE, etc. [...] Selon le traité de Lisbonne, l’« initiative citoyenne européenne » devait être mise en place dès l’entrée en vigueur du traité, mais la Commission avait encore mis deux ans et demi pour mettre au point le dispositif, en faisant croire que c’était une grande concertation entre le Conseil, le Parlement, et les citoyens, alors qu’elle décidait de tout toute seule (comme d’habitude).

    Caril fallait faire en sorte qu’il soit impossible qu’une initiative citoyenne puisse aboutir à une remise en cause de quelque diktat que ce soit de la Commission, tout en faisant miroiter le progrès démocratique majeur de la chose.

    On voit, trois ans plus tard, le résultat. 51 initiatives ont été enregistrées par la Commission. Sur ces 51, il y en a… deux qui ont abouti. Qui ont abouti… à rien.

    La première a étécelle du « droit à l’eau »(gestion publique de l’eau) qui demandait une proposition de loi reconnaissant le droit humain à l'eau, ou l'engagement formel de ne lancer aucune initiative incitant à libéraliser ce service, et la confirmation que les services d'eau et d'assainissement seraient exclus du Partenariat transatlantique. L’initiative citoyenne a effectivement pour finalité d’obliger la Commission a élaboré un projet de loi.Mais la Commission a répondu par de bonnes paroles strictement verbales…

    La deuxième a été « Un de nous », l’initiative visant à protéger l’embryon humain,notamment en interdisant toute activité qui conduise à détruire un embryon.La Commission a répondu que c’était déjà « réglementé »…Les organisateurs ont porté plainte devant la Cour européenne de Justice, qui a obligé la Commission à formuler une nouvelle réponse. Celle-ci vient de le faire, ce même 31 mars. Elle répond… qu’elle a le droit de répondre comme elle l’entend. Sic.

    Comme, le même jour, la Commission fait savoir qu’elle ne changera rien au processus, on voit que la preuve est faite que c’était une mauvaise farce, et qu’il faut être singulièrement optimiste, ou plutôt inconscient, ou avoir du temps à perdre, pour tenter de nouvelles initiatives.

    D’ailleurs les demandes ont déjà chuté de façon spectaculaire l’an dernier."

    Cette vaste fumisterie avait été décryptée par le même Daoudal dès 2009.

    Michel Janva

  • Les Etats‑Unis s’impliquent toujours plus dans le conflit en Ukraine

    290 parachutistes américains débarqueront en Ukraine le 20 avril pour une durée de 2 mois. Leur mission sera de former la garde nationale ukrainienne, celle composée de volontaires qui ont combattu les rebelles prorusses.

    Cette annonce a été faite par le ministre ukrainien de l’Intérieur : Arsen Avakov. Il a ajouté aussi que « Nos partenaires américains fourniront des équipements militaires spéciaux et des moyens de liaison ». A cela viendront s’ajouter 75 millions de dollars d’équipements militaires ainsi que 230 véhicules.

    Cela ne conforte pas les accords de Minsk qui faisaient miroiter une paix. Au contraire, cela attise l’idée d’un conflit alimenté par les Etats‑Unis.

    http://fr.novopress.info/

  • Nigel Farage dénonce l’immigration qui change le visage de la Grande-Bretagne

    En campagne pour les élections législatives du 7 mai, le leader du parti Ukip, Nigel Farage, a pris la parole à Douvres, où des immigrants débarquent en nombre depuis la France.

    Prenant la parole au pied des falaises blanches de Douvres, Nigel Farage en a profité pour dévoiler l’affiche d’une nouvelle campagne sur laquelle il est possible de voir trois escalators plaqués sur ces fameuses falaises avec le slogan “l’immigration est trois fois plus importante que ce que les Tories avaient promis“.

    Pour lui, l’immigration a rendu la Grande-Bretagne méconnaissable. Il est ainsi parfois difficile de reconnaître certaines villes et villages qui ne sont plus les mêmes qu’il y a 10 ou 15 ans.

    Nigel Farage affirmer aussi que l’immigration est la préoccupation numéro un de l’électorat.

    Nous faisons de l’immigration le centre de notre campagne, en lien avec notre appartenance à l’Union Européenne.

    http://fr.novopress.info/

  • Les modèles sont mortels: exemple avec la Finlande

    L’affaire de la Grèce prend la tournure à laquelle il fallait s’attendre: après deux ou trois ans d’austérité qui ont vu son PIB régresser d’un tiers et après le retour à la case départ, c’est-à-dire à l’année de l’entrée dans l’Euro, les Grecs en ont par-dessus la tête et finissent par s’y prendre mal avec des dirigeants qui jouent les enfants terribles et des habitudes de ne pas payer leurs impôts qui deviennent déplaisantes.

    Ils n’ont pas raison de prendre leurs partenaires pour des abrutis. Ils n’ont pas raison de ne faire de réformes que celles qui ne coûtent pas trop chères aux contribuables. Mais les autres pays de l’Eurozone, n’ont pas raison de ne pas écouter les messages que passent mal les Grecs. Les Allemands, en premier, ont tort d’afficher des airs offusqués à la manière de la vieille tante sans enfants qui ne supporte pas le bruit de la marmaille des autres.

    On le sait, l’Allemagne se prend pour un modèle. Elle n’est pas la seule en Europe à avoir eu cette idée. Pour autant, l’Allemagne devrait se souvenir que les modèles sont des denrées fragiles et qu’il suffit de quelques mois pour que s’inversent des tendances qu’on croyait écrites dans le marbre. L’exemple de la Finlande devrait sonner douloureusement dans l’oreille de sa grande sœur en méritocratie. 

     

    La Finlande, ce pays qui ne ressemble pas à la Grèce

    Si on devait comparer les Finlandais avec les Grecs, on dirait qu’ils sont parfaitement opposés. Les souvenirs du passé démarrent quelques siècles après JC en Finlande et quelques millénaires avant en Grèce. La Grèce a une belle collection de temples grecs, en Finlande, il y a une gare centrale en granit (On a les Parthénon qu’on peut!). Enfin, on sait qu’il y a en Finlande autant de lacs qu’il y a d’îles en Grèce! La Finlande serait en creux ce que la Grèce est en bosse?

    Une autre différence? Le village du Père Noël est en Laponie. La Finlande serait le pays du Père Noël et des cadeaux aux petits comme aux grands? Ne nous leurrons pas ! Voici une autre différence avec les Grecs: la Finlande n’est pas le pays qui aura offert à l’Humanité des cadeaux qui secouent les civilisations. Le village du Père Noël est un coup touristique.

    Selon certains linguistes, le mot “cadeau” n’existerait pas dans les langues finno-ougriennes ! L’installation du père Noël ne peut donc qu’être récente. La preuve? Son peu d’effet sur le comportement social des Finlandais. Les Espagnols l’ont bien compris. Pas de cadeaux à attendre des Finlandais. Revenons en arrière: l’Espagne est à genoux, son système bancaire a explosé en plein vol, ravagé par une crise immobilière monstre comme les subprimes avaient ravagé le système bancaire britannique après avoir démoli l’américain.

    Les Finlandais ne connaissent pas les “cadeaux”

    L’Europe de l’Euro s’est mobilisée et a voulu mettre en place des mécanismes de sauvegarde de même qu’elle était intervenue au secours de l’Irlande et de son système bancaire tout aussi désastreusement atteint. A peine ces idées avaient-elles cheminé que la Finlande excipait de son sens des responsabilités, de son respect total à l’égard des obligations européennes et particulièrement celles qui étaient attachées à son inclusion dans l’Eurozone. Elle parla fort et haut des pays du Sud, cigales quand elle avait toujours su demeurer fourmi.

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