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Europe et Union européenne - Page 848

  • Chahdortt Djavann : « Le choc des civilisations n’aura pas lieu. La nôtre va se coucher.»

    Chahdortt Djavann est un auteur d’origine iranienne . Elle se bat contre l’islam et contre le port du voile depuis des années. Réactions après la lecture du roman de Houellebecq, Soumission.

    « Son antihéros typique, décadent, dépressif, modèle de lâcheté, d’indifférence et de résignation, symbolise la France elle-même, qui se soumet sans résistance à l’islam politique. En 2022, la France tout entière est une pute qui se vend aux pétrodollars islamiques.

    (…) Nul ne résiste aux pétrodollars des monarchies du Golfe. La collaboration coule comme un long fleuve tranquille. La résistance française est un mythe. La corruption, l’arrivisme, la lâcheté et la collaboration font de la France un pays totalement halal. »

    « Les pages [du roman] sur l’islamisation de l’éducation nationale, et notamment de la Sorbonne, m’ont rappelé ce que j’avais écrit sur l’islamisation du système d’éducation et des universités en Iran.

    Au fait, qu’advient-il de la loi sur le mariage des homosexuels dans la France islamique? L’auteur a oublié de se poser la question. »

    « Trêve de plaisanterie, Houellebecq démonte la thèse de Huntington : le choc des civilisations n’aura pas lieu. La nôtre va se coucher. »

    Lire plus : Figaro - Merci à Stormisbrewing

    —————

    Quelques déclarations passées de Chahdortt Djavann

    « Burka ou foulard coloré, la signification est la même. Parler de foulard, de bandeau n’est qu’une lâcheté sémantique, c’est une misérable ruse rhétorique. Porter le foulard, ici, est un appui aux dictatures islamistes qui imposent la burka là-bas. Le voile est l’emblème même du dogme islamiste. 

    « En voilant une fille, on lui inculque son infériorité, la culpabilité de sa sexualité. La France doit reconnaître le port du voile pour les mineures comme une maltraitance. Les parents et tous les adultes qui incitent les filles à le porter doivent être sanctionnés. »
    « Si les hommes adorent tant le voile, ils n’ont qu’à le porter eux-mêmes. »

    « Où sont ces intellectuels de salon complices de la barbarie islamique quand, en France, on force des fillettes à se murer dans une prison portative ? »

    « Voiler les femmes, c’est diffuser la vision du monde islamiste »

    « Comment croire qu’une religion née il y a mille quatre cents ans en Arabie, et dont toute l’architecture repose sur le caractère immuable des lois qui la constituent, puisse être une religion progressiste ? Quant à savoir si les dogmes islamiques sont compatibles avec la démocratie : la réponse est non !  »

    Cette idéologie, pire que celle du communisme ou du nazisme, a des ambitions mondiales et veut implanter le drapeau de l’islam politique dans le monde

    Source

    http://www.fdesouche.com/551741-chahdortt-djavann-choc-civilisations-naura-pas-lieu-notre-va-se-coucher

  • En finir avec l’islam modéré – par Marc NOÉ

    Les Forces de Police et de Gendarmerie ont abattu les djihadistes. Tant mieux et bravo ! Trois de moins ! Après tout, deux de ces ennemis voulaient tuer un journal et ils sont morts dans une imprimerie. Le troisième voulait tuer des Juifs et il est mort dans un magasin casher !... En plus des armes de guerre, avaient-ils aussi le sens de l’humour ?...¢

    Toutefois, lorsqu’on songe que, pour une population donnée, l’Histoire montre qu’il faut envisager de 2 à 5% de guerriers, ce sont donc l’existence de 10 à 25 000 djihadistes et soutiens potentiels qu’il faut supposer sur notre Sol. Pour s’en convaincre, il suffit de considérer la réaction de beaucoup d’élèves musulmans dans les établissements scolaires, à la suite de l’attentat contre « Charlie Hebdo » (propos d’un professeur du 95 interrogé par J.J. Bourdin sur RMC).

    Au cours de l’interview, après que Bourdin eut vainement essayé de minimiser les propos des élèves, l'enseignant lui répond sans ambages : « Ils ont du mal à ne pas le justifier (l’attentat). Je dois admettre que, dans nos établissements, la laïcité, elle n'existe plus. Nous avons une jeunesse en perdition. On a une jeunesse qui parfois ressent une certaine haine envers la France. Ils n'admettent pas, ne se reconnaissent pas dans ses valeurs, notamment la liberté d'expression. Malheureusement dans certaines de mes classes ce n'est pas minoritaire », tout en ajoutant clairement que « les élèves en question sont d’origine extra-européenne ».

    Bourdin aura beau tortiller des fesses sur sa chaise, le professeur sait de quoi il parle.

    Mais naturellement, les pleutres des médias et de la politique continuent de nous servir leur soupe en rabâchant que l’islamisation n’est pas liée à l’immigration… Que les djihadistes n’ont rien à voir avec l’islam et que, de toute façon, ils sont minoritaires… Que la majorité des musulmans sont des modérés. Invités sur les plateaux TV par des rédactions serviles, de « savants » imams « modérés » viennent même nous expliquer que le djihad « n’est pas l’islam » car celui-ci est une « religion d’amour »… bla-bla-bla… des sornettes qui ne convainquent plus personne !

    Alors, de qui se moque-t-on !

    Il faut donc en finir avec cette fadaise de l’islam modéré. Dans l’islam, comme dans toutes les communautés, il y a des guerriers et des gens qui ne le sont pas. Et les guerriers sont toujours les moins nombreux. N’importe quelle tribu d’Afrique le sait parfaitement bien.

    Les djihadistes sont les guerriers de l’islam qui, dans la terminologie musulmane, est une véritable nation appelée l’oumma. On est dedans ou en dehors. Si on est en dehors, on est un mécréant, tout juste bon à payer l’impôt religieux ou à crever sous la lame. Venir affirmer que l’islamisation n’a aucun rapport avec l’immigration musulmane est donc d’une bêtise et d’une lâcheté sans nom. L’islam n’est pas né par génération spontanée en Europe.

    Quant à l’islam modéré, là aussi il y aurait de quoi rire si les évènements répétés que nous connaissons tous ne venaient infirmer cette ânerie.

    Là encore, l’Histoire le montre de manière évidente : bon gré mal gré, les musulmans dits « modérés » ont toujours basculé du côté de leurs guerriers.

    À cet égard, le président du gouvernement provisoire kabyle, actuellement en exil à Paris, Ferhat Mehenni, résume parfaitement la situation :

    « L’islam c’est l’islamisme au repos et l’islamisme, c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire. »  Et lui aussi sait très bien de quoi il parle.

    D’ailleurs :

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui réclament des menus halal dans les cantines scolaires, dans nombre d’entreprises, dans les prisons ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui demandent le retrait des arbres et des crèches de Noël, au mépris de toutes nos Traditions ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui ont refusé à maintes reprises d’aller se battre contre leurs « frères » alors qu’ils ont signé des contrats d’engagement dans l’Armée Française ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui réclament des rations halal dans les Corps de Troupes ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui exigent des heures de fréquentations particulières et séparées pour les hommes et les femmes dans les piscines ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui agressent les personnels hospitaliers en exigeant que les femmes ne soient soignées que par des femmes ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » qui veulent faire autoriser le port du voile en France ?...

    Chaque lecteur pourrait ainsi poursuivre cette liste à ma place car je ne fais que citer des faits connus de tout un chacun.

    Au fait, avez-vous déjà entendu un imam protester contre ces revendications par respect de la laïcité ? Bien sûr que non. « Y faut pas prendre les enfants de mahomet pour des connards sauvages ! »

    Et puis, une idée toute bête… Faites donc enterrer les corps des djihadistes dans des peaux de cochons. C’est ce que faisait l’armée britannique dans certaines régions de son empire pour frapper l’esprit des rebelles. Vous verrez bien alors la réaction des « modérés » et si le djihad n’a rien à voir avec l’islam ! Il y a plein d’idées comme ça… Cherchez bien !

    Alors oui, il faut en finir avec ce mythe de l’islam modéré et ouvrir les yeux car les attentats et leur cortège de morts vont continuer tant que le mal ne sera pas éradiqué à sa source.

    La solution ?... Tout le monde ou presque la connait : c’est la remigration, le retour au pays… le RAP puisque beaucoup semblent aimer ça ! Alors qu’ils ne s’en privent pas… on veut bien même leur flécher le parcours… mais je doute que cela se fasse dans la joie et la bonne humeur ! Il vaut mieux le savoir à l’avance.

    Mais imaginez un peu les conséquences : au moins 1 million de logements libérés pour loger NOS plus démunis… des tas de chômeurs en moins… des milliards d’économies pour la Sécurité Sociale…  les prisons vidées de près de 80% de leurs prisonniers… les crimes et délits revenus à une fréquence plus « normale »… le calme et la sérénité restaurés dans maints établissements scolaires… plus de mosquées à financer par les collectivités locales… les existantes pouvant être récupérées et, la mode étant au recyclage, transformée en superette… la sécurité rétablie dans nos rues, même tard le soir… Plus de voitures brulées au Nouvel An… Comme avant, quoi ! Ce que ne connaissent malheureusement pas les jeunes de moins de 30 ans. Alors, faites-vous plaisir : continuez d’imaginer et faites-en profiter votre entourage !... Cela s’appelle de la liberté d’esprit.¢

    « Imagine all the people,

    Living life in peace… »

    John Lennon

    http://www.francepresseinfos.com/

  • L’incapacité de l’Europe à gérer efficacement le problème de l’immigration – par Vincent Revel

    La mondialisation a bouleversé les échanges entre pays. A la suite de la libre circulation des marchandises et des capitaux, les flux migratoires déplacent à présent de plus en plus de personnes et échappent à tout contrôle. En 2005, 200 millions d’individus ont cherché un avenir meilleur en dehors des frontières de leurs pays d’origine. Près de 4 millions d’entre eux l’auraient fait de façons clandestines, dont 500.000 en Europe.

    Sur ce continent, 10% des 56 millions de migrants seraient en situation irrégulière. Depuis la disparition des frontières intérieures de l’Union Européenne, la Grèce, l’Italie, Malte et l’Espagne ont la lourde tâche de contrôler les routes de l’immigration provenant d’Afrique et du Proche Orient. Déjà, lors de l’année 2004, rien que pour Melilla, enclave espagnole au nord du Maroc, plus de 55000 tentatives d’entrée illégale ont été enregistrées. Depuis les crises tunisienne et libyenne de 2011, l’île italienne de Lampedusa se voit confronter à une arrivée massive de clandestins (de janvier à août 2014, l’Italie a fait face à 66.000 réfugiés). Ces nations du sud de l’Europe sont dépassées par l’ampleur de ces flux.

    Devant cette situation explosive, Brice Hortefeux, ancien ministre français de l’Immigration et de l’Identité nationale, avait demandé un « pacte européen sur l’immigration » pour éviter les politiques personnelles à chaque Etat permettant des régularisations massives, comme ce fut le cas en Espagne avec 600.000 régularisations de sans-papiers offertes par le Premier ministre socialiste Zapatero.

    Il serait grand temps que ce thème de l’immigration, enjeu majeur des prochaines années dans l’évolution de notre pays et de notre continent, puisse être analysé sans tabou, en toute liberté.

    Cette générosité, qui ne répond qu’à des critères idéologiques, a pour conséquence désastreuse, comme tout le monde le sait, de stimuler les filières clandestines pour le plus grand bonheur des mafias qui les contrôlent. Ce pacte aurait dû prévoir le renforcement de la protection des frontières, une définition commune du droit d’asile et une concertation sur les politiques d’écodéveloppement. En 2015, nous constatons que l’Europe n’a toujours pas pris en compte l’ampleur de ce problème.

    Il serait grand temps que ce thème de l’immigration, enjeu majeur des prochaines années dans l’évolution de notre pays et de notre continent, puisse être analysé sans tabou, en toute liberté. A ce jour, comme le disait Jacques Dupâquier, ancien membre de l’Institut, et comme le regrette l’essayiste et économiste Yves-Marie Laulan, il existe « un flou des données officielles disponibles » pour l’étude correcte des flux migratoires en Europe. Lors d’un article diffusé dans les colonnes du Figaro, ces deux hommes nous mettaient en garde en écrivant : « la pression migratoire n’est pas dernière nous, mais bien devant nous. »

    Les conséquences démographiques de ce phénomène risquent d’être énormes : « La fécondité des immigrés reste en moyenne presque deux fois plus élevée que celle des femmes françaises autochtones » et « leur masse (avec leurs descendants) pourraient représenter quelque 24% de la population totale française, soit 15,7 millions de personnes, 23% de la population active et 42% des naissances en 2030. »

    Ces prévisions doivent nous faire réfléchir. Quelle société voulons-nous pour 2030 ? Allons-nous continuer de la même façon ou sommes-nous décidés à devenir des citoyens responsables, capables d’aborder les sujets qui dérangent ? Prendrons-nous le droit de remettre en cause la sacro-sainte vérité du politiquement correct comme quoi l’immigration est une chance pour la France et l’Europe ? Le pouvoir de l’émotion, registre sur laquelle jouent avec délectation les médias et les associations vivant exclusivement du « sanspapiérisme », nous empêchent d’aborder ce sujet sensible d’une façon objective.

    A ce jour, comme le disait Jacques Dupâquier, ancien membre de l’Institut, et comme le regrette l’essayiste et économiste Yves-Marie Laulan, il existe « un flou des données officielles disponibles » pour l’étude correcte des flux migratoires en Europe. Lors d’un article diffusé dans les colonnes du Figaro, ces deux hommes nous mettaient en garde en écrivant : « la pression migratoire n’est pas dernière nous, mais bien devant nous. »

    A l’heure où Le camp des saints de Jean Raspail prend forme sous nos yeux, où les « cargos en ruines », remplis de clandestins, ne cessent d’affluer sur nos côtes, il serait judicieux d’abandonner l’idéologie d’un pseudo-progrès, né du siècle des Lumières, façonnée par l’utopie du multiculturalisme et la religion des droits de l’hommes pour retrouver rapidement la sensation d’être des peuples jouant leur avenir, leur culture et leur civilisation.

    L’Europe doit renouer le fil de son histoire en matérialisant efficacement ses frontières naturelles pour lutter contre cette immigration de masse et de peuplement et aborder le thème de la « remigration » avec conviction. Il n’y a pas de fatalité. La civilisation européenne n’est pas vouée à disparaître sous les coups du libéralisme le plus sauvage et du communisme, déguisé aujourd’hui sous la belle figure humaniste des partisans du bien vivre ensemble. Ces deux idéologies matérialistes, dont la rencontre improbable tire notre continent vers le chaos, désirent la mort des peuples.

    L’Europe doit renouer le fil de son histoire en matérialisant efficacement ses frontières naturelles pour lutter contre cette immigration de masse et de peuplement et aborder le thème de la « remigration » avec conviction. Il n’y a pas de fatalité.

    L’une pour assouvir sa soif de richesse, l’autre par haine de l’Occident et aussi par fidélité à son héritage internationaliste, ont pour vocation d’universaliser leurs doctrines. L’Europe est leur première proie et le grand remplacement de population en est le meilleur témoin. Face à ce changement imposé aux peuples européens, le risque est grand de voir nos sociétés se diviser en communautés hostiles les unes envers les autres. D’une société bisounours, voulue par nos « déconstructeurs » des traditions enracinées dans notre histoire, nous passerons rapidement à une société multi-conflictuelle où le communautarisme règnera en maître.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/180815/l-incapacite-l-europe-gerer-efficacement-probleme-immigration-vincent-revel/#more-180815

  • Les « élites » contre Pegida (Présent 8267)

    « Nous sommes le peuple ! », voilà plus de deux mois que des foules de plus en plus nombreuses défilent avec ce slogan dans les rues des principales cités allemandes. On notera qu’elles ne disent pas « Nous sommes le peuple allemand. » Néanmoins, la droite du CSU comme des alliés sociaux-démocrates du SPD de la coalition en place ne veulent voir dans ces démonstrations que l’expression d’une « haine »nationaliste. Ainsi Angela Merkel a-t-elle déclaré : « Nous devons dire (…) que l’extrémisme de droite, l’hostilité envers les étrangers et l’antisémitisme ne doivent avoir aucune place dans notre société. »

    Les « élites » contre Pegida (Présent 8267)Nul n’a jamais entendu dans ces défilés le moindre cri hostile aux juifs, ce qui n’empêche pas Mme Merkel d’en fustiger l’antisémitisme. Et si tous les manifestants étaient d’extrême droite, alors cet extrémisme-là serait singulièrement puissant qui, tous les lundis, réuniraient depuis des semaines des dizaines de milliers de participants dans de nombreuses villes ! En réalité, c’est le tout-venant des citoyens allemands que l’on retrouve sur le pavé, las de se sentir de moins en moins chez eux dans leur pays.

    Les étrangers ? Outre-Rhin, nos voisins n’ont rien contre les Suisses, les Français ou d’autres Européens qui se fondent dans le paysage. Le problème, ce sont ceux qui se réclament de l’islam, d’où le nom du collectif qui appelle à manifester « Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident » (Pegida). Aussitôt, en un réflexe conditionné, la classe politico-médiatique pavlovienne a répliqué : « islamophobie ! »

     

    Comment les dirigeants pourraient-ils comprendre ce qui se passe en Allemagne – et ailleurs en Europe – s’ils continuent à n’y voir que ce qu’ils veulent : la haine, le racisme, l’extrémisme, l’islamophobie ? Ce genre de manifestations est sans précédent en Allemagne. Cela mériterait que Mme Merkel s’y arrêtât. Mais non ! Elle réduit cette nouveauté à des slogans éculés. Car c’est rassurant pour elle et la prétendue élite qui fait chorus.

    Crier « Nous sommes le peuple », ce n’est pas une manifestation de xénophobie, c’est revendiquer d’être écouté et compris par les pouvoirs en place. C’est dire que la politique d’immigration ne doit pas être décidée d’en haut, sans les citoyens et contre eux. Depuis 2010, l’Allemagne est la première destination des demandeurs d’asile. Pegida demande que soit mis fin à cela et au « fanatisme religieux et à toute forme de radicalisme » suscité par l’islam.

    Tous les pouvoirs se liguent contre ce peuple-là. Le pouvoir politique, certes, mais aussi le pouvoir religieux, le cardinal Woelki a éteint l’éclairage de la cathédrale de Cologne car les « pegidistes » devaient défiler devant. Le pouvoir culturel : l’opéra lui aussi est resté dans l’obscurité. Le pouvoir économique : le bâtiment de Volkswagen n’a pas été éclairé ce soir de manifestation. Le pouvoir médiatique: le quotidien Bild a pris position contre Pegida. C’est une nouvelle « sainte » alliance des « élites » conte le peuple, c’est-à-dire de ceux qui, dans leurs quartiers protégés, ne souffrent ni de l’immigration ni de l’islamisation et voudraient que les humbles qui en sont les premières victimes courbent l’échine.

    Guy Rouvrais

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  • Des responsables de Pegida seront présents le 18 janvier à Paris

    Pierre Cassen, de Riposte laïque, répond à Présent. Extraits :

    "Nous constatons d’abord que, malgré le déni de réalité de ce gouvernement avec la complicité de la majorité des médias du système, nos compatriotes comprennent que leur situation s’aggrave et que leur sécurité est de moins en moins assurée. Les actes de « déséquilibrés » qui crient Allah akbar en écrasant des piétons ou en poignardant à la gorge des passants, se répètent trop souvent pour que cela n’ait rien à voir avec la guerre que mène l’islam le plus radical contre les infidèles et notre civilisation. Nous qui avons organisé, avec le Bloc identitaire, les Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, il y a quatre ans, devions prendre nos responsabilités, ce que nous avons fait en organisant ce rassemblement, le 18 janvier prochain, avec Résistance républicaine. Il y aura entre dix et douze intervenants, dont trois viendront de pays confrontés à des soucis proches des nôtres : Allemagne, Italie et Suisse.

    Pour nous, l’objectif est d’enclencher une dynamique qui, avec les particularités françaises, devra rapidement atteindre le degré de mobilisation que nous constatons en Allemagne. [...]

    Je peux donc vous annoncer qu’il y aura, sans complication de dernière minute, des responsables de Pegida qui seront présents le 18 janvier, place de la Bourse, à Paris, et y prendront la parole."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le chômage des jeunes, fléau européen

    A travers l’Union européenne, dans cette tranche d’âge, un jeune de moins de 26 ans sur quatre cherche un emploi. C’est plus d’un sur deux en Irlande, Slovaquie, Italie, Espagne et au Portugal. En Grèce, ils sont 55% au chômage. A Athènes, tandis que Mary n’a trouvé qu’un travail payé vingt euros par semaine dans un centre d’appel, Yiannis, diplômé de 28 ans, attend depuis plus d’un an et demi que l’une de ses nombreuses candidatures auprès des entreprises aboutissent.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • De Syriza à Bildelberg

    La victoire de l’extrême gauche en Grèce, du parti Syriza du « Mélenchon grec » Alexis Tsipras lors des législatives anticipées, du 25 janvier prochain,  signerait de l’avis quasi général la sortie d’Athènes de la zone euro…mais est-ce si certain? Une perspective qui effraye les marchés boursiers qui ont dévissé ces dernières heures.  Il  est clair cependant que tout le monde a compris que la dette abyssale grecque  -175% du PIB, celle de la France atteindra elle 100% de notre PIB d’ici quelques mois…- ne sera jamais remboursée. Le Figaro a expliqué dans ce contexte à ses lecteurs hier que les dirigeants du FN n’étaient « pas avares en contradictions et récupérations politiques » en se félicitant non seulement, de la progression  des intentions de vote du parti Podemos en Espagne -«Cela fait monter le débat sur l’euro, l’austérité et les politiques anti-démocratiques» a relevé Florian Philippot sur BFM TV- mais  aussi de la percée de Syriza. « Marine Le Pen, s’est félicitée sur son blogue de la victoire du peuple et de la gifle infligée au candidat de l’Union européenne, de la BCE et du FMI, M. Dimas, dans le cadre de l’élection présidentielle grecque. Qu’importe que le parti d’Alexis Tsipras, par ailleurs proche du leader du parti communiste Pierre Laurent et du Parti de gauche Jean-Luc Mélenchon, soit aux antipodes du FN sur l’échiquier politique ».

     Selon les modes de calcul, et l’Espagne suit la même pente,  30  à 45% des Grecs vivent sous le seuil de pauvreté tandis que la Gréce détient le triste record mondial du taux de suicide,  mais ce  sursaut populaire  fait peur au Medef, aux partis européistes, aux officines mondialistes…et  à l’extrême gauche en France. En témoigne la  fébrilité de la  la montée au créneau du commissaire politique-secrétaire national du Parti de Gauche, chargé de la lutte contre l’opposition nationale, le socialo-trotskyste Alexis Corbière. Ce proche de Jean-Luc Mélenchon  fulminait hier sur le site de Libération et hurlait au « brouillage idéologique » du FN.  

     Interrogé par Libé, le sans-culotte et fils de la veuve Corbière se veut comme d’habitude très martial :  « On ne va pas les lâcher (sic). Le Front National veut faire oublier qu’il n’y a pas si longtemps, en 2011, son soutien en Grèce était le parti Laos («Alarme populaire orthodoxe», ndlr) dont deux députés avait été nommés ministres dans un gouvernement d’union nationale dirigé par les socialistes du Pasok ! Parmi ces ministres, on trouvait Makis Voridis, avocat très proche de Jean-Marie Le Pen et ami de plusieurs membres du comité central du FN. Voridis avait participé au mouvement pan-européen lancé par Bruno Gollnisch. En applaudissant Syriza, Florian Philippot et Marine Le Pen veulent faire oublier cette histoire. Ils veulent faire oublier que leurs soutiens ont participé à ce gouvernement d’union nationale. C’est de l’instrumentalisation ».

     Le Figaro comme M. Mélenchon et ses amis feignent ( ?) de ne pas comprendre l’évidence à savoir que le Front National se félicite tout simplement de la lame de fond anti bruxelloise qui se lève en Europe. Ce refus de l’euromondialisme, de la désastreuse politique d’austérité –à ne pas confondre avec la nécessaire et  légitime rigueur dans la gestion des comptes publics- s’incarne parfois certes de manière brouillonne, ambigüe, dans des formations de nature très diverse, mais elle est le signe d’une résistance populaire encourageante aux dogmes établis.

     Pour surfer sur la vague de gauche anti austérité, Jean-Luc Mélenchon entend se rendre à Madrid et Athènes. Dans l’espoir d’en tirer chez nous quelques dividendes électoraux,  lui qui s’avère incapable  de fédérer, de capitaliser dans les urnes ce ras-le-bol de la France d’en bas, des invisibles, des éreintés par la crise.

     Une démarche totalement vaine, disons le tout de go.  En effet, si le désespoir, la situation catastrophique du pays –voir notre article publié lundi- pousse les Grecs dans les bras de Syriza, par un geste de défi, un bras d’honneur désespéré  à la troïka UE-BCE-FMI, son programme,  dont des pans entiers sont absolument délirants mais approuvés  par le Front de Gauche, serait fermement  rejeté par les Français.

     Ainsi, nous l’évoquions ici, si M. Mélenchon se trouva très empressé à (mal traduire) sur son blogue l’entretien accordé par Eric Zemmour à Stefan Montefiori, journaliste au quotidien italien Corriere della Sera, inventant au passage le terme de « déportation » (des immigrés) qui ne fut prononcé ni par l’un, ni par l’autre, il n’a pas manifesté le même zèle pour expliquer dans les médias les propositions de Syriza en matière d’immigration. Celles-ci n’ont rien à envier aux mesures les plus extrêmes prônées par les plus fanatiques partisans ultra-libéraux de la destruction des frontières, des identités et des Etats nations.

     Alexis Corbière lui n’a pas cette pudeur et dans son entretien sur le site du journal de M. Rothschild évoqué plus haut, il dit vrai quand il évoque, pour s’en réjouir, l’immigrationnisme de Syriza. Mais (il n’ose pas ?) il ne dit pas tout pour ne pas désespérer Billancourt.  Ou plus exactement, puisque  Billancourt  vote FN depuis longtemps et sait à quoi s’en tenir, pour ne pas effrayer les vieux bolchos, les  bobos et certains fonctionnaires privilégiés des centres-villes qui sont le fond de commerce du Front de Gauche.

      Le dernier Bulletin d’André Noël récapitule très clairement les aspects les plus problématiques du programme défendu par Alexis Tsipras qui « prétend se libérer de la servitude bruxelloise tout en conservant l’un des instruments essentiels de l’aliénation de sa souveraineté financière et économique : l’euro ». C’est d’ailleurs une des raisons, notons le au passage,  qui permet  notamment à  Emmanuel Macron d’affirmer, il l’a répété hier, qu’une victoire de Syriza n’empêcherait pas la Grèce de rester dans la zone euro…Mais « ce n’est pas  le plus grave » car si « la Grèce », «maillon faible de l’espace Schengen », «  est la plaque tournante de l’immigration sauvage vers le reste de l’Europe » -« le nombre de soi-disant réfugiés a augmenté de 223% début 2014 par rapport à 2013 »-, « Syriza, non seulement n’entend pas mettre fin à cette situation mais va l’aggraver et tous les pays européens en subiront les conséquences ».

     Et l’article de citer quelques mesures figurant dans le programme de Syriza: « facilitation de la naturalisation des immigrés et notamment de leurs enfants » ; « suppression du corps des gardes frontière » ; « suppression des camps de rétention d’étrangers et création de centres ouverts » ; « régularisation et sécurité sociale pour tous les immigrés qui travaillent; enregistrement de leurs droits politiques et sociaux »; « droit de vote et d’éligibilité » ; « suppression de l’expulsion et de la rétention administrative des mineurs » ; « nationalité accordée à tous les enfants qui naissent en Grèce ou qui y sont arrivés à un jeune âge » ; « nationalité automatique après sept ans de présence », etc.

     « C’est évidemment suicidaire et aberrant ! Si Bruxelles menace la souveraineté et l’indépendance de la Grèce, l’immigration menace son identité en plus de sa souveraineté si son territoire devient ville ouverte. Après comment s’étonner de la réaction de Grecs de plus en plus nombreux qui votent pour Aube dorée, parti dénoncée comme étant d’extrême droite parce qu’il veut mettre fin à cette immigration envahissante ? Mélenchon soutient Syriza. Bien sûr, il applaudit: n’est-ce pas ce programme qu’il appliquerait en France s’il parvenait au pouvoir ? ».

     Dévoiler cet aspect du programme de Syriza, constate Bruno Gollnisch,  c’est avoir une nouvelle illustration d’une évidence : se  ranger sous le pavillon des immigrationnistes internationalistes et  autres altermondialistes  en espérant combattre efficacement le totalitarisme (euro)mondialiste serait tomber de Charybde en Scylla. Ultra-libéralisme d’un côté  et communisme messianique et humaniste de l’autre  communient dans le même sans-frontiérisme et sans-papiérisme. Ce sont les deux mâchoires d’une même machine à tuer les peuples et à écraser les nations ; les deux faces d’une même médaille. « Du passé faisons table rase », ce  même slogan qui court des réunions du Front de Gauche et de Syriza  à celles de Bildelberg et de la Commission européenne…

    http://gollnisch.com/2015/01/07/de-syriza-bildelberg/

  • Pegida fait des émules en Europe

    La manifestation initiée par le mouvement Pegida contre l'islamisation de l'Allemagne qui a rassemblé hier à Dresde entre 18000 et 20000 personnes, commence à faire tache d'huile dans d'autres pays d'Europe : des pages de soutien sur Facebook en Suisse et en France, des manifestations de soutien au Danemark, et en Grande-Bretagne ou en Suède, l’immigration est au cœur du débat public.

    La résistance à Pegida s'organise, et hier à Berlin, 5000 personnes étaient réunies pour dénoncer "l'intolérance", tandisqu' à Cologne, l'évêque laissait éteintes les lumières de la cathédrale en signe de désapprobation.

    Intolérance à l'islamisation intensive contre intolérance aux "intolérants" : tout cela va très mal finir.

    Marie Bethanie

  • Des membres de Génération identitaire étaient présents à Cologne pour la grande manifestation anti-islamisation

    Partout en Europe, des manifestations anti-immigration s’organisent de plus en plus massivement.

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    C’est en Allemagne, avec le mouvement PEGIDA que ces manifestations prennent le plus d’ampleur.

    Les peuples européens semblent se réveiller pour s’opposer massivement à une vague d’immigration principalement en provenance des pays afro-maghrébins, immigration devenue incontrôlable dans une Europe passoire. C’est dans ce contexte que des militants de Génération identitaire se sont rendus le lundi 5 janvier 2015 à Cologne.

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    « Comme je l’ai indiqué à l’AFP, je suis allé en Allemagne, à Cologne, pour soutenir les patriotes allemands dans leur aventure avec le jeune mais très prometteur mouvement PEGIDA ! L’accueil de nos amis d’outre-Rhin fut très chaleureux, bien que surpris de voir deux Français venir spécialement pour la manifestation. Après de nombreuses discussions avec eux, il est désormais évident que l’Europe assiste à un réveil de son identité… », commente en direct de Cologne, Hervé, un militant de Génération identitaire de la région d’Arras.

    Jérémie, un militant de Génération Identitaire Aix –en-Provence a fait le trajet depuis la région Provence-Alpes-Cote d’Azur pour apporter son soutien à la manifestation du mouvement Pegida, et pour dire non à une immigration massive qui devient insupportable en Europe. « Après avoir été interviewé par l’AFP, j’ai eu l’honneur de prendre la parole avec les organisateurs du mouvement Pegida !, j’y ai parlé du mouvement identitaire, de notre action sur le chantier de la mosquée de Poitiers, puis encouragé les allemands dans leur démarche de lutte contre l’islamisation de leur pays et de notre continent tout entier, avant de conclure mon intervention en criant ce slogan qui m’est cher : ” Islam out of Europe “»,  indique Jérémie .

    Ces mouvements montrent un évident ras-le-bol de la population européenne face une immigration massive en provenance des pays afro-maghrébins qui menace notre culture, notre identité et même notre sécurité.

    http://fr.novopress.info/180597/des-membres-de-generation-identitaire-etaient-presents-a-cologne-pour-la-grande-manifestation-anti-islamisation/