
La prise de pouvoir de l’oligarchie mondialiste en Occident a reposé sur la financiarisation de l’économie, en raison des avantages qu’elle procurait à une petite minorité d’investisseurs fortunés et progressistes puisque, pour eux, la déconstruction néo-libérale des sociétés et la mondialisation étaient effectivement « heureuses ». La plupart des dirigeants occidentaux, et singulièrement européens, provenaient pour cette raison du monde la banque[1] et de la finance. Mais pour le reste de la population, confrontée au sous-emploi, aux « bullshit jobs », à la précarité, à l’immigration et à l’insécurité culturelle, il en allait tout autrement, y compris aux États-Unis.








