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L’Occident est très inquiet de la chute de popularité de Zelensky, relate le renseignement russe
© AP Photo / Evan VucciLe niveau de soutien à Zelensky ne s’élève qu’à 17%, indique le Service russe des renseignements extérieurs (SVR) en se référant à des études d’opinion américaines et européennes.Même parmi les militaires endoctrinés, ce taux ne dépasse pas les 20%, signale l’instance. -
Politique & Eco n°437 avec Jean-Loup Izambert - Elections européennes : la corruption qu'ils vous cachent
Qui vous parle du vrai bilan de l'Union européenne ? Depuis 1979, tous les 5 ans, des millions d’hommes et de femmes votent pour des eurodéputés. Vous donnez votre voix à des individus dont vous ignorez presque tout, dont vous ne pouvez contrôler l’action parlementaire ou les révoquer s’ils ne tiennent pas leurs engagements. Résultat : pendant que le gouvernement français prête, avec les autres pays membres de l’UE, des dizaines de milliards € à la dictature génocidaire d’Ukraine, l’un de vos proches décède car il n’a pu être soigné à temps faute de médecin !
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Objectif Odessa
par Andrea Marcigliano
Un spectre revient de plus en plus souvent dans les discours des hommes politiques occidentaux : la conquête de Kiev par les Russes. Les Russes conquièrent d’abord Kiev. De là, ils se répandent dans toute l’Ukraine. Puis ils se jettent comme des prédateurs sur les pays baltes et les autres membres de l’OTAN.
Je parlais des politiciens… et de leur cour de nains et de ballerines – pour citer le vieux Formica – de journalistes, d’analystes, de géopoliticiens de salon…
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Pourquoi les convoitises sur l’Ukraine? Une vision de long terme de Annie Lacroix-Riz
Annie Lacroix-Riz est professeur émérite d’histoire contemporaine à l’université Paris 7.
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L’offensive russe sur Kharkiv et la pénurie de soldats ukrainiens vont-elles imposer la paix ?
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La défense aérienne russe a déjoué un énorme missile ukrainien et une attaque de drones. Situation générale sur la Front
Pour ceux qui s'imaginent que les Russes restent assis en attendant les coups ukrainiens, nous allons répercuter la situation militaire au fur et à mesure de son évolution. Rappelons ici que les Ukrainiens sont des frères pour les Russes, au même titre que les Saoudiens sont les frères des Yéménites, sauf que les Russes font tout pour éviter les morts des civils (comme l'a souvent déclaré le président Poutine) alors que les Saoudiens faisaient tout pour massacrer un maximum de civils yéménites. H. Genséric
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Ukraine : Rapport sur l’incursion à Kharkov – Attaques contre la Russie et vengeance russe
par Moon of Alabama
Le 11 mai, j’avais analysé l’avancée russe vers Kharkov et conclu qu’elle visait à créer une «zone sanitaire» le long de la frontière, et non à prendre Kharkov :
«L’offensive de Kharkov semble donc destinée à créer une zone tampon, d’une profondeur d’environ 10 kilomètres, sur le territoire ukrainien le long de la frontière nord avec la Russie. Le fait qu’elle détourne les forces ukrainiennes d’autres zones et les positionne sur un terrain essentiellement dégagé en vue de leur destruction éventuelle n’est qu’un effet secondaire bienvenu».
Lors d’une récente conférence de presse, le président russe Poutine l’a confirmé :
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La CIA et la stratégie de tension en Europe
par Germán Gorraiz López
L’attaque contre le Premier ministre slovaque, Robert Fico, rappelle étrangement l’assassinat de Lee Harvey Oswald et le rôle du réseau Gladio opérant sur le sol européen, et de nouvelles attaques sur le territoire européen ne peuvent être exclues avec l’objectif sans équivoque de semer le chaos à travers le continent. C’est la «stratégie de tension» pour, finalement, provoquer l’implication directe de l’OTAN dans un conflit généralisé avec la Russie.
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Zelensky se prépare à une offensive plus large, les troupes russes continuent d'avancer
Des militaires ukrainiens de la 92e brigade d'assaut tirent des roquettes multiples BM-21 "Grad" en direction des positions russes, dans la région de Kharkiv, le 15 mai 2024
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit s'attendre, dans un entretien exclusif avec l'AFP, à une offensive plus large de l'armée russe dans le nord et dans l'est, où elle poursuit son assaut d'ampleur déclenché le 10 mai qui viserait à prendre la grande ville de Kharkiv.
Les Russes "ont lancé leur opération, elle peut être constituée de plusieurs vagues. Et ça, c'est leur première vague", a affirmé vendredi M. Zelensky à un moment où la Russie vient d'engranger ses plus grands gains territoriaux depuis fin 2022.
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Dans le Pacifique, la France n’a pas d’amis
Regis Le Sommier
Gérald Darmanin l’assure : « l’Azerbaïdjan, ce n’est pas un fantasme, c’est une réalité. » Le ministre français accuse « une partie des indépendatistes » d’avoir « fait un deal » avec la dictature d’Ilham Aliyev. Bakou réfute : « Nous démentons tout lien entre les leaders de la lutte pour la liberté calédonienne et l’Azerbaïdjan », affirme l’Azerbaïdjan, voyant dans les propos du ministre « une campagne de calomnie » dirigée par Paris. Gérald Darmanin n’a pas tort pourtant. Les faits sont là. D’abord dans les manifestations, où le drapeau de l’Azerbaïdjan a été brandi à de nombreuses reprises à côté de la bannière du FLNKS. Étrange, lorsqu’on réalise que Bakou se trouve à 14 000 kilomètres de Nouméa... Ensuite, par les déplacements – trois au moins –, d’une délégation de représentants des peuples autochtones à Istanbul, pour assister le 1er mars dernier à une conférence tous frais payés, selon les services de renseignement français, sur la décolonisation. Car derrière l’Azerbaïdjan, il y a bien sûr la Turquie...