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Thierry Breton parle de paix. Enfin de paix. C’est dire si la situation sur le front ukrainien doit être mauvaise.
Je suis mauvaise langue, mais depuis le début de la guerre en Ukraine nos camarades commissaires et autres europathes n’ont que des mots guerriers et une volonté belliciste.
La présidente de la grosse Commission, la terrible cruelle Von der Leyen, a d’ailleurs toujours dit que ce n’était pas le temps de parler de paix.
Elle incarne l’Europe de la guerre.
On a déjà vu le film « Le père Noêl est une ordure. » Nous allons bientôt voir une autre version « Le président est une ordure ».
Le freluquet de l’Elysée nous entraîne dans une guerre contre une Russie qui ne nous a rien fait et qui aurait le droit en riposte, non seulement de détruire les militaires français envoyés en Ukraine, mais de porter cette guerre sur notre territoire.
par Ivan Timofeïev
Depuis la fin de la Guerre froide, la région euro-atlantique n’a pas connu de crise comme celle d’aujourd’hui. Le système euro-atlantique de sécurité sur la base d’une sécurité égale et indivisible n’existe plus. Le naufrage de ce projet met en évidence la nécessité d’une nouvelle structure basée sur d’autres principes et d’autres fondations.
Dans son adresse annuelle à l’Assemblée fédérale le 29 février 2024, le président russe Vladimir Poutine a mis en exergue le besoin d’établir un nouveau cadre de sécurité équitable et indivisible en Eurasie, se montrant prêt à entamer aussi un dialogue substantiel en ce sens avec les parties et les organisations concernées.
Le président Emmanuel Macron a ajouté que les ressources de l’Europe sont limitées et que l’Union européenne continuera à aider Kiev en gardant à l’esprit ses propres réserves.
Le président français Emmanuel Macron a déclaré qu’il serait impossible de construire en Ukraine un vaste réseau de défense aérienne similaire à celui actuellement exploité par Israël, car l’État juif développe et investit dans son bouclier de défense aérienne depuis des décennies.
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Si François-Xavier Rochette qualifie Emmanuel Todd de « demi-dissident en carton-pâte » dans Rivarol du 10 avril dernier, Michel Geoffroy dans sa recension mise en ligne, le 24 février 2024, sur Polémia l’appelle à « encore un effort ! » Paru en début d’année, son nouvel ouvrage, La défaite de l’Occident (avec la collaboration de Baptiste Touveray, Gallimard, 375 p., 23 €), suscite une incroyable hostilité de la part de la cléricature intello-médiatique.
Les plus vieux comme moi auront la « réf » comme disent les jeunes !
Vous vous souvenez de Barracuda dans l’agence tous risques ?
Vous lui donniez un vieux tracteur, des plaques de tôles, un poste à souder et il vous faisait un char à peu près de la qualité de celui que vous pourrez voir sur cette image.
Ne vous moquez pas des Russes !
Sous cet amas de ferraille se cache un bijou de technologie militaire à plusieurs millions.
Un colloque national-conservateur avec des intervenants – plus d’une quarantaine – de toute l’Europe était annoncé en région bruxelloise les mardi 16 et mercredi 17 avril. C’était sans compter sur la mentalité tyrannique de plusieurs bourgmestres (équivalent de maires) bruxellois. Ce sont d’abord les bourgmestres de Bruxelles-Villes et d’Etterbeek qui, il y a quelques jours déjà, ont interdit le colloque sur le territoire de leurs communes respectives. Les organisateurs avaient alors trouvé une salle accueillante, le Claridge, dont le propriétaire, un Tunisien, a montré jusqu’au bout de cette histoire qu’il est un partisan de la liberté d’expression.