Depuis des mois notre chronique s'efforce de mieux cerner la nature, les objectifs et les moyens de la menace communiste chinoise. C'est donc avec une sorte de demi-satisfaction, mêlée de regret, qu'elle constate progressivement mais trop lentement cette préoccupation partagée. Elle l'est en effet sinon par tous les acteurs et les décideurs, du moins par ceux dont la mission est de protéger nos concitoyens et de prémunir le pays des nouveaux dangers.
Partagée oui, de plus en plus souvent, mais sans doute pas encore suffisamment documentée ni probablement rattachée à la dimension idéologique du péril.
D'où l'utilité d'une réflexion et d'un suivi.