
La Russie de 2024 n’est plus la Russie de l’ère Eltsine – plus même celle de l’ère Medvedev président – même si les évolutions (révolutions ?) sont lentes, quoique Vladimir Poutine ait accéléré le « remplacement des élites » (qu’il a nommé « rotation des élites ») depuis le déclenchement de l’opération militaire spéciale. Une sorte de « grand remplacement » est entamé. Il n’est pas question ici du suicidaire remplacement des populations autochtones, mais de celui des cadres du régime, hauts fonctionnaires et oligarques formatés a l’occidentale, par de nouvelles générations plus en adéquation avec la nouvelle réalité politique et géopolitique russe.







