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immigration - Page 1208

  • "Il faut fermer les frontières, arrêter Schengen, arrêter la libre-circulation !"

    C'est le couac de la rentrée. Ces propos ont été tenu par Lydia Guirous (LR), porte parole des Républicains, lors d'un point de presse hebdomadaire. Comme ces propositions sont visiblement aux antipodes du programme du parti de Nicolas Sarkozy, elle a été immédiatement recadrée en direct par Sébastien Huygue, l’autre porte-parole du mouvement :

    "Il faut dire que la jeune femme, par mégarde semble-t-il, va… un peu loin. «Nos propositions, elles ne varient pas. Elles sont toujours identiques. Il faut fermer les frontières, arrêter Schenghen, arrêter la libre circulation» Tête de Sébastien Huygue… Le député du Nord prend le micro et précise : «Quand on dit les fermer, c’est que les règles pour entrer soient appliquées. Quand on dit qu’elles soient fermées, c’est que les gens ne rentrent pas clandestinement de manière massive. C’est ça que nous entendons. (...)

    Difficile de faire la politique au sein des Républicains lorsque l'on est jeune, de droite et que l'on a du bon sens. Il va falloir qu'elle s'habitue...

    Philippe Carhon

  • Tribalat, la démographe rebelle

    Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie.

    Ces Yeux grands fermés  appartiennent-ils à ceux qui ne peuvent pas voir ou à ceux qui ne veulent pas voir ?

    Insuffisance de l'appareil statistique français

    Michèle Tribalat a donné ce titre énigmatique à son livre (1) par allusion au film de Stanley KubrickEyes Wide Shut (1999), dont l'intitulé l'avait marquée. Dans cette fiction, à partir d'un fantasme amoureux, les personnages naviguent entre rêve et réalité. Cet écart entre le réel et l'illusoire, Tribalat le vit à propos de son objet d'étude : l'immigration en France. Les uns déplorent qu'il y ait beaucoup d'immigrés, d'autres s'en réjouissent, mais tous réagissent subjectivement. Or, Michèle Tribalat, incriminant « l'insuffisance de l'appareil statistique français pour étudier l'immigration et les populations d'origine étrangère », voudrait que cet enjeu de société soit discuté à partir de faits vérifiés et quantifiés, et non d'impressions. Cela fait plus de trente ans qu'elle se penche sur la question.

    Dans les années 70, après des études d'économétrie, elle s'oriente vers la démographie. En 1976, elle est recrutée par l'Institut national d'études démographiques (Ined), dont le conseil scientifique veut pousser la recherche sur les flux migratoires : ce sera son domaine d'activité. « Pendant longtemps, se souvient-elle, j'ai travaillé loin de tout écho médiatique. » A la fin des années 80, ayant pris la tête d'une enquête sur les comportements des immigrés et de leurs descendants, elle met en place un outil prenant en compte l'« appartenance ethnique », définie à partir de la langue maternelle, et l'« origine ethnique », fondée sur le lieu de naissance des individus et de leurs parents. Cette référence aux origines, contraire à la pratique des organismes officiels français, ne va pas sans opposition pour obtenir les renseignements nécessaires, mais la publication des résultats, en 1995, ne rencontre pas de difficultés.

    « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme »

    Le coup de tonnerre arrive trois ans plus tard, quand Hervé Le Bras, un chercheur attaché à l'Ined, lance la charge. « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme », clame-t-il dans Le Démon des origines. Dans cet essai, Le Bras accuse les méthodes de Michèle Tribalat de conduire à la notion de « Français de souche » et, partant, à la « xénophobie ». L'affaire se traitera en justice et amènera l'intéressée à se justifier : une partie de l'opinion regardant comme étrangers des gens qui sont français, le critère de la nationalité ne suffit pas, en science sociale, pour élaborer des remèdes aux réflexes discriminatoires. En somme, comme aux Etats-Unis ou dans de nombreux pays européens, les données ethniques devraient jouer un rôle dans la conception d'une politique d'accueil des migrants. A la même époque, Michèle Tribalat publie, avec Pierre-André Taguieff, un livre destiné à contrer le Front national. Mais rien n'y fait, elle est désormais suspecte aux yeux des bien-pensants. Aujourd'hui, dénonçant « l'antiracisme idéologique (qui) structure l'expression savante et ordinaire sur l'immigration », elle ironise : « Travailler sur l'immigration, c'est partir en mission contre ceux qui pensent mal, mais aussi, pour faire bonne mesure, contre ceux qui doutent. » Nommée au Haut Conseil à l'intégration, elle en démissionne en 2000, reprochant à cette instance de faire le jeu des islamistes. En 2002, avec Jeanne-Hélène Kaltenbach, elle fait paraître La République et l'islam, où l'action des fondamentalistes musulmans est mise en cause. « Pourrions-nous publier un tel livre maintenant ?, s'interroge-t-elle. Nous avons tellement perdu de liberté d'expression sur le sujet. Quand on pense que le livre de Christopher Caldwell (2) ne trouve pas d'éditeur en France... » 

    Placardisée hors unité et sans budget

    Directrice de recherche à l'Ined, Tribalat travaille chez elle, hors unité et sans budget. Autrement dit, elle est placardisée. « Mes articles ne sont même pas cités par les publications de la maison », déplore-t-elle. Avant d'ajouter, comme pour conjurer la tristesse : « Mais je vis très bien comme cela. Après la décennie que je viens de traverser, je suis de fer. » Les Yeux grands fermés n'a rien d'un pamphlet. L'auteur donne les vrais chiffres de l'immigration, soulignant une « très forte croissance après 1996», et considère les effets économiques et démographiques du phénomène. Ce sont des pages nourries de chiffres, un peu arides. La lecture coule mieux quand Tribalat explique comment les droits de l'homme se mettent au service d'une vision du monde où tout devrait s'ordonner aux courants migratoires, jugés inéluctables et bénéfiques par principe. Ou encore quand la démographe analyse le climat idéologique dans lequel s'élaborent les discours sur l'immigration à partir des sondages sur le racisme commandés par la Commission nationale consultative des droits de l'homme. Mais Michèle Tribalat se veut une scientifique : il est difficile de lui tirer un commentaire qui échappe à sa spécialité. Elle n'a pas aimé le débat sur l'identité nationale, pour une raison de forme, parce qu'elle croit que ce genre d'initiative ne doit pas relever de l'Etat. Quant au fond, le concept d'identité ne la choque pas. Elle consent d'ailleurs à observer que le multiculturalisme a conduit à répudier le concept d'assimilation, alors que l'assimilation, précisément, « fait partie de l'identité nationale française ».

    Paru aux Etats-Unis en juillet 2009, l'ouvrage du journaliste Christopher Caldwell, Reflections on the Revolution in Europe : Immigration, Islam, and the West (2) est consacré à la progression de l'islam en Europe et à ses conséquences sur la cohésion politique et culturelle du continent. L'auteur, rédacteur en chef du Weekly Standard et chroniqueur au Financial Times, est un libéral.

    Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie. Tribalat, la démographe rebelle.

    Jean Sevillia

    Le Figaro Magazine 26/03/2010

    Notes de la rédaction :

    (1) Michèle Tribalat, LesYeux grands-fermés (l'immigration en France), Editeur : Denoël, Collection Médiations, mars 2010, 300 p.

    (2) Un livre qui devrait faire scandale

    Réflexions sur la Révolution en Europe : Immigration, Islam et l'Ouest

  • Vénissieux : la haine anti-française se déchaîne en toute impunité

     Le Bloc Identitaire Lyon a été le premier mouvement politique à parler de cette affaire. Pour donner un éclairage nouveau, voici une liste non exhaustive d’actes de haine anti-française à Vénissieux (69)

    A Vénissieux, un boulanger exerçant dans le quartier du Moulin-à-vent fait l’expérience douloureuse du mirage du « vivre-Ensemble » cher à nos dirigeants politiques. Face au racisme anti-Français d’une bande de racailles, sa boulangerie est obligée de fermer à 15 h. Une situation qui l’empêche de développer son chiffre d’affaires et de pouvoir embaucher du personnel !
    boulanger agressé
    Le quotidien du personnel de la boulangerie est fait de menaces, d’insultes et de coups, car selon le boulanger les racailles « lui reprochent de mettre du porc dans certains produits. » (Le Progrès, 23/08/2015)
    Pour l’instant, ni la mairie de Vénissieux, ni la préfecture, ni les associations antiracistes n’ont souhaité apporter leur aide ou dénoncer ces violences anti-françaises.

    Pourtant, cette haine à l’encontre des Français est devenue une réalité banale à Vénissieux.
    Déjà en 1981, après des émeutes aux Minguettes, ce quartier enregistrait « un départ massif des Français » fuyant l’insécurité et la promiscuité avec une population immigrée multipliée par trois, passant de 15 % à 45 % des habitants !

    Las d’être pris à partie du fait de la couleur de leur peau, les « Gaulois » ont préféré fuir Vénissieux. En 1981, pour Mokrane Kessi – aujourd’hui conseiller municipal à Vénissieux et adolescent aux moments des faits —, les tensions raciales étaient l’une des motivations principales des émeutiers :

    On avait parfois le sentiment que l’on ne pouvait pas descendre dans le centre de Vénissieux. On sentait une certaine animosité entre les deux quartiers. C’était, en quelque sorte, la cité des immigrés contre la ville des Blancs.

    Et cette situation n’a cessé d’empirer avec les années. L’ancien maire communiste de Vénissieux (de 1985 à 2009), André Gerin, l’a d’ailleurs avoué, «

    dès les années 90, on commence à voir dans certains quartiers l’antisémitisme, le racisme anti-blanc, le sexisme. Nous avons ignoré le problème.

    Il ne reste à Vénissieux, comme dans beaucoup de villes de banlieue, que très peu de Français de souche. Une situation particulièrement difficile à vivre pour les Françaises de souche, qui se retrouvent de fait en première ligne face au Grand Remplacement. Le témoignage de Laëtitia, habitante de la cité des Minguettes, dans un reportage du journal de 20 h de Tf1 donne un aperçu de la vulnérabilité de ces jeunes femmes. Elle déclare avoir peur d’être « victime d’une tournante », car elle s’estime « être une proie facile » en tant que « Française », avant d’ajouter « qu’elle aurait aimé être une Maghrébine et avoir un grand frère » pour « avoir du respect ».

    Plus de quarante ans de silence, d’aveuglement et de mensonges des pouvoirs publics ont conduit à cette situation, dont chacun sait qu’elle mènera à une issue dramatique.

    http://fr.novopress.info/

  • Immigration : Sarkozy doit clarifier sa position une fois pour toutes

    L’affaire est trop grave pour que les Français se laissent prendre une fois de plus au tour du « Kärcher ».

    La Hongrie prend des mesures radicales pour protéger sa population et Laurent Fabius crie au scandale. Tout homme normalement constitué, et avec un minimum d’instruction, pourrait à raison s’interroger sur la santé mentale du chef de la diplomatie française. Seulement voilà, Fabius n’est pas un dément, c’est juste un pur idéologue et même, avec ses amis Lévy et Cohn-Bendit, le fer de lance d’une idéologie fondée sur une haine viscérale de l’idée de nation et une volonté inébranlable de couper la France de ses racines chrétiennes et populaires. Or, comme tous les idéologues, lorsque les vents sont contraires, ils perdent pied avec la réalité et ne prennent même plus le temps de réfléchir aux conséquences électorales de leur politique. Fabius, Hollande et même Valls sont en train de tuer le Parti socialiste et peu leur chaut. Sous les ors de la République, il y a en cette fin de quinquennat quelque chose qui ressemble à un bunker et qui rappelle La Chute.

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  • Recours du FN contre les mosquées de Suresnes et Courbevoie


    I
    Deux communes UMP voisines, Suresnes et Courbevoie dans les Hauts-de-Seine, attribuent chacune une salle municipal pour des associations musulmanes en vue de les transformer en salle de prière, à des conditions financières très avantageuses.

    Tous les élus UMP et de gauche, y compris les élus du PCD et du CNI, ont voté pour l'attribution de ces locaux sous forme de baux emphytéotique administratifs. Seuls les élus municipaux du Front national ont voté contre.

    Les élus du FN attaquent les délibérations des deux conseils municipaux attribuant ces locaux devant le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise. Les recours ont été déposés au mois d'août.

    Michel Janva

  • L’Europe va-t-elle mourir de l’immigration?

    Il y a une totale schizophrénie dans le comportement de la grande majorité de nos élites, qu’elles soient nationales et surtout supranationales.
    Elles imposent à l’Europe et à ses populations d’absorber et de subir une immigration à haut risque, immigration créée en grande partie par leur propre politique extérieure, à savoir la folle politique européenne et occidentale en Irak, en Libye ou en Syrie.

    Dans le même temps la suppression des frontières nationales s’est accompagnée d’une situation de non préparation à cette pression migratoire à laquelle le droit-de-l’hommisme totalitaire n’a finalement aucune réponse, si ce n’est celle d’imposer aux Européens de se taire et subir.

    Alexandre Latsa

    En 1973, l’écrivain Jean Raspail écrivait son roman Le camp des saints, qui à l’époque préfigurait ce qui était considéré comme une scène de science-fiction : un million de «miséreux» prennent d’assaut des cargos pour tenter de rejoindre un Occident riche mais incapable de leur faire modifier leur route.

    Finalement, les bateaux finirent par s’échouer en France, sur la Côte d’Azur, sous l’œil de pouvoirs publics désarmés et face à une armée française affaiblie, sans ordre, incapable de réagir à cette «invasion pacifique».

    Si un tel scénario pouvait sembler totalement irréaliste il y a un peu plus de 40 ans, les dernières semaines ont clairement laissé comprendre que ce scénario n’est plus celui d’un futur proche, mais la réalité qui est celle de la France et de l’Europe d’aujourd’hui : une réalité face à laquelle l’été 2015 nous a violemment confrontés.

    Selon les chiffres du Haut Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies (HCR), ce sont déjà près de 224.000 réfugiés et migrants qui sont arrivés en Europe via la Méditerranée entre janvier et juillet de cette année. Toujours selon le HCR, les Syriens constituent le groupe le plus important parmi ces arrivants (34%), suivis par les Érythréens (12%), les Afghans (11%), les Nigérians (5%) et les Somaliens (4%). Des estimations basses envisagent que, cette année, c’est entre un demi-million et un million de migrants qui tenteront de rejoindre les côtes européennes.

    Ces chiffres, qui ne sont que des chiffres officiels, traduisent le volume de migrants qui souhaitent fuir des zones en guerre et rejoindre une Europe en paix et considérée comme l’eldorado

    Sans surprise, l’arrivée massive de ces migrants entraîne des troubles dont l’intensité ne cesse de croître au cours des derniers mois, surtout dans l’Europe des périphéries et des frontières, déjà aux prises avec une profonde crise économique.

    En Italie, Lampedusa connaît depuis maintenant quelques années des émeutes régulières opposant les migrants à la police italienne ou à la population locale. Cet été, c’est Rome qui a été visée par des incidents violents entre la police et la population d’un quartier de la ville qui s’opposait à l’installation forcée de clandestins par les autorités locales. Débordées, les autorités italiennes ont cet été demandé à l’Europe la prise en charge de dizaines de milliers de clandestins que le pays ne pouvait absorber tandis que le nombre d’arrivants ne cesse, lui, de croître. Certains villages dépeuplés sont passés de quelques centaines à plusieurs milliers d’habitants puisque les autorités locales ont décidé d’y implanter et d’y laisser séjourner ses nouveaux habitants.

    Autre avant-poste de l’immigration clandestine en Europe, la Grèce fait face à une situation tout aussi grave que Rome puisque le pays est confronté à une vague migratoire sans précédent. La situation est particulièrement grave sur les îles grecques, dont certaines se situent à quelques centaines de mètres seulement des côtes turques. Des incidents d’une rare violence ont par exemple éclaté sur l’ile de Kos, dont les 30.000 habitants font désormais face à 7.000 migrants majoritairement issus de Syrie et d’Afghanistan.

    Du reste, la Turquie ne pose pas  problème qu’à la Grèce, mais également à la Bulgarie. Ce pays a décidé de prolonger de 130 kilomètres le mur anti-migrants, érigé le long des 275 kilomètres de frontière qu’il partage avec la Turquie dans le but de stopper l’afflux de réfugiés, principalement syriens.

    Plus au nord et au centre de l’Europe, le tandem franco-allemand n’est pas épargné non plus, puisque la seule Bavière, par exemple, a fait face cet été a une augmentation importante du nombre de réfugiés qui se monte à 6.560 pour les 5 premiers jours d’août, soit près de 1.500 par jour. Le pays a du reste accueilli 79.000 demandeurs d’asile, principalement venus de Syrie, d’Irak et d’Afghanistan, pour le seul mois de juillet 2015. La locomotive de l’Europe semble l’être également dans le phénomène migratoire, puisque Berlin envisage d’accueillir à elle seule 600.000 réfugiés cette année, le pays ayant besoin de 500.000 nouveaux migrants chaque année pour faire face à la pénurie d’enfants issus de sa population de souche. L’accueil de ces réfugiés se passe de façon plus ou moins chaotique puisqu’au sein de certaines municipalités, des consignes civiques sont imposées aux populations de veiller à ne pas choquer les arrivants afin d’éviter tout malentendu : en clair que les enfants ne portent plus de t-shirts et de chemises transparentes, ni de shorts ou de jupes trop courtes. Pendant que l’on explique aux jeunes Allemandes qu’elles ne sont plus libres de mettre des jupes chez elles, des élus allemands visiblement «éclairés» ont décidé de montrer l’exemple en accueillant chez eux des réfugiés érythréens, un exemple suivi par déjà près de 100.000 citoyens, tandis que le nombre d’attaques contre les réfugiés est lui fortement en hausse.

    La France n’est pas épargnée par ces flots humains face auxquels les autorités semblent, tout comme dans Le Camp des saints, incapables de faire face. De Calais à Dunkerque, des bidonvilles regroupant jusqu’à plusieurs milliers de personnes sont apparus au cours des derniers mois, ressemblant à d’authentiques bidonvilles africains mais implantés au cœur de la campagne française. Certaines nuits ce sont plusieurs centaines de migrants qui tentent de traverser le tunnel sous la Manche pour rejoindre l’Angleterre en déstabilisant totalement le trafic routier entre les deux pays. A l’autre bout de l’Hexagone, les migrants affluent également à la frontière franco-italienne, puisque nombre d’entre eux souhaitent rejoindre la Scandinavie, l’Angleterre ou la France.

    Pour freiner le flot de réfugiés qui arrivent du sud-ouest et du sud-est de l’Europe, Bruxelles envisage de pénaliser les pays tiers et candidats comme la petite Serbie, où les élites européistes envisagent de créer un camp de 400.000 réfugiés, soit l’équivalent de 5% de la population du pays.

    La situation est en effet tellement grave que c’est la Hongrie qui doit désormais faire face à ce flux de migrants qui souhaite rejoindre la vieille Europe. Les autorités hongroises ont ainsi, tout comme les autorités bulgares, constitué un mur de près de 175 kilomètres le long de la frontière avec la Serbie pour «protéger l’Europe».

    Il y a une totale schizophrénie dans le comportement de la grande majorité de nos élites, qu’elles soient nationales et surtout supranationales.

    Elles imposent à l’Europe et à ses populations d’absorber et de subir une immigration à haut risque, immigration créée en grande partie par leur propre politique extérieure, à savoir la folle politique européenne et occidentale en Irak, en Libye ou en Syrie.

    Dans le même temps, la suppression des frontières nationales s’est accompagnée d’une situation de non préparation à cette pression migratoire auquel le droit-de-l’hommisme totalitaire ne présente finalement aucune réponse, si ce n’est celle d’imposer aux Européens de se taire et de subir.

    Alors que l’on a vendu aux peuples européens le mythe d’une Europe en paix et libérée de toutes frontières, voilà que s’érigent des murs et des territoires occupés, finalement sur le modèle d’un Orient dont personne ne devrait souhaiter qu’il ne préfigure l’avenir de notre continent hormis les «ennemis de l’Europe», des ennemis de l’Europe dont la cinquième colonne devra sans doute, un jour ou l’autre, être chassée de la structure de gouvernance globale qu’elle occupe et dont la politique tue, à petit feu, l’Europe en tant que civilisation.

    Alexandre Latsa
    Ma dernière analyse pour Sputnik, 17/08/2015

    Source : http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20150817/1017607716.html#ixzz3jAbG78o3

  • Les USA favorisent l’immigration de masse et fomenteraient des troubles en Europe

    L’enquête diffusée par un site allemand de réinformation montre que l’immigration de masse répond à une volonté géopolitique américaine, mieux, que les USA l’encouragent financièrement.

    L’ouverture l’émission « Hannover Politik » du site allemand Kla.tv se passe de tout commentaire :
    Pour le géopoliticien américain Thomas P.M. Barnett « Comme condition préalable pour le fonctionnement sans heurts (de la globalisation), nous devons permettre quatre flux durables et sans entraves. » Les afflux actuels, presque surdimensionnés, de réfugiés vers l’Europe, font partie de la stratégie du « Flux sans entraves », qui en l’occurrence vise l’Europe et n’a le droit de n’être empêché par aucun gouvernement ou institution, selon Barnett.
    La journaliste révèle ensuite que, selon les services de renseignements autrichiens, des organisations nord-américaines payent des passeurs pour acheminer des « réfugiés » en Europe, une information corroborée par les services de police en contact avec les clandestins. C’est à la destruction de l’Europe telle que nous la connaissons que vise ce projet. Et la présentatrice de conclure :
    Avez-vous déjà choisi ? Voulez-vous une Europe dans laquelle toutes les identités, valeurs et cultures sont dissoutes ou une Europe avec des identités et des cultures propres, dans laquelle la paix pour tous est garantie ?

    Si les faits présentés dans cette émission semblent assez sérieux, il existe d’autres bruits sur ce sujet à prendre avec beaucoup plus de précautions. Ainsi, certaines rumeurs persistantes font état de livraisons d’armes par les USA aux centres d’hébergement de « demandeurs d’asile » en Allemagne en septembre prochain. Si cela s’avérait vérifié, avec la radicalisation en cours parmi les clandestins et les très probables infiltrations de terroristes de Daesh dans les flux de réfugiés, ce serait une étincelle dans un baril de poudre.

    http://fr.novopress.info/

  • Immigration: pourquoi le patronat en veut toujours plus

    Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif.

    On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés.

    Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens

    Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé «l’immigration choisie» .

    L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition.

    Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir.

    Vous allez le constater, la démonstration est sans appel.

    Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’oeuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’œuvre ailleurs, entend-on souvent.

    « Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45).

    Autrement dit, une pénurie de main d’oeuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’oeuvre prête à accepter des salaires plus faibles.

    C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46).

    Le rapport du Conseil d’Analyse Economique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% » (page 37)

    « Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37).

    Concernant les Etats-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38).

    Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration. Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat.

    Le vrai débat - Blogueur associé 28/04/2010

    Correspondance Polémia 28/05/2010

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2910

  • France : l’armée se prépare à la guerre civile. Rumeur ou réalité ?

    L’armée française compterait, dit-on, 20 % de musulmans. Leur loyauté sera-t-elle assurée en cas de troubles ?

    Selon le journal britannique The Telegraph, qui reprend des informations du Canard enchaîné et qui s’appuie aussi sur une source anonyme (dont on ne peut, donc, pas vérifier les dires !), issue des services secrets, des événements pires que le 11 septembre se prépareraient en France ! On menacerait d’abattre des avions de ligne avec des missiles. On aurait introduit sur notre territoire des armes lourdes. L’armée française préparerait des plans afin de reconquérir des zones de l’Hexagone, tombées au pouvoir de terroristes islamiques. Cet article annonce donc un avenir apocalyptique pour la France. La menace est-elle réelle ou s’agit-il d’un délire de journaliste ? Personnellement, je pencherais pour la deuxième hypothèse. Néanmoins…

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  • Terrorisme : Un 11-septembre français? L’alarme des services de renseignement

    Source : RT en français
    La France va-t-elle connaître une attaque comparable à celle qui a vu l’effondrement du World Trade Center ? C’est l’inquiétude des services de renseignement français qui avertissent sur une possible recrudescence de la violence terroriste.

    L’information a de quoi inquiéter. Selon une source des services français qui s’est confiée de façon anonyme au journal britannique The Telegraph, lequel reprend aussi en partie un article du Canard enchaîné, la France risque de connaître des troubles terroristes croissants.

    http://fr.novopress.info/