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immigration - Page 1209

  • Mondialisation, Schengen et migrants : le retour de maladies qu'on croyait éradiquées

    Peste, syphillis, gale, rougeole, etc. signent leur retour : 

    "Aux Etats-Unis, deux cas de peste ont été détectés chez des touristes après la visite d’un parc naturel situé en Californie. Cet épisode n’est pas sans rappeler la résurgence régulière de maladies que l’on croyait disparues dans les pays développés et plus spécifiquement en France. Cette dernière a connu un véritable épisode épidémique de rougeole à partir de 2008, avec un pic en 2011. Quinze mille cas ont été recensés pour cette seule année alors que 40 cas étaient déclarés en 2006, précise l’Institut de veille sanitaire (InVS). Entre le 1er janvier 2008 et le 31 avril 2015, 24 000 cas ont été déclarés en France et dix personnes en sont décédées (...)

    Parmi les maladies en résurgence, il faut noter le retour de la syphilis. Souvent associée aux poètes maudits, cette infection sexuellement transmissible fait désormais partie de notre époque.La déclaration obligatoire depuis 1942 des cas dépistés a été supprimée en 2000, leur nombre étant devenu anecdotique. « Depuis le début des années 2000, on observe une recrudescence de la maladie, en lien avec une moindre utilisation du préservatif », note l’InVS. Aucun chiffre n’est officiellement disponible sur le nombre de personnes qui seraient aujourd’hui touchées par cette maladie.

    Souvent associée à la pauvreté, la gale fait aussi son retour en force. On se souvient du cas du camp de migrants à Calais qui avait été démantelé à cause de la maladie en 2014. Aucune statistique officielle n’est disponible sur cette maladie, car sa déclaration auprès des autorités n’est pas obligatoire.Néanmoins, l’incidence de la maladie a été calculée par le Haut Conseil de la santé publique à partir des médicaments vendus. Il répertorie pour 2010 au moins 328 cas pour 100 000 habitants, soit au moins 200 000 cas sur l’ensemble de la population française. L’augmentation représenterait 10% depuis 2002".

    Lahire

  • Immigration: pourquoi le patronat en veut toujours plus

    Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif.

    On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés.

    Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens

    Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé «l’immigration choisie» .

    L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition.

    Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir.

    Vous allez le constater, la démonstration est sans appel.

    Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’oeuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’œuvre ailleurs, entend-on souvent.

    « Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45).

    Autrement dit, une pénurie de main d’oeuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’oeuvre prête à accepter des salaires plus faibles.

    C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46).

    Le rapport du Conseil d’Analyse Economique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% » (page 37)

    « Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37).

    Concernant les Etats-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38).

    Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration. Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat.

    Le vrai débatBlogueur associé 28/04/2010

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2910

  • Départements obligés d’héberger des clandestins : la France, pays des droits de l’autre !

    Quand les clandestins peuvent traîner devant les tribunaux des collectivités, on ne peut s’empêcher de se dire que quelque chose ne tourne pas rond. Une fois de plus, des droits sont accordés à des étrangers, auxquels les nationaux ne peuvent prétendre. Après douze condamnations, le conseil départemental de Loire-Atlantique est de nouveau passé devant le tribunal administratif pour refus d’héberger des mineurs étrangers…

    S’agissant de mineurs, la compassion vient naturellement. L’enfer étant pavé de bonnes intentions, la loi impose aux départements, aidés financièrement pour cela par l’État, de mettre les jeunes clandestins à l’abri pendant un délai de cinq jours, le temps d’évaluer leur situation et de s’assurer de leur minorité.
    Une faille qu’exploitent naturellement les jeunes « migrants », se présentant sans papiers et affirmant être mineurs pour bénéficier de ces dispositifs encore plus avantageux que pour leurs coreligionnaires. Et ils n’hésitent pas, informés par les associations de bonnes âmes, à traîner en justice les collectivités récalcitrantes.

    Ainsi, ce sont encore deux jeunes hommes arrivés ces derniers jours du Bangladesh et de Guinée, qui se sont présentés devant le tribunal administratif de Nantes pour exiger du conseil départemental de Loire-Atlantique qu’une solution d’hébergement d’urgence leur soit trouvée. Une démarche qu’ont déjà effectuée douze autres jeunes mineurs étrangers isolés arrivés à Nantes par des passeurs, depuis fin juillet : à chaque fois, le département a été condamné.
    Ce dernier assure que les services font « tout leur possible » tout en admettant que « le placement en chambres d’hôtel n’a, ces derniers temps, pas pu se faire, sauf pour quelques-uns. », les moyens et dispositifs existants étant saturés par l’afflux de clandestins. Au total, 265 mineurs isolés sont actuellement pris en charge par le département. Une dizaine d’autres sont contraints à se débrouiller seuls.
    Me Amandine Le Roy, qui accompagne les jeunes migrants, déplore que

    depuis la fin juillet, ces enfants soient livrés à eux-mêmes, dorment dans un squat, aient des difficultés pour s’alimenter. Ils arrivent ici après un voyage dans des conditions extrêmement précaires pour finalement essuyer des refus systématiques.

    Rappelons à ce ténor du barreau que personne ne les a forcés à entreprendre ledit voyage, organisé par de coûteux passeurs, ce qui montre qu’ils ne sont pas aussi démunis financièrement qu’ils l’affirment. Dénuement financier supposé qui justifie que les honoraires de l’avocate soient pris en charge par la collectivité, faisant du créneau de la défense des clandestins une rente de situation, qui ajoute au scandale de la condamnation de la collectivité par des clandestins.

    http://fr.novopress.info/

  • La marque américaine derrière les afflux de réfugiés

    La marque américaine derrière les afflux de réfugiés

    Dans l’émission d’hier soir - « Les afflux de réfugiés dans l’UE sont une stratégie US-américaine » – nous avons expliqué la stratégie de globalisation des quatre soit-disant « flows ininterrompus » (en français flux). Celle-ci provient du géostratégie militaire US-américain Thomas P.M. Barnett. Je cite Barnett: « Comme condition préalable pour le fonctionnement sans heurts (de la globalisation), nous devons permettre quatre ‘Flows’ durables et sans entraves. » Les afflux actuels, presque surdimensionnés, de réfugiés vers l’Europe, font partie de la stratégie du « Flux sans entraves », qui en l’occurrence vise l’Europe et n’a le droit d’être empêché par aucun gouvernement ou institution selon Barnett.

    Sources / Liens :

    http://metatv.org/guerre-moderne-cont...

    http://www.kla.tv/5788

    Lire aussi : 

    Les USA accusés de financer l’envoi de réfugiés en Europe http://metatv.org/les-usa-accuses-de-...

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Violences anti-immigrés : à qui la faute ? (Présent 8428)

    En Allemagne, un nouveau centre d’hébergement pour immigrés vient d’être attaqué, c’est le 152e depuis le début de l’année (voir article d’Olivier Bault dans Présent du 27 août). En France, à Auch, une mosquée a été incendiée, après d’autres, comme à Mâcon, Pargny-sur-Saulx. Bien sûr, on ne saurait approuver ces exactions, mais nous ne nous joindrons pas au chœur des indignés dont la condamnation ne s’accompagne pas de la nécessaire réflexion sur les vraies causes de ces violences. Nos bons dirigeants jouent la vertu offensée devant le vice des méchants. Comme Angela Merkel sous les huées l’autre jour, ils condamnent au nom de l’État de droit ceux qui se livrent à ces actes répréhensibles, tout en cautionnant la violation du même État de droit par ceux qui forcent nos frontières. Cela n’empêche pas Mme Merkel d’annoncer que son pays va recevoir 800 000 « migrants » en 2015, quatre fois plus qu’en 2014, ce qui s’apparente à une provocation qui suscitera de nouvelles violences.
    8428-P1
    On nous dit que les assaillants anti-immigrés ne sont qu’une infime minorité. Sans doute ! Mais leurs concitoyens qui refusent cette violence n’en pensent pas moins. Dans un sondage d’Ipsos, à la question, « Pensez-vous que l’immigration produit des effets positifs ou négatifs sur votre pays ? », la réponse est « négatifs » à 54 % en Allemagne et en France, 72 % en Belgique, 64 % en Grande-Bretagne, 67 % en Italie comme en Espagne.
    Comment en est-on arrivé là ? Nul en Europe, il y a quelques décennies, ne songeait à incendier les mosquées ou les centres d’hébergement. Et puis, l’immigration s’est accélérée, l’Union européenne ouvrant largement ses portes au tout-venant. C’était l’époque où des ministres, tel Bernard Stasi, nous assuraient que « l’immigration est une chance pour la France ». Ils sont venus avec leur religion qui n’est pas la nôtre et ils ont construit des mosquées grâce à la bienveillance des pouvoirs publics. Les autochtones ont été envahis dans des quartiers où ils n’étaient plus qu’une minorité devant subir la loi des étrangers ; toute velléité de révolte, toute dénonciation, étant assimilée au racisme et à la xénophobie par des politiques et des journalistes qui, en fait d’immigrés, ne connaissaient que leur bonne Philippine.

    La violence qui engendre la violence a explosé au propre et au figuré lors de l’attentat du 11 septembre 2001. Elle ne s’est pas arrêtée depuis, elle a crû et prospéré, elle nous frappe ici ou là tous les jours. Ce sont les musulmans qui nous ont déclaré la guerre, ce n’est pas nous. Vous voulez dire les islamistes, nous objectera-t-on. Pas d’amalgame ? Nous constatons seulement que les terroristes se réclament de l’islam, pas du bouddhisme zen, c’est un fait. Nos politiques, devenus depuis peu docteurs ès sciences islamiques quoiqu’ils n’aient pas lu une ligne du Coran, nous déclarent que ce ne sont pas de bons musulmans, que ce n’est pas l’authentique islam. Et quand bien même, qu’est-ce que cela change pour ceux qui succombent sous leurs coups au cri d’Allah Akbar, l’invocation de tous les musulmans, quels qu’ils soient ?

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • «Près de 90% des demandeurs d’asile originaires de l’Afrique de l’Ouest s’adonnent au trafic de cocaïne», dixit la police suisse

    « Presque 90% des demandeurs d’asile originaires de l’Afrique de l’Ouest hébergés par le canton s’adonnent au trafic de cocaïne. »

    C’est officiel. Le Ministère public et la police neuchâteloise ont donné cette information mercredi en présentant les résultats de leur opération antidrogue menée durant le mois de mai.

    «La grande majorité des personnes interpellées sont des Nigérians», a expliqué le procureur Nicolas Feuz.  «Qu’on arrête de nous dire que seule une petite partie des requérants ouest-africains pose problème et fait de l’ombre aux autres, c’est tout simplement faux», ajoute-t-il.

    http://www.medias-presse.info/pres-de-90-des-demandeurs-dasile-originaires-de-lafrique-de-louest-sadonnent-au-trafic-de-cocaine-dixit-la-police-suisse/37646

  • Des libéraux contre l'immigration de masse

    De par ses réglementations et ses bienfaits, l'État attire une catégorie d'immigrés qui prélève plus sur la communauté nationale qu'elle ne lui apporte. On peut l'accepter d'un point de vue chrétien, mais il faut alors bien être conscient que cela ne peut se poursuivre indéfiniment. D'où la nécessité de limitations quantitatives.
    Comme l'expliquait le prix Nobel d'économie Maurice Allais dans « Le Figaro » du 5.12.90, "lorsqu'un travailleur immigré supplémentaire arrive, il faudra finalement, pour réaliser les infrastructures nécessaires (logement, hôpitaux, écoles, infrastructures de toutes sortes, installations industrielles, etc.) une épargne supplémentaire égale à quatre fois le salaire annuel de ce travailleur. Si ce travailleur arrive avec sa femme et trois enfants, l'épargne nécessaire sera égale à vingt fois son salaire annuel, ce qui manifestement représente une charge très difficile à supporter". En fait c'est la communauté déjà établie qui supporte l'essentiel de cette charge par les mécanismes de prélèvements obligatoires et de redistribution. 
    Le problème social vient de l'accumulation, dans certains endroits, d'immigrés dont les coutumes sont ressenties comme gênantes par les populations préexistantes. 
    Comment alors éviter l'invasion de hordes d'immigrants pauvres dans nos pays comparativement riches ? 
    Dans un système de propriété privée, les droits de chacun sont conditionnels : on entre dans la propriété d'autrui, dans une copropriété, dans une association, dans une école privée, à condition d'en respecter les règles et d'en payer le prix éventuellement demandé. Le droit de propriété se définit comme la liberté d'exclure autrui de l'usage du bien que l'on possède, quelles que soient les motivations de l'exclusion. Si le propriétaire d'une maison refuse de la louer à quelqu'un qu'il considère comme un "étranger" (parce qu'il vient d'un autre pays, qu'il a une couleur de peau différente, d'autres mœurs, ou simplement une autre moralité - par exemple une grande négligence dans le paiement des loyers), si le propriétaire d'une entreprise refuse d'embaucher quelqu'un qui ne lui plaît pas - par exemple parce qu'il a montré qu'il était un fainéant, cela peut nous choquer, mais nous devons reconnaître qu'ils en ont le droit. 
    Ayons l'honnêteté de l'admettre, nous passons notre vie quotidienne à définir des exclusions, car personne ne possède de droits illimités sur nos biens, notre personnalité et notre temps. Il faut donc accepter le droit d'un individu à refuser certains autres individus dans sa maison, son entreprise, sa commune, quelles qu'en soient les raisons, même si le refus tient à ce que ces individus sont perçus comme étrangers. C'est un fait : les êtres humains sont tous différents, et chacun a ses préférences en fonction de critères impénétrables. C'est bien pourquoi nous avons des amis : avoir un ami, c'est avoir quelque chose en commun avec autrui, mais c'est aussi exclure les autres de nos relations d'amitié. Nous passons notre temps à discriminer, pour des motifs que les autres peuvent considérer comme bons ou mauvais, selon leur perception et leur morale. Or le problème de l'immigration vient tout simplement du fait que l'État enlève arbitrairement aux individus le droit à la discrimination à l'égard de ce qu'il définit lui-même comme des "étrangers" (à partir du critère de nationalité), mais qu'il s'attribue ce droit de discrimination sous le nom de politique d'immigration. 
    De quel droit l'État se permet-il de décider de ce qui concerne mes relations privées ? 
    Dans le contexte actuel où le niveau d'immigration est défini globalement pour l'ensemble de la nation par le pouvoir politique, et où, par ailleurs la "politique sociale" aboutit à subventionner l'immigration des moins productifs, certains, qui se disent favorables à l'immigration et proclament leur générosité par des discours contre le racisme, ne sont pas touchés par le phénomène ; d'autres lui sont opposés, parce qu'ils voient leur environnement culturel, religieux, ou de simple voisinage, se modifier profondément. N'ayant pas le moyen de décider eux-mêmes, ils en appellent à l'État pour résoudre leurs problèmes personnels, qui deviennent ainsi des problèmes nationaux. 
    Mais aucun compromis global ne pourra être trouvé. 
    L'immigration "de mauvaise qualité", celle qui donne lieu aux problèmes d'adaptation, et qui coûte cher à la collectivité préexistante, est encouragée, parce que les immigrants peu formés sont ceux qui ont le plus intérêt à immigrer : ils bénéficient "d'avantages sociaux" et de ressources d'infrastructure, dont le financement résulte en partie de prélèvements obligatoires sur les autres. Il est clair qu'ils n'immigreraient pas s'ils devaient payer ces avantages et ces ressources à leur coût réel. 
    Or en France on a plutôt tendance à taxer ceux qui produisent les richesses et à subventionner ceux qui les consomment. 
    Émigrer n'est certes pas facile pour celui qui doit ainsi quitter sa famille, son village, sa culture et ses habitudes. Il le fait parce que la différence de niveau de vie entre son pays d'origine et son pays d'accueil est importante, le plus souvent pour des raisons artificielles : sans doute que l'État étouffe toute initiative dans son pays d'origine, alors qu'il est protégé des aléas dans son pays d'accueil sans que cela ne lui coûte beaucoup. 
    Il faut donc chercher des solutions qui obligeraient les immigrés à assumer la totalité des devoirs et des coûts que leur présence entraîne. Et pour commencer, l'obligation de constituer des systèmes spécifiques d'assurance maladie et de retraites, et de pourvoir au coût de l'éducation de leurs enfants…
    Extraits du « Bulletin du Cercle Frédéric Bastiat » n° 13
    Compte rendu de la soirée du 18/09/1993 avec Pascal SALIN
    http://www.bastiat.net/fr/

    http://archives.polemia.com/article.php?id=642

  • Quand l’État impose une mosquée (Présent 8426)

    Présent nous a autorisé à reproduire l’intégralité de l’interview de Cyril Nauth, maire de Mantes-la-Ville, parue dans son édition de ce jour. Nous les remercions d’autant plus que nos lecteurs connaissent bien cette affaire et les différentes actions menées par le Bloc Identitaire pour lutter contrel’implantation d’une mosquée dans cette commune des Yvelines.

    27/08/2015 – FRANCE (NOVOpress) Dans notre précédente interview du maire FN Cyril Nauth (Présent du 19 mai), la question qui se posait était : y aura-t-il deux mosquées à Mantes-la-Ville ? La bataille juridique évolue, puisque désormais la question est : y aura-t-il un commissariat ou une mosquée ? Opposé au maire, le préfet des Yvelines lui-même, à qui la justice a donné raison vendredi. Une décision qui n’est pas définitive, comme le souligne Cyril Nauth.

    Que répondez-vous à l’accusation de « détournement de pouvoir », expression employée par le juge ? 
    Pour être précis, c’est le motif invoqué par le préfet des Yvelines, Erard Corbin de Mangoux – c’est-à-dire l’État. Dans ce dossier, il ne pouvait guère évoquer que ce motif-là. Ce qu’il faut noter, c’est que cette décision du tribunal administratif de Versailles de suspendre la préemption d’un local, telle que nous l’envisagions, n’est pas définitive. Certains de vos confrères semblent ne pas l’avoir compris. La décision suspend la préemption, ce qui est logique puisque, si elle ne le faisait pas, la mairie ferait sans tarder l’acquisition de l’ancienne trésorerie pour y installer un commissariat. Cette décision provisoire du tribunal n’a donc pas été une grande surprise.

    Avez-vous bon espoir de la décision judiciaire qui sera rendue ultérieurement ? 
    Oui, puisque la décision du 21 août ne préjuge en rien de la décision à venir – sauf si on considère que la justice française, administrative ou pas, est du même acabit que l’État. Je veux croire, encore, qu’il existe une justice indépendante et qui saura prendre de la hauteur par rapport à la position du préfet, qui me semble politique. Il s’est substitué à l’association musulmane pour attaquer ma décision. Je trouve cela regrettable. En ces temps difficiles, l’État n’a rien de mieux à faire que de chercher des poux dans la tête d’un maire ? D’autant que j’ai été élu en partie sur cette opposition au projet de mosquée. Les Mantevillois m’ont confié cette tâche et je suis là pour tenir mes engagements. À la place du projet de mosquée, j’ai proposé un vrai projet d’intérêt général et local de transfert de poste de police municipale.

    Est-ce habituel qu’un préfet s’immisce à ce point dans les projets d’une commune ? 
    En faveur de la création d’un lieu de culte musulman, je ne sais pas si c’est une première ; mais cela doit être peu fréquent. La jurisprudence fait état de cas concernant les Témoins de Jéhovah… En se mêlant de cela, le préfet commet une erreur, voire une faute, puisque c’était à l’association musulmane de contester ma décision, pas à lui. Elle en avait tout à fait le droit : quand un acquéreur potentiel voit s’annoncer une préemption par une collectivité territoriale, il a le droit de contester cette décision. Je m’attendais à une contestation de l’association musulmane, mais elle n’a pas eu à le faire : l’État a mis à sa disposition, en quelque sorte, des avocats et des moyens financiers pour s’opposer à un maire. C’est le plus scandaleux de l’affaire.

    Mi-août, le préfet de l’Hérault s’en est pris à Robert Ménard, maire de Béziers. Ce préfet est un ancien directeur de la DST. Le préfet des Yvelines, lui, a été directeur général de la DGSE. Faut-il y voir un « flicage » à l’égard des maires Front national ? 
    Les préfets, nommés par l’État, sont nécessairement proches du pouvoir. Dans les Yvelines, qui sont un département francilien, on place des gens particulièrement « choisis ». Corbin de Mangoux était présenté comme un « très proche » de Nicolas Sarkozy, qui l’avait nommé à la DGSE alors que sa carrière ne le prédisposait pas à ce type de haute fonction. Il a été nommé préfet des Yvelines par François Hollande en 2013. Pour le coup, la volonté d’imposer des mosquées en France appartient autant à la droite sarkozyste qu’aux socialistes. La question est : dans le cas qui nous occupe, le préfet agit-il de manière autonome ou est-ce un ordre qui vient d’en haut, voire de très haut ? Je n’ai pas la réponse.

    Les Yvelines connaîtraient-elles la tentation de la dhimmitude ? 
    Pierre Bédier, président LR du conseil général des Yvelines, est une personnalité importante des Yvelines, or il a toujours joué le jeu du communautarisme et de l’électoralisme avec les musulmans. D’où les deux grandes et « belles » mosquées de Mantes-la-Jolie… Il est tout à fait possible que le préfet joue le même jeu. Depuis le mois de juin, le département a même un CIMY, c’est-à-dire un Conseil des institutions musulmanes des Yvelines ! C’est une première en France, et ce conseil a été créé à l’instigation du préfet. Sans surprise, figure dans ce CIMY Abdelaziz El Jaouhari, qui n’est autre que le président de l’association musulmane avec laquelle je suis en conflit, la MMS. Or le préfet a publié sur son compte Twitter officiel, le 9 juillet dernier, une photo qui le montre partageant le repas de rupture du jeûne avec… Abdelaziz El Jaouhari, à la même table. Un nouveau préfet des Yvelines, Serge Morvan, a été installé tout récemment, le mardi 25 août précisément. Le départ d’Erard Corbin de Mangoux va-t-il modifier la donne ? L’affaire est très engagée et je ne vois pas pourquoi le nouveau préfet irait à l’encontre de son prédécesseur, d’autant que lui est un proche des socialistes. Mon espoir est que Serge Morvan soit moins proche de Pierre Bédier, avec lequel je suis en conflit sur d’autres sujets, notamment sur des subventions dues par le département à Mantes-la-Ville, qui s’élèvent à trois millions d’euros et que Pierre Bédier bloque. Il se croit tout permis depuis que l’UMP a fait un grand chelem électoral dans les Yvelines aux élections départementales.

    La procédure judiciaire va donc suivre son cours ? 
    Nous attendons une décision en première instance. Si elle nous est défavorable, nous ferons appel, mais cela ne laissera que peu de répit. La procédure choisie par le préfet est celle du référé, qui est une procédure d’urgence : non seulement on veut imposer quelque chose aux Mantevillois, mais on veut l’imposer de manière rapide. Si la justice allait dans le même sens que l’Etat, l’association musulmane acquerrait sans tarder le local, peut-être avant la fin de l’année 2015. Nous nous lancerions alors dans une autre bataille, celle du permis de construire. Les questions urbanistiques que soulève le projet de mosquée sont nombreuses, nous ne ferons pas de cadeaux. Il faut bien comprendre que, dans le droit français, il n’y a aucun moyen de s’opposer à la construction d’un lieu de culte, quel qu’il soit. Le domaine urbanistique est le seul sur lequel on puisse se battre.
    Je précise cela pour ceux qui seraient tentés d’accuser les élus du Front national d’être trop tendres vis-à-vis de l’islam : nos moyens d’action sont limités.

    Propos recueillis par Samuel Martin

    http://fr.novopress.info/191440/letat-impose-mosquee-present-8426/#more-191440

  • welcome

     merci, Esther...(1)

    "La mairie de Paris "n'envisage pas" l'expulsion de la centaine de migrants qui occupe depuis vendredi un lycée hôtelier désaffecté à Paris, a annoncé aujourd'hui le premier adjoint Bruno Julliard. "Nous n'envisageons pas d'expulsion, même si les locaux ne sont pas adaptés", a déclaré Bruno Julliard lors d'une conférence de presse. Il a précisé qu'une équipe technique de la ville allait se rendre sur place prochainement pour "vérifier la salubrité et la sécurité" du lieu. L'adjoint a cité l'attitude "constructive" des migrants lors d'une rencontre avec des élus vendredi et la politique municipale d'"accueil" et de "solidarité" pour justifier le refus de recourir aux forces de l'ordre, "même si cette occupation s'est faite dans l'illégalité". Après avoir occupé le local de l'association féministe Ni putes ni soumises (NPNS), les migrants ont investi vendredi en fin d'après-midi l'ancien lycée hôtelier désaffecté, situé rue Jean Quarré (XIXe arrondissement). Bruno Julliard a indiqué que le site, qui devait reconverti en médiathèque, ferait finalement partie d'une liste de "bâtiments intercalaires", dont est propriétaire la ville de Paris "qui ne seront pas occupés pendant un certain temps", et seront proposés à l'Etat pour l'hébergement d'urgence.

    Près de 1.300 places d'hébergement d'urgence créées depuis début juin

    Ces lieux constitueraient une alternative aux centres d'hébergement existants, occupés aujourd'hui à "100%". La mairie de Paris dit avoir créé un peu moins de 1.300 places d'hébergement d'urgence depuis début juin et ne pas disposer actuellement d'estimation du nombre de migrants présents dans la capitale."Figaro

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    Finalement, tous ces crétins libéraux-libertaires sont sans doute une bénédiction. Je m'explique: depuis des décennies, des millions d'étrangers rentrent en Europe clandestinement ou pas contribuant, nolens volens, au chaos et à l'ensauvagement croissant de nos contrées et ce avec l'assentiment de la quasi-totalité des oligarchies politiques, économiques, médiatiques et cultureuses européennes qui ne cessent de nier ou de minorer les effets ravageurs de ces vagues migratoires successives (j'entendais ce matin encore sur Radiofrance un journaleux quelconque claironner que l'"Europe aurait besoin dans prochaines décennies de millions de migrants").

    Rien de mieux que le silence des agneaux et quelques chefs d'œuvres genre "Welcome" ou "Samba" pour faire passer sans trop de dommage ces politiques désastreuses pensées dans le silence des cabinets ministériels (2) ou l'entre-soi des cénacles journalistiques (3)...

    Rien de pire, en revanche, que le chaos migratoire contemporain incontrôlé, bruyant et violent qui s'étale à la une des tabloïds et qui oblige tous ces cafards à "prendre position", et à dire clairement leur soutien inconditionnel (leur amour, même) à ces centaines de milliers de clandestins extra-européens alors même qu'ils ne montrent aucune considération à l'égard de leurs compatriotes français dans la merde ou des autres européens.

    «  La botte souveraine de la réalité, disait le vieux Léon. Les censeurs, les idéologues, les inquisiteurs de la pensée libre travestissent la réalité, la badigeonnent de leurs mensonges, traînent en justice ceux qui osent égratigner les façades peinturlurées. Et puis un jour, on entend un bruit de plus en plus proche, un fracas puissant qu'on ne parvient plus à étouffer, géante, irrésistible, « la botte souveraine de la réalité » vient, s'impose. Le contreplaqué de mensonges s'écroule, le glapissement des folliculaires stipendiés s'étrangle, les mots prostitués retrouvent leur sens. La réalité se dresse devant nous, irréfutable. Bien vu, camarade Trotski ! » Andrei Makine, 2005.

    Tous ces Samba:) sont ce "fracas puissant qu'on ne parvient plus à étouffer" et que prennent dans la gueule ces millions de moutons partout en Europe qui remettent en selle, septennat après septennat et quinquennat après quinquennat les mêmes classes politiques corrompues et traîtres à leur patrie.

    Welcome, donc!

    (1) En octobre 2013 commentant l'affaire Leonarda, elle déclare :« Moi qui pensais que la France n'avait pas perdu la mémoire de sa sombre histoire, j'étais loin d'imaginer qu'en 2013, en tant que parlementaire, élue du peuple, je serais témoin d'une rafle. Car oui, il faut bien le dire, c'est une rafle. »

    (2)  "Andrew Neather, qui rédigeait les discours de Tony Blair, Jack Straw et David Blunkett, a fait une révélation de taille, dans l’émission Question Time de la BBC. Il a en effet dévoilé que l’énorme augmentation de l’immigration durant la dernière décennie était une politique délibérée et organisée par les Travaillistes afin de modifier la constitution ethnique de la Grande Bretagne : « Outre les besoins du marché du travail, il y avait également une motivation « politique » derrière la politique d’immigration. [Les ministres entendaient] mettre le nez des conservateurs dans la diversité ». Cet apparatchik de premier rang a précisé que les dirigeants travaillistes avaient opéré secrètement, craignant que cette politique ne perturbe « la classe ouvrière qui est son vivier électoral ». Les vraies raisons, qui figuraient dans les premières versions du rapport Performance and Innovation Unit, rédigé par Downing street, ont été supprimées dans la version finale du document afin de ne pas révéler cette politique délibérée et organisée. Selon lui, « l’immigration de masse était pour le gouvernement le moyen de rendre le Royaume Uni totalement multiculturel. Cette politique délibérée a duré de 2000 au moins jusqu’au mois de mai 2008, date à laquelle on a mis en place le nouveau système de points.» Ce qui a entraîné l’arrivée, selon le think tank Migration Watch, de plus de trois millions de nouveaux immigrés. " (Faits et documents 15-30/11/09)

    (3) JK Kahn dans ses oeuvres

    http://hoplite.hautetfort.com/

  • Aube Dorée sur l’île de Kos envahie par les musulmans : “Avec Syriza, ce sera le Pakistan” (vidéo)

    BREIZATAO – ETREBROADEL (27/08/2015) Le parti nationaliste Aube Dorée continue d’amplifier ses efforts pour convaincre la population de rompre avec l’établissement politique grec, Syriza en tête.

    En déplacement sur l’île de Kos, envahie par des hordes islamiques, la direction politique du mouvement a rappelé sa détermination à défendre les Grecs face à l’alliance trotsko-financière représentée par Syriza et ses souteneurs internationaux.

    Lire la suite