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immigration - Page 1215

  • Étrangers: naturalisés !

    (Présent 8477)

    Il y a des sujets qu’il vaut mieux enterrer juste avant les élections. Entre deux cafouillages sur les impôts locaux des retraités et les allocations handicapés, Manuel Valls déclare renoncer au vote des étrangers : « Il ne faut pas courir derrière des totems ». La décision et la formule font hurler Libération qui parle d’« ultime reniement » sur ce marqueur historique qui porte une si belle exigence de gauche.
    8477-Une-Présent
    Selon le premier ministre, cette promesse [du candidat Hollande] ne sera pas mise en œuvre et ne sera pas reproposée à la prochaine élection présidentielle « parce qu’elle tend inutilement et que ce n’est plus le sujet ». Surtout avec l’absence d’une majorité des 3/5e nécessaire au Parlement réuni en congrès pour faire passer une telle réforme constitutionnelle. Fureur des « assoces » et de Cambadélis qui affirme que le projet est toujours à l’ordre du jour du Parti socialiste et qu’« il adviendra un jour ».

    Trêve de comédie, car derrière cette annonce si bien mise en musique par les médias, Manuel Valls a bien mieux dans sa manche. Le meilleur substitut au droit de vote des étrangers et qu’il entend encore accélérer : « Le vrai sujet est de renouer avec la naturalisation ». Comme s’il n’avait jamais rompu avec ! Lui qui, pour accélérer le nombre des naturalisations, demandait dans une circulaire à tous les préfets de France en 2012 de revenir sur les critères « discriminants » mis en place par son prédécesseur, Claude Guéant.

    Manuel Valls veut un nouvel assouplissement des conditions de naturalisation pour les étrangers qui résident en France depuis plus de cinq ans. « Pour voter, devenez Français ».

    Faciliter les démarches de naturalisation et assouplir les critères en pleine submersion migratoire alors que les clandestins entrent sur notre territoire par paquets de mille, relève de la plus haute trahison et d’une braderie de notre nationalité sans précédent. Tous Français dans cinq ans ?
    Bravo, Valls, le changement de peuple et de civilisation est bien plus certain et acquis comme cela qu’en passant par les urnes.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • [Entretien] Pierre Manent à L’Action Française : « J’invite les musulmans à la "conversion à la France". »

    Philosophe, ancien directeur d’études à l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales), Pierre Manent vient de publier un essai traitant de la place de l’islam et des musulmans dans la nation. Il a bien voulu répondre à nos questions.

    L’AF 2919 : Votre livre Situation de la France, heurte le consensus sur l’invocation des valeurs républicaines et de la laïcité. D’aucuns vous ont également reproché de faire le jeu du communautarisme musulman…

    Pierre Manent : J’’essaie de partir de la situation présente. De la situation extérieure d’abord, qui se caractérise par la pression sur l’ Europe d’un monde arabo-musulman en pleine décomposition-recomposition et traversé de mouvements que personne ne semble capable de maîtriser. De la situation intérieure ensuite : nos concitoyens musulmans sont nombreux, ils participent à la vie économique et sociale, mais beaucoup moins à la vie civique et politique. De sorte qu’ils forment une communauté passablement refermée sur elle-même et sur ses mœurs. Que faire dans ces conditions ? Ou on ne fait rien, ce qui n’est guère possible compte tenu des frictions et frustrations diverses qui se manifestent dans toutes les parties du corps social. Ou on compte sur les effets heureux de la laïcité, qui est censée résoudre le problème en séparant la société de la religion, ici spécialement de la religion musulmane. J’objecte à cette thèse que la laïcité n’est pas faite pour cela. Elle sépare l’ État et l’institution religieuse, elle n’a pas pour vocation d’exclure la religion de la vie sociale.

    Donc, et c’est la direction que je propose d’emprunter, au lieu de prétendre réformer l’islam par l’imposition de normes dites laïques, on procéderait indirectement, en incitant les musulmans non pas d’abord à abandonner les mœurs qui nous choquent ou nous froissent, mais à inscrire leur vie, leur avenir et celui de leurs enfants dans la nation française. Pour ce faire, ils devraient bien sûr prendre leur indépendance à l’égard des pays et institutions du monde arabo-musulman dont ils sont aujourd’hui excessivement dépendants. La désorganisation croissante de l’Union Européenne et la décomposition du monde arabo-musulman nous incitent à chercher les voies d’une ré-association dont la nation est le cadre naturel. Les musulmans français y sont-ils prêts ? Je ne sais. En tout cas, c’est une voie qui n’ a pas été essayée, nos gouvernements et les institutions dites représentatives des musulmans français s’accordant pour ne rien faire et laisser chacun sur son quant à soi.

    Selon quelle(s) modalité(s) l’islam peut-il faire partie du paysage dans un pays que vous dites vous-même « plein » et sans que le compromis passe pour un acte de faiblesse ou un abandon de notre identité ?

    Entretien paru dans L’Action Française 2919 La suite ici

  • Métissage : « Très jeune, il a été en indélicatesse avec ses origines »

    Yunes, SébastienIls n’ont rien vu venir. Pourtant leur fils avait tout prévu. Un samedi soir d’automne, Yunes rend visite à son père, Armand*, comme il en a l’habitude. Il fait sa prière, reste une heure et s’en va. Nous sommes le 1er novembre 2014. Armand ne reverra plus son fils. Le lendemain matin, accompagné de sa femme et de sa fille, le jeune homme quitte Besançon, direction la Syrie. Les parents de Yunes mettront de longues semaines à réaliser l’impossible. Leur fils unique a rejoint les rangs de l’Etat islamique il y a maintenant un an. Lui qui fait «comme si tout était normal» à Raqqa. Lui qui a reçu les photos de décapitation envoyées par Yassin Salhi, l’auteur présumé de la tentative d’attentat à Saint-Quentin-Fallavier, en Isère.

    (…) C’est peut-être ce reniement des origines familiales qui va déboussoler Yunes. «Très jeune, il a été en indélicatesse avec ses origines», confie son père plusieurs fois lors de nos conversations. A 7 ans, le gamin choisit son deuxième prénom, Sébastien, pour se présenter à ses copains du camping. «Je criais : “Yunes !” Il ne tournait pas la tête», note le jeune retraité de l’enseignement privé, rencontré chez lui, à Besançon. Nejma, qui a fait le déplacement depuis Vesoul, précise : «Par la suite, ça a été tout l’inverse. Son drame, c’était de ne pas être typé arabe comme moi.»

    Plus tard, Yunes remerciera sa mère de l’avoir circoncis à 7 ans. «Nous avons fait ça pour des raisons médicales, mais grâce à ça, Yunes se sentait musulman», analyse Nejma. Il faut dire qu’à l’école, surtout au lycée, les copains de Yunes sont musulmans. « Pour lui, comme j’étais algérienne, il était musulman. C’était naturel », rapporte sa mère.

    Source via FDS

    http://www.contre-info.com/metissage-tres-jeune-il-a-ete-en-indelicatesse-avec-ses-origines

  • Les clandestins n’ont pas fini d’envahir l’Europe

    NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    C’est l’objet d’une bataille des chiffres entre différents organismes. Le Haut Conseil de l’ONU pour les réfugiés, le HCR prévoyait que 700 000 clandestins traverseraient les frontières illégalement. Les États — eux — annonçaient candidement le nombre de réfugiés qu’ils accueilleraient sans parler de l’immigration illégale…

    Quel bilan pouvons-nous faire de l’immigration massive sur notre continent ?
    Le bilan de la situation n’est pas très réjouissant. Depuis 2015, plus de 800 000 entrées illégales ont été dénombrées au sein de l’Union européenne. Tous les mois un nouveau record mensuel est atteint, le dernier étant 218 000 clandestins en octobre. Selon Fabrice Legerri, le patron de Fontex, agence européenne de surveillance des frontières, l’Europe doit s’attendre à de prochains mois difficiles. Selon lui, je cite : « Les États européens doivent se préparer à l’idée qu’une situation très difficile nous attend dans les prochains mois ». Malheureusement, Fontex n’a pas le pouvoir de rejeter les immigrés en dehors du territoire européen.

    Quelles décisions sont prises pour mettre fin à ce flux incessant ?
    L’Europe s’obstine encore et toujours à accueillir tout le monde même si elle est obligée d’interner les nouveaux venus dans des camps. Mais les centres d’accueil sur les îles grecques et en Sicile sont un peu submergés. Néanmoins, le patron de Fontex semble s’indigner face au manque de réaction de la part des États européens. Il préconise d’enfermer les étrangers en situation irrégulière afin d’organiser leur rapatriement.

    Pourquoi la situation ne s’améliore-t-elle pas ?
    Selon Frontex, « il y a plusieurs raisons à cette hausse spectaculaire — une situation dramatique en Syrie, en Érythrée, au Soudan du Sud, en République démocratique du Congo, en Irak, combinée au fait que la Libye est de facto un État défaillant où la loi n’est pas appliquée ». Notons que la responsabilité des États occidentaux dans la situation politique catastrophique de ces pays n’est pas négligeable. Depuis le début de l’année, en traversant la mer Méditerranée, 3 440 personnes sont mortes ou portées disparues selon le Figaro. La plupart passent la Méditerranée orientale.

    http://fr.novopress.info/

  • L’inexorable invasion démographique ou la trahison de l’Europe par ses dirigeants mêmes : la preuve par un diagramme de Sankey

    "L’état major écrit : J’invite les officiers, sous officiers, gradés et hommes de troupe à n’accorder aucun crédit à des bruits dénués de tout fondement concernant des menaces présumées d’agression contre nos frontières…. Que surtout il ne soit pas fait recours à l’usage d’instruments d’optique d’un modèle non réglementaire qui prêtent facilement à l’erreur et aux fausses interprétations "

    Dino Buzzati, Le Désert des Tartares (1940), traduction Michel Arnaud, Robert Laffont, 1949.

    Quel ressort peut bien désormais animer, en France par exemple, le chef du Gouvernement, M. Manuel Valls, lorsqu'il déclare, à propos du « droit de vote des étrangers » aux élections locales, qu'il n'est plus « une revendication forte » de la société ? Assisterait-on à une prise de conscience salutaire d'un problème géopolitique majeur ? N'assisterait-on pas plutôt une fois de plus à une petitecombinazione, un petit calcul crougnoteux, une manifestation d'une tentative politicarde ratée de désamorçage d'une bombe à retardement, la nécessité de se débarrasser au plus vite, tant qu'il en est encore temps, d'un boulet ou d'une promesse intenable face à la double Bérézina électorale qui pointe le museau pour les prochaines consultations à venir de 2015 et 2017 ?

    Cécité intellectuelle...

    « Je ne pense pas que cela soit une priorité, a ainsi déclaré le Premier ministre lors d'une réunion plutôt houleuse à l'Institut d'Etudes politiques de Paris le vendredi 3 novembre 2015. Je l’avais dit il y a trois ans, cela avait provoqué un scandale, on avait dit "abandon d’une promesse"… Mais cette promesse, de toute façon, ne sera pas mise en œuvre. Et je suis convaincu qu’elle ne sera pas reproposée à la prochaine élection présidentielle, parce qu’elle tend inutilement et parce que ce n’est plus le sujet. Il y a une citoyenneté française, il y a une citoyenneté européenne, faisons les vivre, plutôt que de courir derrière des totems qui, aujourd’hui, ne sont plus adaptés à la réalité du monde. »

    Quant à l’idée de la soumettre au vote des Français par un référendum, le chef du gouvernement n’y est pas davantage favorable car « on mettrait le pays sous tension sur un sujet qui ne serait pas jugé comme prioritaire. Le non l’emporterait largement car on remettrait l’immigré – à tort – au cœur du débat et des tensions  ».

    Bien vu, l'aveugle ! Mais un peu tard, sans doute, dans la mesure où les « totems » dont s'agit (véritable trouvaille sémantique, soit-dit en passant) sont déjà largement plantés en Europe et où « l'immigré » n'a nullement besoin qu'on le remette « au cœur du débat et des tensions » dans la mesure encore où il s'y trouve déjà et constitue intrinsèquement, de par sa présence imposée à des nations qui n'ont pas été consultées sur sa présence, la raison et le moteur-même de ces tensions actuelles et futures devenues sujet de priorité majeure de tous les pays européens.

    Comment, sinon avec un culot d'acier, l'intéressé peut-il encore oser parler de « citoyenneté française » ou de « citoyenneté européenne », sauf à croire que ces concepts sont devenus chez lui les produits d'une aberration mentale ?

    ...ou cynisme ?

    Il y aurait pourtant un moyen de réaliser en un tour de main, au prix d'une volte-face que tout le « camp socialiste » français qualifierait pour sa minuscule part de trahison (mais au point où en est cette équipe gouvernementale, une de plus ou une de moins...), mais le reste de la France de sursaut légitime, une œuvre salutaire qui contribuerait utilement et de manière la plus efficace qui soit à l'apaisement d'une société qui n'aspire à rien d'autre qu'à vivre tranquillement, hors toute tension.

    Cette volte-face politique et sociale qui serait accueillie d'une manière extraordinairement positive par la France et probablement par l'Europe toute entière consisterait tout simplement à prendre en compte cette monstrueuse réalité géopolitique que représente l'invasion migratoire exponentielle et accélérée dont l'Europe est victime, de la déclarer comme mortelle et incompatible avec la cohésion étatique, sociale, économique et civilisationnelle du continent et d'y mettre un terme immédiat.

    Les outils politiques, juridiques et militaires existent, que recouvre tout ce qui relève de la proclamation de l'état d'urgence.

    La situation est très simple. Sauf à les considérer comme de parfaits imbéciles – ce qu'ils ne sont pas comme le prouve leur cynisme -, et à les créditer d'une ignorance et d'une inculture insondables - l'hypothèse ne peut être sérieusement écartée -, les divers dirigeants politiques qui sont à la manœuvre en Europe comme en France ne peuvent faire preuve d'une mésintelligence du monde telle qu'elle les conduirait à ne pas voir les résultats des politiques criminelles qu'ils sont en train de conduire avec l'invasion migratoire mortelle qui s'infiltre au sein des peuples et nations européens.

     

    En veut-on une preuve ?

    La voici, établie par le moyen d'une spectaculaire infographie fournissant la représentation graphique et dynamique des flux migratoires en marche vers l'Europe à l'aide d'un diagramme de Sankey dont on trouvera toutes les composantes ci-après :

    http://www.lucify.com/the-flow-towards-europe/

    La suite est à venir, avec la modélisation d'une répartition des populations allogènes dans les pays européens, en attente de ce regroupement familial que l'on ne manquera pas de mettre en place très prochainement par souci « humanitaire », bien entendu, histoire de sceller définitivment le tombeau européen.

    A moins que ?

    - A moins que ne se produise une réaction salutaire face à tous ces hommes dans la force de l'âge qui n'ont qu'une seule idée : refaire leur vie en Europe et y faire souche.

    - A moins que ne se produise un rejet de cette chancelière inconsciente ou cynique, de ce président inconséquent, de tous ces partis politiques dégénérés et moribonds, prêts à saisir l'opportunité d'une vague compassionnelle.

    - A moins que ne se produise in extremis la neutralisation de tous ces traîtres qui ont ouvert les portes de leur pays, de leurs villes, de leurs campagnes à une invasion catastrophique à très court terme, en s'attachant à justifier le tout par une purée idéologique ahurissante.

    Il convient de lire attentivement à ce propos ce document intitulé « La grande nation : pour une société inclusive », titre du rapport rédigé par M. le conseiller d'Etat Thierry Tuot (1erfévrier 2013) https://www.cnle.gouv.fr/Rapport-Tuot-sur-la-refondation.html ou icihttp://www.valeursactuelles.com/sites/default/files/Rapport%20Tuot.pdf, et qu'il eût plutôt été inspiré d'intituler « Ferments pour une guerre ethnique et une guerre civile ».

    Imbécillité sournoise que cette beauté de l'Etranger magnifiée - excusez du peu !-, par la mise en exergue d'un poème tiré des Hymnes à la Nuit de Novalis (« Et plus qu’eux tous, l’Étranger, Superbe aux yeux profonds, à la démarche légère, aux lèvres mi closes, toutes frémissantes de chants  »),. Sans doute s'agit-il de cet Etranger auquel fait écho cet art lyrique emprunt de douceur et d'altruisme comme on peut l'entendre avec ces nashîds, ou chants islamiques déclinant l'hymne officieux de l'EI (Ummati qad laha fajrûn : « Ô ma Umma, l’aurore s’est levée, j’attends la victoire annoncée ;/ l’État islamique a surgi par le sang des hommes justes,/ l’État islamique a surgi par le djihâd des hommes pieux »), ici https://syrianewsupdate.wordpress.com/2014/11/18/top-5-jihadi-songs/, ou encore ici avec la version francophone d'un « vrai patriote », en réalité traître à son pays :http://www.europe-israel.org/2015/03/nouveau-chant-en-francais-de-letat-islamique-il-nous-faut-taper-la-france-il-est-temps-de-lhumilier-et-des-morts-par-millier/

    Et ensuite ?

    Après la dislocation de l'Afrique et du Proche-Orient, assisterons-nous encore longtemps à celle de l'Europe, dernier rempart civilisationnel d'un monde miné de l'intérieur par ses propres dirigeants suivis de populations hébétées, décérébrées qui ne voient rien, ne comprennent rien à ce chaos migratoire, cette invasion consentie effectuée telle une guerre-éclair ?

    Ce n'est plus au spectacle de Rome, Ville ouverte, auquel nous assistons, mais bien à celui de Europe, au limes abandonné et effondré. Les frontières n'étant plus défendues, les sentinelles ayant reçu l'ordre de quitter leurs postes, l'ennemi est donc entré, déterminé, sûr de sa multitude, ayant tout à gagner, déversant à flux continus des populations qui s'ajouteront aux stocks déjà installés, ce dont l'INSEE ne parle pas vraiment dans ses statistiques et analyses. Il n'est plus question d'asile, de réfugiés, de migrants, d'immigrants, mais bien d'une invasion de peuplement.

    Jusqu'à quand ? La réponse commence ici : http://www.lucify.com/the-flow-towards-europe/

    Sources et références  :

    http://www.leparisien.fr/politique/pour-manuel-valls-le-droit-de-vote-des-etrangers-n-est-pas-une-revendication-forte-17-09-2012-2168742.php#xtref=https%3A%2F%2Fduckduckgo.com

    https://www.youtube.com/watch?v=MAk_yhFqWfs

    https://www.youtube.com/watch?v=nlNSljanf6s

    http://www.lucify.com/the-flow-towards-europe/

    "http://www.lucify.com/embed/the-flow-towards-europe/embed.js&quot ;&gt ;&lt ;/script&gt ;&lt ;script&gt ;lucifyEmbed(&quot ;lucify-4kqZwAzMx&quot ;, "http://www.lucify.com/embed/the-flow-towards-europe/")</script>

    Diagramme de Sankey et représentation graphique de flux :

    http://bost.ocks.org/mike/sankey/

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Diagramme_de_Sankey

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Diagramme_de_Sankey#/media/File:Minard.png

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-inexorable-invasion-173717

  • Pas de bail pour la Grande mosquée de Paris

    Lu ici, cet article de Causeur qui montre les entorses à la sacro-sainte laïcité par les maires de Paris Delanoë et Hidalgo, en faveur de l'islam :

    "Anne Hidalgo avait hérité en 2014 du dossier très politique de l’Institut des cultures d’islam (ICI) du XVIIIe arrondissement de Paris, situé rue Stephenson dans le quartier de la Goutte d’or, là où la polémique sur les prières de rue avait été la plus forte. C’était en 2010. Tout sauf un cadeau, ce dossier. On s’en aperçoit une fois encore aujourd’hui, avec le jugement rendu le 26 octobre par la cour administrative d’appel de Paris, décision dont Causeura eu connaissance. Ce jugement en forme de rappel aux règles de la laïcité est embarrassant pour la ville de Paris.Concrètement, il annule la délibération des 22 et 23 avril 2013 du Conseil de ladite ville, ainsi que la décision subséquente du maire de l’époque, Bertrand Delanoë, de conclure un bail emphytéotique avec la Société des habous et des lieux saints de l’islam, une association régie par la Grande Mosquée de Paris.

    Conclu contre paiement de 2,2 millions d’euros à la Ville et prévoyant le versement annuel à celle-ci d’un loyer symbolique d’un euro, ce bail d’une durée de 99 ans accorde à la Grande Mosquée de Paris (GMP) l’usufruit du premier étage de l’ICI, un « volume » comprenant une salle de prière de 400 m2, d’une capacité de 300 fidèles. Problème, le bénéficiaire du bail ne remplit pas les conditions lui permettant d’acquérir un tel bien, constate la juridiction d’appel. En effet, dans le cadre d’un contrat de bail emphytéotique engageant la puissance publique, seule une association ayant « exclusivement pour objet l’exercice d’un culte » peut faire l’acquisition d’un lieu réservé à la pratique d’une religion.

    Or, note la cour, les activités de la Société des habous de la GMP, ne sont pas seulement cultuelles, mais aussi culturelles (et par ailleurs commerciales). La Société des habous est une association de loi 1901 qui n’aurait pas dû pouvoir se porter acquéreuse de la salle de prière de l’Institut des cultures d’islam. Seule une association purement cultuelle, relevant de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, aurait pu y prétendre. Précisons que la ville de Paris, qui n’a pas le droit de financer les cultes, laïcité oblige, était tenue de se séparer de la partie « salle de prière » dudit institut, dont elle est propriétaire et qu’elle a fait construire et payé 13,5 millions d’euros.

    Tout cela est bien technique et le cas juridique en présence peut sembler relativement bénin. Le fond de l’affaire l’est, on s’en doute, beaucoup moins. À l’origine de ce jugement défavorable à la mairie de Paris, il y a une plainte. Et derrière cette plainte se trouve un homme, pour qui non seulement la cession de la salle de prière à la GMP, mais l’ICI en tant que tel, un bâtiment comprenant sur cinq niveaux un hammam, des espaces d’exposition et d’enseignement, des bureaux et donc un lieu de prière, sont contraires à l’esprit de la laïcité. « L’Institut des cultures d’islam est en réalité une mosquée déguisée, les salles d’exposition et le hammam sont un faux-nez culturel, affirme Guy Hanon, 74 ans, médecin à la retraite, domicilié à Paris.

    C’est en qualité de « contribuable » parisien qu’il a poursuivi la ville de Paris, et c’est à ce titre que la justice administrative a jugé son action « recevable ». Débouté en première instance – « nous n’avions pas fourni toutes les pièces nécessaires à la cour », explique-t-il, il gagne en appel. Et l’homme compte aller « jusqu’au bout » : « j’aimerais faire condamner Bertrand Delanoë au pénal, pour que quelqu’un rende des comptes, J’estime que l’ancien maire a trompé les Parisiens »? avance-t-il. Guy Hanon se définit comme un « athée total ». « J’aime beaucoup les églises et les mosquées, mais je suis contre l’ingérence des religions dans la vie publique et intime des individus, précise-t-il. Si le catholicisme s’est montré cruel par le passé, je considère que c’est l’islam, aujourd’hui, qui est dangereux en raison de son système de valeurs qui rejette ceux qui ne sont pas musulmans. »"[...]

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen ne croit pas en la volonté du pouvoir PS d’éradiquer les islamistes en Syrie

    Marine Le Pen, était l’invitée de « Questions d’Info » sur LCP où elle s’est exprimée sur la situation en Syrie, alors que la Russie a pris la tête d’une coalition destinée à éradiquer le terrorisme islamique du proche-Orient. Elle a remis en cause la version officielle du Quai d’Orsay concernant ce dossier ; une approche de désinformation qui consiste à justifier la géopolitique de Washington et à soutenir le terrorisme islamique contre le gouvernement légitime de Syrie.


    Pour Marine Le Pen, Bachar al Assad « n’est pas… par LCP

    « S’il n’y a pas d’Etat [syrien], alors ce sera Daech : aussi contestable soit-il, l’Etat tenu par Bachar-al-Assad est un Etat, et en cela il protège de la barbarie de l’Etat islamique » a déclaré Marine Le Pen mercredi sur LCP. Pour la présidente du FN, « Bachar al Assad est un dirigeant autoritaire » mais pas un « barbare », « terme facile qui n’a aucun sens ».

    Contestant le chiffre de 250.000 morts qui auraient été causés « par le régime de Bachar-al-Assad », selon Fabius, le régime islamiste d’Ankara (Turquie), Washington et leurs alliés des émirats islamistes du Golfe, et l’utilisation d’armes chimiques par le régime de Damas. « Il y a beaucoup de discussions sur ce sujet, on a appris que l’Etat islamique utilisait des armes chimiques. » objecte-t-elle. Avant d’ajouter : « Tout ce que disent les Américains ou les officines américaines, je prends ça avec beaucoup de pincettes… »

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-ne-croit-pas-en-la-volonte-du-pouvoir-ps-deradiquer-les-islamistes-en-syrie/42597

  • Orban accuse Soros de déstabiliser l’Europe en aidant les réfugiés

    Source : Le Saker francophone
    Prise de bec entre deux éminences hongroises : le Premier ministre hongrois Viktor Orban accuse George Soros d’alimenter la crise des migrants en Europe.

    Viktor Orban, le premier ministre hongrois n’est pas vraiment un pro-migrant.
    Il a même fait tout son possible pour faire savoir à toute l’Europe que Budapest n’est absolument pas intéressée à accueillir les centaines de milliers de migrants fuyant un Moyen-Orient déchiré pas la guerre. Et voici ce qui arrive lorsque des réfugiés osent tester la résolution d’Orban à défendre la nouvelle barrière anti migrants :

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    Comme nous le savons déjà, la Hongrie a fermé ses frontières avec la Croatie et la Serbie, ce qui a entraîné une véritable bataille aux frontières dans laquelle personne ne sait plus trop comment diriger des centaines de milliers de réfugiés vers l’Allemagne sans transformer son propre pays en une autoroute de migrants.

    De son côté, le marionnettiste ukrainien, fraudeur fiscal, milliardaire philanthrope et hongrois de naissance Georges Soros a déclaré que la politique d’Orban empêchait l’Union européenne de répondre efficacement au défi.
    Voici un extrait d’une analyse de Project Syndicate [le groupe de réflexion financé par Soros, NDT] dont nous avions déjà parlé ce mois-ci :

    Le premier ministre hongrois, Viktor Orban, vient de sortir un plan en six points pour résoudre la crise. Mais son plan, qui place les droits humains des demandeurs d’asile et des migrants sous la responsabilité des gardes-frontières, menace de diviser et de détruire l’Union européenne en la faisant renoncer aux valeurs sur lesquelles elle a été construite et viole les lois qui sont censées la gouverner.


    Pour rappel, voici les six points proposés par Soros qui devraient constituer une politique européenne envers les migrants :
    1 Accueillir au moins un million de demandeurs d’asile par an.
    2 Mener un effort global pour aider la Turquie, le Liban et la Jordanie à obtenir les fonds nécessaires pour les quatre millions de personnes réfugiées dans ces pays (Soros a estimé les coûts à 5 000 €/réfugié).
    3 Mettre en place une agence européenne de la migration et aboutir à la création d’un corps de gardes-frontières européen (pour remplacer les 28 systèmes actuels différents qui fonctionnent de manière non coordonnée).
    4 Établir des voies sûres pour que les demandeurs d’asile puissent rejoindre leur pays européen de destination à partir de la Grèce et de l’Italie.
    5 Utiliser ces arrangements nécessaires financiers et opérationnels européens comme base pour établir des standards internationaux de traitements des demandeurs d’asile et des migrants.
    6 Mobiliser le secteur privé, les ONG, les églises et les entreprises comme sponsors pour les réfugiés et les demandeurs d’asile.

    Mais Viktor Orban n’est pas vraiment du genre à tenir sa langue et il accuse maintenant Soros d’essayer d’usurper le style de vie européen. Tiré d’un article de presse de Bloomberg :
    Le premier ministre hongrois Viktor Orban a accusé l’investisseur milliardaire George Soros d’être un membre influent d’un groupe d’activistes essayant de déstabiliser les nations européennes en aidant les réfugiés du Moyen-Orient et d’ailleurs à rejoindre l’Europe.

    Son nom est peut être le meilleur exemple de ceux qui soutiennent tout ce qui peut affaiblir les nations, ils soutiennent tout ce qui peut modifier le style de vie européen traditionnel

    a déclaré Orban au cours d’une interview sur la radio publique Kossuth.
    « Ces activistes qui soutiennent les immigrants deviennent involontairement partie prenante de ces réseaux de trafic d’humains. »
    Des organisations des droits de l’homme ont critiqué Orban pour sa barrière de barbelés aux frontières, pour avoir durci le droit d’asile et avoir tenté de rallier des électeurs avec sa rhétorique anti-immigration. Soros, qui est né en Hongrie et qui est un des plus grands philanthropes d’Europe de l’Est au travers de fondations et d’universités, subventionne les organisations qui fournissent une aide juridique aux demandeurs d’asile.

    Qui a raison ? Le milliardaire qui a souvent poussé Washington à fournir une aide létale à Kiev pour l’aider dans son combat contre les séparatistes soutenus par la Russie ? Ou le premier ministre qui fait son possible pour empêcher qu’une profonde différence religieuse entre l’Occident et le Moyen-Orient ne favorise une intense (et même dangereuse) poussée de nationalisme, voire une augmentation de la xénophobie en Europe de l’Est ?
    Nous laissons les lecteurs en décider tout en remarquant que :

    1) Plus l’Allemagne et les autres pays auront à s’endetter pour gérer les centaines de milliers de migrants inondant les Balkans, plus la BCE devra continuer à faire tourner la planche à billets.

    2) Le Premier ministre d’un pays européen a ouvertement accusé George Soros de soutenir involontairement le trafic d’êtres humains. C’est une grave accusation.

    – Source Zero Hedge. Traduit par Wayan, édité par jj, relu par xxx pour le Saker Francophone

    http://fr.novopress.info/194576/orban-accuse-soros-destabiliser-leurope-en-aidant-les-refugies/#more-194576

  • La pression populaire pour neutraliser le sentiment d’impunité politique

    C

    Le président du SIEL, Karim Ouchikh, déclare à Présent :

    "Notre arme principale ? L’inquiétude de la classe politique. Ce sentiment anxiogène que nous devons susciter et entretenir en permanence dans l’esprit de nos dirigeants de l’UMPS, lesquels doivent se persuader en effet qu’ils ne pourront bientôt plus contenir une colère populaire qui s’exprimera sous peu dans les urnes… Seule cette angoisse taraudant perpétuellement nos dirigeants, à Paris mais aussi ailleurs en Europe, sera de nature, au-delà des échéances électorales, à peser sur les choix technocratiques européens concernant les « migrants » : cette pression populaire doit en somme neutraliser le sentiment d’impunité politique qui prévaut actuellement dans les couloirs de Bruxelles.

    De ce point de vue, il nous faut mobiliser tous azimuts, dans les médias bien sûr, mais aussi dans la rue afin de faire entendre la colère des peuples européens. C’est dans le cadre de cette stratégie maîtrisée de montée des tensions politiques que s’inscritle rassemblement du 7 novembre prochain à 15 heures devant l’ambassade de Hongrie, que le SIEL organise à la fois pour soutenir à la politique d’indépendance nationale de Viktor Orban mais aussi pour résister à l’invasion migratoire actuelle."

    Michel Janva

  • C’est dit : moins de bébés = plus d’immigrés

    La vie, ça n’est pas compliqué. C’est même simple comme une équation. La preuve par l’information du jour et les commentaires qui l’accompagnent.
    On a tort de se prendre le chou : la vie, ça n’est pas compliqué. C’est même simple comme une équation. La preuve par l’information du jour et les commentaires qui l’accompagnent.
    Donc, les Françaises, cette année, ont fait moins de bébés : la natalité a baissé de 2,75 % sur les neuf premiers mois de l’année, ce qui constitue, paraît-il, le chiffre le plus bas depuis 1999. Là, je glisse une petite parenthèse : si les chiffres étaient bas en 1999, c’est parce que les Français ont majoritairement sauté en marche, réservant leurs gamètes pour le passage à l’an 2000… À corréler sans doute avec le boom sur la vente de préservatifs, mais c’est une donnée qui n’intéresse pas nos statisticiens.

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