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immigration - Page 1238

  • Un sénateur « Les Républicains » pour le financement public des mosquées

    François Grosdidier, sénateur « Les Républicains », a pris la parole hier soir au Sénat hier soir, pour expliquer, comment il a financé la construction d’une mosquée, avec l’argent public, dans sa commune de Woippy, en Moselle. Cette décision a fait suite aux prières de rue répétées dans cette commune. Il promeut, dans son discours, le rattrapage du nombre de mosquées par rapport aux églises notamment. Reconstituons son syllogisme : au nom de la neutralité républicaine, il faut que toutes les religions soient mises sur un pied d’égalité. Or, selon lui, interdire les financements publics et les financements étrangers pour les mosquées revient de facto à priver de culte les musulmans en France : les musulmans appartiennent à des catégories défavorisées, incapables de financer elles mêmes leurs mosquées. Donc, il faut que l’État subventionne la construction de mosquées.
    Toute la duplicité du parti « Les Républicains » est mise à jour.

    http://fr.novopress.info/

  • La Dissidence française : Bilan du rassemblement pour Calais

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    Le dimanche 7 juin dernier, une centaine de militants patriotes, nationalistes et dissidents se sont rassemblés à Calais pour soutenir l’action de Kevin Reche et du collectif Sauvons Calais contre l’immigration sauvage et clandestine. Étaient notamment présents : Yvan Benedetti, représentant Jeune Nation ; Kevin Reche, pour le collectif Sauvons Calais ; Thomas Joly, pour le Parti de la France ; le sulfureux pamphlétaire Daniel Conversano ; et Vincent Vauclin pour la Dissidence Française.

    Voici le texte de l’intervention de Vincent Vauclin lors de ce rassemblement historique :

    « Mes chers camarades, je serais bref : il est pour nous inacceptable que la ville de Calais et ses habitants soient pris en otages, victimes des délires cosmopolites d’une oligarchie complètement déconnectée du réel, victimes de l’anarchie migratoire et du laxisme délirant des autorités.

    Oh bien sur, nous serons accusés de xénophobie, de racisme, de véhiculer la « haine », par ces élites politico-médiatiques toujours prompts à nous donner des leçons, à nous attaquer, à nous diffamer.

    Qu’ils nous montrent l’exemple, dans ce cas ! Qu’ils les accueillent tous ces migrants dans leurs beaux appartements du XVIème arrondissement de Paris !

    En attendant, nous nous organisons. Malgré leur interdiction, nous sommes présents aujourd’hui, comme nous l’étions hier, et comme nous le serons demain, pour dénoncer ce scandale qui dure trop longtemps.

    Mais nous ne sommes pas qu’une force d’opposition, nous sommes aussi une force de proposition ! Ainsi, jeudi dernier, et pour la première fois, quatre organisations nationalistes et patriotes se sont rassemblées autour d’un programme commun : le Plan d’urgence pour Calais, qui fut cosigné par le Parti de la France, le collectif Sauvons Calais, Jeune Nation, et la Dissidence Française.

    Ce plan d’urgence tient en quatre points, et vous pourrez le retrouver aisément sur Internet. Je les résumerai rapidement :

    1. Nous exigeons l’intervention immédiate des forces de l’ordre pour procéder à l’interpellation et à l’expulsion de l’ensemble des immigrés clandestins. Nous demandons également la création de Comités d’Autodéfense Populaire, en concertation avec les forces de l’ordre, afin de permettre aux Calaisiens de se défendre par eux-même.

    2. Nous exigeons la dissolution immédiate des associations immigrationistes qui, par leurs actions, se rendent complices des passeurs, du viol de la Loi Française, et des conséquences dramatiques associées.

    3. Nous exigeons l’arrêt immédiat de l’immigration légale et clandestine, la restauration de nos frontières nationales, et donc évidemment, la suspension des accords de Schengen.

    4. Nous exigeons l’organisation sans délai d’une politique de remigration, fondée notamment sur une révision rétroactive des conditions d’attribution de la nationalité Française, sur l’expulsion des criminels étrangers, et sur l’arrêt des pompes aspirantes de l’immigration (allocations sociales et familiales).

    Mes chers camarades, je vous remercie de votre présence, de votre attention, je vous rappelle que vous pouvez retrouver ce Plan d’urgence pour Calais sur Internet. Je vous invite à le télécharger, à l’imprimer, à le diffuser autour de vous, et à soutenir l’action de Kevin Reche et de son collectif, Sauvons Calais. Merci. »

    Galerie :

    Notre Plan d’urgence pour Calais :

     

    notreplandurgencepourcalais

     

    http://la-dissidence.org/2015/06/11/bilan-du-rassemblement-pour-calais/separateur

  • La France à l’heure du ramadan pour tous

    Et dire qu'il y en a encore pour nous expliquer que le Grand Remplacement et l’islamisation de l’Europe relèvent d'un simple fantasme dénué de sens...

    C’est bientôt parti pour un mois de prosélytisme islamique en Europe : le ramadan devrait débuter aux alentours du 18 juin si les astronomes musulmans se mettent d’accord. Cette islamisation de la sphère publique est aujourd’hui largement relayée par les médias et l’industrie de la grande distribution. Pour eux, seuls comptent l’audience et le business. Et qu’importe si ces initiatives mercantiles révèlent, avant tout, la réalité de l’immigration massive qui frappe le continent européen.

    Difficile, donc, d’échapper à ces opérations commerciales qui donnent l’impression de vouloir nous faire vivre à l’heure du ramadan pour tous. En France, Leader Price publie, à nouveau, un catalogue estampillé « spécial ramadan » et annonce vouloir frapper fort sur les prix des produits halal. Mais nous pouvons compter sur l’ingéniosité des professionnels du marketing pour trouver de nouvelles idées susceptibles d’attirer la clientèle musulmane.

    Monoprix avait bien proposé un Quizz spécial ramadan avec des publicités sur lesquelles étaient représentés des mosquées et des minarets. De son côté, le magasin Carrefour de Flins-sur-Seine, à quarante kilomètres de Paris, n’a pas hésité à habiller ses mannequins d’un voile islamique. Quant à Auchan, les clients auront peut-être encore la chance d’assister à des spectacles de danse orientale ou de déambuler autour de stands facilement identifiables grâce à la présence d’un chameau en peluche.

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  • Forsane Alizza : les cavaliers de la haine (Présent 8371)

    Appels au meurtre, listes noires, stocks d’armes, manuels terroristes… Alors que les éléments à charge s’accumulent contre lui, Mohammed Achamlane, jugé depuis lundi avec 13 autres membres du groupe islamiste Forsane Alizza (« Les cavaliers de la fierté »), se défend aujourd’hui de toute « inspiration terroriste » et affirme avoir juste voulu défendre un « islam décomplexé ». Un « islam décomplexé » façon État islamique…

    « Apprendre à être des moudjahidin »8371-P1

    Au centre de ce procès, Forsane Alizza, créé en 2010 par ce Franco-Tunisien aujourd’hui âgé de 37 ans. Un groupe qui a rapidement attiré l’attention de la DCRI, dont l’enquête allait établir qu’Achamlane recrutait des « lieutenants » régionaux afin de leur « apprendre à être des moudjahidin ». Accusé de faire « la promotion de la lutte armée », le groupe allait être dissous en janvier 2012. Ce qui ne l’a pas empêché de poursuivre ouvertement ses activités. En mars 2012, Achamlane s’est même félicité des carnages commis par Merah, en jurant que « par Allah tout-puissant, on va lui mettre des cicatrices à la France » ! Ce qui, tout de même, a conduit les enquêteurs à interpeller une vingtaine de membres du groupe, dont son chef.
    Lors des perquisitions menées chez celui-ci, ils ont mis la main sur un véritable arsenal, des guides de fabrication d’explosifs ainsi que plusieurs fichiers sur lesquels figuraient une dizaine de commerces juifs, ou encore les adresses et numéros de téléphone de nombreuses personnalités politiques et médiatiques. Certains mis en examen ont même affirmé qu’Achamlane, outre une attaque contre Libération, projetait d’éliminer deux magistrats lyonnais et le responsable du Bloc identitaire, Fabrice Robert.

    « On ne va pas laisser nos femmes et nos enfants se faire égorger ! »

    Bref, un fou d’Allah pur jus, qui n’a toutefois pas hésité à expliquer lundi que Forsane Alizza avait pour seul but « l’autodéfense » face à la multiplication des « attaques islamophobes ». En effet, a déclaré très sérieusement Achamlane, « on ne va pas laisser nos femmes et nos enfants se faire égorger ! » On croit rêver… Quant à sa pratique religieuse, il a expliqué – très justement – « qu’il n’y a pas d’islam radical ou modéré, il y a l’islam authentique, décomplexé ». Façon EI, quoi.
    D’ailleurs, l’un des sympathisants du groupe, Omar Diaby, s’est depuis illustré en devenant le principal recruteur de « Français » pour Al-Nosra. Quant au seul mineur de la structure, Reda Bekhaled, il a été, lui, mis en examen en juillet dernier pour avoir organisé le départ de jeunes filles vers la Syrie.

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/page/2/

  • Bernard Cazeneuve réaffirme les aides des collectivités et mairies aux mosquées

    Vidéo puliée par oumma.tv dans laquelle le ministre de l’intérieur affirme devant un parterre de musulmans la volonté des collectivités d’aider matériellement le culte musulman en France… A peine croyable…

     

     http://www.contre-info.com/

  • « Droit vers le désastre »

    Le PS tenait son congrès cette fin de semaine à Poitiers dans une ambiance globale  de consensus implicite  entre les différents courants, seul moyen d’atténuer la raclée que le parti  s’apprête de nouveau à recevoir dans  les urnes lors des régionales en décembre prochain. Selon le dernier sondage Ifop pour le JDD, il se  trouve à peine un Français sur quatre pour juger que le PS possède  « des dirigeants de qualité », «  un projet pour la France », ou  « est proche de leurs préoccupations »…Dans ce même journal, l’ex ministre Arnaud Montebourg tire de nouveau à boulet rouge sur le duo Hollande-Valls soulignant que la   politique menée par le gouvernement conduisait la France « droit vers le désastre ». Lors de son discours, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, n’a pas  manqué de fustiger l’opposition nationale et le discours de nombreuses personnalités du parti  Les Républicains , calqué sur celui du FN. M. Camabdélis s’est ainsi ému de ce que Nicolas Sarkozy  laisse  Christian Estrosi  dire qu’ « une carte d’identité ne suffit pas à être français » ou encore que certains musulmans  sont « la cinquième colonne du terrorisme en France » reprenant ici  les propos du député frontiste  Aymeric Chauprade. Or, affirme le responsable socialiste, soutenir ce discours n’est pas « un acte républicain ». M. Cambadélis feint de  découvrir que comme à chaque fois que le FN  est en dynamique électorale, la droite  reprend ses formules, son discours, voire des points de  son  programme  pour mieux les  oublier en arrivant au  pouvoir.

    Cela fait trente ans que les dirigeants des  différentes hypostases de la  droite,    RPR,  UMP, aujourd’hui LR, promettent l’arrêt des flux massifs d’immigration…qui ont battu des records sous le quinquennat  Sarkozy. D’autres au contraire, pour  des questions de cuisine interne,  de tactique , de  positionnement  politicien, renoncent  aujourd’hui   à  la fermeté qu’ils affichaient hier.

    C’est le cas d’Alain Juppé, qui vise la captation de la clientèle centriste pour  l’emporter face à Sarkozy  lors de primaires. Un article du Point a eu la bonne idée de rappeler les propos tenus par M. Juppé dans Lui en octobre 1990. Il était alors  député de Paris, et évoquait  les problèmes d’immigration  « auxquels il est confronté dans le 18e arrondissement » de la capitale.

     « C’est un problème permanent et gigantesque » disait-il.  «Il y a beaucoup d’écoles de ma circonscription où 80 à 90 % des petits enfants qui sont dans les classes primaires sont d’origine étrangère et souvent assez peu francophones (…). J’ai, à l’heure actuelle, dans mon arrondissement, des quartiers très chauds où la coexistence entre les communautés devient de plus en plus difficile, parce que les gens ont le sentiment que ça continue à se dégrader. Si on pouvait leur dire : Bon, maintenant, on a arrêté le flux, on va essayer de vivre en bonne intelligence…, les Français de ces quartiers, qui ne sont pas spontanément racistes, seraient tout à fait prêts à jouer le jeu avec des populations venues d’ailleurs. Mais ils ont le sentiment que ça continue et qu’ils sont totalement submergés.»

    Une submersion qui n’est pas un fantasme.  M. Juppé en  est indirectement responsable ces dernières années, en tant  que ministre des Affaires étrangères  de Nicolas Sarkozy  ayant validé le plan de  liquidation du régime Libyen  en 2011 avec la complicité de BHL, ce qui a entraîné le  chaos que l’on sait. Les côtes de la Libye voient ainsi le départ chaque jour de milliers de clandestins qui attendent d’être arraisonnés par les navires européens…afin  d’être débarqués en Italie.

    Rien que cette fin de semaine, 6000 migrants sur des rafiots de fortune ont été secourus par « la flotte internationale en Méditerranée ». Sans évoquer ici le cas de  l’Espagne et de la Grèce,  ils sont   50 000   depuis janvier à avoir gagné l’Italie. Les centres d’hébergement transalpins qui accueillent déjà  officiellement 84 000 immigrés en provenance d’Afrique  ont atteint leur seuil de saturation. La situation de submersion est telle que trois régions italiennes ont annoncé qu’elles refuseraient désormais tour nouvel « arrivage » imposé par le gouvernement.

     L’année dernière,  le coût pour le contribuable italien de l’accueil des 174 000 clandestins ayant quitté les côtes de la Libye –ils n’étaient  selon les chiffres officiels « que » 23.719 en 2002- a  atteint 800 millions d’euros,  l’aide de l’UE, se montant à  45 millions d’euros. D’ores et déjà cette immigration là est en hausse de 10% cette année et devrait atteindre fin 2015 le chiffre de 200 000 réfugiés rien que chez nos voisins italiens.

    Une analyse froide et objective de la situation, ce que l’on demande à tous dirigeants politiques dignes de ce nom,  commanderait bien évidemment d’en finir avec des mesures qui consistent à écoper la mer avec une petite cuillère. C’est-à-dire, au nom même de considérations humanistes, pourtant brandies par les têtes molles qui tentent de gérer cette invasion, de faire preuve de fermeté. Il s’agit de refouler et de ramener systématiquement sur les côtes africaines  les migrants, souvent  malheureuses  victimes des mafias de passeurs,  dont un nombre non négligeable  trouve la mort en essayant de gagner l’Europe.

    Une fermeté qui a été celle  du gouvernement  australien confronté à une  immigration clandestine  de même nature, et qui a été payante. Et qui serait d’autant plus légitime en cette période de crise qui frappe durement des dizaines de millions d’Européens, sans même parler des risques d’infiltration de militants djihadistes  qui pourraient tenter de se fondre dans la masse des réfugiés  accueillis.

    Or, il se sait en Afrique qu’un clandestin recueilli par les navires européens, arrivant en Italie, à toutes les chances de rester et de gagner ensuite  les autres pays de l’UE. Fabrice Leggeri, le patron de Frontex,  l’Agence européenne de surveillance des frontières, a avoué  qu’en Libye, un million de personnes sont « prêtes à embarquer pour l’Italie. »

    Il conviendrait donc  de changer radicalement de braquet, de prendre des mesures à la hauteur de la menace,  comme le préconisait une nouvelle fois  Bruno Gollnisch dans sa vidéo enregistrée depuis le parlement  européen  et mise en ligne le 28 mai sur ce blogue. Faute de quoi…

    http://gollnisch.com/2015/06/08/droit-vers-le-desastre/

  • Clandestins : tous irresponsables !

    L’immigration coûte plus de 80 milliards d’euros à la France, selon le rapport d’André Posokhow. Elle coûte encore plus à notre civilisation, menacée d’explosion par le communautarisme. Il est donc urgent d’appliquer une politique semblable à celle de l’Australie en raccompagnant les bateaux de migrants à leur point d’origine.

    Dans une tribune publiée dans Le Monde, Cécile Duflot perd pied et estime que la politique du gouvernement en matière migratoire est un « Waterloo moral ». Plus loin, au milieu d’un laïus internationaliste pro-immigration caractéristique de sa famille de pensée, Duflot lâche la « bombe » : « Il est grand temps de résister au vent mauvais de la xénophobie qui souffle sur tout le continent européen et inspire de bien mauvaises solutions aux gouvernants. »

    Vivons-nous sur la même planète ? Sur la mienne, l’Europe est littéralement envahie et incapable d’endiguer un phénomène mortel et destructeur, qui ne rend pas plus service à l’Afrique qu’au Vieux Continent. Cécile Duflot en appelle à « notre humanité » ; pourtant, c’est en faisant appel à mon humanité que je lui réponds que nous ne devons plus céder face aux flux migratoires, au risque, comme le dit Viktor Orbá, de voir sombrer l’Europe et les nations constituées qui la découpent. Le « Waterloo moral » serait de voir la France se résoudre, impuissante, à subir une immigration non consentie. D’autant plus que c’est le dernier moment pour être ferme, la démographie africaine étant exponentielle.

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  • Émeutes de Tourcoing : La peur politique du rapport de forces

    Il aura fallu quelques jours pour avoir quelques images. Au Figaro, ce fut service minimum. Nous étions à quatre journées d'émeutes mais les chiens de garde du système, les journaleux n'en disent rien. Qui peut encore aujourd'hui lire les journaux ? Surement pas ceux qui habitent ces quartiers et qui voient le suprême mépris dans lequel on les laisse.

    Alors comment voulez-vous que l'on réagisse face à ces impuissances avouées? En adorant la police ! Surtout pas. Nous sommes en France dans un Etat de droit où depuis des années des zones entières sont sous le contrôle des trafiquants où les garants de la sécurité des citoyens n'ont, en fait, pas le droit d'entrer, pire même, ils ne veulent plus entrer (c'est le cas par exemple à Villeurbanne). 

    Mais au fait que craignent leurs donneurs d'ordre ?

    Journalistes, politiques et forces de l'ordre craignent le rapport de force et ce, même après le 7 janvier dont on vient d'apprendre que les proches des victimes n'ont toujours pas été indemnisés. Préfets et procureurs, le ministre de l'intérieur sont tous muets quand une ville comme Tourcoing est en émeute durant quatre jours obligeant à fermer quelque temps la frontière avec la Belgique. Vous l'avez su ? Non ! Parce qu'ils craignent que cela se sache, que cela se diffuse comme une traînée de poudre, que cela provoque l'étincelle qui embrasera les banlieues rebelles. Au Ministère de l'Intérieur, on souhaiterait plutôt un été pluvieux et on serait presque capable d'en appeler au projet Haarp, si c'était possible !

    Ainsi, tous les week-ends, un jeune poursuivi qui chute de son scooter ou envoie sa voiture dans un arbre et c'est l'émeute qu'il faut cacher. Alors, tous les soirs, les rondes de police évitent les malfrats mais rackettent les citoyens solvables. On craint l'explosion au point de faire, comme chez les "Ripoublicains" des colloques à huis clos sur l'Islam ou de fermer les yeux sur les gros dealers.

    Et puis, il y a les armes. D'après le Ministère de l'Intérieur, 30 000 armes dont 15 000 kalachnikovs se trouveraient dans les banlieues. Un chiffre qui est forcément minimisé quand on sait que 3 à 7 millions d'armes circulent illégalement en France. Or, après les attentats de janvier, aucune opération d'ampleur nationale - une opération qui pourtant s'impose - n'a été engagée sur le trafic d'armes. A l'inverse, les trafiquants d'armes se sont réorganisés et structurés dans de nouvelles filières libyennes et syriennes.

    En fait, le rapport de force fait trembler en coulisses les autorités. Selon les derniers chiffres, la Police nationale compte plus de 120 000 actifs quand la gendarmerie en dénombre près de 100 000. En cas de pépin, cela ne sera pas suffisant. Faudra-t-il alors en appeler à la Légion comme le préfet de Mayotte l'a fait ce week-end ? Elle est ailleurs et ce serait alors un autre État.

    La peur du rapport de force auquel, tôt ou tard, nos gouvernants n'échapperont pas malgré leurs conceptions antiracistes forcenées, explique qu'il n'y a pas de sécurité territoriale dans certains quartiers et aussi plus de presse. La peur du conflit ou la volonté cynique d'entretenir des tensions, voilà la raison de la lâcheté politique, mais aussi du vide sidéral de la presse française.

    Que disent les élus de Tourcoing, qu'ont-ils rappelé aux journalistes lors de leur dernier conseil municipal ? Que les auteurs des émeutes ne sont « pas des jeunes mais des délinquants » mais...la police poursuit-elle encore les délinquants?

    source : Metamag :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuFupAyulysXnbvmeK.shtml

  • Djihadistes : la submersion (Présent 8366)

    Les magistrats français spécialisés dans le terrorisme ne sont pas assez nombreux pour faire face aux dossiers djihadistes. C’est un problème concret que l’on n’aurait même pas imaginé il y a quelques années, c’est désormais une grave carence. Va-t-il falloir délocaliser des juges ordinairement occupés à remettre les criminels sexuels en liberté, à surveiller les conversations de Sarko ou à clouer les déviants de la pensée unique sur le mur des cons pour leur donner une formation anti-islamiste accélérée ? Taubira vivante, jamais !8366-P1
    Face à l’explosion du djihadisme en France, qui implique plus de 1 700 Français et résidents (connus) engagés dans les réseaux syrio-irakiens, le rapport parlementaire d’Éric Ciotti et de Patrick Mennucci sur les filières djihadistes précise que « la France a perdu plusieurs années » et que la justice française n’est plus adaptée.
    Il préconise en urgence le « renforcement des effectifs de magistrats spécialisés, qu’il s’agisse du parquet, de l’instruction ou de l’application des peines ».
    La section antiterroriste du parquet de Paris ne compte actuellement que neuf magistrats et encore ce neuvième poste vient-il à peine d’être créé. 157 enquêtes ont été recensées au 18 mai 2015, dont 94 concernant l’islamisme radical, parmi lesquelles 53 se rapportent aux filières irako-syriennes. Dans le même temps, le rapport pointe les « moyens insuffisants » du juge d’application des peines (JAP) de Paris qui suit « seul avec un greffier » un grand nombre de dossiers qui ne font que se multiplier depuis un an.
    Les deux députés suggèrent que « certaines infractions terroristes puissent être décentralisées et traitées localement, notamment à Lyon et à Marseille. “Il existe des lacunes dans la continuité territoriale du suivi des individus dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Ces difficultés ont conduit à l’interruption de l’écoute de Saïd Kouachi par la Direction du renseignement de la préfecture de police en juin 2014.”
    Les policiers, les CRS et l’armée sont déjà mobilisés on le sait, au-delà de leurs forces, par la lutte contre l’islamoterrorisme. Et maintenant les juges. Il n’y a guère que nos gouvernants finalement qui n’ont rien changé à leur train-train : festival de Cannes, panthéonisation, amours, carrière… Cela fait maintenant cinq mois que l’on attend des actes et une volonté politique à la hauteur de la guerre qui a été déclarée à la France.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • Le maire de Suresnes finance la future mosquée de la ville

    Les élus municipaux FN préviennent la population :

    "L’association Islamique Al Badr peut avoir le sourire. Tous les élus municipaux Ump Ps pcf ont voté hier [28 mai] lors d’un Conseil municipal houleux un bail emphytéotique administratif pour l’inauguration d’une salle de prière musulmane de 349M² au 5 rue des Velettes.

    Laurent SALLES, Chef de file du FN Suresnois, a une nouvelle fois dénoncé le double jeu de la fausse droite qui, au niveau national reprend nos thématiques, mais qui au niveau local applique le programme du Parti socialiste. Cette délibération est symptomatique des libertés que l’UMPS prend avec les principes fondamentaux de la laïcité édictés par la loi de 1905. Depuis 2006, vraie gauche et fausse droite ont permis aux élus locaux decontrevenir au principe de non-subventionnement des cultes, grâce au bail emphytéotique administratif. Nous ne voyons pas en quoi un édifice ou un local cultuel constituerait une mission de service public ou même une opération d’intérêt général comme le sont les crèches, les commerces par exemple… alors que cela relève d’un intérêt privé. En achetant en VEFA ce lot nu au promoteur Bouygues pour 977 000€, on peut considérer que la Ville a pris à sa charge le coût du gros œuvre, ce qui est à notre sens un avantage considérable accordé à cette association cultuelle, même si il lui est laissé le soin de réaliser les travaux de second œuvre évalués par France Domaine à 506 000€. [...]

    Laurent SALLES s’insurgea contre le Maire C. Dupuy quand celui-ci évoqua le financement de lieux de culte antérieur à la loi de 1905 : « Monsieur le Maire vous n’allez tout de même pas comparer nos cathédrales, nos églises avec des mosquées en parpaing !?. Il s’agit là de notre patrimoine. C’est d’ailleurs pour cela que nous avons chaque année 70 millions de touristes ! »"

    Les deux élus vont attaquer la délibération en justice devant le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise.

    Michel Janva