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immigration - Page 1234

  • Chaouat, CCIF : au PS, on aime les vrais musulmans

    Pour soutenir des capitulations aussi honteuses devant les représentants de l’islam, le PS ne pouvait pas trouver mieux qu’un politicien cynique et manœuvrier comme Cambadélis.

    Le nouveau chef du Parti socialiste, depuis ses jeunes années à l’OCI trotskiste jusqu’à ce jour, a toujours été un adepte du dicton : « La fin justifie les moyens. »

    Ayant compris que François Hollande a été élu grâce au vote de 93 % de musulmans, il s’efforce donc de réparer les dégâts du mariage homosexuel, et de reconquérir à tout prix ces voix précieuses pour 2017.

    Ainsi, la porte-parole du PS, Corinne Narassiguin, a-t-elle été envoyée en mission, pour le dîner annuel du Collectif contre l’islamophobie en France, le 29 mai dernier. Les contacts ont dû être fructueux puisque, dès le 1er juin, Cambadélis en personne recevait une délégation du CCIF. Ce dernier a demandé au PS d’intégrer dans son discours la lutte contre la montée de l’islamophobie. Traduction : légiférer contre la critique de l’islam, ce qui est un peu le contraire de l’esprit « Je suis Charlie ». Message reçu : à Poitiers, Cambadélis a repris ce thème dans son intervention, et Cazeneuve, place Beauvau, a ouvert des pistes sur la question, le 15 juin dernier, dans un discours de soumis trahissant tous les principes laïques.

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  • A Brest, le niqab est de rigueur

    Autrefois, les dames portaient des chapeaux à voilette pour assister aux cérémonies officielles. Autres temps, autres mœurs… Jugez-en vous-même.

    Lundi 15 juin, le site de l’ENSTA de Brest (École nationale supérieure des techniques avancées, qui est un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle du ministre de la Défense) communiquait, lapidaire, l’information du jour : « Cérémonie du passage au grade d’officier : promotion 2010 SAGEMA. » En présence du préfet maritime de l’Atlantique et de représentants civils et militaires, une trentaine d’élèves saoudiens recevaient leurs galons d’officiers. Une cérémonie qui frappe de stupeur l’ancien lieutenant-colonel et écrivain Jean-François Cerisier : « Depuis quand des cérémonies traditionnelles saoudiennes (selon les termes du directeur de l’ENSTA) peuvent-elles se dérouler sur le territoire national, dans une enceinte publique, qui plus est, dédiée aux études dans des domaines de pointe. Et, qui a autorisé une telle cérémonie, sur la base de quel(s) règlement(s) ? »

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  • UMP et UDI pour l'accueil des immigrés clandestins dans les villages français

    A l'heure où Nicolas Sarkozy vient de conclure un accord électoral et donc politique avec l'UDI pour les régionales, il n'est pas inutile de s'intéresser aux récentes déclarations de Jean-Pierre Raffarin (LR, ex-UMP) et Yves Jego (UDI)... A entendre les propositions de ce dernier concernant les immigrés clandestins appellés désormais pudiquement "migrants", il n'y a pas grande différence d'approche :

    "Je propose qu’on nomme très rapidement un secrétaire d’Etat aux migrants. Que ce secrétaire d’Etat aurait deux tâches. Une première d’organiser les choses dans notre pays. Je ne serais pas choqué qu’on dise que chaque commune doit accueillir 0,10 ou 0,20% de sa population à travers des gens qui sont demandeurs d’asile"

    Pour mémoire, la proposition de Jean-Pierre Raffarin (LR, ex-UMP) :

    "Nous avons dans notre monde rural un déficit démographique important. Très souvent, on ferme des écoles. On pourrait très bien en sauver un grand nombre en faisant en sorte qu'une, deux ou trois familles puissent venir dans un certain nombre de villages. On ferait en sorte que l'étranger, au lieu de venir déranger, vienne sauver un territoire, participe à une dynamique. Si c'est à doses humainement acceptables par les uns et par les autres, l'intégration est globalement réussie".

    Philippe Carhon

  • POITOU-INFO - Rencontres-Charles-Martel 2015 : Synthèse de la journée

  • La mixité sociale, pour quoi faire ?

    Pourquoi obliger des personnes qui ne le souhaitent pas à vivre ensemble ?

    Le gouvernement vient d’annoncer des mesures visant à contraindre les communes réfractaires qui ne respectent pas les règles d’urbanisme en vigueur, en particulier la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain), à construire des logements de type HLM dans le but de renforcer la mixité sociale.

    Dans le même temps, des mères de famille d’origine étrangère, issues notamment d’Afrique du Nord, déplorent l’absence d’élèves français de souche dans les écoles de leurs quartiers, réclamant la présence de quelques « têtes blondes » afin que leurs enfants aient le sentiment de vivre en France et, accessoirement, pour que ces jeunes Gaulois les aident à se familiariser avec notre langue et notre culture.

    Mais qu’est-ce que la mixité sociale, cette panacée propre à résoudre tous les problèmes rencontrés dans les « territoires perdus de la République » ? Au sens traditionnel, elle désigne des lieux où cohabitent des personnes de catégories ou de classes sociales différentes, comme il en existait jadis lorsque, dans les mêmes immeubles, les familles bourgeoises vivaient aux étages nobles tandis que leurs domestiques se logeaient sous les combles.

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  • Le dhimmi du jour est… Gérald Darmanin, maire de Tourcoing

    Gérald Darmanin est le député maire des Républicains de Tourcoing. C’est aussi un des proches conseillers de Nicolas Sarkozy. Le même Nicolas Sarkozy qui a engagé des réunions avec les représentants musulmans de France pour construire le fameux « Islam de France ».
    L’hebdomadaire Valeurs Actuelles nous apprend que la ville de M. Darmanin financera d’un montant de 200 000 € le déménagement de l’antenne de l’Institut du monde arabe dans sa ville.
    La ville de Tourcoing est d’ores et déjà en bonne partie islamisée sur le plan démographique. Le maire de la ville semble vouloir donner un coup de pouce supplémentaire à l’islam, pour que Tourcoing soit également islamisée sur le plan culturel.

    http://fr.novopress.info/

  • Libye : l'État islamique dissimule-t-il des combattants parmi les clandestins ?

    L'annonce du conseiller gouvernemental libyen est fracassante. Dans une interview à la BBC, Abdul Basit Haroun affirme que le groupe État islamique (EI) envoie en Europe des djihadistes qu'elle fait passer pour des migrants illégaux.Des propos qui font écho à l'avertissement de Frontex, l'agence européenne pour la sécurité et les frontières extérieures de l'Union européenne, qui estimait en mars "possible" que des djihadistes s'infiltrent sur le vieux continent par le biais d'embarcations clandestines.
    Présente officiellement en Libye depuis le 31 octobre 2014, la branche libyenne de l'EI s'est fait connaître du monde entier en décapitant sur une plage 21 Égyptiens. Sur les images de l'exécution, l'un des djihadistes masqués, couteau à la main, s'en prend alors à l'Europe. "Aujourd'hui, nous sommes au sud de Rome, sur la terre musulmane de la Libye". Une menace à peine voilée qui a résonné jusqu'à la capitale italienne, où le chef de la diplomatie, Paolo Gentiloni, a jugé"considérable" le risque de "terroristes infiltrant les flux migratoires".
    "Pure propagande"
    "Il s'agit de pure propagande !" estime pour sa part le journaliste Wassim Nasr, expert des questions djihadistes à France 24. "L'EI n'a aucun intérêt à investir dans l'envoi de combattants clandestins depuis la Libye. Il lui est beaucoup plus intéressant de faire appel à des sympathisants déjà en Europe ou d'y envoyer des djihadistes titulaires de passeports européens." "L'EI n'a jamais communiqué ni donné d'ordre sur l'envoi de djihadistes en Europe", renchérit Romain Caillet, chercheur et consultant sur les questions islamistes, qui rappelle que la position officielle de l'organisation est d'appeler au contraire les musulmans d'Europe à quitter le continent pour rejoindre son califat. "Néanmoins, ajoute-t-il, il paraît évident que l'organisation État islamique profite de l'appel d'air sur la question des migrants pour implanter des cellules dormantes à l'intérieur du territoire européen, afin de punir l'Occident des raids qu'il mène sur son territoire en Irak et en Syrie".
    Chaos post-Kadhafi
    Pour l'heure, la branche libyenne de l'EI s'emploie à étendre ses conquêtes sur le modèle de son "califat" autoproclamé à cheval sur la Syrie et l'Irak. En Libye, l'organisation contrôle également de véritables territoires, à travers trois régions, notamment les villes de Syrte, située à 500 kilomètres à l'est de Tripoli, et de Derna, à 1 300 kilomètres à l'est de la capitale. De l'avis des experts, le nombre important de départs de migrants autour de ces régions laisse à penser que les djihadistes prélèvent leur dîme sur chaque embarcation.
    Délaissée par la communauté internationale au lendemain de la chute de Muammar Kadhafi en 2011, la Libye est de nouveau l'objet de toutes les préoccupations depuis l'apparition de l'organisation État islamique à quelque 300 kilomètres de l'Europe, mais aussi la multiplication de drames de migrants en mer. Fuyant un pays en proie au chaos, au moins 34 500 clandestins ont réussi à gagner l'Italie depuis le début de l'année 2015, mais quelque 1 770 ont trouvé la mort, selon les chiffres de l'Organisation internationale pour les migrations.
    Faveurs de l'Occident
    Conscient du brusque regain d'intérêt occidental pour leur pays, les dirigeants libyens enchaînent depuis les déclarations alarmistes, tant sur la menace de l'EI que sur le risque de nouvelles catastrophes en mer Méditerranée, n'hésitant pas à lier les deux fléaux. "La question migratoire a toujours été instrumentalisée par le pouvoir libyen dans ses relations avec l'Europe, y compris sous Kadhafi", rappelle Saïd Haddad*, chercheur associé à l'Iremam/CNRS. "Quant au recours à la lutte contre le terrorisme, il vise ici à s'attirer les faveurs de la communauté internationale, mais aussi à gagner du poids à l'intérieur du pays dans la lutte que se livrent les deux gouvernements rivaux", ajoute ce spécialiste de la Libye. En effet, le "lanceur d'alerte" Abdul Basit Haroun conseille uniquement le gouvernement de Tobrouk. Seul exécutif reconnu par la communauté internationale, celui-ci est dominé par des forces libérales et a été désigné par la Chambre des représentants, assemblée issue des élections du 25 juin 2014. Il repose sur les forces du général Haftar, qui s'appuie sur d'anciens éléments de l'armée de Muammar Kadhafi, ainsi que sur les brigades prolibérales de Zintan (sud-ouest de Tripoli).
    Milices islamistes
    Face à lui se dressent les milices islamistes qui forment la coalition Fajr Libya (Aube de la Libye). Surfant au contraire sur la légitimité révolutionnaire, elles sont alliés aux puissantes milices de Misrata (est de Tripoli), et se sont emparées en août 2014 de la capitale où elles ont installé leur propre gouvernement et réhabilité l'ancien Parlement. Le "gouvernement de Tripoli" contrôle désormais les plus grandes villes du pays (Tripoli, Benghazi, Misrata). Pour reprendre le dessus, le gouvernement de Tobrouk, le seul reconnu par la communauté internationale, réclame la levée de l'embargo de l'ONU sur la livraison d'armes à la Libye afin de lutter contre les "terroristes", terme dans lequel il englobe les miliciens de Fajr Libya, pourtant eux aussi opposés à l'organisation État islamique en Libye. Rien d'étonnant, dès lors, à ce que le gouvernement de Tripoli insiste désormais à son tour sur la nécessité d'être aidé par l'Union européenne dans sa lutte contre l'immigration clandestine.

  • CONTRE L’IMMIGRATION : SUCCÈS DE LA CONTRE-MANIFESTATION DE SAUVONS CALAIS

    Ce samedi était placé par l’extrême gauche sous le signe de l’aide à l’invasion de l’Europe, pour une prétendue « journée mondiale des réfugiés ». Plusieurs manifestations étaient organisées à travers le monde mêlant colons et extrémistes, unis dans un même désir de satisfaire aux ordres du mondialisme destructeur des nations et des identités.

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    À Calais, le collectif citoyen Sauvons Calais a appelé les Calaisiens à contre-manifester, alors que plusieurs groupes d’extrême gauche et antifrançais organisaient une marche. Or, une manifestation de Sauvons Calais a été scandaleusement interdite il y a quelques jours sans raison par le gouvernement d’occupation.

    Malgré la présence d’environ 5 000 colons africains dans le secteur, l’extrême gauche n’a réussi à mobiliser qu’environ 500 d’entre eux, formant la quasi-totalité du cortège. Les Blancs y étaient très minoritaires, et les Calaisiens quasi inexistants.

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    La contre-manifestation, organisée en hâte, a, elle, été un succès : une centaine de patriotes se sont rassemblés devant la mairie de la ville.

    « Pour une action prévue seulement quelques jours avant la date butoir et sans réelle organisation digne d’une manifestation, nous pouvons être satisfaits de la mobilisation »,

    s’est réjoui Sauvons Calais.

    « Bien avant notre arrivée, la place était déjà surveillée de très près par les forces de l’ordre. Le cortège de pro-clandestins et clandestins s’est dérouté, pour “esquiver” notre contre-manifestation, sous les ordres de la sous-préfecture de Calais. Tout s’est déroulé dans la bonne humeur, avec la présence de nombreux médias tels que TF1, Radio6, La Voix du Nord, France Télévision et bien d’autres. Nous avons également eu la fierté d’essuyer quelques insultes d’extrémistes de gauche, rapidement contrées par nos slogans très… pointus. Notre message est passé »,

    précise Sauvons Calais dans un communiqué.

  • POITOU-INFO - Rencontres-Charles-Martel 2015 : Hugues Bouchu