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immigration - Page 1234

  • Municipales à Vienne (Autriche) : perçée du FPÖ

    Les Viennois étaient appelés aux urnes hier pour élire leur exécutif au terme d’une campagne centrée sur les immigrés clandestins qui affluent en Europe.

    Qu’est il sorti des urnes ? 
    Le SPÖ, le parti socialiste autrichien qui dirige la ville de Vienne, traditionnellement ancrée à gauche puisqu’elle n’a jamais basculé depuis 1945 est arrivé en tête avec 40 % des voix. LE FPÖ, de droite nationale et allié du FN au Parlement européen réalise un résultat encourageant avec 31 % des voix.
    En 10 ans, le FPÖ a doublé son résultat et s’affirme ainsi comme la deuxième force politique régionale. Les conservateurs du ÖVP sont relégués dans le rôle du troisième homme. Cette victoire du SPÖ qui montre toute la mainmise des socialistes sur Vienne ne fait pas oublier la lente érosion qu’ils subissent. Ils avaient été obligés en 2010 de former une coalition avec les verts.

    Que faut il en retirer ? 
    Si le thème des immigrés clandestins était au cœur de la campagne puisque le maire SPÖ avait annoncé que Vienne POUVAIT les accueillir, le FPÖ progresse et avance vers son véritable objectif. Heinz Christian Strache, chef du FPÖ, a réussi à mettre en sourdine l’outrance de son parti et a engrangé le soutien d’un maire d’arrondissement conservateur. Strache compte devenir chancelier dès les élections législatives de 2018.

    http://fr.novopress.info/

  • Immigration et bien commun

    De Joël Hautebert dans L'Homme Nouveau :

    H"[...] Les atermoiements et les décisions plus qu’hasardeuses de nos gouvernants résultent de l’oubli de la hiérarchie des devoirs et de la perte du sens de la justice. Comme il n’est jamais trop tard, nous pouvons toujours conseiller à nos hommes politiques de consulter le Traité des devoirs de Cicéron, lecture fort utile pour saisir le sens de la justice, qui consiste à donner à chacun ce qui lui revient et à ne nuire à personne. Ils y liront par exemple que, selon Cicéron, « la meilleure façon de respecter le lien social entre les hommes et leur union, sera de montrer, à l’égard de qui nous est le plus proche, d’autant plus de bonté ».

    Cela n’empêche pas le célèbre jurisconsulte romain de définir les devoirs envers l’humanité :« Assurément,écrit-il, la société la plus largement ouverte aux hommes entre eux, à tous avec tous, est celle où l’on doit respecter la communauté de tous les biens que la nature a engendrés pour le commun usage des hommes ».Ainsi, conformément à l’un des principes premiers du droit naturel, il faut accorder« même à l’inconnu, tout ce qui peut être donné sans dommage. À ce genre appartiennent ces biens communs : ne pas interdire l’accès à l’eau courante, supporter que l’on prenne du feu à son propre feu ; s’il le désire, donner, à celui qui réfléchit, un avis de bonne foi. Choses utiles à ceux qui les reçoivent, sans grever ceux qui donnent ».Nous en concluons qu’il est conforme à la justice et au droit naturel de permettre aux étrangers nécessiteux d’accéder aux biens de première nécessité(auxquels s’ajoute l’accès à la vérité !) sans aucune interférence de considéra­tions religieuses ou ethniques. Peu importe que ces gens soient chrétiens, musulmans, athées, syriens, irakiens, libyens ou autres.

    En revanche, la résidence à long terme ou l’installation définitive dans un pays, l’octroi d’un travail, la scolarisation des enfants, les aides sociales diverses, les droits politiques, etc., ne relèvent pas de la catégorie des biens« que la nature a engendré pour le commun usage des hommes ». Il s’agit de biens appartenant à notre patrimoine communautaire propre, hérités de nos prédécesseurs qui les ont façonnés, biens dont nous sommes les dépositaires momentanés, chargés de les transmettre aux générations suivantes. Attribuer une certaine mesure de ces biens à des étrangers ne relève en aucun cas de la justice, mais de la générosité, qui consiste à donner librement à autrui ce qui est nôtre et non ce qui lui est dû.

    Éclairé par la vertu de prudence, l’usage réglé de la générosité, appelée aussi libéralité ou bienfaisance, suppose de respecter d’abord les devoirs de justice qui incombent aussi bien aux parents à l’égard de leurs enfants qu’aux gouvernants à l’égard des citoyens dont ils assurent, théoriquement, le bien commun.« On n’est pas libéral quand on est injuste, précise d’ailleurs Cicéron. (…)ceux qui veulent montrer plus de bonté que ne le souffre leur avoir, commettent une faute d’abord en ceci, qu’ils portent préjudice à leurs proches : ils font passer en effet à des étrangers, des ressources qu’il serait plus équitable de laisser en jouissance et en héritage aux leurs. (…) On peut même voir un grand nombre de gens – qui ne sont pas tant généreux par nature, que conduits par une certaine gloriole – faire, pour paraître bienfaisants, beaucoup de choses qui semblent procéder davantage de l’ostentation que de la bonne volonté ». Que les professionnels médiatiques de la compassion verbale commencent par ouvrir la porte de leur maison et leur gros portefeuille aux migrants avant de dire quoi que ce soit.

    Le païen Cicéron synthétise la hiérarchie des devoirs à la fin du livre premier de son traité : « Les premiers devoirs sont dus aux dieux immortels, les seconds à la patrie, les troisièmes aux parents, et ensuite suivant un ordre, à tous les autres ». [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Zoom : S.Jallamion : policier exemplaire, il dénonce l'islamisme. On organise sa mort sociale !

  • Une association humanitaire se retire de Calais après avoir vu les clandestins brûler nourriture et vêtements

    L’association humanitaire Human Relief Foundation (HRF) avait envoyé des bénévoles et du matériel à Calais. Mais l’association caritative a décidé de mettre fin à son aide après la visite récente de son directeur exécutif, Kassim Tokan, au camp « New Jungle » à Calais.

    Kassim Tokan explique avoir été choqué de voir des migrants qui « brûlent la nourriture et les vêtements » de l’aide humanitaire.  « Sur le coup je pensais qu’ils avaient une raison valable, mais la majorité d’entre eux n’ont pas de raison… ils veulent juste y aller [au Royaume-Uni] pour avoir de l’argent, une meilleure situation économique. »

    Kassim Tokan a aussi souligné que 95 à 97 % des migrants étaient de jeunes hommes. Certains d’entre eux lui ont dit qu’ils étaient contents de rester dans le camp.

    Tout cela a poussé Kassim Tokan à décider que l’HRF réorientera ses aides humanitaires vers les Syriens réfugiés au Liban ou en Cisjordanie, déclarant que les migrants de Calais n’en ont nul besoin.

    « Ils ont suffisamment de nourriture, ils ont suffisamment de vêtements qu’ils les répandent partout dans le camp. », a déclaré Kassim Tokan à ITV.

    « Ces gens viennent de quelques pays, qui ne sont pas en guerre, tout est là bas, ils peuvent y travailler, je ne sais pas pourquoi ils sont là. »

    http://www.medias-presse.info/ecoeuree-une-association-humanitaire-se-retire-de-calais-apres-avoir-vu-les-migrants-bruler-nourriture-et-vetements/40727

  • Pour avoir animé une page internet anti-islamiste. un policier est suspendu deux ans de ses fonctions !

    Sur son site personnel, un policier avait notamment publié le cliché d’une Marianne bâillonnée associé au slogan « Non à l’islamisation de la France ».
    Pour ces faits, le policier avait été condamné le 28 avril dernier à 5 000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Lyon. Le parquet qui avait alors requis 8 mois de prison donc cinq mois ferme, a fait appel de ce jugement.

    Dans le même temps, ce policier lyonnais de 43 ans vient d’être suspendu deux ans par le conseil de discipline de la police nationale.

    Lyon: Un policier, suspendu deux ans de ses fonctions, pour un page internet anti-islamhttp://t.co/X4BvJvFnmOpic.twitter.com/PoabbRCmXs

    — 20 Minutes (@20Minutes)11 Octobre 2015

    http://fr.novopress.info/

  • L'afflux de réfugiés en Allemagne, aubaine pour la droite populiste

    Donnée morte à l'été, la droite populiste allemande renaît de ses cendres à la faveur des inquiétudes suscitées dans le pays par l'afflux de centaines de milliers de réfugiés, et rêve d'enfin s'ancrer dans le paysage politique.

    "Bien sûr que ça les renforce, mais ce n'est pas mécanique", observe Hajo Funke, politologue à l'Université libre de Berlin, pour qui la droite populiste profite des difficultés de gestion de l'accueil et des discours "alarmistes" des politiques ou des médias.

    La politique de la porte ouverte menée par la chancelière Angela Merkel, d'abord soutenue par l'opinion, divise son camp et suscite des doutes croissants: selon deux sondages récents, 51% des Allemands ont "peur" de l'afflux de réfugiés et autant jugent "ingérable" l'ampleur du phénomène.

    Sorti des oubliettes près d'un an après sa naissance, le 20 octobre 2014, le mouvement Pegida offre de nouveau le spectacle de milliers de personnes déroulant chaque lundi leurs calicots face aux touristes éberlués, dans leur fief de Dresde (est), pour dénoncer l'"invasion" de migrants.

    Le parti "Alternative für Deutschland" (AfD), créé en 2013 sur une ligne initialement anti-euro, organise de son côté ses propres manifestations anti-réfugiés, tout aussi virulentes, comme à Erfurt (est) où 8.000 personnes ont défilé mercredi.

    - Plainte contre Merkel -

    Parallèlement, l'AfD grignote du terrain dans les sondages et montait cette semaine à 7% d'intentions de vote, au-dessus des 5% requis pour entrer au Bundestag, avec des pointes à 9% en Bavière (sud) et 12% en ex-RDA.

    Absente des médias lorsqu'une vague de solidarité pro-réfugiés déferlait sur l'Allemagne, la présidente d'AfD Frauke Petry a réclamé vendredi un "arrêt immédiat" de l'immigration. Son parti a lui annoncé le dépôt d'une plainte pour "traite d'êtres humains" contre Mme Merkel.

    Cette initiative doit amener "les citoyens à se poser la question de savoir si l'immigration incontrôlée est dans leur intérêt", selon un porte-parole du parti, Christian Lüth.

    Cette renaissance populiste est d'autant plus spectaculaire que l'AfD et Pegida, en vedette l'hiver dernier lorsque le premier culminait à 10% d'intentions de vote et que le second mobilisait 25.000 personnes à Dresde, ont connu un déclin brutal.

    Peu d'observateurs donnaient à Pegida la moindre chance de survivre à deux épreuves successives: la révélation de photos de son leader Lutz Bachmann grimé en Hitler et de propos xénophobes de cet ancien braqueur, puis le départ fin janvier des dirigeants les plus modérés.

    Début juillet, l'AfD voyait à son tour se déchirer le courant conservateur-libéral et celui, nettement plus à droite, porté par les représentants du parti en ex-RDA. Le triomphe des derniers a fait imploser la formation et plonger les intentions de vote.

    - "Tabou de principe" -

    Au-delà de l'histoire tourmentée des deux mouvements, le contexte allemand invite à la prudence, tant le populisme en vogue dans le reste de l'Europe se heurte ici à un "tabou de principe" en raison du passé nazi, soulignait Nele Wissmann, du Comité d'études des relations franco-allemandes, dans une étude fin septembre.

    La dernière percée populiste remonte à celle des Republikaner au début des années 1990, sur fond d'afflux de réfugiés alors venus d'ex-Yougoslavie. Mais le durcissement de la loi allemande sur l'asile en 1993, combiné à la mise sous surveillance du parti par le renseignement intérieur, avait vite brisé son élan.

    Malgré le "solide potentiel" de l'AfD, selon Timo Lochocki, du German Marshall Fund, elle ne pourra se contenter d'exploiter la "formule gagnante", mêlant rhétorique anti-élites et défense de la nation en danger, qui a permis l'ascension du Front national français ou du UKIP britannique.

    Il lui faut "éviter d'être assimilée à l'extrême droite" car cela "saperait ses chances de se forger une large base électorale", explique le chercheur dans une note.

    Pour Nele Wissmann, la "concurrence" que se livrent l'AfD et Pegida constitue un obstacle supplémentaire: loin de fusionner, les deux mouvements comptent aligner des candidats aux cinq scrutins régionaux de l'an prochain, avant les élections fédérales de 2017.

    source : Le Parisien ::  lien

    http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EuuuuZVppkecIGEysS.shtml

  • Sarkozy et Juppé d'accord : la France n'est pas un pays d'immigration, vers un quota zéro d'immigration.

    EG

    Mais ça c'était avant....

    Car la droite a été et reste toujours aussi clientéliste considérant la politique comme un simple marché aux voix et les idées comme des pièges gluants à mouches où les citoyens se laisseraient prendre.

     

    Juppé piégé en direct en 2014 ici, Sarkozy avec, même s'il était absent à cette émission... Et pourtant ça continue (Info à confirmer) : 

    Aj

    L'époque des has-been, où les politiques calquaient leurs actions sur la musique en vogue, en bons opportunistes, est finie malgré leurs multiples tentativescomme celle-ci datée d'hier!

    Aux électeurs de le leur faire comprendre.

    Lahire

  • Sarkozy et Juppé d'accord : la France n'est pas un pays d'immigration, vers un quota zéro d'immigration.

    EG

    Mais ça c'était avant....

    Car la droite a été et reste toujours aussi clientéliste considérant la politique comme un simple marché aux voix et les idées comme des pièges gluants à mouches où les citoyens se laisseraient prendre.

     

    Juppé piégé en direct en 2014 ici, Sarkozy avec, même s'il était absent à cette émission... Et pourtant ça continue (Info à confirmer) : 

    Aj

    L'époque des has-been, où les politiques calquaient leurs actions sur la musique en vogue, en bons opportunistes, est finie malgré leurs multiples tentativescomme celle-ci datée d'hier!

    Aux électeurs de le leur faire comprendre.

    Lahire

  • Immigration – Des policiers autrichiens se préparent aux pires émeutes – « Nous craignons tous le moment où on nous ordonnera de marcher contre notre propre peuple »

    Le magazine autrichien Info-Direkt publie un entretien avec un membre de la police autrichienne en charge de la question des « réfugiés ». Son expérience quotidienne l’amène à pronostiquer des conséquences dévastatrices et prévoit que des émeutes vont bientôt commencer.

    (…) le système d’asile ne fonctionne plus. (…) Chaque jour arrivent plusieurs milliers de réfugiés en Autriche et en Europe, dont seulement quelques centaines peuvent être enregistrés, la liste d’attente augmente tous les jours … 

    Mais c’est seulement la première étape du processus. (…) Il n’y a pas assez de policiers pour assurer l’ordre public.

    Selon Info-DIREKT,  différentes sources de police confirment que les policiers se sentent dépourvus des moyens nécessaires pour faire face à l’insécurité qui accompagne cette immigration massive. Des policiers conscients de la réalité qu’ils perçoivent chaque jour sur le terrain, commencent à se préoccuper de protéger leur maison et leur famille, en prévoyant que l’Etat échouera à assumer ses responsabilités de protection de la population.

    En fait, de nombreux collègues, officiers de police, s’assurent, pour leur propre espace privé, d’avoir des réserves d’eau, de nourriture et de munitions. 

    Mais une autre crainte se dégage, qui traduit bien la trahison des gouvernants :

    (…) nous craignons tous le moment où on nous ordonnera de marcher contre notre propre peuple. Et nous discutons souvent de ce que nous ferons alors …

    http://www.medias-presse.info/immigration-des-policiers-autrichiens-se-preparent-aux-pires-emeutes-nous-craignons-tous-le-moment-ou-on-nous-ordonnera-de-marcher-contre-notre-propre-peuple/40580

  • Brest : manif contre la mosquée salafiste, l’extrême-gauche soutient l’imam

     

    Les mouvements ADSAV (parti du peuple breton) et Résistance républicaineont manifesté samedi pour exiger la fermeture de la mosquée salafiste Sunna. Face à eux, les « antifas », soutiens objectifs de l’imam intégriste.

    Près de 300 personnes (150, selon la police), mobilisés par les mouvements ADSAV(parti du peuple breton) et Résistance républicaine se sont réunis au cri de « on est chez nous » et de la Marseillaise pour exiger la fermeture de la mosquée Sunna. Celle-ci est dirigée par l’imam Rachid Abou Houdeyfa. Pur représentant du salafisme, cet imam prêche naturellement pour le voile islamique, la soumission de la femme et le caractère incompatible de la Charia avec les lois de la république. L’imam en question a récemment défrayé la chronique avec la diffusion d’un se ses prêches auprès des enfants, portant sur la musique
    « Allah n’aime pas la musique parce que c’est le diable qui l’aime », ajoutant que « ceux qui chantent, le prophète dit qu’ils seront engloutis sous la terre, transformés en singes ou en porcs ».

    Nous assistons à un endoctrinement des enfants, comme dans des sectes, le préfet et le procureur doivent réagir !

    a affirmé lors d’une prise de parole Ronan Le Gall, porte-parole d’ADSAV. Interrogé le 30 septembre sur l’antenne de France Bleu Breizh Izel, Anouar Kbibech, nouveau président du Conseil français du culte musulman, avait jugé « ahurissant » le fait de tenir de tels propos devant des enfants, ajoutant que cette affaire « posait la question de l’habilitation des imams en France ».

    Fidèles à leurs réflexes pavloviens, les mouvements d’extrême-gauche ont organisé une contre-manifestation rassemblant quelques dizaines de personnes (une centaine selon la police). Exercice toujours délicat pour eux de s’opposer à « l’extrême-droite » sans pour autant paraître cautionner les salafistes, ils disent « ne pas cautionner les propos de l’imam », mais se positionner « contre l’instrumentalisation raciste et islamophobe qui en est faite ». De fait, par leur refus de condamner et combattre l’obscurantisme islamique (alors qu’au nom de la « laïcité », ils combattent avec virulence toute expression catholique dans l’espace public) ils jouent les idiots utiles de l’islamisation.
    Les deux rassemblements se sont retrouvés face-à-face dans une ambiance tendue, échangeant slogans et insultes, mais un cordon de CRS et de policiers a empêché tout contact entre les groupes opposés.


     

     

     

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