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immigration - Page 1371

  • Des immigrants de deuxième génération « laïques et parfaitement intégrées »

    ... habitant la France, l'Allemagne, la Suède et la Belgique, sont partis en Syrie combattre aux côtés des rebelles.

    Qu'est-ce que cela aurait été si ces individus n'avaient pas été intégrés à notre société laïque.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/des-immigrants-de-deuxi%C3%A8me-g%C3%A9n%C3%A9ration-la%C3%AFques-et-parfaitement-int%C3%A9gr%C3%A9es-.html

  • Immigration : "Nous sommes à l’heure d’une barbarie qui ne dit pas son nom"

    Malika Sorel-Sutter a été membre du collège du Haut Conseil à l’intégration (HCI) et de sa mission « Laïcité ». Elle a publié deux ouvrages remarqués sur l’immigration et l’intégration. Elle répond à La Nef :

    "Pour quelles raisons l’intégration culturelle a-t-elle échoué ?

    Pour de nombreuses raisons. Je vais en citer quelques-unes. Les Français l’ignorent, mais sur le flux transalpin de 1870-1940, seul un Italien sur trois s’est finalement intégré, alors même que les Italiens sont très proches des Français en raison des nombreuses pages d’histoire qu’ils partagent. La religion participe aussi de la culture. Elle a largement façonné les mentalités au long des siècles. Il en va de même pour l’héritage grec, romain, la Renaissance, les Lumières, les révolutions populaires ; toutes ces pages ont nourri les peuples européens, en ont fait ce qu’ils sont devenus. Toute distance culturelle se traduit par une différence de systèmes de principes et de valeurs qui sous-tendent les identités. Plus la distance culturelle est conséquente, plus le processus d’intégration sera difficile. Il était irresponsable de laisser croire que des extra-européens pourraient mieux s’intégrer que des Italiens. Les élites ont menti sur ce point, mais elles ont de surcroît créé les conditions qui ont rendu l’intégration quasi impossible : importance des flux migratoires qui ont abouti à la reconstitution des sociétés d’origine sur la terre d’accueil ; évolution des programmes scolaires pour les adapter à l’arrivée massive d’élèves de cultures non européennes quand il eût fallu, au contraire, intensifier la transmission de la langue française, des principes et valeurs, de l’histoire ; adoption d’une posture morale de repentance et de culpabilisation qui a enlaidi, aux yeux des migrants et de leurs enfants, l’image de la France. Peut-on s’intégrer à une France affublée des pires tares ? Non.

    En quoi le fait que l’immigration actuelle soit majoritairement musulmane change-t-il le problème ?

    Comme je l’ai évoqué précédemment, la distance culturelle est centrale. Si l’immigration de masse avait été d’origine indienne, l’intégration aurait été tout aussi ardue. Les Indiens sont très éloignés des Français ; cela s’observe aussi bien au travers du statut des femmes dans les familles que dans le cloisonnement entre leurs différentes couches sociales. L’intégration des musulmans est un défi difficile à relever parce que les musulmans sont issus de peuples qui ne partagent guère d’héritage culturel avec les Français de souche européenne. Quant aux pages d’histoire commune, elles ont souvent été conflictuelles et n’ont pas été surmontées. La distance culturelle se traduit au quotidien par une conception différente des principes de liberté, d’égalité et de fraternité. Quant à la laïcité, elle n’est pas un principe organisateur des sociétés sources de l’immigration, sauf pour la Turquie il fut un temps. Au HCI, nous avons été alertés par l’inquiétude des acteurs de terrain suscitée par la poussée de revendications, que ce soit dans les entreprises, les hôpitaux ou les universités. La citoyenneté partagée aura du mal à perdurer en l’absence d’une communauté de principes et de valeurs. Le propos n’est pas de hiérarchiser entre les systèmes de principes et de valeurs, mais seulement de comprendre que l’intégration ne peut être obtenue sans l’adhésion des concernés. [...]

    Comment expliquez-vous que l’on ne fasse rien pour relancer notre démographie déclinante ?

    Une part importante de nos élites (politiques, médias, intellectuels, monde des affaires…) agit, et ses actes le démontrent, comme si l’être humain se réduisait à sa part matérielle – son enveloppe charnelle. Lorsqu’un migrant se déplace, nos élites ne voient ni l’esprit, ni l’âme, seulement un corps, et les corps sont perçus comme interchangeables. C’est la raison pour laquelle le déclin démographique est le cadet de leur souci. Pour elles, il suffit d’importer des migrants et le problème de la natalité européenne est réglé. Je m’en suis rendu compte dans des réunions auxquelles j’ai pu assister, y compris en présence de responsables d’instances politiques européennes. Malgré les apparences, notre époque a tourné le dos aux Lumières et à leur humanisme. Nous sommes à l’heure d’une barbarie qui ne dit pas son nom, qui ne se voit pas car elle n’est pas sanguinaire, qui réduit l’homme à l’état d’objet dénué de sensibilité, et vierge de toute l’histoire qui l’a précédé et dont il peut être l’héritier.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Mélenchon ou la fable du fiancé éconduit

    Jean-Luc Mélenchon voulait faire mieux [le 1er décembre 2013] que les « bonnets rouges  » à Carhaix : 100.000 manifestants, a-t-il compté ; 7.000, lui a répondu la police.

    La «  marche pour une révolution fiscale  » de Jean-Luc Mélenchon a atteint hier le record… de divergence dans le comptage des troupes. 100.000 manifestants selon les organisateurs, 7.000 selon la police. Du jamais-vu, qui veut sans doute dire beaucoup.
    Le gouvernement ne veut surtout pas voir ressurgir le «  danger Mélenchon  » qu’il avait entrevu dans la présidentielle. Le leader du Front de gauche a son honneur à sauver. Il voulait [le 1er décembre 2013] faire mieux que les «  bonnets rouges  » qui manifestaient eux aussi sur la fiscalité la veille à Carhaix.

    Par le miracle du comptage, les « drapeaux rouges » de Mélenchon ont jugé avoir fait mieux que les «  bonnets rouges  » (100.000 donc contre 40.000). La police leur a trouvé moins (7.000 contre 17.000 estimés à Carhaix).

    L’histoire de Jean-Luc Mélenchon ressemble depuis deux ans à celle de l’homme qui courtise patiemment une femme avant qu’elle ne choisisse de partir avec un autre.

    Il a été le premier à sentir croître les « désespérés  » de François Hollande, le premier à dénoncer une politique fiscale «  injuste ». Or ce sont d’autres, «  bonnets rouges  » en tête, qui en ont récolté les fruits. Ils ont su attirer les médias et retenir l’attention du gouvernement.

    Et lui ? Quoi de pire pour l’homme aux formules qui tuent de ne plus être le «  Mélenchon qui fait peur » ? Il a déjà perdu dans l’opinion son bras de fer avec Marine Le Pen, il a vu les communistes s’allier avec les socialistes pour les municipales, il est devenu dans les sondages l’homme qui « en fait trop  ».

    Pour rien au monde, il ne voulait en plus devenir transparent. Hier, Jean-Luc Mélenchon n’a peut-être pas mobilisé autant qu’il le souhaitait, mais il a montré que le gouvernement le craignait toujours. Mince victoire, qui n’ôte rien à son problème de fond. Son verbe et sa capacité d’indignation sont salués, mais ils ne portent pas. Il analyse comme personne le climat social, mais c’est vers d’autres que l’on se tourne.

    Pourquoi ? Trop favorable à l’immigration quand le « peuple de gauche » ne l’est plus ? Trop lié à l’histoire partisane du pays quand les Français rejettent les partis ? Peut-être.

    Lui ne désarme pas, comme les éternels amoureux : la cause à venir sera la bonne, se persuade-t-il.

    Les Echos

    http://fortune.fdesouche.com/336687-melenchon-ou-la-fable-du-fiance-econduit#more-336687

  • Immigration : l'UE ignore la culture européenne

    Michèle Tribalat, directrice de recherches à l’Institut national d’études démographiques (INED), spécialiste des questions d’immigration, est interrogée dans La Nef. Extraits :

    Ne"Après le choc pétrolier de 1973, la plupart des pays d’immigration d’Europe ont cherché à limiter les entrées. La France l’a fait en suspendant le recrutement de travailleurs et même le regroupement familial. L’arrêt du regroupement familial a été désavoué par le Conseil d’État, ce qui a contraint le gouvernement d’alors (Giscard d’Estaing) à mettre noir sur blanc les conditions du regroupement familial. Celui-ci a toujours existé et ce n’est pas Giscard d’Estaing qui l’a soudain permis, contrairement à la légende. Fondée principalement sur des droits, la politique migratoire a été de plus en plus encadrée par des Cours de justice interne (Conseil d’État) ou externes (Cour européenne des droits de l’homme et Cour de justice européenne). L’espace politique pour envisager une politique de baisse des flux s’est considérablement réduit car elle revient à poser des conditions à l’exercice de droits. Les alternances ont généralement produit des inflexions restrictives à droite et de sens inverse à gauche, cette dernière gardant cependant souvent l’essentiel de ce qui avait été décidé avant elle. La politique migratoire est, depuis le traité de Lisbonne, une compétence partagée avec l’Union européenne.

    Peut-on dire que la France et l’Union européenne (UE) ont opté pour un modèle multiculturaliste ?

    Bien que l’intégration ne soit pas encore une compétence européenne, les pays de l’UE se sont mis d’accord, lors du Conseil du 19 novembre 2004, sur onze principes de base communs, qui les engagent. L’intégration dont il est question ne reconnaît aucune asymétrie entre les sociétés d’accueil et les nouveaux venus. Aucun privilège n’est accordé aux Européens ou à leur héritage. Toutes les cultures ont même droit de cité. On ne reconnaît pas de culture européenne substantielle qu’il pourrait être utile de préserver. C’est une conception horizontale du lien social, c’est-à-dire entre les présents. Sa dimension verticale, pourtant essentielle, avec le passé semble désormais superflue. Les valeurs sont souvent invoquées, mais elles paraissent par ailleurs négociables. L’UE en est à fixer comme but unique de l’intégration un but moral – la tolérance et le respect – sans qu’elle aperçoive clairement comment y parvenir ou comment le perpétuer. [...]

    Comment l’islam a-t-il changé le problème de l’assimilation ?

    C’est alors que l’assimilation rencontrait des difficultés – avec l’importance croissante de la population musulmane – que nous avons changé de pied et opté pour un discours victimisant à outrance les immigrés et plus récemment les musulmans. Ils sont les représentants de la diversité tellement désirable et bénéfique. C’est l’intolérance des « autochtones » que l’on surveille désormais comme le lait sur le feu. Si les gens ordinaires attendent toujours une adaptation plus profonde aux modes de vie (voir les sondages du CSA pour la Commission nationale consultative des droits de l’homme), les élites politiques et culturelles passent leur temps à soigner la popularité de l’islam et des musulmans, souvent au prix du mensonge. [...]

    Comment expliquer que l’UE favorise très officiellement l’immigration pour combler notre déficit démographique, plutôt que d’encourager la natalité via la famille ?

    La politique familiale n’est pas une compétence communautaire. Les institutions européennes sont persuadées que l’immigration massive est le destin démographique de l’Europe. Les projections de populations d’origine étrangère réalisées par Eurostat (l’institut statistique de la Commission) donnent, dans certains pays, ces populations majoritaires en dessous de 40 ans dans moins de 50 ans. Ces anticipations démographiques expliquent pourquoi l’UE vante tellement la diversité, la tolérance et le respect."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La destruction programmée des identités/ Plaidoyer pour la préservation de notre identité

    « La quête de l’identité fait partie des préoccupations humaines les plus importantes et les plus anciennes ».
    Un correspondant vient d’adresser à Polémia un texte dont le thème rejoint celui développé par Yvan Blot à l’Université du Club de l’Horloge des 23 et 24 novembre derniers (*) dont nous venons de publier la transcription.

    Dans un plaidoyer assez vif, Jean-François Luc dénonce certaines des nombreuses attaques, les plus voyantes, lancées contre l’identité et rappelle les différents fronts sur lesquels le combat est mené : la race, la langue, la famille, la confusion des sexes, la théorie du genre, la nation et la souveraineté nationale… A cette occasion et sur ces sujets, les lecteurs pourront se reporter aux différents articles que Polémia a produits sur son site (**).
    L’auteur clôt son analyse par une note optimiste en avançant les solutions nécessaires et réalisables pour résister à ces attaques .
    Polémia

    L’intégralité de la communication en format pdf de Jean-François Luc avait été publiée le 26/10/2013 et peut être consultée en cliquant  :  ICI

    Notes :

    (*) La négation des identités : principe originel du cosmopolitisme

    (**) Consultation à l’aide du moteur de recherche, pour les articles les plus récents à la rubrique « Rechercher sur le site » et pour les plus anciens sur celle en dessous « archives.polemia.com ».

    http://www.polemia.com/la-destruction-programmee-des-identites-plaidoyer-pour-la-preservation-de-notre-identite/

  • Israël se prépare à expulser des milliers d’Africains pour préserver « le caractère juif » de l’Etat !

    Les difficultés apparentes à gérer le problème de l’immigration en général et la question des immigrés clandestins en particulier semblent avant tout liées à un état d’esprit présent communément en Europe et en Amérique du Nord. Tant en Arabie Saoudite qu’en Israël, les autorités n’hésitent pas à prendre des mesures bien plus radicales sans que cela n’entraîne de grand tollé médiatique.

    Le gouvernement israélien a ainsi approuvé dimanche une série de mesures destinées à expulser des milliers d’Africains entrés clandestinement dans le pays. Selon le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, ces mesures « sont nécessaires pour maintenir le caractère juif et démocratique de l’État ». Bigre ! Quand on pense que chez nous, le simple fait de parler de préférence nationale vaut déjà d’encourir les foudres de tous les médias du système…

    Selon un communiqué du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu, les nouvelles mesures migratoires, adoptée dimanche 24 novembre, prévoient des sanctions contre les employeurs et des mesures financières incitatives pour leur retour au pays, avec une prime au départ passant de 1 500 à 3 500 dollars.

    En outre, le ministère de l’Intérieur a préparé un projet de loi autorisant la rétention des clandestins pendant un an sans jugement. Selon le communiqué, une « installation fermée » est prévue pour les migrants arrivés clandestinement en Israël – où la construction d’une barrière de sécurité le long de la frontière sud est pratiquement achevée – et pour ceux qui se trouvent déjà dans le pays et « troublent l’ordre public ».

    Les unités chargées de contrôler les migrants africains seront renforcées par 550 nouveaux officiers afin de mieux lutter contre le travail au noir.

    Dans le communiqué, Benjamin Netanyahu s’est dit « déterminé » à bloquer les arrivées de travailleurs clandestins et à expulser « les dizaines de milliers de migrants clandestins » déjà installés dans les villes israéliennes.

    http://medias-presse.info/israel-se-prepare-a-expulser-des-milliers-dafricains-pour-preserver-le-caractere-juif-de-letat/3068?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=israel-se-prepare-a-expulser-des-milliers-dafricains-pour-preserver-le-caractere-juif-de-letat

  • Le Système vs le syndicat des indigènes

    « La France paradis pour fainéants, fraudeurs, délinquants,  enfer pour les bosseurs, m…à l’Europe,  m…à cette France ». Voilà ce que l’on pouvait lire sur une pancarte brandie bien haut dans la manifestation des Bonnets rouges « contre l’écotaxe et pour l’emploi en Bretagne », qui a réuni selon les sources entre 17 000 et 40 000 personnes samedi à Carhaix (Finistère) . Un slogan qui résume assez bien l’état d’esprit des hommes et des femmes participant à ce rassemblement, mais que ne partage peut être pas le maire Divers gauche de Carhaix, Christian Troadec, porte-parole (médiatique) de ce mouvement. Le succès d’audience de cette lutte des Bretons, qui rassemble au coude à coude ouvriers, paysans, chefs d’entreprise, employés, ce symbole de la résistance au fiscalisme confiscatoire, a fait bouillir de rage Jean-Luc Mélenchon. Le co-président du Parti de Gauche (PG) et ex  candidat du Front de Gauche (FG)  à la présidentielle,  a fustigé sur TF1 «  des gens qui défendent des intérêts particuliers, (qui) occupent tout le terrain ».

    Cette amertume s’explique aussi par l’échec assez retentissant de la «marche sur Bercy», « contre l’augmentation de la TVA», «pour une révolution fiscale », qui s’est déroulée hier à Paris. Une manifestation initiée par M. Mélenchon, le secrétaire national du PC, Pierre Laurent, Olivier Besancenot au nom du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) ou encore  Lutte ouvrière (LO).

     Les organisateurs tablaient sur une mobilisation très massive du peuple de gauche . Or cela n’a pas été le raz de marée attendu. Si le FG a claironné que cette manifestation  a réuni « plus de 100 000 personnes » (sic),  ils n’étaient  que 7000 selon la police, environ 15 000 selon certains médias.

     Jean-Luc Mélenchon a hurlé à une  manipulation des chiffres ourdie par Manuel Valls, comme il l’avait fait en mai dernier lorsqu’il clamait   que la manifestation du Front de Gauche (FG)  contre l’austérité avait réuni 180 000 personnes,  là où la préfecture de police de Paris n’en avait décompté que  30 000…

     Au-delà de cette polémique, l’échec de la démonstration de force de l’extrême gauche, même sur un thème porteur, fédérateur,  illustre bien son incapacité à profiter de l’impopularité du gouvernement socialo-européiste au pouvoir. Il confirme aussi ce que les derniers scrutins ont révélé, à savoir que pour les Français, l’alternative à ce Système inique reste bien  le Front National. Et certainement  pas un Front de Gauche largement  pétri d’archaïsmes, de démagogie, d’immigrationnisme et  d’internationalisme.

     Le bide encore plus retentissant de la Marche contre le racisme samedi à Paris en est une autre preuve éclatante. A l’appel d’associations ultra-marines de gauche (Collectif Dom et CM 98) du PS, du PRG, du PC, du PG, de  SOS racisme, de la LDH, du Mrap, de la Licra, de la CFDT, de la CFTC, de la CGT, de FSU, de Solidaires, de l’Unsa, du Grand Orient de France, de collectifs d’immigrés clandestins etc., seulement 3900 personnes ont défilé dans la capitale et quelques centaines en province à Nantes, Bordeaux, Toulouse, Lille, Rouen, Marseille…

    Chiffres communiqués la aussi par une préfecture de police de Paris dont on voit mal l’intérêt qu’elle aurait  à minimiser la participation à un rassemblement soutenu par le gouvernement. George Pau-Langevin, ex présidente du Mrap et actuelle ministre délégué chargé de la Réussite éducative, représentait l’équipe de Jean-Marc Ayrault  dans le cortège.

     Rien de nouveau sous le soleil, les Alain Jakubowicz (Licra), Bernadette Hétier (MRAP), Cindy Léoni (SOS racisme) et autres vieux potes fatigués comme  Harlem Désir et David Assouline, ont débité devant les micros leurs mantras  habituels.

     Ils se sont surtout montrés incapables d’analyser  l’échec de cette manif : «Je suis déçu et n’arrive pas à comprendre pourquoi nous sommes si peu », a déclaré Steevy Gustave, à l’origine d’une pétition intitulé  France ressaisis toi , de soutien à Christiane Taubira.

     Le président de la LDH, Pierre Tartakowsky a bien tenté une explication assez pathétique : « le poison raciste a pénétré la société (…) Le racisme est aujourd’hui très désinhibé, il faut être plus courageux (sic) pour manifester contre le racisme aujourd’hui qu’il y a trente ans ».

     Cet échec est pourtant très simple à comprendre. Ces responsables de clubs, d’officines, de partis, de groupuscules antinationaux qui vivent grassement depuis des décennies du chantage au racisme, de la culpabilisation de Français, de mensonges et d’intoxications,  sont tellement aveuglés par  l’idéologie  subversive qui est la leur, qu’ils sont totalement déconnectés du réel.

     Les Français de Métropole et  d’Outre-mer  affirme  Bruno Gollnisch, y compris des Français issus de l’immigration qui ont eu la volonté de s’assimiler, ne veulent plus des flux migratoires torrentiels qui ont tiers-mondisé notre pays, ne veulent plus de leçons de morale. La vérité c’est que les Français sont horrifiés par la politique de substitution de population initiée par l’UMPS.

     Une politique matérialisée par les slogans aperçus sur les pancartes dans les cortèges  antiracistes de ce samedi comme : « Nous sommes tous Arabes, Noirs et Musulmans », « On est tous pareils!», «Nous sommes tous des immigrés!». Et bien non  justement ! Et c’est également  parce  que le Front National, qui est aussi mais pas seulement le syndicat des indigènes de notre pays, refuse ce cosmopolitisme mortifère accepté et encouragé par la  totalité des dirigeants des  partis du Système, que nos compatriotes placent leurs espoirs en lui.

    http://www.gollnisch.com/2013/12/02/le-systeme-vs-le-syndicat-des-indigenes/

  • L’immigration devient un souci principal des Anglais. David Cameron remet en cause la libre circulation au sein de l’UE !

    Selon les sondages, l’immigration est désormais le deuxième souci des Anglais, juste derrière la mauvaise situation économique.

    Pour expliquer cette inquiétude croissante des Britanniques vis-à-vis de l’immigration, il faut remonter en 2004. Le Royaume-Uni autorise cette année-là les habitants de huit nouveaux pays membres de l’Union européenne  à venir travailler sur le territoire de Sa Gracieuse Majesté. Les prévisions du gouvernement britannique tablaient sur l’arrivée de 13.000 immigrés par an. En réalité, ils seront 900.000 à s’installer en dix ans ! Sans compter l’immigration extra-européenne et les clandestins…

    Les villes anglaises considérées comme des bassins d’emplois s’en sont trouvées complètement transformées par l’afflux de migrants indiens, pakistanais, africains, arabes, polonais,… L’exemple de Slough est significatif. Dans cette petite ville, les Anglais de souche ne représentent plus qu’un tiers des habitants. Tous les commerces ont pris des allures exotiques.

    Des patrons peu soucieux du bien commun et pour qui les affaires et le patriotisme ne se mélangent pas, s’en sont frottés les mains : cette immigration a apporté une main d’œuvre qui ne peut pas exiger grand-chose en matière de salaire et de conditions de travail. Au final, CIP Recruitment, agence d’intérim spécialisée dans l’agroalimentaire, concède que 95 % de ses 600 employés sont étrangers.

    Les Anglais de souche sont désormais défavorisés dans le domaine de l’emploi, mais aussi des logements sociaux. A Slough, les 6.500 logements sociaux sont tous occupés et il y a une liste de 7.500 personnes en attente ! Même chose pour les écoles. Les onze écoles secondaires locales ne suffisent plus. Il en faudrait rapidement six de plus ! La mairie ne peut tirer qu’un seul constat : « les limites physiques sont atteintes », il n’est plus possible de continuer à permettre l’arrivée de nouveaux immigrés.

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  • Dans la banlieue de Londres, les services publics cèdent sous le poids des immigrés

    « Nos infrastructures croulent sous le poids des nouveaux arrivants »
    Polémia a relevé dans « Le Monde » daté du 28 novembre 2013 un article assez surprenant si on le compare à celui de David Rose publié dans « The Guardian/ The Observer » du 6 avril 2008. De quoi s’agit-il ?
    Ce journaliste est resté près de deux mois sur place pour enquêter sur les effets de l’immigration sur la ville de Slough, dans le Berkshire à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Londres. Qu’écrit la rédaction du journal dans la présentation de son article ? Eh bien «  tandis que la semaine précédente un comité de la Chambre des Lords avait constaté dans un rapport que l’immigration ne présentait aucun avantage économique, il [le journaliste] en était arrivé à une conclusion très différente : l’économie locale était en plein essor, les prix de l’immobilier étaient en hausse, les écoles et les hôpitaux fonctionnaient bien. La ville montrerait-elle au reste du pays la marche à suivre ? »
    Aujourd’hui, un peu plus de cinq ans après, si l’on en croit l’envoyé spécial du « Monde » à Slough, la situation est bien différente. Lisons Eric Albert. En effet, la question ne se pose plus : Slough, en accueillant une immigration inconsidérée qui poussent les Britanniques à ne plus vouloir travailler dans « une ville qui ne compte désormais qu’un tiers de Britanniques blancs, selon le dernier recensement », montre bien la voie que suit l’Angleterre. Est-ce le sort de l’Europe entière ?
    Polémia
    Avec le recul, Grzegorz Sommerfeld aurait préféré ne pas venir au Royaume-Uni. Voilà trois ans et demi que ce Polonais de 29 ans a débarqué à Slough, une banlieue populaire à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Londres. Et il enchaîne les galères. Il est d’abord passé de petit boulot en petit boulot, puis s’est progressivement retrouvé sans emploi ni logement. Il dort entre un squat et une chambre qu’un ami met à sa disposition quand celui-ci travaille de nuit. « Mais pas question de repartir en Pologne sur un échec, lance-t-il. Je veux gagner un peu d’argent avant de faire mes valises. »
    La population explose
    Au Serena Hall, un foyer pour sans-abri à Slough, les histoires comme celles-là se multiplient. « Les Polonais représentent à peu près la moitié de notre clientèle », estime Sam, une volontaire. Leur arrivée a débuté il y a une décennie, avec l’autorisation donnée en 2004 aux habitants de huit nouveaux Etats membres de l’Union européenne, dont la Pologne, de venir travailler au Royaume-Uni. A l’époque, seules la Suède et l’Irlande avaient fait de même, tandis que d’autres comme la France et l’Allemagne retardaient l’échéance.
    Le gouvernement britannique tablait sur 13 000 entrées par an ; 900 000 personnes sont arrivées en dix ans. C’est cette immigration que cible le premier ministre dans sa tribune au Financial Times du 27 novembre, remettant en cause la libre circulation au sein de l’Union européenne (UE).
    Même parmi les plus pauvres, les tensions croissent. « Nos infrastructures croulent sous le poids des nouveaux arrivants, explique Ricky Bowden, un sans-abri. On est une petite île, et on ne peut plus faire face. » Le fait que Ricky, la voix un peu empâtée par l’alcool, reprenne presque mot pour mot les arguments répétés par les principaux responsables politiques du moment en dit long sur le débat qui secoue le Royaume-Uni. D’après les sondages, l’immigration est désormais la deuxième source d’inquiétude des Britanniques, derrière l’économie.
    Entre les recensements de 2001 et 2011, la population d’Angleterre et du Pays de Galles a augmenté de 7 %. L’immigration, dans son immense majorité légale, en est la principale cause. L’afflux est venu des nouveaux pays membres de l’UE – un cinquième des arrivées –, mais aussi du sous-continent indien, d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Europe occidentale. Mais le flot ne se répartit pas équitablement dans le pays et se concentre dans des villes comme Slough, où la population a fait un bond de 18 % en une décennie. Cette localité, où se trouvent de nombreux sièges sociaux de grandes entreprises, est un bassin d’emplois faiblement qualifiés, qui attire les nouveaux venus.
    Sa rue principale témoigne de cette diversité. Aux épiceries tenues par les Indiens succèdent désormais celles des Polonais, vendant charcuterie et confiture du pays. Le café du centre commercial est tenu par un Libanais, qui a embauché une Polonaise, une Hongroise, une Ghanéenne et un Afghan. Dans la boutique proposant des petits prêts bancaires – généralement quelques centaines d’euros, destinés à boucler les fins de mois –, quatre des cinq employés sont polonais.
    Dans l’ensemble, les frictions demeurent limitées. Difficile à Slough de trouver une voix négative contre telle ou telle minorité. La cohésion est même remarquable, pour une ville qui ne compte désormais qu’un tiers de Britanniques blancs, selon le dernier recensement. « Depuis que je suis arrivé, en 2006, je n’ai jamais ressenti la moindre discrimination, raconte Robert Burzynski, un ingénieur polonais. Il y a tellement d’immigrés qu’il est difficile de s’en prendre à un groupe en particulier. » Anna Wright, conseillère municipale de Slough, et elle-même polonaise arrivée en 2005, confirme : « Les communautés ne se mélangent pas nécessairement, mais il n’y a pas vraiment de tensions entre elles. »
    Les Indiens et les Pakistanais, installés une génération plus tôt, sont les seuls à se montrer sévères. « Les Polonais boivent trop et les habitants locaux ne trouvent plus d’emploi à cause d’eux », se plaint Shabbir, qui tient une petite épicerie. Il a quand même pris soin de mettre quelques mots de polonais sur sa devanture…
    Satisfaction des employeurs
    Les nouveaux immigrés sont plutôt appréciés, notamment par les employeurs, qui les trouvent durs à la tâche et peu exigeants sur les conditions de travail. A CIP Recruitment, une agence d’intérim spécialisée dans l’agroalimentaire, 95 % des 600 employés sont étrangers. « Les Britanniques ne veulent pas travailler », estime Paul Sheppard, l’un de ses dirigeants… qui est lui-même anglais.
    Le problème de cette vague d’immigration se trouve ailleurs : les services publics et les infrastructures sont débordés. La directrice de la mairie, Ruth Bagley, fait la liste de ses besoins abyssaux. « Nous avons 6 500 logements sociaux, tous occupés, et une liste d’attente de 7 500 personnes. Nous avons onze écoles secondaires, mais les projections indiquent qu’il faut en construire six et demi de plus. Dans les frontières administratives de la ville, c’est impossible à réaliser. Slough a toujours été une ville très accueillante, mais la pression est telle que les limites physiques sont atteintes. »
    Il n’y a pas que les autorités publiques qui se plaignent. A Slough, le YMCA sert de logement d’urgence pour personnes en difficulté. Ses dirigeants estiment eux aussi que la pression démographique devient insoutenable. « Les travailleurs sociaux n’ont plus le temps de s’occuper comme il le faut de leurs dossiers, explique son directeur, Colin Young. Pour moi qui suis né à Slough, je suis content qu’il y ait de l’immigration : ça rend l’endroit beaucoup plus intéressant. Mais nous sommes allés trop loin, et nous n’arrivons plus à faire face. »
    Le YMCA a aussi un foyer recevant six mineurs en difficulté : trois viennent d’Afrique, deux d’Afghanistan et un est britannique. Parmi eux se trouve Lorissa, une jeune fille de 17 ans, originaire du Cameroun, arrivée à Slough à l’âge de 12 ans. A sa majorité, en février, la jeune fille, qui est restée scolarisée, risque l’expulsion, n’ayant jamais obtenu la nationalité britannique. « Ma vie est ici. Si on me renvoie maintenant, pourquoi est-ce qu’on m’a permis de venir il y a cinq ans ? »
    Pour Edward Reiss, le président du YMCA local, « il faut être beaucoup plus restrictif pour réduire le nombre d’arrivants ». Désormais, même les travailleurs sociaux appellent à un durcissement des frontières…
    Eric Albert, Le Monde, envoyé spécial à Slough, 28/11/2013
    http://www.polemia.com/dans-la-banlieue-de-londres-les-services-publics-cedent-sous-le-poids-des-immigres-2/