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immigration - Page 1370

  • Immigration : les services s'inquiètent

    Lu ici :

    "La prévision des services secrets est que à cause de l’impuissance des hommes politiques  « d’être certains et fiables » à pouvoir maintenir valides les pactes établis entre notre Pays et la Libye, le phénomène va prendre des formes plus structurées. Ce n’est pas tout, le trafic de clandestins et la nécessité de contrôler le territoire à cette fin favorisent le trafic de drogue, d’armes et la contrebande. [...]

    Cet exode pourrait compromettre l’intégration des étrangers en développant l’agrandissement des ghettos « ethniques », et en exposant les migrants à prostitution et travail noir ou à l’enrôlement dans le milieu organisé, intéressée à « intercepter les demandes de quelques entrepreneurs » méridionaux pour le travail dans les champs.

    Finalement l’invasion peut rendre difficile les procédés d’identification des nouveaux venus en permettant de faire entrer dans nos frontières nationales des « criminels ou des terroristes djihadistes. » Nos gouvernants sont avertis."

    Michel Janva

  • En bref : petit tour de la Hollandie

    Les chiffres magouillés du Pôle Emploi

    Le véritable nombre de chômeurs pour le mois de juin 2014 s’élève à 9.5 millions en France. Voir le détail :  ici

    Violente rixe dans le Gard

    « Les affrontements entre les deux bandes rivales – composées chacune d’environ 40 personnes – ont fait au total 8 blessés, dont une personne plus gravement atteinte, mais dont le pronostic vital n’était pas engagé. 
    Des barres de fer et des armes blanches ont été utilisées au cours de la rixe, et des témoins ont rapporté avoir entendu un coup de feu, même si aucune douille n’a ensuite été retrouvée, et qu’aucune personne n’a été blessée par balle. » Source : Le Figaro

    Un djihadiste grenoblois tué en Syrie

    Selon plusieurs sites islamistes, ou des comptes Twitter de spécialistes du djihad comme David Thomson de RFI, Abu Tamimah, un djihadiste originaire de Grenoble, a été tué vendredi lors des combats menées par l’Etat islamique en Irak et au Levant à Raqqa au nord de la Syrie. Le jeune homme, parti en Syrie depuis 2012 était particulièrement célèbre sur les sites internet et faisait de la propagande en faveur du djihad.  Source : FDS

    http://www.contre-info.com/

  • Emeutes de Paris du 19 juillet : le poids des mots (des grands médias), le choc des vidéos

    Paraphrasant ce qui a été longtemps le slogan de Paris Match, “Le poids des mots, le choc des photos”, cette vidéo met en parallèle des déclarations lénifiantes des grands médias et les scènes d’émeutes à Paris pendant la manifestation de soutien à Gaza du 19 juillet.

  • Paris – Incidents avec des musulmans autour du rassemblement de solidarité avec les chrétiens d’Irak

    Il y a quelques instants, des provocateurs musulmans ont essayé de perturber le rassemblement organisé à Paris en soutien aux chrétiens d’Irak persécutés par les islamistes de l’EEIL.

    Il faut préciser que la préfecture semble aimer jouer avec le feu puisqu’elle a laissé une manifestation de Mauritaniens musulmans se rassembler à quelques mètres à peine du rassemblement organisé en solidarité avec les chrétiens d’Irak.

    Voir la suite et la video 

  • 84 milliards : coût budgétaire de l’immigration selon le rapport Posokhow

     

    La Seine-Saint-Denis est l’un des départements où il y a le plus d’immatriculations de véhicule de grosse cylindrée. C’est aussi le département métropolitain qui coûte le plus cher au budget de l’Etat. Mais c’est « les yeux grands fermés » (Michèle Tribalat) que les médias observent l’immigration. Il s’est même trouvé un universitaire lillois pour affirmer que l’immigration rapportait plus qu’elle ne coûtait : sans doute, pour M. Chojnicki, le moyen le plus facile de se faire connaître, à défaut d’être bien… sérieux. Toutes les autres études concluent au contraire à un surcoût budgétaire dû à l’immigration : de 17 milliards dans la dernière étude Jean-Paul Gourévitch (2012) ; de 42 milliards chez Pierre Milloz (1997) dont l’étude ancienne continue de faire référence par sa rigueur méthodologique, de 73 milliards chez Yves-Marie Laulan (2012). Jean-Yves Le Gallou a, lui, évalué à 18 milliards le seul coût d’entrée et d’accueil des 200.000 immigrés supplémentaires annuels (coût en infrastructure notamment).

    Omerta statistique et différences de périmètre d’étude

    Ces écarts de chiffres peuvent légitimement surprendre mais ils s’expliquent de trois façons :

    - d’abord, par l’omerta statistique qui rend l’accès aux données difficile et qui implique de poser des hypothèses ;
    - ensuite, par les définitions retenues pour les populations étudiées ;
    - enfin, par le périmètre des dépenses et des recettes analysé.

    Polémia présente ici le rapport d’André Posokhow, auditeur, consultant, diplômé d’expertise comptable.

    André Posokhow aboutit au chiffre de 84 milliards : l’équivalent du déficit public.
    Ce chiffre, plus élevé que celui d’autres études, s’explique par le caractère global de l’étude :
    André Posokhow prend en compte les secteurs où il y a clairement des surcoûts dus à l’immigration : la police et la justice, par exemple.

    Mais il ne néglige pas pour autant, contrairement à d’autres études moins complètes, les autres secteurs tels que l’éducation ou le logement où il y a, là aussi, des surcoûts mais aussi des coûts tout courts qui doivent être pris en considération. André Posokhow prend en compte l’ensemble des recettes fiscales et sociales dues à l’immigration ; par souci de cohérence, il réimpute aussi à l’immigration un coût moyen des services publics auxquels les immigrés et descendants d’immigrés accèdent proportionnellement aux autres résidents. Le rapport prend aussi en compte, en dépenses comme en recettes, les collectivités territoriales. Au final, le rapport Posokhow fait apparaître un solde recettes/dépenses négatif de 63 milliards.

    Enfin, André Posohow n’oublie pas que sur les trente dernières années l’immigration a contribué au déficit public. Ce déficit public a lui-même coûté au budget de l’Etat en intérêts versés ; intérêts versés qui ont eux-mêmes nourri l’endettement. Au final, André Posokhow estime à 21 milliards les intérêts annuels de la dette en 2013 qui ont pour origine ce déficit.

    C’est ainsi qu’on arrive à un total de 84 milliards : un gisement d’économies considérable dans la perspective du redressement des finances publiques.

    Polémia livre ci-dessous à ses lecteurs la présentation de son étude par André Posokhow, ainsi que le texte intégral de l’étude en PDF. Polémia invite ses lecteurs à faire part de leurs observations. D’autres études suivront : une monographie sur la Seine-Saint-Denis et des analyses plus fines du coût des différentes immigrations selon leur provenance géo-civilisationnelle.
    Polémia

    Présentation par son auteur de l’étude sur le coût net de l’immigration pour les finances publiques de la France

    En novembre 2012, Contribuables associés a publié sa monographie n° 27 sur « L’’immigration en France. Dépenses, recettes, investissements, rentabilité ». Cette étude a été établie par Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines, spécialiste de l’Afrique et des migrations. Elle présente un déficit de la balance dépenses/recettes de 8,760Mds€ auquel il est ajouté un montant relevant de l’Aide publique au développement de 3,277Mds€ et des investissements au titre de la politique d’intégration de 5,375Mds€ pour aboutir à un coût net de l’immigration de 17,412Mds€. Or, le même expert affirmait en conclusion de la monographie n° 23 de mars 2010 que « chaque année, l’immigration représente pour les pouvoirs publics un surcroît de dépenses de 30,4 milliards d’euros », soit à peu près le double du déficit de la monographie n° 27 plus récente.

    A peu près au même moment, une équipe universitaire dirigée par Xavier Chojnicki a publié le résultat de recherches sur cette problématique dans un livre L’immigration coûte cher à la France. Qu’en pensent les économistes ?. On peut distinguer deux directions de travail : l’affichage d’un impact budgétaire positif de la population immigrée en 2005, que les auteurs estiment à 3,9Mds€, et l’évaluation des bénéfices prévisionnels de cette immigration grâce aux techniques de la « comptabilité générationnelle ».

    Les yeux grands fermés

    Devant des résultats aussi divergents entre les auteurs et, pour le même auteur, entre deux études publiées à deux ans d’intervalle, la Fondation Polémia a souhaité faire un point objectif du coût annuel pour les finances publiques françaises de l’immigration en France en rappelant l’existence d’études anciennes élaborées par Jacques Bichot et Pierre Milloz il y a plus de dix ans. La difficulté d’un tel travail est qu’il repose sur des hypothèses et des choix par nature souvent discutables. Il n’existe pas dans ce domaine de vérité certaine et des chiffres exacts. En effet, les données chiffrées de l’immigration sont faussées en France par l’insuffisance des instruments statistiques, comme le souligne Madame Tribalat dans son livre Les yeux grands fermés (Denoël, 2010).

    Les yeux grands ouverts

    L’objectif du travail présenté ci-dessous est d’examiner et d’apprécier sur une année, comme le fait la monographie n° 27, la différence qui apparaît entre les recettes et les dépenses annuelles provenant du « stock » des immigrés en France comme peut le souhaiter tout citoyen et contribuable français qui dirait : Je veux et je suis en droit de savoir ce que me coûtera cette année cette immigration intensive qui me perturbe ; quant au très long terme, c’est probablement intéressant mais d’ici 2050 il peut se passer beaucoup de choses et des prévisions élaborées aujourd’hui peuvent être complètement démenties. C’est la raison pour laquelle l’approche est celle d’un pur constat statique des dépenses et des recettes annuelles de l’immigration, y compris, le cas échéant, de celles que J.-P. Gourévitch considère comme des investissementsIl convient, dans la mesure du possible, de tenir compte de tous les coûts et de toutes les recettes budgétaires annuels affectés par l’immigration, comme le logement et l’éducation, et non d’éventuels « surcoûts » marginaux. Enfin, cette étude se place bien au plan des recettes et dépenses budgétaires et non pas du point de vue macroéconomique de la contribution positive ou négative au PIB qui constitue une problématique différente.

    L’étude de Polémia procède tout d’abord à une analyse sommaire de l’écart entre les déficits significatifs des monographies n° 27 et n° 23. Il semble que la raison principale en soit une sous-estimation des recettes de l’immigration en 2010 d’environ 34Mds€.

    Pour comprendre la méthode de l’étude il est précisé que celle-ci suit la démarche de la monographie de 2012 de J.-P. Gourévitch pratiquement point  par point et fait l’objet de commentaires et éventuellement d’appréciations différentes pour évaluer le différentiel entre les dépenses et les recettes de l’immigration.

    Concernant les coûts l’étude a procédé à quatre types de travaux :

    • -écarter la notion de « surcoût » et retenir le coût total réel comme dans le cas du domaine carcéral pour lequel la monographie n’a retenu que le coût de son extension par la construction de nouvelles places de prison à hauteur de 0,040Mds€ alors que le montant du programme carcéral du ministère de la Justice a été de 2,821Mds€ en 2011. Autrement dit, l’immigration ne représenterait que 1,4% du montant du programme carcéral français !
    • -réévaluer en fonction d’informations récentes la base de certaines évaluations qui ont semblé relativement faibles. C’est le cas de la fraude aux prestations sociales et de la fraude fiscale ;
    • -tenir compte de secteurs importants de la dépense publique qui n’ont pas été pris en compte ou, si cela a été fait, d’une manière marginale. C’est le cas principalement du financement de la construction, de l’éducation, des transports qui sont considérés comme affectés par l’immigration. Ce n’est pas le cas de dépenses régaliennes comme la défense ou la diplomatie ou des dépenses de recherche ;
    • -recalculer les coûts, notamment sociaux, en fonction de nouveaux paramètres mais selon des principes semblables à ceux de la monographie.

    En revanche, il n’a pas été tenu compte de l’Aide publique au développement, contrairement à ce qu’a fait la monographie.

    L’étude des coûts débouche sur une augmentation de ceux-ci d’environ 75Mds€.

    D’un autre côté, la prise en compte des recettes fiscales de l’Etat et des collectivités territoriales et des cotisations sociales, recalculées, elles aussi, sur des principes identiques à ceux de la monographie mais en fonction de paramètres sensiblement différents, aboutit à une augmentation du total des recettes d’environ 20Mds€

    Au total, l’excédent des dépenses liées à l’immigration sur les recettes de même nature s’établit pour les finances publiques à environ 63Mds€. A ce montant il apparaît nécessaire de prendre en compte et d’ajouter les intérêts de la dette qui ont pour origine ce déficit qui pèse sur les finances publiques et donc sur la dette, soit 21Mds€, pour aboutir à un déficit final de plus de 84Mds€.

    Il convient de rappeler que dans plusieurs cas de l’étude qui pourraient engager des montants plus significatifs que ceux retenus, ce sont des évaluations modérées qui ont été retenues. Par ailleurs, il n’a été tenu compte que partiellement des dépenses des collectivités locales. L’établissement d’une fourchette haute pourrait aboutir à un déficit pour les finances publiques de près de 100Mds€.

    André Posokhow
    Consultant pour Polémia

    13/05/2013

    On lira l’étude d’André Posokhow dans son intégralité en cliquant ici

    Voir aussi :

    16 milliards d’euros : coût sécuritaire de l’immigration pour le budget français
    Coût de l’immigration : le débat continue 

    Le coût de l’immigration annuelle supplémentaire : 18 milliards d’euros

    http://www.polemia.com/84-milliards-cout-budgetaire-de-limmigration-selon-le-rapport-posokhow/

    * Cet article a été initialement publié le 14/05/2013. C’est l’été : Polémia ralentit ses mises en ligne de nouveaux textes et rediffuse de plus anciens avec un mot d’ordre : “Un été sans tabou”. Voici donc des textes chocs aux antipodes du politiquement correct, des réflexions de fond sans concession et à la rubrique médiathèque, des romans et des essais à redécouvrir.

     

  • Réforme du droit des étrangers : les pyromanes appliquent leur programme

    Merci au gouvernement d'avoir adressé un énième signal encourageant l'immigration illégale...   

    Nous sommes mauvaises langues d’accuser François Hollande de ne pas tenir ses promesses de campagne. La France est toujours en récession, la République n’est pas plus « apaisée » qu’exemplaire mais le planning des réformes « sociétales » est respecté avec la plus grande fermeté.

    La mariage homosexuel a été voté, nulle manifestation n’aurait pu s’y opposer ; le « gender » est en chantier et tout est fait pour que cette théorie s’impose dans les écoles ; quant à la réforme de la justice voulue par Christiane Taubira, elle s’appliquera à tous sauf à Anne-Sophie Leclère. Bref, Terra Nova et la fondation Jean-Jaurès sont satisfaites, le calendrier est tenu. La libéralisation s’impose tant dans les mœurs que dans le champ économique, avec l’annonce de la reprise des mesures préconisées par Jacques Attali dans son « Rapport pour la libération de la vie économique ».

    Pour faire suite à ces grands travaux de destruction de la France historique, et après le fameux « Rapport sur l’intégration » ou le CV anonyme, vient maintenant la réforme du droit des étrangers.

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  • Taubira aime les délinquants plus que les Français !

    Feu le pénaliste Jean-Pierre Delmas-Saint Hilaire – fondateur de l’Institut de sciences criminelles de Bordeaux et le premier à y avoir institué un cours de criminologie – avait coutume d’inaugurer son cours de droit pénal en faisant observer que la lecture du Code pénal renseignait fidèlement sur l’état plus ou moins permissif de la société, tandis que celle du Code de procédure informait de la valeur que ladite société accordait aux libertés.

    A cette aune, la société préparée par Christiane Taubira s’annonce comme un véritable un enfer.

    Le déconstructivisme au service de la haine

    C’est devenu un truisme d’affirmer que depuis l’arrivée de François Hollande et de ses troupes à la tête de ce qui reste de l’Etat, c’est le déconstructivisme qui règne à tous les étages. D’abord, déconstruction des réalisations du quinquennat Sarkozy ce qui tend à démontrer que la haine ad personam tient lieu de programme de gouvernement pour ces pieds nickelés de la politique. Ensuite, déconstruction sociétale avec l’instauration d’une contrefaçon de « mariage » inverti, preuve que les lobbys, fussent les plus minoritaires, constituent le vrai gouvernement du pays (relayant efficacement leurs homologues LGBT disséminés au sein des institutions européennes). La PMA (antichambre des revendications en faveur de la GPA) ainsi que le « statut du beau-parent », achèveront de renverser la famille. Déconstruction anthropologique, dès la petite enfance, avec les « ABCD de l’égalité », cherchant à délocaliser les sexes biologiques vers des appartenances de genres librement choisies. Sans oublier la déconstruction territoriale visant à rendre nos terroirs européo-compatibles. Et en attendant la destruction du lien unissant citoyenneté et nationalité par l’adoption du vote des étrangers, la dame Taubira, grande prêtresse des ligues des vertus antiracistes, nous concocte une réforme pénale sans précédent. Arrêtons-nous un peu sur les motivations profondes de cette dernière. La vérité oblige à dire que cette passionaria indépendantiste guyanaise (jusqu’en 2012, elle présida aux destinées du parti indépendantiste Walwari, qu’elle fonda près de vingt ans plus tôt) a un sérieux compte à régler avec la France, ancienne puissance colonisatrice, blanche et chrétienne au riche passé plurimillénaire. Les injures et autres lazzis dont elle est régulièrement la cible, sont à due proportion de la haine vomitive et venimeuse qu’elle voue à notre pays.

    Sa loi de 2001 imposant la thèse de la France esclavagiste, son refus d’entonner l’hymne national (sauf à ce qu’elle soit royaliste !), sa dilection pour les éléments les plus violemment antifrançais de nos riantes banlieues, sont autant d’indices concordants de sa détestation absolue de notre pays, de son peuple, de sa civilisation. Certes, elle n’est pas la seule à adopter une telle posture antinationale au sein du gouvernement (les laïcistes Peillon, Belkacem et Hamon, les francs-maçons tels Rebsamen ou Cazeneuve, la concurrencent avantageusement), mais elle est la seule à la porter à une telle incandescence dévastatrice. Mais il y a pire. Il est impossible de la critiquer. Par une odieuse mécanique rhétorique, elle neutralise d’avance toute contestation à son encontre par une assimilation a priori de celle-ci, à une attaque à sa propre personne, donc à du racisme.

    Trop de détenus ? Vidons les prisons !

    Il faudra pourtant bien sortir de ce processus infernal et totalitaire, proprement incapacitant et de nature impolitique. Son intention délirante de vider les prisons au nom de la lutte contre la récidive, en substituant l’enfermement par une pseudo « contrainte pénale » bien mal dénommée, doit être combattue avec force, 75% des Français estimant que cette prétendue réforme serait tout simplement nocive pour la société (sondage IFOP, octobre 2013). Sur cette folle lancée, elle s’apprête également à supprimer les peines planchers instituées par la majorité précédente, et à contraindre les collectivités publiques à octroyer des aides sociales aux condamnés (RSA, CMU, CAF…). Nos habituels gangs albanais, russes, asiatiques et africains écumant nos villes et campagnes ne pouvaient mieux rêver d’une telle bienveillante complicité au plus haut niveau de l’Etat ! Chez nos a-nationaux socialistes, le « social » sublime le crime et le criminel. Tel est l’avatar de la doctrine de la Nouvelle défense sociale prônée par Marc Ancel dans les années soixante-dix, d’où jaillit la « victimologie », cette méthode consistant à donner à la victime, non pas tant la place qui lui revient d’occuper par suite d’une atteinte injustifiée à sa personne ou à ses biens, que le rôle qu’elle aurait éventuellement joué dans cette atteinte, de façon à atténuer la responsabilité de l’auteur de l’infraction. La conséquence en est que l’absurde est érigé en politique pénale, suivant le poncif selon lequel la prison serait l’école du crime.

    Pour Taubira, le problème réside moins dans la pénurie des centres d’incarcérations que dans le nombre pléthorique de détenus. Comme le rappelle Philippe Bilger, « ce n’est pourtant pas la prison qui crée le crime, mais le criminel », expliquant que « ce qui permet à la gauche de s’abandonner à son penchant idéologique pour ceux qui troublent et transgressent (…) tient à cette banalité progressiste que, la condamnation édictée, les victimes ont eu leur dû ». Partant, Taubira est véritablement le symbole de cette gauche éthérée nourrissant une dilection particulière pour les superstructures idéologiques, tout en négligeant volontairement les infrastructures contingentes, c’est-à-dire, in fine, le substrat humain qui sous-tendent les premières. Sa (non) politique est tout simplement contre-intuitive, l’utopie achoppant inexorablement sur le réel.

    Aristide Leucate - L’AF 2890 - lactionpolitique.hautetfort.com

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Taubira-aime-les-delinquants-plus

  • Pas de repas hallal en prison

    La Cour administrative d’appel de Lyon vient d’annuler un précédent jugement du tribunal administratif de Grenoble, qui avait été saisi par un détenu, datant du 7 novembre 2013, obligeant le directeur du centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier, dans l’Isère, à servir des repas hallal.

    La Cour a simplement estimé que « compte tenu de la possibilité pour les détenus de bénéficier de repas sans porc ou de repas végétariens, de la possibilité de disposer de repas adaptés lors des principales fêtes et de la possibilité d’acheter de la viande hallal par l’intermédiaire de la cantine, un juste équilibre était ménagé entre les nécessités du service public et les droits des personnes détenues en matière religieuse ».

    Elle s’est contenté de suivre l’avis du rapporteur public qui avait demandé l’annulation du jugement incriminé le 2 juillet dernier, qui avait réclamé de suspendre « provisoirement » le jugement du tribunal à cause du « coût financier et organisationnel élevé »

    La moindre des choses en France… Il ne viendrait pas à l’idée d’un Chrétien occidental emprisonné en Arabie Saoudite d’aller réclamer du poisson le vendredi…

    http://www.contre-info.com/

  • Silence médiatique sur l’agression des rugbymen à Millau…

    À Millau, dans les Midi-Pyrénées, des rugbymen clermontois ont été agressés sans raison par une bande armée de couteaux, sabres et machettes.   

    Méthode de propagande numéro un : l’occultation. Principe de base : communiquer l’information sous des dehors objectifs, tout en dissimulant les éléments délicats, même (et surtout) s’ils mettent en lumière l’insoutenable complexité de l’être : ceux qui écorchent le mythe de la société plurielle baignant dans la béatitude du Grand Mélange, ceux qui pourraient réfuter la thèse de l’immigration providentielle et toute-bienfaisante, etc.

    Les faits : à Millau, dans les Midi-Pyrénées, des rugbymen clermontois ont été agressés sans raison par une bande armée de couteaux, sabres et machettes. L’ « altercation », qui a mené trois sportifs à l’hôpital, « serait due à la volonté d’un des trois joueurs blessés de s’interposer pour éviter une dispute conjugale ». Point. Ne rien ajouter à cette relation qui serait de nature à réveiller les démons populistes. Ne pas s’étendre sur la forme de cette agression « d’une rare violence ». Ne pas épiloguer sur l’usage tout pyrénéen de la machette. Éluder. Tronquer. Couper au montage.

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  • Civitas rappelle que les Français n’ont pas à choisir entre le keffieh et la kippa

    Voici un communiqué de Civitas qui ne manquera pas d’animer les débats !

    Choisir entre le keffieh et la kippa ?

    Les événements nationaux et internationaux des derniers jours méritent une analyse et un positionnement clair.

    Sionisme gouvernemental

    Il est devenu insupportable de constater ce sionisme gouvernemental dégoulinant qui amène François Hollande, chef de l’Etat français, à soutenir officiellement l’offensive militaire israélienne à Gaza malgré le bombardement volontaire de la résidence du Consul de France à Gaza par l’armée israélienne.

    Milice juive

    Il n’est pas admissible que la Ligue de Défense Juive (LDJ), véritable milice communautaire, puisse continuer en toute impunité à se livrer à des violences assumées avec cynisme dans la communication officielle de la LDJ sur les réseaux sociaux. Il saute aux yeux que des mouvements nationalistes ont été interdits pour bien moins que cela.

    Bandes urbaines

    Il n’est pas acceptable que de la destruction de mobilier urbain, des incendies de voitures, des pillages de commerces – bref des émeutes – soient commis par des bandes urbaines qui abusent de la cause palestinienne pour chercher à couvrir d’un vernis politique leurs actes de vulgaire délinquance.

    Islamistes fanatiques

    Il n’est pas tolérable qu’à l’occasion des manifestations pro-palestiniennes, des islamistes fanatiques déploient sur le territoire français la bannière de l’Etat Islamique en Irak et au Levant, organisation qui menace de mort les Chrétiens d’Irak.

    Médias et choc des civilisations

    Il faut aussi dénoncer le rôle des médias du système qui contribuent en permanence à cultiver le mensonge, à manipuler l’opinion publique et à créer les conditions d’un choc des civilisations tout en veillant à blâmer l’amour de la France, à émasculer les patriotes sincères, à empêcher tout authentique redressement national ainsi qu’à écarter systématiquement la possibilité pour les Français de retrouver dans l’ordre chrétien la solution à nombre de leurs problèmes.

    Ni keffieh ni kippa

    Plus que jamais, il convient de clamer que les Français n’ont pas à faire le choix entre le keffieh et la kippa. Ni les islamistes ni les sionistes n’ont la moindre intention de servir la France. Au contraire, tant les islamistes que les sionistes sabotent toute hypothèse de réconciliation nationale envisageable sur base d’une adhésion partagée au Bien commun, à l’ordre naturel et à l’amour de la France.

    La France est chrétienne et doit le rester

    Il est indispensable de répéter encore et encore que si la république maçonnique est laïque, la France véritable est catholique. Les Français ne peuvent espérer retrouver ni paix ni stabilité sans préalablement reconnaître les racines chrétiennes de la France et les bienfaits de la Chrétienté.  

    Alain Escada, président de Civitas

    http://medias-presse.info/civitas-rappelle-que-les-francais-nont-pas-a-choisir-entre-le-keffieh-et-la-kippa/13266