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immigration - Page 1421

  • Pourquoi le racisme anti-blancs est-il désormais au cœur du combat de la Licra ? par Gérald Pichon

    PARIS (NOVOpress) Comme il l’indique dans Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas, Gérald Pichon explique qu’après avoir été le grand tabou des médias et des politiques le racisme anti-blancs devient désormais l’objet d’une récupération politicienne mais aussi par des associations « antiracistes ». Une récupération dont les vraies victimes de cette haine, les Français de souche européenne, feraient les frais…

    Le 47ème congrès de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) sera consacré cette année à la « Nouvelle Donne contre le racisme et l’antisémitisme ». Nouvelle donne car, comme l’explique son président, Alain Jakubowicz, le combat antiraciste doit s’adapter « à l’évolution de la société » avec la fin de l’idéologie antiraciste de l’après guerre qui a formaté plusieurs générations élevées « avec l’idée que les minorités étaient consubstantiellement victimes » et « que les racistes et les antisémites étaient blancs, chrétiens et de droite. Tout ça a complètement explosé » (Actualité juive n°1245).

    Le raciste était forcément français/blanc
    La Licra s’apprête donc à opérer un virage important dans ses convictions idéologiques, elle dont l’ancien président, Jean Pierre-Bloch, déclarait en 1988 que « s’il s’agit de crimes, il y a en effet deux vitesses : quand le travailleur immigré tue un Français, il ne le tue pas parce qu’il est français et blanc mais parce qu’il veut le voler. Quand un Français tue un immigré, il le tue parce qu’il est arabe ou immigré. Et c’est là le racisme » (La France et ses immigrés, Ménie Grégoire). Il figeait ainsi pendant des décennies sur les tables de lois de la pensée unique, la vision manichéenne du Blanc forcément raciste et des extra-Européens forcément victimes.

    La Licra s’adapte au glissement politique vers la droite de la communauté juive
    Se déclarant désormais apolitique et ouverte à tous, la Licra est la continuité de la LICA (Ligue internationale contre l’antisémitisme, le changement de nom date de 1979), « un groupement juif à vocation unitaire fortement ancré à gauche » (Des hommes libres : Histoires extraordinaires de l’histoire de la Licra, Jean-Perre Allali-Haim Miscant). Mais à mesure que la communauté juive a glissé vers la droite, la Licra s’est adaptée à cette nouvelle donne, quitte à changer son fusil d’épaule en dénonçant non plus l’antisémitisme d’extrême droite, mais celui arabo-musulman et le silence complice de la gauche.

    L’électrochoc de la seconde Intifada
    Jusqu’à la fin des années 1990, la communauté juive a « toujours massivement soutenu la gauche : 43% des juifs votent pour les socialistes, 1% pour l’extrême gauche, 41% se définissaient au centre et 14% de droite, enfin 1% d’extrême droite. » (OPA sur les juifs de France, Cecilia Gabizon-Johan Weisz). La deuxième Intifada en octobre 2000 se solde par 120 actions violentes (synagogues incendiées, agressions, etc) contre des cibles juives (en 1999 : 9).

    La communauté juive se sent abandonnée face aux musulmans
    Plus que la violence, c’est le silence de la classe politique de gauche qui entraîne un sentiment d’abandon de la communauté juive, se sentant trahie au profit des Arabo-Musulmans. L’idée est que le rapport du nombre jouerait en la défaveur des juifs de France. « Le côté démographique ne sera pas à notre avantage. Est-ce qu’on veut se battre contre des gens cent fois plus nombreux que nous ? (…) Est-ce que nous devons subir le fait qu’il y a cinq, sept voire millions de musulmans en France », déclare Serge Hajdenberg, président-fondateur de Radio J en 2004 lors d’une conférence sur « l’avenir des juifs de France » (OPA sur les juifs de France, Cecilia Gabizon-Johan Weisz).

    La recherche de nouvelles alliances : Occident contre islamistes
    Au début des années 2000, une partie de la communauté juive va chercher de nouvelles alliances auprès de la droite, voire même de l’extrême droite. Au nom de la lutte contre l’islamisme (« ici comme en Israël ») et de la défense de l’Occident (Europe+Israël+Etats-Unis), de nouvelles personnalités vont dépasser par la droite les instances communautaires et obtenir une écoute attentive de la part des juifs des classes populaires.

    Le rôle de Gilles-William Goldnadel
    Gilles-William Goldnadel est l’une d’entre elles. Issu des milieux souverainistes et s’assumant en « juif de combat » qui « défend Israël de manière tribale », il va faire converger la lutte contre l’antisémitisme à la lutte contre le racisme anti-blancs. Pour l’auteur de Réflexions sur la question blanche : Du racisme blanc au racisme anti-blanc, « Israël, avec Tsahal, est devenu pour son malheur médiatique le dernier des maudits Blancs. Un Blanc au carré ! Le drame du Juif, c’est sa boiterie face à l’histoire : à l’époque du nationalisme triomphant, il était apatride, et voilà qu’à l’heure du “dénationalisme” il est celui qui défend bec et ongles un Etat-nation occidental. L’anachronisme juif ! Là est le vertige : j’ose suggérer que, pendant que le Blanc se faisait juif par tropisme victimaire, le Juif – l’Israélien et, par procuration, tous les autres -, se faisait blanc. »

    Un mouvement sioniste de gauche lance le débat médiatiques sur les « ratonnades anti-Blancs »
    En mars 2005, les manifestations lycéennes en plein cœur de Paris sont attaquées par des bandes ethniques agressant et lynchant des manifestants à cause de la blancheur de leur peau. Le nombre de victimes comme la violence des agressions obligent, pour la première fois, les médias, comme le quotidien Le Monde, a évoqué ce tabou. Pour dénoncer ces « ratonnades anti-blancs », le mouvement « juif, sioniste et socialiste » Hachomer Hatzaïr et la radio communautaire Radio Shalom lancent un appel signé par plusieurs personnalités pour dénoncer le fait que « des lycéens, souvent seuls, sont jetés au sol, battus, volés et leurs agresseurs affirment, le sourire aux lèvres : “parce qu’ils sont Français”. (…) On a parlé de David, on a parlé de Kader mais qui parle de Sébastien ? »

    Pourquoi cette prise en compte de la haine antiblanche ?
    Voici par ordre d’importance les motivations poussant les instances communautaires à faire cet aggiornamento idéologique :

    1. Garder une crédibilité face au caractère massif du phénomène de la haine antiblanche
    2. Pour contrecarrer le sentiment d’abandon et face à l’éclatement communautaire français, chercher des alliés.
    3. Associer Israël. Faire passer cette idée : les Israéliens et les Gaulois ont le même ennemi.

    Gérald Pichon http://fr.novopress.info/

  • Femmes européennes : Le tabou des viols racistes

    Auteur de « Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas », Gérald Pichon revient longuement dans son ouvrage sur les viols racistes dont sont victimes les femmes européennes. Car « trop blanches » pour être entendues et « trop seules » pour être défendues, elles sont des proies faciles pour les bandes ethniques.

    Quand on traite ce genre de sujet, il faut éviter de tomber dans le fantasme et voir des motivations racistes à l’encontre des «Gauloises », chaque fois qu’un de ces actes ignobles se produit. Majoritairement, les viols se déroulent en effet dans un cadre familial ou entres membre d’une même communauté. Mais on ne peut pas nier que certains violeurs s’en prennent aux femmes blanches avec des motivations clairement racistes, notamment lors des fameuses « tournantes », mot de la novlangue médiatique pour cacher le véritable terme de viol collectif.

    Le tabou des babtous

    D’ailleurs, les viols racistes en Europe pourraient être définis comme le tabou dans le tabou de la haine antiblanche. Il est en effet impossible d’avoir des chiffres officiels, aucun homme politique et aucun média en France n’a évoqué ce sujet. Et pourtant… En se basant sur la face émergée des faits divers dont les journaux se font écho, on peut estimer à plusieurs milliers le nombre de femmes européennes violées chaque année à cause de la blancheur de leur peau.

    Trop blanches

    Depuis le début des années 1990, on assiste à une explosion du nombre de viols, notamment des viols collectifs, aggravés souvent « d’actes de barbarie : séquestration, coups, brûlures », comme pour humilier encore plus les victimes. Mais aucune statistique ethnique des violées n’est venue infirmer ou confirmer la déclaration de Julien Dray, fondateur de Sos Racisme et porte-parole du PS, sur le fait que les « incendies de voitures, rackets, viols. Les violences prennent de préférence pour cibles les “Babtous“, c’est-à-dire les Blancs. » (livre : Etat de violence).

    Par contre, l’origine communautaire des violeurs est connue grâce à une étude du docteur Patrice Huerre. Selon « un échantillon de 52 expertises psychiatriques portant exclusivement sur des auteurs de viols, agressions et attentats à la pudeur commis en réunion », les auteurs étaient à « 52% originaires des pays du Maghreb, 20% d’Afrique noire, le restant des sujets étant issu de familles d’origine française ».

    Trop seules

    Car ce que les Français de souche et les Européens ont oublié, c’est que le bien le plus précieux d’un peuple ce sont ses femmes. Et comme leur communauté est incapable de les défendre, bon nombre de « Gauloises » sont la proie des prédateurs. Comme Laëtitia, habitante de la cité des Minguettes à Vénissieux, qui déclara dans un reportage du journal de 20h de TF1 avoir peur d’être « victime d’une tournante », car elle s’estimait « être une proie facile » en tant que « Française », avant d’ajouter « qu’elle aurait aimé être une Maghrébine et avoir un grand frère » pour « avoir du respect ».

    Et ce cas n’est pas isolé, car les filles que leur clan et leur communauté ne protègent pas sont réellement en danger. Corinne, blonde aux yeux clairs, interrogée par le quotidien Le Figaro, fait la même réflexion : se convertir à l’islam « pour avoir la paix ». Car, comme le note la journaliste « les Gauloises » sont « considérées comme des filles faciles », et « subissent un véritable racisme ».

    Il viole 15 femmes pour « humilier les Blancs »

    Le magazine Envoyé Spécial avait suivi il y a quelques années le procès de victimes d’un violeur en série. Dans ce reportage, on apprenait 2 choses : la première, que le violeur, un jeune Africain, avait violé 15 jeunes filles blanches et blondes à cause de la couleur de leur peau et la deuxième, on l’entendait lors du procès déclarer textuellement qu’il agissait  pour « humilier les Blancs ». Ces faits n’ont jamais été reconnus comme des actes racistes par la justice et comptabilisés comme tels par les rapports de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH).

    Citons encore le drame de Delphine, violée à 13 ans par une trentaine de racailles [vidéo à voir jusqu'à la fin !] :

    http://fr.novopress.info

    Source : le webzine féminin Belle et rebelle.

  • Arizona vs États-Unis

    Près d'une dizaine d'États - de la Pennsylvanie à la Caroline du Sud en passant par l'Oklahoma, le Texas et le Missouri, pour ne citer que ceux-là vont bientôt se lancer dans une guerre politico-institutionnelle contre Washington-la-hautaine, contre l'insatiable Potomac, bref contre les autorités fédérales accusées d'irresponsabilité, d'inertie, voire de trahison. Objet du conflit : l'immigration illégale, devenue aux États-Unis une invasion qui n'ose pas dire son nom. Cadre du conflit : la subtile articulation de ce cher et vieux fédéralisme qui est l'arbre de vie du pays. Né dans l'esprit des légistes avec les premières cités de l'homme, le fédéralisme s'est imposé dans tous les continents comme un système fragile, utile, parfois même indispensable. Le Français en ignore souvent tout pour avoir vécu depuis des dizaines de générations, dès la sortie du Moyen-Âge, dans des structures étatiques pétries de centralisme organisateur - Tocqueville l'a magistralement montré - d'où l'œil royal, impérial puis républicain veilla à la marche des affaires publiques jusqu'aux moindres détails.
    À l'inverse, l'Américain passe son existence à cheval sur deux États : celui de son quartier, l'immédiat, le fédéré, le charnel qui devient sa petite patrie ; et l'autre, celui dont s'étourdit la presse, le lointain, le fédéral, le mythique qui a fini par devenir sa lancinante obsession. En principe, ces deux types d'États ont des pouvoirs qui s'équilibrent et des devoirs qui se complètent : le fédéral gère les problèmes nationaux tandis que le fédéré se penche sur la besogne quotidienne. Chacun son domaine. Mais dans les interstices laissés par ces deux énormes meules qui ne tournent pas dans le même sens ni toujours dans le même but, se glissent - suprême astuce des Pères fondateurs - les libertés citoyennes d'autant plus réelles qu'elles profitent de l'imbrication souvent aléatoire et parfois contestée d'un double mécanisme compliqué. Lorsque les deux meules s'opposent, aux étincelles qui en résultent s'éclaire l'électeur et se chauffe le frondeur sommeillant en lui. Car c'est bien à une véritable fronde que nous assistons. Mais contrairement à celle jadis phagocytée par Mazarin, il n'est pas certain que Washington sorte vainqueur de celle-ci.
    Cette fronde a toutes les allures d'un défi et, comme beaucoup de révoltes, commence par l'initiative d'un téméraire. Car si le groupe d'États dressés désormais contre Washington s'étoffe de mois en mois, l'affaire à ses débuts consista en un « coup de gueule » solitaire, une sorte de « ras-le-bol » clamé par une citadelle sans défense sur des marches sans illusions quant à la rapacité du tiers-monde. Ce faux glacis traversé par toutes les impostures se voit planté par dérision dans un superbe décor à la Buzzati, un décor d'épopée : au pied de murailles béantes, la sécheresse mystérieuse et angoissante du "Désert des Tartares" s'enfonce dans l'hispanité comme pour mieux en aspirer les hordes vengeresses. Cette victime expiatoire de toutes les trahisons fédérales, c'est l'Arizona. Ce repaire de frondeurs exaspérés, c'est encore l'Arizona. Cet audacieux qui alluma la mèche de la sédition, c'est toujours l'Arizona : une aridité lunaire plongée dans une étuve saharienne que quelques oasis peignent en vert le long d'une frontière barbelisée par habitude et poreuse par négligence.
    L'État occupe les premières loges au théâtre des invasions mais doit se contenter du poulailler dans les débats sur l'immigration. Cette injustice provoqua une fermentation des esprits qui dure depuis un quart de siècle. C'est beaucoup, vingt-cinq ans, lorsqu'on voit pénétrer chaque jour des centaines de clandestins dont l'impunité génère autant de trafics que d'exactions. C'est trop, vingt-cinq ans, lorsqu'on mesure l'inertie du Congrès, l'apathie de la Maison-Blanche et l'hypocrisie de l'administration. Plus d'une dizaine de réformes furent mises en chantier afin d'endiguer les flots d'étrangers. Toutes bénéficièrent en apparence des meilleures intentions parlementaires. Et toutes sentirent le souffle bienveillant de l'autorité présidentielle. Mais toutes finirent dans les mouroirs institutionnels. D'un côté un arsenal sans consistance, de l'autre une menace quotidienne ; d'une part une lâcheté quasi générale, de l'autre des prédateurs enragés. Au milieu de ce nauséeux combat, l'Arizona, seul ou presque, exposé à tous les coups sans pouvoir en rendre, sacrifié sur l'autel du politiquement correct avec devant les yeux son image - terrible image renvoyée par tous les miroirs : le sas de la honte.
    L'Arizona brisa les miroirs accusateurs avant de métamorphoser son insupportable visage. Puisque le pouvoir fédéral stagnait dans l'incurie, les instances fédérées avaient le droit de se substituer à lui ; Phoenix prenant le pas sur Washington. En somme, une guerre de capitales. Mais une guerre (presque) prévue par la Constitution. Celle-ci stipule en effet que « l'Union doit garantir à chacun des États non seulement la forme républicaine de son gouvernement mais aussi la protection de ses frontières contre l'invasion ». Nous sommes au cœur du débat. Depuis vingt-cinq ans, la Constitution est violée une centaine de fois par jour sur les bords du Potomac parce qu'au même moment, sur la façade méridionale de l'Arizona, une centaine d'illégaux parviennent sans obstacles à serpenter sous les barbelés. Ce viol obsessionnel électrisa Russell Pearce. Élu républicain au sénat de l'Arizona, Pearce rédigea un projet de loi réclamant pour sa « petite patrie » le droit d'exercer une défense légitime en l'absence de toute autre volonté hiérarchiquement responsable.
    Le texte fut voté par les deux chambres locales à une forte majorité et signé le 23 avril dernier par Madame le Gouverneur Jan Brewer. Celle-ci ne mâcha pas ses mots lorsque l'entourèrent les micros du prêt-à-penser. « L'Arizona, déclara-t-elle, vient de se doter d'un outil pour résoudre une crise que nous n'avons pas créée mais que le gouvernement fédéral a amplifiée en refusant de s'y intéresser lorsqu'il était encore temps. Nous avons été patients. Pendant des décennies, nous avons attendu que Washington agisse. En vain. La situation devenant intolérable, il a fallu trancher. » La loi entrera en vigueur le 31 juillet. Que veut-elle ? Faire pression sur les 500 000 illégaux comptabilisés par les différents shérifs afin de ne leur laisser le choix qu'entre un long séjour dans une prison américaine er le retour immédiat dans leur propre pays. Que prévoit-elle ? Des pouvoirs accrus aux forces de police : elles pourront désormais arrêter et demander ses papiers d'identité à toute personne suspectée, à cause de son apparence ou de son attitude, d'avoir pénétré clandestinement aux États-Unis. Les contrevenants seront expulsés. Et dans la même logique, ceux qui transporteront ou hébergeront des illégaux seront punis.
    Considérée comme un cinglant affront à l'ordre établi par la presse aux ordres et l'establishment aux fers, la nouvelle loi fut qualifiée de « fâcheux dérapage » par Barack Obama, d'« ignoble opération » par Eric Holder, ministre de la Justice, et de « mesure destructive » par Janet Napolitano, ministre de la Sécurité intérieure. Quant au cardinal Roger Mahony, ex-archevêque de Los Angeles, toujours en tête des gourous bien pensants, il a cru voir dans les efforts d'assainissement pris par les corps constitués de l'Etat rebelle des « techniques dignes du bolchevisme et du nazisme ». Cette emphase pavlovienne paraît grotesque face aux 72 % d'opinions favorables recueillies parmi les vrais Arizoniens, face également au vif intérêt suscité un peu partout par l'initiative de Pearce. Trois nouveaux États - l'Utah, la Géorgie et le Colorado - sont venus s'ajouter l'autre semaine à la liste déjà longue des frondeurs de l'Obamaland. Tous préparent un arsenal anti-illégaux. Et tous attendent le 31 juillet comme l'amorce d'une ère de reconquête. Sur celle-ci tirent déjà ceux qui estiment que le dispositif honni pèche par deux aspects. Il invite les agents de la force publique à une gigantesque chasse au faciès où régnera en maître absolu l'arbitraire raciste : faux. Les policiers ne pourront intervenir que si la personne suspectée d'être clandestine a déjà commis une faute ou un délit, par exemple un excès de vitesse, un feu rouge grillé ou un vol à la roulotte. Sans enfreinte au règlement, pas d'interpellation et donc pas de contrôle. Autre attaque : le dispositif inaugure un type de surveillance qui exige de l'étranger d'avoir toujours sur lui un papier d'identité : faux. On a oublié que depuis 1940, une décision fédérale oblige les non-citoyens à porter constamment sur eux un document prouvant la légalité de leur présence sur le sol américain, c'est-à-dire un document visé par les services d'immigration.
    Ainsi, dans ce domaine qui devient ultrasensible, l'Arizona n'a nullement innové. Il n'a fait que suivre Washington et le Congrès. Précieux atout pour les frondeurs qui devront ferrailler devant la justice. Et argument inestimable pour les candidats nationaux à l'élection législative de novembre prochain. L'Arizona comme État pilote : tout un programme.
    CHRISTIAN DAISUG PRESENT du 19 juin 2010

  • David Duke et les immigrationnistes - Diviser pour régner ; en se faisant haïr

  • Si je qualifiais BHL de néo-nazi, le parquet demanderait-il ma relaxe ? Par Jeanne Bourdillon

    Passionnée de droit, j’avoue que le dernier procès intenté par le Bloc Identitaire contre BHL [qui l'avait traité de néo-nazi] m’interroge. Rappelons rapidement le contexte. Mis hors de lui par la réussite des Assises Internationales sur l’Islamisation de nos pays, le « philosophe » avait commis, coup sur coup, deux articles vengeurs dans Le Point. La première semaine, il avait ciblé Bernard Cassen, le confondant avec notre fondateur Pierre Cassen, ce qui lui avait déjà valu, outre le ridicule, un procès, et un rectificatif humiliant dans un nouvel article paru la semaine suivante, intitulé « L’honneur des musulmans ».

    Nous n’ergoterons pas, dans ce deuxième article, sur une nouvelle confusion autour de Pierre Cassen, accusé par BHL d’avoir été lambertiste (organisation trotskiste très influente à Force ouvrière, la Libre Pensée et chez les francs-maçons), alors que notre fondateur n’a jamais milité dans ce groupuscule sectaire. Mais il est vrai que quand, comme BHL, on a fait rire la France entière en parlant d’un philosophe, Botul, qui n’a jamais existé, on n’est plus à cela près.

    Dans cet article, Botul-Levy classait le Bloc Identitaire comme « groupuscule néo-nazi ».
    Manifestement, le qualificatif n’a pas plu à Fabrice Robert et ses amis du Bloc Identitaire, qui ont décidé de traîner devant les tribunaux l’icone BHL. Le procureur ayant instruit la plainte, le procès se déroulait donc ce mardi 12 mars. C’est là que la passionnée de droit s’interroge. Alors que l’avocat du BI, Maître David Dassa Ledeist, demandait 15.000 euros de dommages et intérêts, estimant que « traiter quelqu’un de nazillon était outrageant et diffamatoire », le représentant de la République, Madame le procureur Diane N’Gomsik, a, si on en croit le compte-rendu de L’Express, demandé la relaxe du philosophe, au bénéfice de sa bonne foi.

    C’est ce passage qui, en droit, m’interroge. Si je comprends bien, on peut qualifier quiconque de « néo-nazi », si on peut prouver qu’on l’a fait de bonne foi. Dois-je comprendre, dans ce cas, que je pourrais qualifier BHL, moi aussi, de néo-nazi, à condition de pouvoir prouver ma bonne foi ? Si j’expliquais, par exemple, que BHL a contribué à mettre en place, en Libye, avec son ami Sarkozy, des rebelles financés par le Qatar, qui n’avaient qu’un seul objectif : y installer la charia. Même Les Guignols de Canal Plus, à l’idéologie pourtant proche de cette du philosophe, n’ont pu s’empêcher de se moquer de lui, dans cette vidéo intitulée « BHL charia Express ».

    Si je démontrais, ensuite, que la charia, donc la loi islamique, demande à ses disciples musulmans d’exterminer tous les juifs, avec des propos proches de ceux contenus dans Mein Kampf, d’Adolf Hitler.

    « Maudits, quelque part qu’ils [les juifs] soient acculés, ils seront pris et tués sans pitié. »
    Le Coran, sourate 33, v.61

    Si je montrais enfin que le racisme des jihadistes mis en place par BHL, faute de juifs sur place, s’est surtout exercé contre des travailleurs immigrés noirs, en amenant des preuves indiscutables :

    Si je démontrais, pour finir, à l’auteur de l’article « L’honneur des musulmans » que ceux à qui il rend hommage sont les meilleurs lecteurs de « Mein Kampf » dans le monde…

    Pourrais-je alors dire qu’en mettant en place un régime politico-religieux raciste, à l’idéologie très voisine de celle des néo-nazis quant à l’antisémitisme, BHL a tombé le masque, et montré qu’il était un néo-nazi ? Bien évidemment, je jurerais, devant le tribunal, que j’ai écrit cela de bonne foi, m’appuyant sur un raisonnement qui m’a semblé cohérent.

    Je serais vraiment curieuse de voir comment le tribunal qui, après la demande de relaxe du procureur, acquittera probablement BHL, pourrait, dans ce cas, me condamner, puisque chacun est égal devant la loi, et devant la justice de son pays.

    Mais bien évidemment, seul mon esprit curieux m’a amenée à de telles réflexions, et jamais je ne commettrai un tel article, eu égard au combat exemplaire (sic !) mené par le philosophe (sic !), tout au long de sa vie, contre la peste brune !

    Jeanne Bourdillon http://fr.novopress.info

    Source : Riposte Laïque.

  • Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?

    A la suite de notre dossier consacré la semaine dernière au scandale des subventions publiques, voici de nouvelles pistes pour aider le gouvernement à réaliser des économies conséquentes sans pénaliser les Français : inverser une immigration qui, chaque année, coûte au bas mot 17 milliards d’euros aux contribuables. Soit trois fois la somme que veut recueillir le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac.

    Le 2 mars dernier, Jean-Paul Huchon, président (PS) de la région Ile-de-France était l’invité du Bondy blog café, rendez- vous phare du site d’extrême gauche animé par des représentants de l’immigration. Dans l’ambiance cordiale, le robinet d’eau tiède coule à flots: oui, la « diversité » des banlieues mérite toujours plus de soutien de la part des pouvoirs publics; certes, les racailles sont avant tout des victimes marginalisées par une société frileuse; bref, il faut aider, aider, aider… Au détour d’une tirade lénifiante, Huchon se laisse cependant aller à un constat lucide: « Concernant les quartiers sensibles, on n’a jamais le sentiment d’en faire assez pour la banlieue… [Et ce] malgré les sommes considérables [ndlr: 90 milliards d’euros entre 1989 et 2012!] qui ont été déversées sur les différentes villes de banlieue avec ce que l’on appelle “la politique de la ville”. »

    De fait, cette gigantesque mise sous perfusion des populations résidant dans ce qu’il est désormais convenu d’appeler les « banlieues de l’immigration », n’a servi à rien. Sinon à faire augmenter les impôts des contribuables, qui, outre l’insécurité, doivent encore subir le racket fiscal. Ce constat de Jean-Paul Huchon, de manière plus générale, et au moment où le gouvernement cherche à réaliser 6 milliards d’euros d’économies, pose la question du poids de l’immigration sur l’économie nationale.

    Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?

    L’Express

    Le sujet préoccupe beaucoup les Français. La preuve avec le dossier qu’a osé « L’Express », le 14 novembre 2012, sur « le vrai coût de l’immigration ». Un sujet vendeur, assorti, en « une », de la photographie d’une musulmane voilée de pied en cap, accompagnée d’une enfant et se dirigeant vers… un guichet d’aide sociale! A l’intérieur, en revanche, changement de programme. Car si « L’Express » donne dans la couverture putassière, c’est bien sûr pour mieux rééduquer son lecteur, avec deux articles sur « ces bras qui rapportent » et une étude tentant de démontrer les bénéfices de l’immigration sur… la protection sociale!

    Quatre milliards de trop…

    L’ennui, c’est que « L’Express » a négligé toutes les enquêtes évaluant le coût de l’immigration de manière non apologétique. A la trappe donc, les travaux du pionnier Pierre Milloz, qui eut le malheur de travailler pour le Front national. A la trappe Polémia, malgré des travaux de qualité méritant au moins la discussion. Le démographe Jean-Paul Gourévitch, qui, depuis vingt ans, étudie l’impact de l’immigration en France et produit régulièrement des monographies faisant autorité sur le coût de l’immigration à l’attention de l’association Contribuables associés, voit son compte réglé en une phrase: « Ses travaux sont régulièrement cités par Marine Le Pen ». A la trappe en fin, les résultats du colloque organisé par l’Institut de géopolitique des populations, dirigé par Yves-Marie Laulan, homme de droite certes, mais néanmoins démographe et économiste ayant enseigné à l’ENA et à Polytechnique, après avoir travaillé au FMI et à la Banque mondiale, puis présidé le Comité économique de l’OTAN…

    De fait, la seule source de l’hebdomadaire était l’enquête réalisée par une équipe de l’université de Lille, sous la direction du sociologue de gauche Xavier Chojnicki. Au demeurant, il s’agit de l’unique étude estimant que l’immigration aurait un effet bénéfique sur l’économie, grâce à un prétendu apport de 12,4 milliards d’euros pour les finances publiques. A aucun moment, cependant, les journalistes ne soulignent que ce chiffre a considérablement été revu à la baisse par ses propres auteurs. Critiqué par Gourévitch, le professeur Chojnicki a en effet reconnu une erreur de calcul dans le quotidien « Le Monde » (12 avril 2011) et corrigé son diagnostic en le réduisant à 4 milliards…

    Quatre milliards de trop, d’ailleurs, car Gourévitch pointe impitoyablement les limites de cette étude: « La grande différence entre ses estimations et les miennes vient de ce qu’il se fonde sur des chiffres de 2005 et moi sur ceux de 2010 à 2012. Il fait également l’impasse sur les coûts de l’immigration irrégulière, les coûts de structure, les coûts sécuritaires, les coûts sociétaux et même la plus-value apportée au PIB par le travail des immigrés. »

    Gourévitch, lui, relève le coût de l’immigration clandestine, la prise en compte des enfants, l’impact de la criminalité, le cas des territoires d’outre-mer… Il dresse ainsi le bilan des dépenses engendrées par les immigrés. Puis il calcule l’ensemble des recettes fiscales et sociales auxquelles contribuent ces immigrés et leurs descendants directs de plus de 18 ans.

    On peut avoir des papiers et être un délinquant !
    Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?

    Contribuables associés – Monographie de Jean-Paul Gourévitch

    Pour poser les bases, Gourévitch – comme Jean-Yves Le Gallou ou Yves-Marie Laulan – a remis en question les chiffres officiels de l’INSEE, clairement sous-évalués. Selon lui, la France abrite 9,975 millions d’immigrés, soit 15 % de sa population. Chiffre auquel il faut additionner les enfants des immigrés, ce qui, en 2009, donnait une population d’origine étrangère de pratiquement 12 millions de personnes sur seulement deux générations. Soit, au minimum, 19 % de la population. En tout, ces immigrés réguliers rapporteraient à notre pays 83,4 milliards d’euros.

    L’ennui, c’est que cette même immigration légale occasionnerait 88,9 milliards de dépenses, soit un déficit de 5,5 milliards d’euros!

    Citons, par exemple, les 5,24 milliards d’euros de coûts de structure de l’ex-ministère de l’Immigration et de l’aide médicale d’Etat; 1,8 milliard d’euros pour l’accueil de 270000 étudiants étrangers; 6,1 milliards pour l’emploi et la réinsertion des immigrés (un chiffre à méditer au moment où explosent les pics du chômage des Français); 13,6 milliards d’euros de « coûts sociétaux et fiscaux » pour lutter contre le travail illégal, la fraude, la contrefaçon, la prostitution – car être un immigré en situation légale n’empêche en rien d’être un délinquant de droit commun; 29,9 milliards d’euros consacrés à la couverture santé d’immigrés spécialement venus sur notre sol pour se faire soigner gratuitement; et le pompon est décroché par les 31,2 milliards d’euros consacrés au minimum vieillesse, aux aides sociales en tout genre et aux allocations familiales… Les trois quarts des dépenses liées à l’immigration portant, de fait, sur la protection sociale qui fait désormais défaut à nos compatriotes en détresse.

    Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?

    Au total, les immigrés légaux ne rapportent à l’Etat que 61 % des aides sociales qu’ils reçoivent. Le reste étant à la charge du contribuable français, décidément très généreux.

    L’aide humanitaire ne sert à rien

    A ces sommes rondelettes, s’ajoute un déficit de 3,2 milliards pour l’immigration illégale. Là encore, il faut compter les frais de santé spécifiques aux illégaux non admissibles à l’aide médicale d’Etat (84,25 millions d’euros) ; ou la scolarisation gratuite des enfants d’immigrés irréguliers (56 millions d’euros). S’y ajoutent 125 millions d’euros consacrés à la lutte contre l’immigration illégale, comprenant les accords de réadmission dans les pays d’accueil (28 millions d’euros), la participation de la France au dispositif européen Frontex (14,8 millions d’euros) et l’ensemble des opérations de lutte ou de contrôle menées par le ministère de l’Intérieur (85 millions). Cerise sur le gâteau, voilà encore 206 mil lions d’euros supplémentaires pour les reconduites à la frontière.

    C’est fini? Pas du tout! « L’Etat et les collectivités locales consacrent 8,6 milliards d’euros à l’aide humanitaire et à l’intégration, explique Gourévitch. La rentabilité de ces dépenses est nulle – on ne note pas de réduction de la pression migratoire du fait de l’aide au développement des pays d’origine – ou difficilement mesurable, concernant la politique d’intégration ».

    In fine, l’immigration représente donc un coût net de 17,4 milliards d’euros pour la France. Soit le triple de ce que le gouvernement doit trou ver pour faire face à la crise! Et encore s’agit-il peut-être d’une hypothèse basse, puisque les estimations de Gourévitch ont donné lieu à une polémique avec Jean-Yves Le Gallou : selon ce dernier, il faudrait pratiquement doubler les chiffres de l’auteur de La France africaine!

    Une chose est sûre, l’immigration ne profite en aucun cas à notre pays. Dans Immigration, qualification et marché du travail (juin 2009, p. 37), une étude réalisée par le Conseil d’analyse économique – instance chargée de conseiller le premier ministre, donc peu suspecte de racisme ou de parti pris! – on peut lire que 1 % d’immigration supplémentaire représente 1,2 % de baisse des salaires français ! Crise ou pas, voilà qui devrait largement inciter des dirigeants de bon sens à inverser les flux migratoires.

    Patrick Cousteau 

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 13 mars 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?

    http://fr.novopress.info

  • Le Qatar soutient l'islamisation des banlieues françaises

    Le Qatar, avec le feu vert du gouvernement français, a créé un fond pour investir massivement dans les banlieues française. Ou comment assurer l’implantation islamiste dans ces dernières :

  • Islam : ce qu’Alain de Benoist ne veut pas voir…

    Alain de Benoist est indéniablement un grand penseur, un érudit universel, un esprit encyclopédique, un touche-à-tout de génie, bref, comme l’on disait dans les pièces de Molière, un « honnête homme ».

    L’auteur de ces lignes, bien que n’étant pas un zélateur de la mouvance « Nouvelle Droite », s’est, nonobstant, abondamment nourri de ses prolifiques travaux et continue d’ailleurs à s’y référer. Cependant, la dilection intellectuelle n’interdit pas d’éventuelles divergences. Il en est une, en l’occurrence, qu’il convient de soumettre à débat, tant elle est partagée par un grand nombre d’intellectuels voire de politiques ou de journalistes.

    Dans l’entretien qu’il a confié à Boulevard Voltaire, Alain de Benoist ironise et, semble-t-il, s’agace que l’on globalise l’islam au détriment d’une approche plus fine qui rendrait compte plus fidèlement de l’éminente complexité de la troisième religion du Livre. Et d’en conclure, péremptoire, que « mettre dans le même sac les problèmes de l’immigration, de l’islam, de l’islamisme et du djihadisme est la marque de fabrique des paresseux ». [...]

    Aristide Leucate - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net