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immigration - Page 1417

  • Contre l’immigration, une solution : la faillite !

    Ils n’étaient donc pas venus par amour de la paëlla, des courses de taureau ou de Cervantes… Et ils ne se sentaient aucune solidarité avec le peuple qui leur avait offert l’hospitalité.

    « Minute » l’avait annoncé dans son édition du 16 mai 2012: avec une crise ravageant autant son industrie que son système social – à quelque chose, malheur est bon – l’Espagne tenait apparemment le bon bout pour régler ses problèmes d’immigration.

    La preuve par la récente publication des statistiques officielles, publiées la semaine dernière: plus de 40.000 immigrés ont plié bagage rien que pour l’année 2011. Il n’y a pas encore lieu de crier victoire, mais c’est une première historique depuis que l’Institut national des statistiques (INE) mesure le nombre d’étrangers vivant dans le pays: les flux de l’immigration s’inversent. « La tendance est réelle, estime Andreu Domingo, sous-directeur du Centre d’études démographiques de Barcelone et spécialiste des questions migratoires. Une partie s’explique par les naturalisations, certes. Mais la crise provoque une chute brutale des arrivées et une accélération des départs. »

    Entre 2000 et 2010, les immigrés étaient passés de 924.000 à 5,7 millions

    Le changement est d’autant plus radical que l’Espagne battait tous les records d’arrivées ces dernières années. En 2007 et en 2008, elle a été le pays qui a reçu le plus grand nombre d’immigrés au monde après les Etats-Unis. L’immigration expliquait 90 % de l’augmentation globale de la population vivant en Espagne. Entre 2000 et 2010, le nombre d’immigrés est passé de 924.000 à 5,7 millions.

    206.000 départs  en 2012 !

    La situation est aujourd’hui totalement inversée. Le nombre d’immigrés a encore chuté en 2012, avec pas moins de 206.000 départs ! Cette baisse est particulièrement notable chez « les populations originaires de pays extérieurs à l’Union européenne » (c’est joliment dit).

    Apparemment, l’explosion du chômage, à plus de 26 %, et la hausse des prix de l’immobilier poussent les étrangers à fuir le pays. A la conjoncture économique, s’ajoutent les mesures d’austérité – gel des salaires, suppressions de nombreuses aides sociales et hausse des taxes – qui rendent le pays beaucoup moins « attractif ».

    D’autant que, d’après les experts, « l’économie parallèle et la solidarité familiale ne suffisent plus » à faire vivre ces familles.

    Une chose est certaine, cette inversion des flux migratoires prouve que les étrangers viennent par intérêt dans nos pays, dans le cadre de ce que le démographe Jean-Paul Gourévitch appelle « l’immigration à la carte ».

    L’exemple espagnol, avec son chaos, nous prouve aussi que, pour lutter efficacement contre l’immigration, il suffit de mettre en place les conditions d’une crise « artificielle » pour les étrangers, en coupant les pompes aspirantes que sont les aides sociales. Privés de perfusion économique, des immigrés partiront d’eux-mêmes.

    L. H.

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 2 mai 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Contre l’immigration, une solution : la faillite !

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  • Les État-Unis perdent leur peuplement d’origine européenne et tout s’exprime en termes de race

    Colloque de l’Institut de géopolitique des populations – 13 avril 2013
    Immigration et élections : la droite pourra-t-elle encore gagner ?
    Les État-Unis perdent leur peuplement d’origine européenne et tout s’exprime en termes de race
    Communication de Jared Taylor
    Journaliste politique américain

    La chute de l’Empire, c’est pour quand ?

    Si l’on en croit les preppers (les « survivalistes »), c’est pour bientôt. Au moins 8 millions d’Américains sont persuadés que l’Amérique va connaître sous peu un effondrement dû à une calamité telle qu’un ouragan, un séisme ou encore un effondrement de l’économie qui dégénérera en guerre civile.

    Pour Jared Taylor, invité par Yves-Marie Laulan, président de l’Institut de géopolitique des populations, le risque encouru par les Américains est tout autre : « Les États-Unis sont en train de cesser d’être un pays de peuplement européen. »

    En d’autres termes, les États-Unis perdent petit à petit et continueront à perdre leur population blanche au bénéfice d’une immigration galopante, à tel point qu’en 2044 cette population sera minoritaire. Mais, contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas la population noire, ancrée depuis de nombreuses décennies sur le territoire, qui se développe : elle est quasiment stable. Ce sont les Hispaniques qui rapidement deviendront majoritaires, provenant des pays de l’Amérique latine et plus encore du Mexique voisin, ceux que l’on appelle les mestizos.

    Evidemment, ce changement de population va modifier le mode de vie américain et notamment les conceptions politiques des Etats-Unis. Taylor rappelle certaines caractéristiques du bipartisme étatsunien peu conciliables avec les « mentalités politiques très marquées entre les races ». Par exemple « les Noirs et les Hispaniques sont majoritairement d’accord avec la discrimination prétendument positive à leur égard. 60% pensent qu’elle est nécessaire, tandis que seulement 20% des Blancs sont d’accord ». Il en est de même pour l’identification : « Quand on demande à des Hispano-Américains quelle est leur identité nationale ou ethnique principale, 51% disent que c’est leur pays d’origine : Mexique,  Guatémala, … 24% disent que leur identité principale est hispanique ou latino, et seulement 21% se considèrent américains. »

    Ces conceptions différentes influent inévitablement sur les résultats électoraux présents et surtout à venir. Lors des dernières élections présidentielles, les votes des Hispaniques qui se dirigeaient généralement vers les candidats républicains se sont déplacés pour une grande part sur le candidat démocrate Obama.

    À leur tour les républicains, ne pouvant pas se laisser ainsi déborder, se sont crus obligés de changer leur fusil d’épaule : « Ils ont décidé de faire appel aux non-Blancs » et surtout aux Hispaniques. Mais la manœuvre n’est pas facile : l’Hispanique pauvre ne va pas voter pour le républicain blanc, riche et appartenant à un parti qui « veut baisser les impôts sur les riches et diminuer les subventions sociales ». Taylor explique assez bien l’impasse dans laquelle les républicains se sont engouffrés.

    Sa conclusion est sans appel : « L’augmentation des non-Blancs pousse les États-Unis très nettement vers la gauche. Là, il n’y a aucun doute » et « Dans une société multiraciale, la politique en tant que telle, la politique des grandes idées, de la vision ou de la philosophie, cette politique s’efface devant la politique de race. »

    Taylor conclut d’une façon très pessimiste en voyant dans un avenir proche une Amérique majoritairement non blanche, souffrant de crises à répétition, ayant perdu tout sens politique.

    « Comparaison n’est pas raison », dit le proverbe, mais ne serait-ce pas un peu le cas de la France ?

     http://www.polemia.com

    Jared Taylor, journaliste, écrivain, fondateur et rédacteur en chef du journal American Renaissance, est une des personnalités les plus marquantes du vaste univers des think tanks conservateurs américains. Il a participé aux assises « Nationalité, Citoyenneté, Identité – La France en danger  » qui se sont  déroulées à Paris en mars 2012.
    Lire l’intervention intégrale de Jader Taylor en cliquant ici

  • Ne dites pas « clandestin » mais « sans-papiers » !

    Je vous parle d’un temps que les moins de 30 ans ne peuvent plus connaître ; l’école, en ce temps-là, faisait encore son boulot… L’éminent auteur Pierre Gaxotte avait déjà dénoncé que le plus grand fléau de notre monde était d’avoir volontairement changé le sens des mots… Fasciste ?

    Non, académicien.

    Molière doit se retourner dans sa tombe de voir traitée avec si peu de vertu la sémantique au gré des « modes et des mœurs ». Ainsi, ne dites plus un « clandestin », mais bien un « sans-papiers », car la préposition privative est bien plus touchante et a dédramatisé la réalité ; ne dites plus « avortement », mais « interruption volontaire de grossesse ». Interruption ? Oui, vous savez, comme ce mot qui rend elliptique la reprise de l’action par la suite. [...]

    Isabelle Surply - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Le clientélisme électoral

    Colloque de l’Institut de géopolitique des populations – 13 avril 2013 – Immigration et élections : la droite pourra-t-elle encore gagner ?

    Intervention de Françoise Monestier

    Chaque année, le gouvernement et les différentes collectivités territoriales (régions, départements, communes) arrosent les associations antiracistes et communautaristes afin d’acheter la paix sociale, la paix raciale, la paix civile ou, plus prosaïquement, les voix de ces nouveaux citoyens, devenus français pour inverser le cours de notre histoire millénaire.
    Le clientélisme électoral, ou comment caresser certains dans le sens du poil, a atteint des sommets le 19 août dernier, à l’occasion de la rupture du jeûne du ramadan. François Hollande, élu, il est vrai, grâce aux banlieues de l’islam (plus de 86% des Français d’origine musulmane ont voté Hollande au deuxième tour), a tenu à assurer les 8 millions de musulmans vivant en France de tous ses vœux de bonheur : « Je souhaite que cette fête du pardon, du partage et du souci de l’autre contribue à la concorde dont notre nation a tant besoin. » En revanche, les catholiques de France ont vainement attendu un tel message après la rupture du Carême chrétien pour les récentes fêtes de Pâques.
    Quelle meilleure définition du clientélisme donner que celle d’un élu socialiste de Marseille, Philippe San Marco, invité d’un colloque qui se tenait à Aix-en-Provence en 2003 ? « Le système clientéliste se développe lorsque des communautés fragiles ont besoin d’aides pour s’insérer. » Et de poursuivre, je cite toujours : « Une communauté d’origine étrangère, citoyens français de fraîche date, là c’est parfait. »
    « On voit bien comment, aujourd’hui, des Maghrébins ont été et font partie intégrante du système clientéliste. Il a fallu attendre que la jeune génération maghrébine se retrouve sur les listes électorales pour que, brutalement, des élus ouvertement racistes découvrent tout à coup que des noms à consonance maghrébine devenaient un électorat intéressant. » Tout est dit.

    Les affaires de Marseille et d’ailleurs
    Cet élu décrit mieux que quiconque les affaires de Marseille et ce clientélisme qui sévit en particulier dans les quartiers nord de la ville, devenus le sinistre laboratoire d’une diversité désormais ingérable, même si le préfet délégué à la sécurité de la ville, Alain Gardère, a le toupet de dire que « Marseille est une ville plutôt paisible ».
    Sylvie Andrieux, députée socialiste de Marseille, a été la seule à comparaître devant le tribunal correctionnel local pour complicité de détournement de fonds publics vers des associations fictives. Près de 750.000 € auraient ainsi été versés à des fins électoralistes à ces associations lorsque l’élue était vice-présidente de la Région, chargée de la politique de la ville. Des petits caïds des cités sensibles rongées par les trafics de drogue et les règlements de compte à répétition ont reconnu les faits et raconté comment l’institution régionale socialiste, dirigée par Michel Vauzelle, finançait leurs associations créées de toutes pièces, souvent sous des noms d’emprunt.
    La prévenue nie en bloc, bien que les enquêteurs aient retrouvé un tableau, annoté de sa main, indiquant les noms des associations à subventionner et mentionnant même, notez bien : « Très important. 80% à ce bureau de vote. » Le parquet a requis deux ans de prison avec sursis, sans compter une forte amende et cinq ans d’inéligibilité. Comme l’a dit son attaché parlementaire au juge Landau : « Le fait d’aider abondamment les associations est le résultat d’une stratégie politique ; les vannes sont ouvertes en grand dans un but que l’on peut qualifier d’électoraliste et de clientéliste. » En contrepartie des subventions, les petits caïds s’engageaient à faire voter socialiste et à remplir les salles de meeting.
    Que se passera-t-il d’ici le 22 mai, date du jugement ? Rien, sinon des morts dans les cités sous perfusion socialo-affairiste et des querelles entre les différents protagonistes des affaires phocéennes, tous complices dans ce soutien aux caïds arabo-musulmans.
    Marseille n’est pas la seule ville touchée par le phénomène : Lille, Paris, pour ne parler que des plus emblématiques, ne sont pas en reste. Bertrand Delanoë a, lui aussi, ses amitiés particulières avec ses potes pour lesquels il organise une fête du ramadan richement dotée. Quant à Martine Aubry, elle a récemment dansé à Alger sur des chants patriotiques du FLN, sachant très bien que pour être réélue maire en 2014, elle se doit d’avoir le concours des nombreux électeurs d’origine maghrébine inscrits à Lille. Quant à Claude Bartolone, il n’a pas manqué, lors d’un récent déplacement à Alger, de se recueillir au sanctuaire du Martyr, un geste que ne manqueront pas d’honorer ses électeurs afro-maghrébins, en passe de devenir majoritaires dans le « 9-3 ». Et n’oublions pas l’arrosage des caïds locaux imputé à Serge Dassault, le très droitier propriétaire du Figaro.

    Les départements sous assistance respiratoire
    Avant d’avoir tiré sa révérence dans les conditions que l’on sait, Jérôme Cahuzac a donné un petit coup de pouce à ses camarades socialistes du Conseil général de Seine-Saint-Denis devenus les pompes à finances sociales de la République. Ainsi, par un arrêté paru le 26 février 2013 au Journal officiel, celui qui était alors ministre du Budget a autorisé une avance de trésorerie au département qui a assuré une élection de maréchal soviétique à François Hollande. Comme le reconnaît le président du département, le socialiste Stéphane Troussel : « Le nombre d’allocataires du RSA a augmenté de 5% en 2012 et coûtera 335 millions en 2013, soit 20% du budget de fonctionnement. » Quant aux dépenses sociales de ce département, emblématique du nouveau visage de notre pays, elles seront en progression de 30 millions cette année.
    Une telle dérive illustre le dernier rapport de la Cour des comptes soulignant la fragilisation croissante des budgets départementaux, véritablement plombés par les dépenses sociales. L’exemple du 9-3 est patent et montre que ses allocataires du RSA, issus en majorité de l’immigration afro-maghrébine, se complaisent dans l’assistanat et ne veulent surtout pas perdre leurs avantages sociaux, souvent agrémentés par les profits de l’économie souterraine et illicite découlant de divers trafics, de cigarettes, de drogue ou de puissantes voitures volées, de la contrefaçon ou de la prostitution.

    Citons le géographe Christophe Guilluy qui rappelle dans les chiffres suivants : « Entre 1968 et 2005, la part des jeunes d’origine étrangère est passée de 22% à 76% à Clichy-sous-Bois, de 23% à 75% à Aubervilliers, de 22% à 74% à La Courneuve… »

    Les millions engloutis des banlieues
    Les six jours de grève de la faim entamés en novembre dernier par le maire de Sevran, l’écolo-communiste Stéphane Gatignon, donneront sûrement des idées aux copains, puisque l’édile a fait céder le gouvernement et obtenu cinq millions d’euros de subventions, alors qu’il n’avait plus un sou en caisse.
    Rappelons d’ailleurs que le ministre de la Ville, François Lamy, a obtenu une hausse historique de la dotation de développement urbain (DDU) bénéficiant aux 100 communes les plus nécessiteuses.
    Ces communes ne méritent cependant pas le terme de pauvres si l’on en juge par les équipements (stades, piscines ou autres médiathèques) dont elles bénéficient mais elles peuvent très bien partir en fumée comme lors des émeutes du ramadan en 2005… si l’on en juge également par les cylindrées de luxe circulant dans ces banlieues. Mais le phénomène est le même à Roubaix, à Vaulx-en-Velin ou au Mirail à Toulouse…

    Le scandale des subventions
    Chaque année, la foire aux subventions et la distribution de la manne publique s’organise au niveau de l’Etat, des régions, des départements et des communes. C’est à qui sera le plus généreux avec les lobbies antiracistes et/ou immigrationnistes et toutes les associations qui, de près ou de loin, ont un lien avec l’islam.
    Près de 34 milliards d’euros sont ainsi distribués. Le Jaune des Associations (trois gros volumes de plusieurs milliers de pages) récapitule toutes les largesses accordées par les ministères et autres secrétariats d’Etat. SOS-Racisme, France Terre d’Asile ou Act-Up sont largement servis mais les associations de défense des immigrés touchent le Jackpot et notamment l’AFTAM (Association pour les foyers de travailleurs immigrés) créée par feu Stéphane Hessel, qui a reçu près de 3 millions d’euros en 2010.
    Plus de 18.000 associations sont ainsi arrosées et surtout de nombreuses structures étrangères depuis la loi Mauroy du 9 octobre 1981 qui a exonéré la constitution d’associations étrangères de l’autorisation du ministère de l’Intérieur.
    Chaque année, la part réservée aux associations antiracistes augmente de manière significative. Ainsi, les fonds alloués à ces organisations sont en effet passé de 1,2 milliard d’euros en 2009 à un minimum de 1,5 milliard en 2010. Notons qu’il est difficile d’établir un chiffrage exact, tant les « faux nez » de ces associations sont légion.
    Du côté des bénéficiaires, citons l’association Ni Putes Ni Soumises, véritable place-forte du pouvoir socialiste en milieu allogène, qui vit de fonds publics à plus de 95% et joue souvent les agents électoraux dans les cités…
    1,2 million d’euros de subventions, qui dit mieux ? C’est le joli pactole touché par une mystérieuse Fondation « Femmes pour la Méditerranée » qui prétend mener des actions à l’intention des femmes du monde arabe, mais l’Annuaire de l’association de la loi de 1901 note que cette fondation n’a publié aucune annonce de quelque activité que ce soit. Bref, du vent. A moins que le fameux Printemps arabe n’ait suscité des vocations !

    Et du côté des clandestins ?
    Dans une de ses récentes monographies, Jean-Paul Gourévitch traite des surcoûts de l’immigration irrégulière, en clair des clandestins que le conseiller d’Etat Thierry Tuot, poisson-pilote du premier ministre, presse de régulariser en masse, selon l’adage bien connu que le clandestin d’aujourd’hui est notre concitoyen de demain et un électeur socialiste après-demain !
    Les chiffres cités par Jean-Paul Gourévitch font froid dans le dos. Les soins de santé pour les migrants irréguliers représentent 622 millions d’euros (sans parler des fraudes), auxquels on ajoutera la scolarisation de leur progéniture (122 millions d’euros), le coût des centres de rétention (79 millions d’euros), les reconduites à la frontière (675 millions d’euros) et d’autres babioles qui font grimper l’addition à 1,666 milliard d’euros.
    En 2002, la Cour des comptes, qui chiffrait déjà à 50 milliards la politique dite de la ville, dénonçait le scandale des subventions attribuées dans « une totale opacité » et préconisait l’arrêt de cette « machine sans compteur ». Arrêter d’urgence cette machine de plus en plus folle, voici une piste à creuser pour le gouvernement qui prétend vouloir réduire de 10 milliards d’euros notre déficit.
    Françoise Monestier 13/04/2013 http://www.polemia.com

  • Italie : Bilderberg, Goldman Sachs et les immigrés toujours au pouvoir

    ROME (NOVOpress ) – Giorgio Napolitano va avoir 88 ans et il a toujours été du côté du manche. À 16 ans, jeune membre des Gruppi Universitari Fascisti, il écrivait dans le journal du mouvement un hymne à la Wehrmacht : « L’Opération Barbarossa civilise les peuples slaves. Puisque notre fidèle allié est lancé à la conquête de la Russie, il y a un besoin absolu d’un corps expéditionnaire italien pour soutenir le titanique effort guerrier allemand, afin de faire prévaloir les valeurs de la Civilisation et des peuples d’Occident sur la barbarie des territoires orientaux ».

    À 31 ans, l’apparatchik Napolitano insultait les communistes italiens qui avaient osé prendre leurs distances avec l’invasion soviétique de la Hongrie. « L’intervention soviétique, outre qu’elle a empêché la Hongrie de tomber dans le chaos et la contre-révolution, a contribué de manière décisive, non pas seulement à défendre les intérêts militaires et stratégiques de l’URSS, mais à sauver la paix dans le monde ».

    En 2011, le président Napolitano n’avait pas ménagé son soutien à l’invasion de la Libye, soulignant « le devoir de l’Italie de rester en Libye au côté des autres pays qui ont écouté l’appel des Nations Unies ». C’est ensuite lui qui avait mis en place le gouvernement de la Goldman Sachs, présidé par le mondialiste Mario Monti.

    Réélu pour sept ans (aux applaudissements des mêmes journalistes de gauche qui trouvaient aberrant que le pape ne prenne pas sa retraite), le dinosaure libéralo-communiste n’a, pour une fois, pas changé de maîtres. Il a désigné comme président du Conseil Enrico Letta, membre du comité européen de la Commission Trilatérale, participant en 2012 à la réunion du Groupe Bilderberg aux États-Unis.

    Letta s’était en outre signalé, en septembre dernier, en revendiquant publiquement le patronage de la Banque Goldman Sachs. « Aujourd’hui, s’était-il félicité, Goldman Sachs reconnaît au Partito Democratico sa vocation européiste [sic] ainsi que l’autorité indispensable pour conduire une majorité de centre-gauche qui soit en état de gouverner l’Italie dans une des phases les plus dramatiques de son histoire. C’est un signal important. » Et Letta n’avait pas craint de saluer à cette occasion « le courage et la lucidité d’analyse » de la Goldman Sachs.

    Comme caution immigrationniste, Monti avait le catho-conciliaire Tartuffe-Riccardi, dont il avait fait son ministre de la Coopération internationale et de l’intégration. Letta a trouvé mieux encore en allant chercher la députée du Parti Démocrate, Cécile Kyenge Kashetu (photo en Une), d’origine congolaise, symbole vivant de la diversité.

    « Première ministre de couleur de l’histoire italienne », Kyenge Kashetu est connue pour son militantisme immigrationniste, notamment à la tête de la Rete Primo Marzo, qui organise chaque année « la journée sans immigrés » (censée démontrer les bienfaits de ces derniers). Dans une interview récente, elle avait annoncé que sa priorité était la réforme du code de la nationalité pour imposer le droit du sol. Et elle s’était réjouie : « L’idée d’une société métissée, sans distinction entre “nous” et “eux”, est toujours moins utopique. »

    À défaut d’avoir vu la « civilisation » des peuples slaves par son « fidèle allié » allemand, le dinosaure Napolitano entend bien « civiliser » l’Italie. Avec d’autres troupes.
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  • La guerre civile en Europe avant 2050 ?

     

    Depuis quelques années, je reçois de nombreux messages émanant d’une demi-douzaine de militants du Front National, qui se donnent beaucoup de mal sur Internet pour diffuser des informations et des commentaires. La principale motivation de ces propagandistes est la hantise de l’immigration musulmane et de toutes les formes de pression qu’exerce cette communauté, et surtout ses éléments extrémistes, pour la modification à leur profit de la culture française. Parmi ces militants, quelques-uns mettent en avant les «racines chrétiennes» de la France et de l’Europe et semblent croire que la renaissance du christianisme, et surtout du catholicisme, permettrait aux Occidentaux de faire échec à l’expansion de l’Islam. C’est une erreur dramatique, car elle aboutirait à transformer un problème ethnologique et démographique en guerre de religion. Je ne suis d’ailleurs pas sûr que ces militants soient plus catholiques que ne l’était Charles Maurras, agnostique notoire qui avait, dans les années 30, choisi de soutenir le catholicisme par tactique politique. Or, ce qui était déjà inopportun il y a 80 ans l’est encore bien davantage aujourd’hui.

     

    Cette erreur repose essentiellement sur une ignorance abyssale des véritables fondements de la civilisation occidentale et sur une ignorance non moins abyssale de la nature profonde et commune aux religions monothéistes nées au Proche-Orient et dont les deux premières, le judaïsme et le christianisme, envahirent l’Europe à la faveur de la décadence romaine, tandis que la troisième et la plus virulente, l’islamisme, est en train de le faire à la faveur de notre propre décadence et surtout d’une immigration étrangère que nos gouvernements semblent incapables de maîtriser. A ces deux ignorances s’en ajoute une troisième, encore moins excusable que les deux autres de la part de «nationalistes», puisqu’elle concerne la formation même de la nation française.

     

    Comme ces militants me semblent manifestement sincères et de bonne foi, j’aimerais, sans me faire trop d’illusions sur mes chances de succès, tenter de leur ouvrir les yeux sur des réalités historiques avérées qu’aucun honnête homme ne peut contester, sauf en se mentant à lui-même. Je les résume ci-après en 21 paragraphes, aussi succinctement que possible, bien que la plupart exigeraient de plus longs développements :

     

    1)  L’expansion du christianisme s’est très longtemps heurtée à la résistance des Gaulois, à qui cette religion étrangère semblait si aberrante qu’ils affublèrent du nom de «chrétien» les débiles mentaux, qualificatif demeuré jusqu’à nos jours dans la langue française sous la forme «crétin» (le terme médical «crétinisme» étant lui-même dérivé de «christianisme»). De la défaite d’Alésia jusqu’à la chute de l’Empire, les Gaulois ne cessèrent de se révolter contre l’occupant. De véritables armées populaires (les Bagaudes, terme celtique signifiant «combattants») mirent en échec le pouvoir romain de 283 à 311 et elles réapparurent à la fin du IVe siècle et au début du Ve. Bien entendu, les Romains disaient de ces révoltés qu’ils étaient des pillards et des brigands, ce que les historiens conformistes ont repris à leur compte sans examen.

     

    2)  Les Gaulois ne purent finalement être soumis au despotisme de l’Église romaine que par la faute de Constantin 1er (272-337), dont la fausse conversion au christianisme, opération de pur opportunisme politique, lui assura le soutien de l’Église, l’élimination de ses concurrents et sa domination sur tout l’empire romain. Ce prétendu chrétien fit assassiner son fils aîné Crispus et son épouse Fausta, en 326. Après l’avènement de Constantin, la collusion entre le pouvoir politique et le pouvoir clérical fut totale, amenant Constantin à faire du catholicisme la religion d’État.

     

    3)  La seconde grande trahison de l’esprit occidental fut celle de Clovis (466-511), lui aussi faux converti au christianisme par arrivisme politique, ce qui lui apporta le soutien de l’Église romaine pour installer sa dictature sur toute la Gaule. Cet assassin multirécidiviste fit exécuter tous ses rivaux, les chefs saliens et rhénans voisins, certains de ses anciens compagnons et les membres de sa propre famille qui auraient pu revendiquer sa succession contre ses fils, soit au total une dizaine de meurtres. Mais il semble qu’aux yeux du clergé catholique, son baptême chrétien l’ait lavé de toute faute.

     

    4)  Ce chef de gang sans scrupules est toujours célébré aujourd’hui par les catholiques français, qui veulent voir en lui le fondateur de notre nation. Cette absurdité est contredite par le fait indéniable que la première unité nationale de notre pays est due à Vercingétorix, qui la réalisa cinq siècles plus tôt, et l’on peut même affirmer qu’elle préexistait à la formidable entreprise de résistance anti-romaine du prince arverne, car comment celui-ci aurait-il pu susciter la formation d’une armée de secours autour d’Alésia, comprenant des contingents de toutes les tribus gauloises (au total 300.000 guerriers, chiffre stupéfiant pour l’époque), si celles-ci n’avaient pas déjà eu conscience de l’unité profonde de leur culture ?

     

    5)  Les prétendues «racines chrétiennes» de la France ne sont donc rien d’autre qu’une escroquerie intellectuelle entretenue par l’Église romaine. Est-il besoin d’être horticulteur pour savoir différencier une racine d’un greffon ? Le christianisme est un greffon oriental imposé à nos aïeux par la force et la ruse, grâce au concours successif de deux arrivistes sans foi ni loi : Constantin et Clovis. Charlemagne prit leur suite en imposant le christianisme aux Germains par la guerre. Il fit massacrer 4.500 Saxons qui refusaient le baptême chrétien. La peine de mort fut décrétée contre tous ceux qui voulaient demeurer païens. Prétendre que les Européens ont des «racines chrétiennes» est aussi absurde et mensonger que le serait de dire que les évangélistes afro-américains chanteurs de gospels ont des «racines chrétiennes», alors que le christianisme fut imposé à leurs ancêtres par les esclavagistes. Ce qui prouve à quel point il ne suffit pas d’être physiquement libre pour être délivré de ses chaînes mentales. Les chrétiens résiduels européens sont toujours des esclaves psychiques.

     

    6)  Les véritables racines du peuple français (comme des autres peuples européens), sont à rechercher dans les principes éthiques et philosophiques du paganisme, du polythéisme et du druidisme, honteusement calomniés depuis vingt siècles par les zélateurs de Rome, et de ce fait totalement ignorés des Français d’aujourd’hui, qui ont été littéralement amputés de leur propre Antiquité historique. Les monothéistes, qu’ils soient juifs, chrétiens ou musulmans, ne se rendent pas compte à quel point ils ont été «lobotomisés» dans leur enfance par des religions contre-nature qui n’ont cessé d’abaisser et d’humilier l’être humain pour le prosterner devant un Seigneur céleste imaginaire, au seul profit de pouvoirs despotiques soutenus par des clergés félons.

     

    7)  Les adeptes des trois cultes abrahamiques ont été persuadés par la propagande cléricale que le monothéisme est supérieur au polythéisme et qu’il était un progrès par rapport à lui, alors qu’il fut au contraire une tragique régression de la vraie spiritualité humaine, notamment européenne. Comme Nietzsche l’a clairement vu et affirmé : «Le polythéisme était une première image de la libre pensée, de la «polypensée» de l’homme.» Aussi n’est-ce pas un hasard si, de nos jours, les Français et les Européens tournent le dos au christianisme et retrouvent leurs vraies racines. (Plus de 50% d’entre eux déclarent ne pas croire en Dieu, les Tchèques arrivant en tête avec plus de 70%). C’est le seul continent où se produit ce phénomène, apportant la preuve que les Européens sont toujours en tête du progrès de la civilisation et de l’esprit.

     

    8 ) Le polythéisme ayant toujours été jugé comme archaïque, primitif et barbare, très peu d’Occidentaux, même libre-penseurs, sont aujourd’hui capables d’en apprécier la valeur philosophique et spirituelle. Pourtant, le professeur et ancien ministre Luc Ferry écrit dans son récent ouvrage «De Homère à Platon» (Edition Le Figaro/Le Point, sept 2012) : «Les philosophes (grecs) connaissaient admirablement la mythologie : c’était tout simplement la culture commune de leur temps et, sous une apparence littéraire, elle fourmillait déjà d’idées métaphysiques d’une profondeur inouïe.» Ces philosophes, notamment Aristote, considéraient les druides gaulois comme leurs pairs.

     

    9)  Les mythologies européennes (grecque, romaine, celtique, germanique…) sont effectivement nos vraies racines culturelles, et d’ailleurs elles fascinent toujours les esprits européens, même lorsqu’ils n’en saisissent pas toute la profondeur. Leur principal mérite était de placer l’homme au cœur de la nature et du cosmos, de le relier pleinement à tous les vivants animaux et végétaux de même qu’aux planètes entourant la nôtre. Les monothéismes, tout au contraire, s’acharnèrent à briser cette fraternité naturelle et cosmique et à conduire les humains au mépris des autres espèces et de leur propre corps ainsi qu’à la honte de leurs instincts les plus naturels.

     

    10) Les principaux dieux du polythéisme étaient en fait des transpositions des planètes du système solaire, qui portent toujours leurs noms, et, issus du savoir astronomique et astrologique des Anciens, ils symbolisaient l’influence des planètes sur les destinées terrestres et représentaient donc des types psychologiques humains. Aujourd’hui encore, les noms des jours de la semaine sont ceux des planètes : (Lundi, jour de la Lune, Mardi, jour de Mars, Mercredi, jour de Mercure, etc.). Dans l’antiquité pré-chrétienne, le premier jour de la semaine (et non le septième) était dévolu au Soleil et nous devrions le nommer Soldi, à l’instar des Anglo-Saxons qui le nomment Sunday, des Allemands qui le nomment Sonntag, des Hollandais qui le nomment Zondag, et non pas Dimanche (du latin «dies dominicus», jour du Seigneur), imposé par l’Église.

     

    11) La plus grande fête du monde païen était celle du solstice d’hiver (25 décembre), qui symbolisait la remontée du Soleil au-dessus de l’horizon et le début de l’allongement de la durée du jour. (No Hel, Nouveau Soleil en celtique, en grec Néo Hélios.) Cette fête était célébrée par tous les peuples de l’hémisphère nord depuis des millénaires avant Jésus-Christ. L’ Église romaine ne parvenant pas à éradiquer cette célébration naturaliste populaire, le pape Jules 1er, au IVe siècle, «décida» d’en faire la date de naissance de Jésus (ignorée à jamais). Cette usurpation eut pour principale conséquence de transformer une fête universelle en fête sectaire réservée à une seule religion, ajoutant un nouvel obstacle à la fraternité planétaire. Aujourd’hui, les musulmans radicaux boudent Nohel, qu’ils croient fête chrétienne, ignorant que c’est une fête concernant toute l’humanité, car le Soleil brille pour tous les hommes.

     

    12) Il est impossible de bien comprendre les rivalités politico-religieuses qui sous-tendent l’histoire du monde depuis l’Égypte ancienne, si l’on veut ignorer qu’elles sont le reflet terrestre de la rivalité céleste Soleil/Jupiter (ou Hélios-Zeus, ou Aton-Amon). Il faut savoir que Jupiter, la plus grosse de nos planètes, faillit elle-même «s’allumer» et devenir notre seconde étoile lors de la formation du système solaire. Les chrétiens d’aujourd’hui (de même que les juifs et les musulmans) seraient sûrement très étonnés d’apprendre que lorsqu’ils disent «Amen» (qu’ils traduisent par «Ainsi soit-il»), ils ne font que célébrer le nom légèrement déformé du dieu égyptien Amon, que les Grecs assimilaient à Zeus, et qui ponctuait les prières dans les temples pharaoniques.

     

    13) Au cours de la XVIIIe dynastie égyptienne (-1550 à -1292), un pharaon révolutionnaire du nom de Amenhotep IV (époux de la célèbre Nefertiti) changea son nom, qui signifiait «Amon est satisfait» en Akhenaton («l’Efficience d’Aton») et s’efforça de briser le despotisme que les prêtres d’Amon exerçaient sur le peuple égyptien. Mais ses réformes trop radicales échouèrent et son fils et successeur Toutânkhaton («L’image vivante d’Aton») dut y renoncer et changer son nom en celui de Toutânkamon («L’image vivante d’Amon»), avec lequel il est passé à la postérité. Certains auteurs ont présenté Akhenaton comme «l’inventeur du monothéisme», mais c’est une grave erreur.  Il voulait seulement redonner sa place légitime au Soleil (Aton), seul dispensateur de lumière et de chaleur, véritable père de la vie terrestre et inspirateur de toute créativité, dont le rôle avait été usurpé au bénéfice d’Amon.

     

    14) Tout ceci recouvre évidemment des rivalités politiques pratiquement éternelles entre les «solaires» (réformateurs, créatifs, individualistes, écologistes, libéraux, libertaires) et les «jupitériens» (conservateurs, cléricaux, jacobins, collectivistes, technocrates, autoritaires) qui se répartissent «transversalement» entre ce qu’on appelle aujourd’hui la «droite» et la «gauche», créant une confusion permanente au sein de laquelle aucun peuple ne peut «retrouver ses petits». Les prêtres romains de Jupiter traduisaient son nom par «le père du jour», usurpation évidente, le seul «père du jour» possible étant le Soleil. Le vrai sens de Jupiter est «le père du joug» (l’autorité absolue) cousin sémantique du mot jument, du latin jumentum (animal sous le joug).

     

    15) On voudra bien me pardonner ces incursions dans les grands mythes de l’Antiquité, mais elles m’ont semblé nécessaires pour faciliter aux esprits libres et ouverts la compréhension des grands courants religieux et politiques dont nous sommes tous les héritiers, le plus souvent à notre insu. Ce qu’il faut bien saisir, si nous voulons maîtriser et harmoniser l’avenir de notre patrie et celle de la civilisation occidentale, c’est qu’il est illusoire d’utiliser un monothéisme pour se préserver d’un autre. Les serviteurs de Jehovah, d’Allah ou de Dieu peuvent bien être concurrents ou rivaux, ils n’en vendent pas moins le même mensonge sous des emballages différents. Si vous en doutez, il vous est facile d’en avoir la preuve : demandez à un prêtre catholique s’il se sent plus proche d’un Européen athée que d’un musulman et vous serez édifié par sa réponse.

     

    16) J’entends dire aujourd’hui que l’Islam est la seconde religion de France. C’est une sottise. Cette religion ne concerne en aucune façon les Français. Elle est la religion des immigrés venus du continent africain et, en partie, de leurs descendants. Mise à part une infime minorité d’influençables, les Français et les Européens ne deviennent absolument pas musulmans. Les progrès de l’Islam en Europe sont uniquement dus au développement de la population d’origine musulmane, tant par l’immigration que par la natalité. C’est un phénomène démographique et nullement religieux. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les Français et les Européens, dans leur immense majorité, se désintéressent de toutes les religions, sauf peut-être, très minoritairement, du bouddhisme, qui est d’ailleurs une religion athée.

     

    17) Le fondateur de l’Islam, Mahomet, était dans sa jeunesse polythéiste. La Kaaba (qui signifie «Le cube») devenue le lieu sacré des pèlerinages musulmans, était alors, au centre de La Mecque, un lieu de prières et de cérémonies polythéistes, ce que la plupart des musulmans ignorent. C’est un moine chrétien qui initia Mahomet au monothéisme biblique judéo-chrétien et devina en lui l’étoffe d’un «prophète». Mais ce n’est que vers l’âge de 40 ans que Mahomet commença de prêcher «son» monothéisme, après l’échec d’une tentative d’union avec les juifs. L’Arabie était à l’époque en proie à l’anarchie et pratiquement ruinée. On peut supposer que Mahomet vit dans le monothéisme un facteur d’unité sociale et politique nécessaire aux Arabes. Après de longues méditations dans les grottes proches de Médine, il écrivit le Coran, en prétendant que celui-ci lui avait été dicté par l’archange Gabriel.

     

    18)  Toute religion naissante doit trouver un soutien populaire, et doit donc intégrer plus ou moins les coutumes traditionnelles existantes et s’adapter à la psychologie des peuples qu’elle veut soumettre à sa loi. C’est ainsi que le catholicisme romain dut s’adapter partiellement aux coutumes gauloises, soit en confisquant la fête de No Hel, comme nous l’avons vu précédemment, soit en adoptant, non sans réticences, le principe du libre arbitre soutenu par le moine celte Morgan (dit Pélage), auquel s’opposait violemment St-Augustin. Mais le libre-arbitre s’imposa finalement, étant pratiquement consubstantiel à la psychologie des Européens. Analogiquement, on peut dire que Mahomet édifia un monothéisme mieux adapté à la mentalité arabe que le judéo-christianisme. De même que Luther, à travers le protestantisme, adapta ce même judéo-christianisme à la psychologie des peuples germaniques.

     

    19)  Néanmoins, le progrès des sciences et de la connaissance de l’univers a rendu les trois monothéismes complètement obsolètes. Ce ne sont plus que des stratifications archaïques d’époques et de sociétés dépassées. Nos cathédrales sont d’admirables témoignages de l’architecture et des arts occidentaux de l’époque et elles appartiennent désormais à l’archéologie et à l’Histoire beaucoup plus qu’à la religion, à l’instar des pyramides égyptiennes ou des temples aztèques. Mais ce qui fait la force inquiétante de l’Islam, c’est que les populations musulmanes, extrêmement ignorantes dans leur grande majorité, n’ont pas eu leur Renaissance hellénique, ni leur «Siècle des Lumières», ni leur Révolution française et ont cinq siècles de retard sur les Occidentaux. En fait, les intolérances que nous reprochons aujourd’hui aux islamistes sont analogues à celles du catholicisme médiéval et de l’Inquisition, qui brûlait les hérétiques ainsi que les guérisseuses accusées de sorcellerie. Les musulmans ne sont sans doute pas plus sots que d’autres. Leur drame, c’est d’être anachroniques.

     

    20)  Le «printemps arabe» qui a débuté en 2010 a soulevé une grande espérance dans les nations musulmanes et dans le monde entier. Il pourrait permettre aux jeunes générations de ces pays d’effectuer un bond en avant culturel et philosophique les mettant à l’unisson des autres peuples. Mais les extrémistes religieux s’efforcent de récupérer à leur profit ce grand réveil et d’enfermer ses protagonistes dans une nouvelle camisole idéologique qui serait pour le monde arabe un véritable suicide intellectuel et moral. Si les islamistes réactionnaires parvenaient à leurs fins, la paix du monde serait en danger, car le choc des civilisations deviendrait inévitable. Que peuvent faire les Européens pour écarter ce risque ? Certainement pas se claquemurer dans les casemates d’un judéo-christianisme exsangue et moribond,  une sorte de «ligne Maginot» religieuse vouée à l’échec et que les islamistes pourraient d’ailleurs transformer en «cheval de Troie» à leur bénéfice, ce qui est évident quand on constate que les associations chrétiennes aident les immigrés clandestins musulmans à s’installer dans les pays européens au mépris des lois nationales.

     

    21)  Sous prétexte d’œcuménisme, d’humanisme et d’universalisme, l’Église romaine est toute prête à trahir l’Europe. Il va sans dire que le droit de vote accordé aux étrangers non européens que nous promettent les démagogues socialistes serait également ruineux pour notre identité. Les Européens, et notamment les Français, ne pourront assurer leur avenir que de trois manières : a) en rejetant ensemble les trois monothéismes rétrogrades à la fois rivaux et complices (ce qui n’exclut nullement la protection des minorités chrétiennes persécutées en pays musulman) et en guidant les jeunes générations arabes de tous pays vers la liberté de pensée et l’esprit démocratique, b) en fortifiant la laïcité et en ne tolérant aucune immixtion religieuse, notamment vestimentaire, dans la sphère civile et publique, avec expulsion immédiate de tout prédicateur de la charia, incompatible avec la République, c) en stoppant net toute immigration étrangère non européenne et en n’accordant la citoyenneté qu’aux immigrés présents qui auront donné des preuves de leur adhésion aux lois et aux valeurs républicaines ainsi qu’à l’Histoire et à la culture françaises placées au-dessus de toute dogmatique religieuse. Faute de quoi une guerre civile interethnique ensanglanterait fatalement l’Europe au cours des trente années qui viennent.

     

    Pierre LANCE

    29 septembre 2012

     

    Auteur d’une vingtaine d’ouvrages, Pierre Lance a publié notamment : Alésia, un choc de civilisations (Presses de Valmy) et Le Fils de Zarathoustra (Editions Véga/Trédaniel). Il dirige depuis plus de 30 ans la revue de prospective sociopolitique L’Ere nouvelle.

     

    Source : http://www.enquete-debat.fr/archives/la-guerre-civile-en-...

    http://fierteseuropeennes.hautetfort.com/

  • Aux a… urnes, citoyens !

    Contre un président de la république et un gouvernement tolérés par moins d'un Français sur cinq, nous exigeons la dissolution de l'assemblée et de nouvelles élections.
    "Aux a... urnes, citoyens!"
    Non pas dans l’esprit de marcher sus contre l'Autrichien venant au secours de Louis XVI, otage des révolutionnaires et bientôt martyr - ainsi qu'en appelait cette illustrissime girouette de Rouget qui, 22 ans plus tard, fera chanter "Vive le roi" pour célébrer la restauration de Louis XVIII - mais pour combattre, abattre et jeter bas des piédestaux du pouvoir l’énarchie actuelle qui préside si lamentablement aux destinées de notre Patrie.
    "Aux a... urnes, citoyens!"
    "Ils" se bousculent aux frontières... pardon, à celles de l’espace Schengen. Car la France n'a plus de frontières. Car la France n'est plus un état indépendant, mais une province asservie aux diktats de l'Europe de Bruxelles. Car la France n'est plus une nation souveraine, à preuve qu'elle n'a plus SA monnaie, obéit à des lois qui n'ont plus rien à voir avec son droit coutumier, n'aura bientôt plus d'armée et vendra peut-être la bombe à l'Iran, au Qatar ou, pourquoi pas à l'Algérie afin qu'ensuite, pour grande et définitive repentance, on la prenne sur la g..., paie un tribut au pouvoir supranational qui l'appauvrit au bénéfice d'autres "provinces" lesquelles, sans vergogne, s'empiffrent de la manne jusqu'au dernier euro et, néanmoins de nouveau impécunieuses, l'entraînent avec elles dans les abîmes de la ruine.
    Car la France n'est plus une PATRIE, notion de la plus haute élévation que nos envahisseurs méprisent et piétinent de leurs abjects panards « embabouchés ». Car la France n'est plus vraiment la FRANCE, quand ne sonnent plus dans les villes et villages les cloches de ses églises, et que répètent dans l'ombre islamique de leurs mosquées les muezzins impatients de déverser sur nous, du haut de leurs minarets, les insanités d'un culte étranger et que nous vomissons.
    Attila ravageant l'Occident, c'était hier; Troyes 451, les champs Catalauniques sont le prélude de sa fin.
    Le Maure fondant sur la France, c'était hier; Poitiers 732, Charles Martel, le vainc et le "fout" dehors.
    Le Maghrébin envahissant de nouveau la France, c'est aujourd'hui; Poitiers 2012, érection d’une mosquée...
    Les Albanais, les Kosovars, les Turcs... c'est demain la suprématie des hordes islamiques, les prémices de notre fin à nous, si nous continuons par trahison, forfaiture, collaborationnisme, impéritie, lâcheté, apathie, désintérêt, désunion, humanisme à la noix, à "offrir le cou aux égorgeurs d'Allah."
    Nous sommes pour eux des infidèles, des mécréants, dont ils veulent l'éradication? Ils sont pour nous comme une pourriture, dont une bonne lessive nous débarrassera.
    Jeanne d'Arc, bientôt célébrée, a bouté les Anglais hors de France; nous "foutrons" les islamistes dehors, demain ou après-demain, qu'importe! Nous y parviendrons.
    "Aux a... urnes, citoyens!"
    Contre un président qui n'a cessé de mentir durant sa campagne électorale afin de mieux circonvenir l’électorat, qui ne tient aucune de ses fallacieuses promesses, (il fait mieux en la matière que Sarko et c’est tout dire!) et qui, somme toute, est pire que son ministre Cahuzac en fait de duplicité. (Encore que, pour le second, il ne soit question que de fric, quand le premier est coupable, entre autres vilenies, de crime de lèse-concitoyens, et parmi ceux-là spécialement les " beaufs" qui n'ont voulu voir ni entendre, bienheureux simples d'esprit qui ont voté pour lui.)
    Contre un autocrate sans "c..." (c'est le sous-entendu volontairement abscons d'une Aubry), qui vire au stalinisme par veulerie; qui, ivre d'autosatisfaction, triste émule du Roi-Soleil, veut de Trierweiler faire une maîtresse d'État, allant jusqu'à avoir son Montespan dans son placard, et, qui peut savoir, nous préparant un futur héritier issu de ses scansions erratiques improbables, dont il pourrait convoiter en secret de faire "Moi Hollande II"...; qui, en attendant, entretient, aux frais des ploucs contribuables que nous sommes, et la dite favorite et l'un au moins des rejetons d'icelle.
    "Aux a... urnes, citoyens!"
    Contre un grand vizir (on ne le répétera jamais assez, repris de justice et néanmoins nommé par son maître au gouvernement du pays), qui accuse à la Chambre ses opposants d'avoir fait violences à son parti lorsqu'il était lui-même dans l’opposition... quand c’est lui et toute sa meute qui, dans ces jours où ils multiplient les mini-coups d'État, font violence à plus de soixante-dix pour cent des Françaises et Français électeurs. Ne comptons pas les autres, citoyens capables civiquement, trop pleutres ou trop « j'm'en foutistes » pour se mouiller, qui n'ont de fait qu'un droit: celui de la fermer... une fois de plus!
    "Aux a... urnes, citoyens!"
    Contre une ministre de la Justice (comment parvenir à se faire à cette réalité qu'une "black" indépendantiste, et qui devrait être en geôle pour atteinte à l' intégrité de l'État, soit garde des Sceaux de France?!), qui anéantit nos valeurs - non pas tant judéo-chrétiennes et laïquement nationales, que tout simplement raciales (dans le sens de l' humain à côté de l' animal), et se rit ouvertement des stériles gesticulations des élus qui osent, il est vrai en vain face à ce pouvoir socialo-écolo-gaucho despotique, ne pas cautionner ses condamnables dérives. Avez-vous constaté avec quel mépris, quels éclairs de méchanceté à peine contenue la Guyanaise toise les représentants du Peuple qui ne sont pas de sa coterie, se revanche de nos prétendus "crimes" contre les siens, et quel acharnement elle apporte à la destruction de notre société qu'elle hait d'une haine inextinguible?
    Retournons-lui son exécration, sans nuance ni état d'âme.
    "Aux a... urnes, citoyens!"
    Contre ce gouvernement "de gauche" pléthorique, vendu aux islamistes et autres Algériens, otage des minorités homosexuel(les), lâchement soumis à l'ignominieuse hydre qu'est l'Europe politico-économique abolitionniste de nos frontières, de notre monnaie, de nos libertés, de notre identité, de... Contre ce gouvernement "de gauche", qui pratique à tous les niveaux la chasse aux sorcières afin de mettre en place ses valets obséquieux pour mieux tenir le pays en son pouvoir. Contre ce gouvernement "de gauche", qui anéantit  notre puissance énergétique; ce ne sont pas les éoliennes - GPA - dont Duflot est la nouvelle mère, qui la remplaceront. (Cervantes a déjà mis en scène de tels moulins à vent; mais le vent n'est-il pas la spécialité de la "gent" de senestre?). Contre ce gouvernement "de gauche", qui ne fait rien pour endiguer la désespérante descente aux enfers de notre génie, de nos industries, de nos entreprises petites et grandes, de nos emplois (ou plutôt non-emplois), en dépit des trépignements hystériques de l'inconséquent Montebourg. Contre ce gouvernement "de gauche", qui en bon pleutre apôtre du pacifisme, comme en 1939, détruit notre armée. Contre ce gouvernement "de gauche", qui poursuit devant les tribunaux aux mains de magistrats godillots les policiers plutôt que les assassins, et protège tout criminel dès lors que son faciès est tout sauf caucasien. Contre ce gouvernement "de gauche", qui...
    "Aux a... urnes, citoyens!"
    Contre un pouvoir qui permet aux malfaisants, pour le plus grand nombre impatients de nous égorger et de violer filles et femmes blanches ainsi qu'ils l'ont fait des "moukères Pied-Noir" et de leurs coreligionnaires ayant eu le tort d'être fidèles à la France (qui le perpètrent à cette heure en Égypte, pour se borner à ce tragique exemple), de nous insulter dans les rues de leur cul levé en l'air dans l'adoration de leur prophète de malheur, misérable libidineux pédophile particulièrement friand de cette gourmandise qui se niche entre les fesses, quand ils ne nous traitent pas de "putains de Français", ou ne nous promettent : "J'nique ta mère; j'encule ta sœur"... Euphémismes comparés à leurs réels propos, qu'une Frigide Barjot, bien réellement "barje", doit sans doute prendre pour de douces promesses de félicité. Tandis que, dans le même temps, le ministre de l'intérieur - (finalement avec ce type, l'expression devient un vilain mot) -, nostalgique des atrocités hispaniques de 1936-39, fait charger et gazer par ses sbires casqués, brandissant la matraque et la bombe lacrymo, des citoyens ayant l'audace de se croire en démocratie et de manifester leur mécontentement, parce que "ces sales cons d' empêcheurs de tourner en rond, y compris les enfants des dits sales cons" refusent de voir leur pays basculer dans le chaos de la confusion des genres et inféodé bientôt à une ethnie esclave des divagations pseudo mystiques, mais concrètement criminelles, d'un aliéné dépravé dont les os pourrissent depuis bientôt quatorze siècles dans le sable-cercueil d'Arabie.
    "Aux a... urnes, citoyens!"
    Contre les profiteurs, menteurs, spoliateurs, concussionnaires, malversateurs, spéculateurs, fraudeurs, tricheurs, népotistes... fripons de basse engeance sans parole, sans honneur, socialos en un mot, qui se gobergent avec nos sous, tandis que nos salaires, nos appointements, nos soldes, nos gages, nos émoluments, nos traitements, nos honoraires, nos rémunérations, nos retraites, nos pensions, et même nos flasques chaussettes (triste livret A) sont les cibles de leur insatiable cupidité!
    Les socialistes sont, de tous les politiques "ordinaires" au pouvoir depuis 1879, les maquereaux infâmes d'une gueuse qu'ils confondent avec la république!
    Ils nous mènent à l'abattoir... mais à l'abattoir halal...
    Ne nous laissons pas faire, il en va de notre survie...
    Révoltons-nous!
    "Aux a... urnes, citoyens!""

    Bons entendeurs, je vous salue !

    http://www.francepresseinfos.com/

  • 16 milliards d’euros : coût sécuritaire de l’immigration pour le budget français

    Le « flux migratoire serait ténu » et « l’immigration rapporterait plus qu’elle ne coûte ».
    La propagande immigrationniste du gouvernement et des médias de l’oligarchie prétend deux choses : selon elle, le « flux migratoire serait ténu » et « l’immigration rapporterait plus qu’elle ne coûte ». Il ne s’agit là que de deux bobards aussi « savants » que mensongers. La réalité est autre : le flux d’entrée des immigrés est fort : de l’ordre de 180.000 à 200.000 personnes par an ; et le coût de l’immigration est considérable. Le consultant André Posokhow, diplômé d’expertise comptable, a chiffré à 16 milliards le coût sécuritaire de l’immigration pour le budget français : un chiffre facile à comprendre lorsque l’on sait que selon une déclaration du garde des Sceaux (Pascal Clément) du 16 septembre 2006 plus de 50% de la population carcérale en France est musulmane.
    Sur ces 16 milliards, 7 milliards sont imputables aux dépenses du ministère de l’lntérieur, 4 milliards à celles du ministère de la Justice, 1 milliard à celles des collectivités locales. Il faut ajouter 1 milliard au titre de l’immigration irrégulière et 1 milliard comme conséquence de la sécurité privée sur les finances publiques.
    Polémia

    1/ – Les coûts directs de la sécurité

    • Le ministère de l’Intérieur

    Il sera retenu l’ensemble des coûts budgétaires pour 2011 des programmes du ministère de l’Intérieur pour la police et la gendarmerie avec les coûts de fonctionnement et les investissements qui ne peuvent manquer d’être affectés par l’immigration soit 16,805 Mds€. Les dépenses qui n’ont pas de rapport avec l’immigration – corps des pompiers, protection des personnalités, contrôles routiers, soit 2,70 Mds€ –sont retirées bien qu’une étude approfondie du taux d’accidents dans certains départements comme le 93 ou Paris pourrait infirmer cette prise de position. Le montant des coûts du ministère de l’Intérieur retenu pour l’étude s’élèvera donc à 14,105 Mds€.
    Une statistique fait apparaître qu’en 2008 la proportion des étrangers détenus représentait 19,6% de la population carcérale alors que les étrangers représentaient 6,7% de la population française avec les clandestins. Le nombre des immigrés et descendants directs d’immigrés s’élève à 10,8M contre 4,5M d’étrangers soit 2,4 fois plus. Il convient d’ailleurs de noter qu’il ne semble pas que la délinquance des descendants directs d’immigrés soit inférieure à celle des immigrés de la première génération. Pour connaître la proportion d’immigrés détenus dans les prisons il faut affecter le ratio de 19,6% du coefficient de 2,4 soit 47%. Ce ratio correspond approximativement à un taux de surreprésentation des immigrés dans les prisons de 3 que nous étendons à la délinquance.
    14,105Mds€ x 16,2% x 3 = 6,855Mds€

    • La justice

    L’aide juridictionnelle :
    Le programme de l’aide juridictionnelle s’élève en 2011 à 0,312 Mds€. En appliquant la même méthode de calcul que ci-dessus on aboutit à un coût lié à l’immigration de 0,152 Mds€.
    La protection judiciaire de la jeunesse :
    Ce programme s’élève en 2011 à 0,757 Mds. Par application de la même méthode on aboutit à un chiffre de 0,368Mds€.
    Le domaine carcéral :
    Le programme carcéral du ministère de la Justice représente en 2011 un montant de crédits de paiement  de 2,821Mds€.
    En 2008 le quotidien américain Washington Post a constaté, dans un reportage paru dans son édition du mardi 29 avril, la surreprésentation des prisonniers musulmans dans le système carcéral. L’article, se basant sur des chiffres compilés par des responsables de la communauté musulmane, des sociologues et des chercheurs, estimait que 60% à 70% des détenus en France sont musulmans. A notre connaissance cette estimation n’a pas fait l’objet d’une réfutation de la part des autorités publiques ou des médias. Constatant que l’article ne vise que les musulmans et non les immigrés qui constituent une population plus large, nous retiendrons la fourchette haute, soit 70%.
    Ce ratio appliqué au montant du programme carcéral aboutit à un chiffre de 1,975Mds€.
    La justice judiciaire :
    Les crédits de paiement de la justice judiciaire s’élèvent à 2,960 Mds€. En appliquant la même méthode de calcul avec un coefficient de surreprésentation de 3 on aboutit à un montant de 1,439Mds€.
    Au total on arrive, pour le ministère de la Justice, à un chiffre de coût relevant de l’immigration de 3,934Mds€.

    • Les polices municipales et la vidéosurveillance des collectivités locales

    Un rapport de la Cour des comptes de juillet 2011 a fait le point sur les polices municipales.
    Le nombre des policiers municipaux s’élève à 19.370 en 2010. Il faut y ajouter 1450 gardes champêtres, 5180 personnels de l’ASVP et 2330 membres du personnel de surveillance de la Ville de Paris, soit un total de 28.300 agents.
    Ce rapport ne donne pratiquement aucune indication sur le coût de ces personnels. Il indique seulement que le coût de fonctionnement de la vidéosurveillance, qui s’élève à 300M€, représente le coût de 6500 policiers municipaux. Il apparaît possible d’en déduire que le coût total de ces personnels s’élève à 300M€ x 28300 / 6500 = 1,300Mds€.
    À cela s’ajoutent les dépenses de fonctionnement de la vidéosurveillance : 300M€ et les investissements afférents : 300M€ de 2010 à 2012, soit 100M€ sur une année. Au total les dépenses de cette nature s’élèvent à 1,700Mds€.
    Selon la même méthode de calcul que ci-dessus le coût lié à l’immigration se monte à 0,826Mds€.

     • La sécurité privée

    Le marché de la sécurité privée représente un chiffre d’affaires de 5,3Mds€ et s’adresse surtout aux entreprises. Le budget de l’Etat n’est affecté qu’indirectement au travers des comptes de charges de celles-ci et des pertes d’impôt sur les bénéfices.
    Le calcul est le suivant : 5,3Mds€ (chiffre d’affaires de ce secteur économique) x 33,3% (taux de l’IS) = 1,750Mds€.
    L’application du même mode de calcul que ci-dessus aboutit à un surcoût de 0,850Mds€.

    • Le coût sécuritaire de l’immigration irrégulière

    La monographie n° 27 de Contribuables associés présente les chiffres suivants qui s’appuient sur l’expertise de J.P. Gourévitch :
        - structures de lutte contre l’immigration irrégulière : 0,085Mds€
        - coût des reconduites :                                                        0,674Mds€
        - centres de rétention :                                                         0,079Mds€
        - délinquance de l’immigration irrégulière :                             0,367Mds€
    Le coût sécuritaire global de l’immigration irrégulière s’établit à 1,205Mds€.
    Au final le coût sécuritaire de l’immigration s’élève à :
        - ministère de l’Intérieur :                    6,855
        - ministère de la Justice :                   3,934
        - collectivités territoriales :                  0,826
        - sécurité privée :                              0,850
        - immigration irrégulière :                   1,205

    Total :                                           13,670    Mds€
     
    2/ – Les coûts sécuritaires indirects

    La revue Capital de mars 2013 a produit un article sur « Le vrai coût de l’insécurité en France ». Selon cette revue, qui soutient avoir puisé dans toutes les ressources disponibles : entreprises, consultants spécialisés, ministère de la Justice, services de l’Etat, Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales, ce coût, qui s’élève à 30Mds€, se décompose ainsi :
        - particuliers :                                    5Mds€
        - entreprises :                                   15Mds€
        - secteur public :                               10Mds€

    En principe ce coût s’impute sur la richesse nationale. C’est le cas du coût pour les particuliers qui s’impute sur leurs revenus : vols de voiture, atteintes à la vie humaine, cambriolages, usurpations d’identité, etc. Ce que ce chiffre de 5Mds€ ne reflète pas ce sont les traumatismes personnels et les vies gâchées.
    Pour ce qui concerne les entreprises on peut considérer que le coût de la protection a été pris en compte plus haut au travers de la sécurité privée. En revanche, le coût des agressions : vols en magasin, cyberattaques, fraude et vandalisme des transports en commun, qui est estimé dans l’article à 8,3Mds€, demeure à évaluer :
        - Les vols en magasin et les cyberattaques représentent 6,1Mds€, soit un déficit d’impôt sur les sociétés d’environ 2Mds€. Selon la même méthode de calcul que ci-dessus, le coût s’élèverait à 0,972Mds€.
        - Le vandalisme et la fraude dans les transports en commun s’élèvent au total à 2,2Mds€. Il s’agit d’argent public du fait du poids des subventions dans le compte de résultat de la RATP, de la SNCF et de toutes les sociétés de transports en commun. Selon la même méthode de calcul le surcoût serait de 1,069Mds€.
    Dans le cas du secteur public les dépenses de protection ont déjà été abordées plus haut. En revanche, le coût de la malveillance informatique et du vandalisme dans les communes et les bailleurs sociaux qui pèse sur des comptes publics se monte à 1,520Mds€. Selon la même méthode de calcul le surcoût serait de 0,739Mds€.
    Au total le coût budgétaire résultant de l’insécurité et fondé sur les chiffres de l’article de Capital, avec toutes les réserves à l’égard d’un article de presse mais qui sont vraisemblables, s’élèverait à 2,780Mds€.

    3/ – Conclusion

    Le coût sécuritaire en termes de finances publiques peut donc s’établir à :
    - sur la base des chiffres du premier chapitre:   13,670Mds€
    - sur la base de la revue Capital :                     2,780Mds€
    Total :                                                         16,450Mds€
    Il convient de souligner que ce coût contribue au déficit des finances publiques en général et à celui engendré par l’immigration. Mais cela relève d’une étude plus large.
     André Posokhow
    Diplômé d’expertise comptable
    Auditeur et consultant
    11/04/2013 http://www.polemia.com

  • Ecoracialisme (7) – Le retour des Européens en Europe

    Un réancrage dans l’écosystème d’origine.
    Après avoir exposé dans son 6e extrait une géopolitique directement issue des écosystèmes, Frédéric Malaval décrit ici les forces qui poussent les individus à un réancrage dans leur écosystème d’origine, avec pour conséquence pour l’Europe un futur lié non pas au départ des millions de non-Européens qu’elle héberge, mais au retour d’un nombre beaucoup plus considérable d’Européens destinés à revenir vers leur écosystème naturel.
    Polémia

    Limiter l’artificialisation des écosystèmes, rendue vitale par les évolutions démographiques que l’écosphère a connues depuis 1950, passe par le réancrage des individus dans leurs écosystèmes d’origine. Cela signifie le retour de la cinquantaine de millions de non-Européens – les éco-immigrés – vers l’Afrique, l’Asie et toutes les autres parties du monde dont ils sont issus, l’immigré étant conçu comme un individu installé durablement hors de son écosystème d’origine. Cela signifie aussi le retour vers l’Europe des Européens vivant dans le monde. Les enjeux démographiques politiques sont à ce jour incommensurables. Il ne s’agit plus de dizaines, mais de centaines de millions d’individus concernés. Pourtant, sous plusieurs aspects, ce phénomène paraît inéluctable. Il va falloir organiser leur retour. La pression démographique des peuples-souches, l’accès aux ressources et notamment à l’énergie, figurent parmi les principales contraintes à l’origine de ce mouvement. Ceci a d’ailleurs déjà commencé.

    En 2005, un jeune Uruguayen installé en France, marié à une Française, m’avait expliqué son choix justifié par la pression que les Européens subissaient de la part des Indiens en Amérique du Sud. Descendant des premiers conquistadors, il était issu d’une riche famille uruguayenne, la Suisse de l’Amérique du Sud, comportant quelques aïeux originaires du pays Basque en France. Cette dimension était une composante importante de son identité. Le choix de la France s’était imposé naturellement alors que sa langue maternelle était toutefois l’espagnol. Il parlait aussi parfaitement le français et l’anglais.

    Une jeune Etasunienne, dotée d’un patronyme français, définitivement installée en France, m’avait tenu un peu le même discours. La pression des Hispaniques est forte au sud des Etats-Unis. Ils descendent d’Aztèques, de Mayas et d’autres peuples amérindiens plus ou moins métissés. Ainsi, malgré une politique de métissage et d’hispanisation des descendants des Mayas, ceux-ci n’ont pas disparu de l’Amérique centrale. Résultat, leur population a doublé pendant les trente dernières années et connaît désormais une croissances du plus haut niveau. La revendication identitaire suit… La lutte que Hugo Chavez menait au Venezuela, producteur important de pétrole, est généralement analysée comme un conflit entre socialistes et capitalistes – cela rassure – alors qu’une lecture plus audacieuse le verrait comme la reconquête indienne, population pauvre et pléthorique, sur une bourgeoisie européenne, riche et anémiée, ayant accaparé la rente pétrolière. Si les Indiens arrivent à remplacer les Européens comme organisateurs de cette rente, alors il y a de fortes probabilités qu’ils l’accaparent, obligeant ces derniers à changer de vie… Retour vers l’Europe ? C’est ce que font de plus en plus de Russes installés en Sibérie.

    À l’époque soviétique l’émigration était pratiquement inexistante et les flux migratoires à l’intérieur de l’URSS étaient principalement organisés et planifiés par les organismes d’Etat. La population se rendait là où se trouvaient de grands chantiers et où l’on avait besoin de main-d’œuvre. La Russie asiatique accueillit alors une population européenne venue s’ajouter à celle arrivée avant la création de l’URSS. Les gens migraient de leur plein gré. Ces flux relevaient cependant d’une politique appelée « la redistribution de la main-d’œuvre en conformité avec le plan de répartition et de développement des forces productrices ». Les déportations de population étaient également cataloguées comme migrations. La construction de la Magistrale Baïkal-Amour, ligne ferroviaire traversant la Sibérie et l’Extrême-Orient russe ou de la gigantesque Usine d’automobiles de la Volga (VAZ) attiraient une population issue majoritairement de la partie européenne de l’Union soviétique. Après l’éclatement de celle-ci, des masses humaines se sont mises en mouvement, cette fois-ci sans le moindre plan. Depuis, parmi les mouvements migratoires que connaît le territoire russe figure le départ de populations européennes quittant les régions où le climat est le plus rude. Celles-ci affluent dans le District fédéral central de Russie ainsi que dans les deux plus grandes villes du pays : Moscou et Saint-Pétersbourg. Ainsi, l’Extrême-Orient russe, colonisé de manière régulière à l’époque soviétique, s’est mis à se dépeupler. De la même manière, les habitants ont commencé à rapidement « déserter » le Grand Nord. Entre 1992 et 1995, le district autonome de Tchoukotka a perdu 39% des habitants, et la région de Magadan en a perdu 29%. Des chiffres similaires concernent toute la Sibérie. Au sud de cette immensité, les pressions turques et chinoise restreignent, jour après jour, les territoires où les Russes imposent leur manière de vivre. Dans la région de l’Amour, les vieux « khrouchtchevki » (immeubles soviétiques des années 1950) de Blagovechtchensk font face aux récents immenses gratte-ciel de Heihe, côté chinois. Qui va l’emporter ? Le Russe de base ne se fait guère d’illusion et, prudent, retourne en Europe, malgré les discours volontaristes de ses dirigeants.

    En Afrique du Sud, idem. Environ 900.000 Blancs, soit 1/6 de la population européenne, ont quitté le pays depuis 1994. Ils sont majoritairement jeunes et bien instruits. Ce chiffre a été publié en 2006 dans un rapport de l’Institut sud-africain des relations raciales. Une génération entière de Sud-Africains blancs n’est plus là. Au Zimbabwe voisin, les fermiers blancs ont été expropriés. Mais tout n’est pas perdu pour ces gens. Lors d’un voyage en Afrique du Sud, le ministre géorgien de la Diaspora, constatant les tensions au désavantage des Européens, invita ces derniers à s’installer en Géorgie : un grand pas que beaucoup envisagent, malgré le gouffre qui sépare ces Boers des Géorgiens. Pour le combler, le gouvernement géorgien leur offre des conditions très attrayantes : des conseils pour l’achat et le choix de leur future ferme, une fiscalité très faible, une terre vendue à prix cassé, etc.

    D’autres phénomènes similaires existent, mais ils sont mal documentés. Les experts préfèrent se concentrer sur l’arrivée d’immigrés en Europe plutôt que sur le départ des immigrés européens des territoires colonisés.

    Les enjeux du futur pour l’Europe ne sont donc pas liés au départ des 50 millions de non-Européens qui y vivent, mais à l’arrivée prochaine des centaines de millions d’Européens installés en dehors de leur écosystème naturel et que la pression démographique de peuples plus adaptés à leur milieu d’origine va pousser dehors. Les seules zones d’expansion possibles sont à l’est. Quel cadre politique est susceptible d’organiser cette mutation participant à la réalisation du climax de l’humanosphère ? Ouvrons la discussion.

    Frédéric Malaval 12/04/2013 http://www.polemia.com
    À suivre

     

    Voir

    Écoracialisme (1) / Introduction
    Écoracialisme (2) / Un homme, une femme ; un homme/femme, une femme/homme
    Écoracialisme (3) / L’Âge d’or
    Écoracialisme (4) / L’insondabilité de l’origine des peuples
    Ecoracialisme (5) / la réalisation politique de la modernité en France
    Ecoracialisme (6) / Une géopolitique des écosystème