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immigration - Page 1424

  • Inquiétudes sur la fin des restrictions aux frontières dans l’Union Européenne

    BRUXELLES (NOVOpress via Bulletin de réinformation) La date du 1er janvier 2014 avait été fixée par l’Union européenne comme date limite d’application des restrictions aux frontières pour les travailleurs en provenance de la Roumanie et de la Bulgarie.

    Depuis l’entrée de ces pays dans l’Union européenne, les autres pays membres étaient autorisés à appliquer aux ressortissants de ces pays les dispositions prévues en matière d’immigration pour les pays extracommunautaires. Malgré cette « régulation » aux frontières, plus de trois millions de Roumains ont déjà quitté la Roumanie pour des pays de l’Union européenne depuis 2007, comme l’a souligné le Premier ministre roumain Victor Ponta dans un entretien accordé au Times ce lundi.

    Pourtant de nombreux pays européens s’inquiètent à l’approche de cette date

    L’Allemagne, la Belgique et le Royaume‑Uni, ont à nouveau exprimé leurs inquiétudes face aux conséquences d’une telle mesure. Selon l’étude menée par l’organisme Migration Watch 50.000 Roumains et Bulgares pourraient quitter chaque année leur pays. Suite à ces interrogations, Bruxelles a cependant réaffirmé qu’une complète liberté de mouvement serait garantie dès le 1er janvier 2014 aux Roumains et aux Bulgares. De plus, à cette occasion, la commission européenne a redéfini l’ouverture à l’Est comme  « Une grande chance pour l’Europe ».

    A priori, ce n’est pas un avis partagé par les Britanniques qui ont vu en moins de dix ans l’arrivée massive de « Roumains » (en fait, des Roms) sur leur île

    Face à ce constat, le Premier ministre David Cameron a fait de la lutte contre l’immigration l’une de ses priorités. Le gouvernement britannique a souligné les problèmes engendrés par l’immigration liés au logement, à l’insécurité mais aussi au déficit public. Il étudie actuellement un projet de loi qui permettrait de limiter l’accès des nouveaux arrivants aux allocations sociales. En France, peu de voix se sont élevées pour exprimer de telles inquiétudes. Pourtant, selon le quotidien Le Monde, les « Roumains » font partie depuis 2007 des dix nationalités obtenant le plus de titres de séjour français.

    http://fr.novopress.info/

  • Tribalat, la démographe rebelle

    Le Figaro Magazine - 20/03/2010
     Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie.
     Ces « yeux grands fermés » appartiennent-ils à ceux qui ne peuvent pas voir ou à ceux qui ne veulent pas voir ? Michèle Tribalat a donné ce titre énigmatique à son livre (1), par allusion au film de Stanley Kubrick, Eyes Wide Shut (1999), dont l'intitulé l'avait marquée. Dans cette fiction, à partir d'un fantasme amoureux, les personnages naviguent entre rêve et réalité. Cet écart entre le réel et l'illusoire, Tribalat le vit à propos de son objet d'étude : l'immigration en France. Les uns déplorent qu'il y ait beaucoup d'immigrés, d'autres s'en réjouissent, mais tous réagissent subjectivement. Or, Michèle Tribalat, incriminant « l'insuffisance de l'appareil statistique français pour étudier l'immigration et les populations d'origine étrangère », voudrait que cet enjeu de société soit discuté à partir de faits vérifiés et quantifiés, et non d'impressions.
    Cela fait plus de trente ans qu'elle se penche sur la question. Dans les années 70, après des études d'économétrie, elle s'oriente vers la démographie. En 1976, elle est recrutée par l'Institut national d'études démographiques (Ined), dont le conseil scientifique veut pousser la recherche sur les flux migratoires : ce sera son domaine d'activité. « Pendant longtemps, se souvient-elle, j'ai travaillé loin de tout écho médiatique. » A la fin des années 80, ayant pris la tête d'une enquête sur les comportements des immigrés et de leurs descendants, elle met en place un outil prenant en compte l'« appartenance ethnique », définie à partir de la langue maternelle, et l'« origine ethnique », fondée sur le lieu de naissance des individus et de leurs parents. Cette référence aux origines, contraire à la pratique des organismes officiels français, ne va pas sans opposition pour obtenir les renseignements nécessaires, mais la publication des résultats, en 1995, ne rencontre pas de difficultés.
    Le coup de tonnerre arrive trois ans plus tard, quand Hervé Le Bras, un chercheur attaché à l'Ined, lance la charge. « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme », clame-t-il dans Le Démon des origines. Dans cet essai, Le Bras accuse les méthodes de Michèle Tribalat de conduire à la notion de « Français de souche » et, partant, à la « xénophobie ». L'affaire manquera se traiter en justice et amènera l'intéressée à se justifier : une partie de l'opinion regardant comme étrangers des gens qui sont français, le critère juridique de la nationalité ne suffit pas, en science sociale, pour élaborer des remèdes aux réflexes discriminatoires. En somme, comme aux Etats-Unis ou dans de nombreux pays européens, les données ethniques devraient jouer un rôle dans la conception d'une politique d'accueil des migrants.
    À la même époque, Michèle Tribalat publie, avec Pierre-André Taguieff, un livre destiné à contrer le Front national. Mais rien n'y fait, elle est désormais suspecte aux yeux des bien-pensants. Aujourd'hui, dénonçant « l'antiracisme idéologique (qui) structure l'expression savante et ordinaire sur l'immigration », elle ironise : « Travailler sur l'immigration, c'est partir en mission contre ceux qui pensent mal, mais aussi, pour faire bonne mesure, contre ceux qui doutent. »
    Nommée au Haut Conseil à l'intégration, elle en démissionne en 2000, reprochant à cette instance de faire le jeu des islamistes. En 2002, avec Jeanne-Hélène Kaltenbach, elle fait paraître La République et l'islam, où l'action des fondamentalistes musulmans est mise en cause. « Pourrions-nous publier un tel livre maintenant ?, s'interroge-t-elle. Nous avons tellement perdu de liberté d'expression sur le sujet. Quand on pense que le livre de Christopher Caldwell (2) ne trouve pas d'éditeur en France... »
    Directrice de recherche à l'Ined, Tribalat travaille chez elle, hors unité et sans budget. Autrement dit, elle est placardisée. « Mes articles ne sont même pas cités par les publications de la maison », déplore-t-elle. Avant d'ajouter, comme pour conjurer la tristesse : « Mais je vis très bien comme cela. Après la décennie que je viens de traverser, je suis de fer. »
    Les Yeux grands fermés n'a rien d'un pamphlet. L'auteur donne les vrais chiffres de l'immigration, soulignant une « très forte croissance après 1996 », et considère les effets économiques et démographiques du phénomène. Ce sont des pages nourries de chiffres, un peu arides. La lecture coule mieux quand Tribalat explique comment les droits de l'homme se mettent au service d'une vision du monde où tout devrait s'ordonner aux courants migratoires, jugés inéluctables et bénéfiques par principe. Ou encore quand la démographe analyse le climat idéologique dans lequel s'élaborent les discours sur l'immigration à partir des sondages sur le racisme commandés par la Commission nationale consultative des droits de l'homme.
    Mais Michèle Tribalat se veut une scientifique : il est difficile de lui tirer un commentaire qui échappe à sa spécialité. Elle n'a pas aimé le débat sur l'identité nationale, pour une raison de forme, parce qu'elle croit que ce genre d'initiative ne doit pas relever de l'Etat. Quant au fond, le concept d'identité ne la choque pas. Elle consent d'ailleurs à observer que le multiculturalisme a conduit à répudier le concept d'assimilation, alors que l'assimilation, précisément, « fait partie de l'identité nationale française »
    Jean Sévillia http://www.jeansevillia.com
    (1) Les Yeux grands fermés. L'immigration en France, de Michèle Tribalat, Denoël.
    (2) Paru aux Etats-Unis en juillet 2009, l'ouvrage du journaliste Christopher Caldwell, Reflections on the Revolution in Europe: Immigration, Islam, and the West, est consacré à la progression de l'islam en Europe et à ses conséquences sur la cohésion politique et culturelle du continent. L'auteur, rédacteur en chef du Weekly Standard et chroniqueur au Financial Times, est un libéral.

  • Leur « changement de civilisation » n’est pas une menace en l’air

    Lors du débat à l’assemblée et dans les médias sur le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels, le ministre de la Justice, Christiane Taubira, avait affirmé aux Français,  comme une sourde  menace, que la gauche prônait un « changement de civilisation ». Lequel sera rendu possible par la dérive orwellienne que subissent beaucoup de nos nations en Europe, et la France en particulier, où le champ d’expression des dissidents à la pensée unique, au Big Brother immigrationniste et mondialiste,  se réduit comme peau de chagrin.

     Une preuve, une nouvelle preuve, une parmi tant d’autres,  en a été apportée  hier par  le verdict rendu par le  tribunal correctionnel de Nîmes à  l’encontre du très dynamique conseiller régional FN du Gard, Julien Sanchez, que les internautes connaissent aussi en tant qu’animateur du blog de Jean-Marie Le Pen et qui assure au sein du FN la fonction de  Secrétaire National à la communication numérique.

     4.000 euros d’amende, dont 1.000 euros avec sursis ont été requis contre lui -Julien Sanchez a interjeté appel.   Il lui est reproché  d’avoir laissé passer sur son mur Facebook, en accès libre, les commentaires en octobre 2011  de deux internautes, MM. Roux  et Baudet.

     C’est en tant que directeur de publication que l’élu frontiste était poursuivi et a été condamné. Il a pourtant expliqué, ce que tous les possesseurs d’une page facebook très fréquentée comprennent, qu’il n’avait pas le temps matériel de vérifier tous les commentaires, manque de temps qui s’expliquait alors par le fait qu’il était en campagne électorale

     La justice a  jugé  à  connotation raciste  les deux  commentaires en question, jugez-en vous-même : « Des bars à chicha et des voilées. Voilà ce qu’est Nîmes ville romaine. (….). Prout (diminutif donné ici à l’UMP Franck Proust premier adjoint  au maire de Nîmes, NDLR ), c’est l’élu au développement économique hallal, rue de la République islamique », avait écrit un d’eux. L’autre avait poursuivi : « Ce Grand Homme a transformé Nîmes en Alger. Dans chaque rue des kebabs et des mosquées. Les dealers et les prostituées règnent en maître. Pas étonnant qu’il ait choisi Bruxelles, capitale du nouvel ordre mondial et de la charia. Merci Franck et kiss à Leïla. »

    Se sentant visée, Leïla Tella, la compagne de Franck Proust,   avait porté plainte. Ces deux internautes ont été condamnés à verser 4.000 euros de dommages et intérêts à cette dame,  partie civile dans ce dossier, dont 3.000 euros avec sursis.

    Lors de l’audience, le 18 janvier, le procureur de la République avait réclamé trois ans d’inéligibilité et 8.000 euros d’amendes à l’encontre de Julien Sanchez et 5.000 euros pour les deux autres prévenus !!!  Une demande à comparer avec le laxisme d’une certaine justice quand il s’agit de sanctionner la racaille délinquante multirécidiviste.

    Julien Sanchez a d’ailleurs été obligé d’écrire au ministre de la justice pour demander que le vice-procureur soit sanctionné. Celui-ci  avait  dit à l’audience en s’adressant à lui : « vous êtes à la démocratie ce que l’éjaculation précoce est à la sensualité ». Une «saillie» qui avait peut être sa place sur le plateau d’une émission  d’Arthur ou de Cyril Hanouna, mais dans un prétoire…

    Bruno Gollnisch apporte bien  sûr tout son soutien à Julien et aux internautes victimes de  cette vindicte. Le jeune conseiller régional FN, épaulé pour l’occasion par plus de 150 militants qui avaient fait le déplacement, et qui ont bruyamment exprimé leur indignation quand le verdict a été rendu, a bien évidemment relevé la nature politique du procès qui lui est fait.

    Leïlla Tella est en effet, nous l’avons vu, la concubine de M Proust, lequel fut  l’ adversaire du conseiller régional FN  aux dernières cantonales. Et il n’est pas anodin non plus que  cette dernière ait choisi de se faire assister à ce procès  par Maître Michèle El Baz, conseillère municipale PS de Nïmes,  éliminée aux cantonales par…Julien Sanchez.

    Jean-Marie Le Pen, a réagi sur TV Sud à ce  verdict  en jugeant que les commentaires qui ont entraîné le déclenchement de cette répression judiciaire n’étaient pas faux : « Je suis député européen depuis trente ans. Je m’aperçois que Bruxelles est une ville qui devient une ville musulmane. Je ne suis pas sûr qu’elle ne devienne pas un jour majoritairement musulmane 

    Avocat de Julien Sanchez, Wallerand de Saint-Just a posé la question de fond : « combien de temps encore, des peines pénales très sévères seront-elles réclamées contre des élus du FN qui ne font qu’user de leur liberté d’expression ou permettent à des citoyens d’en user ?En tout état de cause, ce procès est une tentative d’empêcher la progression fulgurante du FN dans le Gard et d’intimider son responsable local »

    Mais si le peuple  Français vote mal et reste arc-bouté su son désir de préserver son identité et se souveraineté, la tentation de changer le peuple reste plus que jamais une idée qui poursuit son chemin au sein de nos élites mondialisées.

    En atteste  le rapport  sur l’intégration des immigrés, commandé par Jean-Marc Ayrault à Thierry Tuot, conseiller d’Etat, qui a été publié la semaine dernière. Il ne manque pas d’inquiéter alors que le Premier ministre a précisé que  « les préconisations» de celui-ci  « seront mises à l’étude dans le cadre de la réflexion interministérielle visant à proposer une profonde refondation de notre politique d’intégration ».

    M. Tuot  part  du principe que la lutte contre l’immigration clandestine menée avec le laxisme que l’on sait par l’UMPS depuis quarante ans,   n’empêche pas des dizaines, des centaines de milliers de clandestins de s’installer en France chaque année. Aussi, préconise-t-il l’extension  de la doctrine du laisser faire laisser passer qui sert de philosophie existentielle à la caste  libérale-socialiste.

     Il   révèle par là que  la politique de régularisation au « cas par cas » que le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, avait annoncé vouloir mettre en œuvre n’était qu’un propos d’estrade, une promesse n’engageant à rien.

    Le conseiller d’Etat indique ainsi  que comme « de nombreux étrangers sans papiers ne sont pas expulsés »,  puisque, « de toute façon, dans cinq ans, on va finir par leur donner un titre (aux clandestins, NDLR), eh bien commençons tout de suite » avec des « titres de tolérance » ouvrant droit à  une régularisation progressive sur cinq ans. Bref accélérons le processus !  Une annonce qui sera reçue comme on l’imagine par les populations concernées.

     Le seul critère retenu ici est l’obligation de l’apprentissage du français…que maîtrise déjà, rappelle Bruno Gollnisch,  les dizaines de millions de candidats potentiels au départ vers la France qui vivent au Maghreb ou en Afrique noire.

     Décidément oui, ce changement de civilisation annoncé  par Mme Taubira n’était pas une parole en l’air…

    http://www.gollnisch.com

  • Retour à la barbarie près de Lille

    Nous évoquions tout à l’heure l’insécurité grandissante dans l’un des quartiers de Lille, et les nouvelles mesures policières mises en place pour y faire face. Hé bien, dans la banlieue lilloise cette fois ci, dans la nuit du vendredi au samedi 23 février dernier, vers 5H00 du matin, les « Barbares » sont entrés dans Houplin-Ancoisne, petite ville d’un peu plus de 3000 habitants. L’objectif de ces vandales ? Piller la réserve de bouteilles de gaz sur le parking d’un petit supermarché situé à proximité.

    Sans doute déranger dans l’exercice de leur « profession », ou bien incapables de forcer la cage où étaient entreposées les bonbonnes, les « Barbares » ont pratiqué comme leurs ancêtres jadis, la politique de la terre brulée : ils ont mis le feu aux bonbonnes ! Par miracle, celles-ci n’ont pas explosé !

    Ce n’est pas là un acte de délinquance si banal. Si l’explosion avait eu lieu, en plus d’y laisser leurs vies, ces criminels -car il s’agit d’un acte délibérément criminel- auraient entrainé avec eux dans la mort, tous ceux qui auraient eu le malheur de se hasarder sur le parking. C’eût été un terrible spectacle de désolation ! Mais que se passe-t-il à Lille, que la criminalité soit à ce point à la hausse ? On aurait bien quelques éléments de réponse, mais bon …

    http://www.contre-info.com/

  • Lille : l’insécurité grandissante suscite de nouvelles mesures policières

    A Lille, dans le quartier festif de Masséna-Solférino, l’insécurité galopante,  la recrudescence des agressions et des vols, contraint aujourd’hui la police à prendre de nouvelles mesures et à multiplier ses patrouilles pédestres de lutte contre la délinquance.

    Masséna-Solférino est en train de perdre L’ambiance bon enfant qui a fait La réputation de Masséna-Solférino est en train de disparaître : vols avec violence, bagarres, coups gratuits sur des fêtards ou des policiers en service, voire agressions sexuelles sur des jeunes filles, voilà le lot de ces dernières semaines… Les agresseurs visent en particulier les fêtards rendus vulnérables par l’alcoolisation massive. Et les témoignages sont nombreux.

    « Je revenais seul de Masséna, lorsqu’un individu m’a fait une clé de bras par surprise pendant qu’un autre me prenait mon téléphone dans ma poche« , se rappelle Guillaume, un habitué du quartier dont deux autres amis proches ont vécu une mésaventure similaire durant ces dernières semaines. « Passé certaines heures, il y a des racailles qui nous attendent pour nous dépouiller. Ça devient grave !« , indique-t-il.

    Un tel phénomène fait réagir la police.  « Nous voulons agir avant qu’un drame important n’ait lieu. Ce secteur est devenu un véritable terrain de chasse pour de plus en plus de prédateurs. Ils attendent leurs proies alcoolisées, qui ne sont plus en mesure d’anticiper les agressions« , explique en effet le commissaire Christian Wulveryck. « Certains riverains n’en peuvent plus des nuisances et des dégradations. On est arrivé à un stade où il faut agir. Il va falloir s’habituer à voir régulièrement des patrouilles pédestres », prévient le commissaire.

    C’est ainsi que les patrouilles policières pédestres sont appelées à se développer : la semaine dernière, cinq interpellations pour vols et une dizaine pour ivresse sur la voie publique ont ainsi été réalisées.

    Bref, le lien social se disloque en France. Les causes sont multiples : on peut ainsi évoquer l’absence de politique familiale, berceau de l’éducation et de l’affection donnée. Mais on remarquera également que ces phénomènes de délinquance se développent en particulier dans les ville, comme Lille, où les la population n’est plus perméable à des codes communs…

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  • Quant au vote des Étrangers – par Éric E.G. Nogard

    Nous sommes le Peuple de France, catholiques romains, et nous sommes Européens. N’est-ce pas beau, n’est-ce pas beaucoup. Or, nous voudrions donner chez-nous le droit de vote aux  Étrangers, en plus de la considération que nous leur portons, et en plus de l’hospitalité que nous leur assurons.
    Dans quelle mesure voterions-nous Français si l’Étranger, si redevable que nous puissions être envers lui, glissait son bulletin de vote dans nos Urnes.
    Ne connaissons-nous pas assez ce que peut être  la chose frelatée…  le lait, la viande, et pis encore.
    Ou alors, pourquoi un tel branlebas quand nous y sommes confrontés, comme nous l’enseigne l’actualité sur le cheval.
    Donner chez-nous le droit de vote à qui ne vote pas chez lui, n’est-ce pas pousser loin le bouchon de l’Humanisme, ou alors, est-ce savoir de quoi on parle quand on dit « Humanisme ».¢ 
    Et pour répondre sans parti-pris à ce questionnement, ne serait-il pas sage de notre part que nous tentions : 
    D’obtenir le droit de vote, chez eux-mêmes et pour eux.
    D’obtenir pour nous-mêmes, le droit de vote chez les autres.
    D’obtenir un pacte de réciprocité avec les autres Peuples, en matière de droit de vote.
    Et pourtant, serions-nous des oisifs chez les autres quand chez eux, pour eux, à leur demande, nous aidons, nous formons, nous montons des usines, nous secourons…
    Nous participons à une Société plus ouverte et plus Universelle, comme le font des Peuples « si nombreux » qu’on les compte sur les doigts d’une seule main.
    En revanche, quel Peuple a, à ce jour, eu la moindre idée de se préoccuper de nous donner en son sein le droit de vote, quand il y existe.
    Sommes-nous conscients, sommes-nous sérieux, sommes-nous sincères quand nous réclamons le droit de vote pour les étrangers.
    Met-on à ce point la charrue avant les bœufs. 
    Ou alors, par malice, serions-nous assez pervers pour prendre de tels risques dans notre acharnement à détruire notre clocher.
    Ou alors, à quoi nous servent nos Universités, nos Universitaires, nos Philosophes, nos Moralistes et nos Leaders pour que nous en arrivions là.
    Ou enfin, qui sont les plus dangereux ou les plus fous de ceux qui protègent ou de ceux qui jouent d’un coup de poker, le peu qu’ils ont et qui fait tant d’envieux.

    Méfions-nous de nous-mêmes quand nous réclamons chez nous le droit de vote pour les Étrangers.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • [Exclusivité Novopress] Le prologue de “Sale Blanc” de Gérald Pichon

    PARIS (NOVOpress) - “Sale Blanc, chronique d’une haine qui n’existe pas” de Gérald Pichon est la dernière publication d’Idées éditions. Il est préfacé par Pierer Sautarel de Fdesouche.

    Comme l’affirme la quatrième de couverture : « Longtemps dénoncée comme un fantasme, assimilé à un outil de propagande de l’extrême droite, la haine antiblanche était jusqu’à récemment déconsidérée par nos élites politiques et médiatiques. Pourtant, cette douloureuse réalité touche un nombre grandissant de Français. Agressions, insultes, viols… Cette forme particulière de haine raciale existe bel et bien. Mais aux yeux de ses détracteurs, affirmer en être victime est une erreur, c’est refuser le sacro-saint vivre-ensemble érigé en valeur suprême de la société multiculturelle. A l’heure où de grossières et opportunistes tentatives de récupération politicienne se font entendre, l’ouvrage “Sale Blanc” vient, témoignages et chiffres à l’appui, rendre compte d’une réalité méconnue, volontairement dissimulée par les gouvernements de droite comme de gauche. »

    En attendant un entretien avec l’auteur – qui tiendra une conférence samedi 2 mars à Tours à l’invitation du Cercle Jean Royer – et les bonnes feuilles du livre, en exclusivité pour Novopress vous trouverez ci-dessus le prologue.

    « Trop seul, trop pâle,
    Trop seul pour qu’on te craigne
    Trop pâle pour qu’on te plaigne »
    Vae Victis

    C’est un petit garçon rentrant en sang chez lui, une adolescente terrorisée à l’idée de sortir, un jeune homme tombé sous des coups d’une violence inouïe, une grand-mère martyrisée que sa famille n’oubliera jamais. Tous ont connu la détresse, la peur, les sanglots étouffés, la solitude. Aucun ne pourra oublier ces scènes de violences maintes fois rejouées. Ces souvenirs qui restent et ceux qui s’envolent, ce traumatisme que l’on n’oubliera jamais. Combien de fois revoit-on la scène ? Et si, en fin de compte, nous l’avions provoquée ? Pourquoi moi, pourquoi nous ? Pourquoi toi et pourquoi vous, les agresseurs, les violeurs et les violents ? Pourquoi cette rencontre entre toi et moi, entre nous et vous ? Pourquoi moi et nous et pas lui et eux ? Pourquoi moi et pas toi ? Le hasard ? Le destin ? Dieu ou le diable ? Qu’a-t-on fait ou pas fait pour mériter ça ?

    Tu brandis un poing vengeur, tu as l’air énervé, tu as juste le temps de maugréer un « sale Blanc » avant de lui couper le fil de la vie, de lui enlever sa confiance dans les hommes ou de le laisser vieillir en paix. Devant les policiers, les tribunaux, vous, les agresseurs, justifierez votre acte. Tout y sera et même plus. Nous vous écouterons avec attention, avec une inquiétude mêlée d’espoirs : nous pourrons alors enfin comprendre cette agression, ce viol, cette mort… Procès, prison, amendes pour vous. Perte de confiance, peur et parfois oubli pour nous. Plus tard, vous vous moquerez de la victime, vous vous jouerez d’elle. « Victime ! Victime ! », c’est devenu la nouvelle insulte à la mode dans les cours de récréation. Vous ne regrettez rien, ou si peu. Vous êtes en guerre, nous sommes en pleurs. Si on ne t’a rien dit sur moi alors pourquoi nous ? C’est notre gueule, notre visage, notre faciès qui ne vous reviennent pas ? Oui…. trop pâle, trop blanc, trop simple… pas assez couleur locale dans ce quartier, cette ville. Cette époque ?

    Alors, t’as pas compris encore « petit Blanc » ? Je t’ai brisé car tu n’es pas comme moi et je te l’ai fait payer cher. Cette haine, elle est là. Elle est en moi et cette haine, c’est de toi, de ta couleur de peau : je prends ma revanche, je t’écrase, je t’humilie. Tu ne comprends pas, je te frappe, tu comprends, nous te frappons. Moi, on m’excusera ; toi, on t’oubliera. T’as rien compris encore. Regarde-toi dans le miroir, tu es faible dans tous les domaines, tu n’as même pas la force de réagir à tout ça. Mais regarde-toi, nous sommes forts, nous sommes forts de vos faiblesses. C’est vous qui nous avez appris à vous détester, on a bien retenu la leçon. Vous êtes nos défouloirs, la vie n’est pas tendre avec nous, alors on vient se servir sur votre dos, passer nos nerfs et oublier. Oublier quoi ? Je ne sais pas, mais ce qui est sûr c’est qu’on vous oublie rapidement, vous les victimes. Ne sois pas blanc de peur, car pour nous ce serait un nouvel appel du sang…

    http://fr.novopress.info

  • Olivier Besancenot arrêté par les flics !

    Mardi matin 26 février, Olivier Besancenot, ex-candidat à la présidentielle, ancien fondateur et patron du Nouveau parti anticapitaliste, a été embarqué par la police, à Paris, après après avoir manifesté près du ministère de l’Intérieur. Les membres d’un collectif de défense des clandestins ont été arrêtés avec lui. L’arrestation a eu lieu peu après 11H00, faisant suite à une action illégale du Collectif « Faut-il mourir pour avoir des papiers », à laquelle participait Olivier Besancenot. Il s’agissait d’un rassemblement spontané et non-déclaré, place des Saussaies (VIIIe), située non loin de l’Élysée.

    L’objet de la manifestation ? Réclamer « la régularisation et l’installation de tous les sans-papiers« . Rien que cela. En un mot, les manifestants auraient voulu voir acter par le gouvernement la perte définitive de la maîtrise du territoire national. Pourtant indispensable à la poursuite du bien commun. Qu’importe en effet l’incidence qu’un tel appel d’air, à l’adresse du tiers-monde, peut avoir sur l’équilibre économique d’un pays dont la croissance, aux dernière nouvelles, ne se porte pas très bien…

    Quoiqu’il en soit, cette manifestation était un véritable soutient à la délinquance, puisque les clandestins en question sont, par définition, des hors-la-loi. La manifestation n’étant pas déclarée, Olivier Besancenot était définitivement en rupture avec l’État de droit… ce qui, de la part d’un ancien candidat à la présidentielle, n’est pas très glorieux. Lui, en est fier.

    Pour la petite histoire, Besancenot devait être emmené par la police rue de l’Évangile, dans le XVIIIe arrondissement. De là à ce que le communiste athée qu’il est soit touché par la grâce…

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  • Islam : Valls est traversé par un court éclair de lucidité

     

    Lundi soir, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, accordait une interview exclusive à La Libre Belgique. S’exprimant sur la situation de l’islam en France, il reconnait, dans un moment de lucidité, que « l’islam est devenu en quelques années la deuxième religion de notre pays, avec quatre à six millions de Français ou de citoyens résidant en France de confession musulmane. Nous comptons entre 2 200 et 2 300 lieux de culte.(…) Il y a très peu d’exemples dans l’histoire de l’humanité où en aussi peu de temps une religion a pris son essor dans un pays« . Quoique nous nous interrogions sur le concept de Français de papier, estimant que l’appartenance à la France n’est pas l’objet d’une simple démarche administrative… Pour le reste, le constat est réel.

    Mais, en abordant les violences et les crimes commis au nom de l’islam, le ministre poursuit : « Il faut que l’islam puise dans son histoire, dans ses valeurs, pour combattre ce radicalisme et cette violence qu’une minorité porte« . Sauf que les valeurs de l’islam, si on se réfère au coran, semblent assez voisines de ce qu’il reproche à certains musulmans, relativement à la condition de la femme, au meurtre des infidèles, et à la place politique de la religion coranique dans la société civile. Concernant ce dernier point, l’islam, et c’est inscrit dans son ADN, nie la distinction entre privé et public, temporel et spirituel : au nom de l’oumma, l’islam est une théocratie ; et le coran un code civil, une juridiction.

    Quant à l’histoire de l’islam, mieux vaut que les musulmans ne puisent pas trop dedans et négligent cette suggestion du ministre de l’intérieur…qui ferait bien d’ouvrir un livre d’histoire de temps en temps…

    http://www.contre-info.com/

  • Racisme anti-blanc

    Jean-François Copé se met à parler de racisme anti-blanc alors qu'il a toujours - en tant qu'homme de la droite dite "républicaine" - condamné le Front National de la manière la plus solennelle précisément parce qu'il parlait de racisme anti-blanc. Jean-François Copé est d'une obscénité et d'un cynisme sans fond, c'est une affaire sur laquelle on ne devrait plus revenir.

    J'ai vu la comédie française "Case Départ" sur la traite négrière. Les méchants y sont tous blancs et leurs victimes sont noires et juives. Ce qui m'a frappé, au-delà de la déformation historique, c'est la façon dont les esclavagistes sont représentés. Tous horribles physiquement, pas simplement désagréables non, particulièrement hideux, un peu comme les caricatures de Juifs à l'époque de la propagande nazie.

    Christiane Taubira, ministre de la Justice, a affirmé "Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les «jeunes Arabes» «ne portent pas sur leur dos tout le poids de l'héritage des méfaits des Arabes».". Dans le même temps elle est une militante de la mémoire de l'esclavage occidental imposée aux jeunes Français de souche.

    Rokhaya Diallo, une jeune femme animatrice d'une émission sur La Chaîne Parlementaire - chaîne publique - a affirmé sur twitter que Mme. Taubira avait raison car comme nous sommes en France, nous devons parler de l'esclavage en rapport avec la France. Seulement Rokhaya Diallo milite aussi pour "adapter" les programmes scolaires à la nouvelle réalité française, aux Français d'origines africaines, en oubliant un peu nos Rois pour parler de leurs ancêtres. Mais pas de leurs ancêtres esclavagistes. Remplacer l'histoire des Français de souche par celle des Arabes, sauf quand cette dernière n'est pas glorieuse, donc. Pile je gagne, face tu perds.

    Ségolène Royal a dit que Najat Vallaud-Belkacem "ne serait peut-être pas là où elle est si elle s'appelait Claudine Dupont". Jean-Luc Mélenchon écrit sur son blog "la couleur de peau : partout dominait en profondeur ce superbe marron que montrent les plus beaux êtres humains". Pour Yves Jégo, député UMP, le racisme anti-blanc est "une réalité que ne constate aucun Français de bonne foi". Pour Dominique Sopo, ex-président d'SOS-racisme, "le racisme anti-blanc est une notion forgée par le FN". Omar Djellil, ancien membre d'SOS-Racisme, affirme lui que le bureau national de l'association demande à ses membres de ne pas traiter les affaires dont les victimes sont blanches.

    Le Figaro écrit "Il est difficile de savoir si un racisme antiblanc progresse parce qu’il n’existe aucun chiffre le mesurant", sans se demander pourquoi le FN progresse sans cesse. Le Monde titre "Comment l’extrême droite a fait du «racisme anti-blanc» une arme politique", j'ai cherché et ils n'ont en revanche jamais écrit d'article qui s'appellerait "Comment la gauche a fait du «racisme» une arme politique", de Julien Dray à Harlem Désir. Beaucoup disent que parler de racisme anti-blanc c'est en appeler au vote racial, c'est faire un grand signe communautariste. Personne ne dit que parler de racisme blanc contre les immigrés depuis 30 ans c'est appeler au vote racial, c'est faire un grand signe communautariste. On dit que parler de racisme anti-blanc est grave car le racisme ne se divise pas, mais on dissocie volontiers "racisme et antisémitisme".

    BFMTV a fait un petit reportage à Lille ce matin, en demandant à trois Blancs s'ils étaient victimes de ce racisme. Deux ont dit que non, le troisième a dit que ça lui était déjà arrivé, plusieurs Noirs très agressifs le traitant de "Sale Blanc", mais il a aussitôt dit qu'il mettait cela sur le compte de la souffrance subie par ces gens, du fait qu'ils étaient "discriminés depuis des années". C'est le seul des trois à avoir témoigné sans vouloir montrer son visage. BFMTV n'a pas pensé à envoyer des journalistes vivre en banlieue pendant deux mois, pour enquêter sérieusement. BFMTV n'a pas non plus pensé à interroger des Arabes ou des Noirs dans la rue pour leur demander s'ils avaient déjà été victimes d'actes racistes, de ce racisme blanc qui justifie l'existence de dizaines d'associations subventionnées par l'Etat depuis quelques décennies, juste pour voir.

    Je connais beaucoup de gens de gauche, qui ne parlent donc jamais de racisme anti-blanc, mais qui font tout pour vivre loin des quartiers à forte population d'origine immigrée, qui mettent leurs enfants dans des écoles privées, et qui ne s'éloignent pas du centre-ville le soir parce que passer dans tel quartier, selon leur propre avis, "ça craint trop". Ils sont toujours d'accord pour dire que pour quelqu'un à la peau bronzée, ça craint beaucoup moins. Je lis aussi des géographes qui parlent de l'exode des Français blancs fuyant massivement la banlieue pour s'installer plus loin, dans l'espace périurbain.

    Un de mes collègues - un Blanc - m'a raconté l'autre jour qu'il s'était fait agresser par une racaille en quittant du travail, une racaille maghrébine. J'ai des collègues d'origine maghrébine aussi, ils n'ont jamais subi d'agression. Un de mes potes - un Blanc également - m'a dit qu'il s'était fait péter la mâchoire à la fête de la musique par une bande de Noirs qui emmerdaient sa copine, parce qu'il l'avait défendue. Elle et lui se sont fait traiter de "Faces de craie". J'ai des amis qui ne sont pas blancs aussi, et jamais ils n'ont connu ça. J'ai passé des années dans différentes banlieues, j'ai vécu sur le terrain le quotidien d'un visage pâle dans ce genre de zones et j'en ai écrit un petit texte qui a fait un peu de bruit.

    Des histoires comme ça il y en a des centaines de milliers. Un site se propose de les répertorier, puisque personne ne s'en charge, il sert de base de données. Il s'appelle Fdesouche et en terme de visites il est le premier site politique français. Mais non, le racisme anti-blanc n'existe pas. D'ailleurs comment le pourrait-il, puisque les Blancs n'existent pas.

    dimanche 30 septembre 2012 http://www.lesheureslesplusclaires.com