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immigration - Page 1424

  • Immigration : le peuple sait qu'on lui cache des choses

    Jean Raspail est interrogé dans Valeurs actuelles. Extraits :

    V"Vous savez, je n’ai guère envie de me joindre à la grande ronde des intellectuels qui passent leur temps à débattre de l’immigration… J’ai l’impression que ces colloques ne servent à rien. Le peuple sait déjà toutes ces choses, intuitivement : que la France, telle que nos ancêtres l’ont façonnée depuis des siècles, est en train de disparaître. Et qu’on amuse la galerie en parlant sans cesse de l’immigration sans jamais dire la vérité finale. Une vérité d’ailleurs indicible, constatait mon ami Jean Cau, car celui qui la proclame est immédiatement poursuivi, condamné puis rejeté. Richard Millet s’en est approché, voyez ce qui lui est arrivé !

    On dissimule aux Français la gravité du problème ?

    Oui. À commencer par les dirigeants politiques ! Publiquement, “tout va très bien, Madame la marquise”. Mais, la porte fermée, ils reconnaissent que “oui, vous avez raison : il y a un vrai problème”. J’ai sur ce sujet des lettres édifiantes de hauts responsables de gauche, de droite aussi, à qui j’avais envoyé le Camp des saints. “Mais vous comprenez : on ne peut pas le dire…” Ces gens-là ont un double langage, une double conscience. Je ne sais pas comment ils font ! Je pense que le désarroi vient de là : le peuple sait qu’on lui cache les choses. Aujourd’hui, des dizaines de millions de gens ne partagent pas le discours officiel sur l’immigration. Ils ne croient aucunement que ce soit une chance pour la France. Parce que le réel s’impose à eux, quotidiennement. Toutes ces idées bouillonnent dans leur crâne et ne sortent pas. [...]

    Comment l’Europe peut-elle faire face à ces migrations ?

    Il n’y a que deux solutions. Soit on essaie de s’en accommoder et la France — sa culture, sa civilisation — s’effacera sans même qu’on lui fasse des funérailles. C’est à mon avis ce qui va se passer. Soit on ne s’en accommode pas du tout — c’est-à-dire que l’on cesse de sacraliser l’Autre et que l’on redécouvre que le prochain, c’est d’abord celui qui est à côté de soi. Ce qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces « idées chrétiennes devenues folles », comme disait Chesterton, sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général. Je ne vois pas d’autre solution. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • "Briser l'influence du gauchisme culturel"

     

    Lire : Inévitables fractures idéologiques à gauche

    Ce qu'on appelle l'affaire Leonarda a fait apparaître une nouvelle fois l'opposition qui existe depuis longtemps entre une gauche politique et sociale et un gauchisme sociétal qui s'est approprié le magistère de la morale. Ce dernier accentue la coupure de la gauche avec les couches populaires et mine sa crédibilité. En refusant de rompre clairement avec ce courant, la gauche au pouvoir récolte les fruits amers de ce qu'elle a semé.

    Des représentants du gauchisme sociétal appellent les lycéens à reprendre la lutte, multiplient les leçons de morale envers le gouvernement et un peuple considéré comme des "beaufs" fascisants. Par un paradoxe historique et la grâce électorale du Parti socialiste, certains, toujours prompts à jouer la société contre l'Etat, à considérer l'idée de nation comme xénophobe et ringarde, se retrouvent ministres et représentants de la nation. De nouveaux moralistes au pouvoir entendent éradiquer les mauvaises pensées et comportements en changeant les mentalités par la loi. Ils sont relayés par des militants et des associations qui pratiquent la délation, le lynchage médiatique et multiplient les plaintes en justice. La France vit dans un climat délétère où l'on n'en finit pas de remettre en scène les schémas du passé : "lutter contre le fascisme" toujours renaissant, "faire payer les riches" en se présentant comme les porte-parole attitrés des pauvres, des exclus et des opprimés de tous les pays du monde, en développant un chantage sentimental et victimaire contre la raison.

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  • Copé et Fillon convergent pour augmenter l'immigration algérienne

    Rediffusion alors que Jean-François Copé lance une pétition pour restreindre l'immigration massive qu'il a soutenu   :

    Lu dans El Watan du 8 décembre 2011 :

    "Le taux de refus de visas pour la France a baissé de 6% cette année. Seulement 21,77% des demandes de visa formulées par les Algériens ont reçu des réponses négatives depuis le début de l’année, contre 27,84% en 2010, à la même période.
    «Une avancée due à la simplification des procédures pour faciliter la circulation des Algériens entre l’Algérie et la France», dont s’est félicité, hier, le consul général de France à Alger, Michel Dejaegher, en présence de l’ambassadeur de France, Xavier Driencourt, lors d’une conférence de presse tenue à la résidence du consul à Alger. A l’ordre du jour, le bilan des dix premiers mois d’activité du consulat général de France à Alger qui a traité 140 751 dossiers de demandes de visa. Ainsi, 80 746 visas ont été délivrés depuis le 1er janvier 2011, dont 73 000 visas court séjour, contre 72 956 visas à la même période de l’an dernier
    .suite

    Répondant à un journaliste de Tout sur l'Algérie, le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé explique :

    "La France délivre près de 140 000 visas par an, pour environ 200.000 demandes. Le taux de refus diminue, nous délivrons de plus en plus de visas de circulation et nous avons fait un effort important pour améliorer les conditions d'accueil, notamment par le recours au prestataire Visa France. L'Algérie bénéficie en outre d'un régime favorable pour les visas de longue durée et pour le séjour, conformément aux accords de 1968 que nous sommes prêts à améliorer encore, pourvu que nos préoccupations soient prises en compte, conformément au principe de réciprocité. D’un point de vue personnel, je pense que la renégociation de l’accord de 1968 doit être l’occasion d’améliorer la mobilité des chefs d’entreprise, des chercheurs, des artistes."J-F Copé dans TSA

    François Fillon lors de son voyage officiel en Algérie de juin 2008  promit 170 000 visas par an aux Algériens. :

    "ALGER (AFP) 21/6/2008 :

     — Le chef du gouvernement algérien, Abdelaziz Belkhadem [islamiste notoire], a interpellé samedi à Alger son homologue français François Fillon, en visite à Alger, sur "la nécessité d'une plus grande fluidité dans la circulation des personnes entre les deux pays".(...)   La France, régulièrement critiquée par l'Algérie au sujet de la circulation des personnes, fait valoir la progression du nombre de visas, désormais octroyés au rythme d'environ 170.000 par an, contre 57.000 en 1997 [sous Lionel Jospin!]

    Les Algériens ayant voté à majorité pour le Front Islamique du Salut en 1991, et le co-fondateur du FIS Ali Belhadj ayant rendu hommage à Mohamed Merah, la plus élémentaire des précautions serait de ne pas distribuer autant de visas touristiques (viennent-ils visiter les châteaux de la Loire ?), première porte d'entrée de l'immigration clandestine (on entre légalement, on reste illégalement une fois le visa expiré). La France organise légalement sa propre submersion démographique.

    Observatoire de l'islamisation

    http://www.islamisation.fr/archive/2011/10/13/cope-et-fillon-convergent-pour-augmenter-l-immigration-adger.html

  • "L’immigration est vécue comme une invasion, la mondialisation comme un déracinement"

    De Guillaume Bernard sur Atlantico :

    "Certains territoires de la République ont démographiquement basculé avec le changement de nature de l’immigration entre la fin des années 1970 et le début des années 1980 : de travail, elle est devenue familiale. L’INED a pu établir qu’entre 1968 et 2005, les jeunes d’origine étrangère étaient passés, par exemple, de 19 à 57 % en Seine-Saint-Denis, de 22 à 76 % à Clichy-sous-Bois ou de 20 à 66 % à Sarcelles.

    Ce changement radical d’environnement social a créé, pour les autochtones, une insécurité culturelle qui les a poussé, pour ceux qui en avaient les moyens, à quitter ces quartiers et, pour d’autres, à mettre en place des stratégies d’évitement (par exemple pour l’inscription de leurs enfants dans les établissements scolaires). Il est raisonnable de penser que des Français vivant dans des lieux qui ne sont pas encore concernés par ce bouleversement démographique et culturel le craigne. [...]

    La forte concentration de l’immigration en certains lieux, d’un côté, et le déracinement dû notamment à l’uniformisation des modes de vie à cause de la mondialisation, de l’autre, conduisent nombre de personnes à se juger culturellement agressées. C’est le cas, en particulier, parmi les classes populaires qui sont, d’une part, plus directement que les autres, au front de la cohabitation avec les populations d’origine étrangère et ont, d’autre part, moins de moyens pour résister au nivellement. Alors même qu’ils incarnent l’identité de référence, celle du lieu, nombre de Français se considère acculés à une sorte de résistance. Pour résumer, l’immigration est vécue comme une invasion, la mondialisation comme un déracinement. Il ne s’agit donc pas d’un rejet de l’autre en tant qu’il est différent, mais le refus de la dépossession de ses racines et du fractionnement culturel du territoire."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Roms : Les juteuses subventions du lobby associatif

    Loin d’être une communauté soumise à la vindicte de Français xénophobes, les Roms sont soutenus par de puissants lobbys. Le collectif Romeurope compte par exemple une quarantaine d’associations financées par l’argent public. Sans viser à l’exhaustivité, un rapide florilège de leurs subventions suffit à donner le vertige.

    Cette manne d’argent public n’est pas toujours bien gérée. Selon nos informations, après SOS Racisme, France terre d’asile est dans le collimateur de l’Inspection générale de l’administration (IGA), qui rendra un rapport d’ici au 30 octobre.

    En 2011, derniers chiffres disponibles, la Fédération nationale des associations solidaires d’action avec les tsiganes et les gens du voyage (Fnasat) a reçu 328.930 euros pour la “prévention de l’exclusion”, d’après le Jaune des associations, une annexe du projet de loi de finances détaillant l’effort de l’État en faveur du secteur associatif. On relève un total de 153.536 euros versés à la Cimade pour un “projet régional de défense des migrants” et un programme assez flou de “préparation à la sortie” (sic).

    La Ligue des droits de l’homme a reçu 40.000 euros pour “le débat citoyen, la défense des droits et la lutte contre les discriminations”. L’association parisienne Hors la rue, spécialisée dans la prise en charge de mineurs délinquants “essentiellement d’origine roumaine”, a perçu 20.000 euros.

    Hors de Romeurope, l’Association pour l’aide à la scolarisation des enfants tsiganes et autres jeunes en difficulté (Aset) n’a reçu que 2.000 euros. Mais il est impossible, au niveau national, de dénombrer la multitude d’associations spécialisées dans la défense des Roms bénéficiant de subventions.

    Ces associations réclament notamment des aides à chaque échelon des collectivités publiques: communes, départements, régions. En 2012, le conseil régional d’Île-de-France s’est ainsi fendu d’un chèque de 10.380 euros pour Romeurope.

    La Cimade a perçu 58.698 euros, l’Association familiale des gens du voyage, 8.500, et Uravif, 25.500. En province, la région Nord Pas-de- Calais a versé 53.375 euros à Areas, gens du voyage et Roms migrants. Un exemple entre mille.

    Laurent El Ghozi, cofondateur du collectif Romeurope, fait figure de sage avec sa barbe blanche et sa voix mesurée. Son discours n’en est pas moins caricatural. Pour celui qui se flatte d’être à l’origine de la circulaire Valls d’août 2012, http://fortune.fdesouche.com/wp-admin/post-new.php

    « les Roms forment la population la plus discriminée de toutes, dans tous les pays d’Europe et de tous les temps […]. Alors qu’ils sont inoffensifs ».

    [...] El Ghozi brandit un petit livre rouge édité par le collectif Romeurope et intitulé “Ceux qu’on appelle les Roms“, luttons contre les idées reçues : « Il faut lire ce petit fascicule, tout est dit sur les discriminations dont sont victimes les Roms », affirme-t-il.

    Financée par le conseil régional d’Île-de-France, cette brochure se révèle en fait un outil de propagande qualifiant toute critique de “préjugé” et passant sous silence tous les aspects indéfendables liés à l’implantation des Roms sur le territoire français.

    Si les questions de logement, d’éducation ou de santé sont traitées en détail et de manière résolument positive, pas un mot, par exemple, sur l’exploitation de mineurs contraints par des voyous à la mendicité, voire au vol et à la prostitution. Les tsiganes sont exclusivement présentés comme « les boucs émissaires d’une politique sécuritaire ».

    Valeurs Actuelles

    http://fortune.fdesouche.com/329851-roms-les-juteuses-subventions-du-lobby-associatif#more-329851

  • Jouons avec notre gouvernement, Léonarda, la Manif pour tous et la France orange mécanique

    Aujourd’hui, un petit jeu : de la cohérence s’est cachée dans ces trois affaires, retrouvez-la. 
    1. D’un côté, nous avons la clause de conscience des maires qui est refusée : la loi c’est la loi, il n’y a pas à transiger avec ça. De l’autre, nous avons l’affaire Léonarda : la loi est ignoble, qui permet de virer de pauvres jeunes filles de France, il faut donc la violer. La loi, pas la jeune fille.
    2. D’un côté, nous avons des centaines de milliers de manifestants, qui descendent régulièrement dans la rue pendant plus de 6 mois, prenant sur leurs jours de repos pour montrer leur inquiétude. De l’autre, nous avons des lycéens qui descendent dans la rue trois jours de suite, à la veille des vacances, puis plus rien. Qui est entendu jusqu’à l’Élysée ?
    3. D’un côté, nous avons une affaire de jalousie qui se finit par deux claques : l’ex de maman Léonarda est venu se venger de la séparation qu’il a subie il y a 25 ans. La France en conclut que Léonarda n’est pas en sécurité au Kosovo, et qu’il faut donc vraiment la faire revenir. De l’autre côté, nous avons un bouquin qui prouve qu’on n’est plus en sécurité nulle part en France. Blackout total, accusations de racisme, voire de nazisme. La sécurité des Français n’est rien à côté de celle de Léonarda.
    Réponses : dans l’affaire 1, la cohérence se cache… euh, ben en fait je la trouve plus. Dans la 2, elle se trouve dans… ah ben merde, c’est pas vrai, elle s’est barrée cette conne… Et dans la 3, je… hum. 
    Désolé pour ce petit incident technique. La prochaine fois je ferai plutôt un jeu des 7 erreurs…

    Source  http://www.oragesdacier.info/2013/10/jouons-avec-notre-gouvernement-leonarda.html

  • Faillite politique

    « Au-delà du cas Leonarda, la «décision» révèle et cristallise la faillite politique d’un quinquennat tout juste commencé »
    Si l’on en croit Jean-Vincent Placé, président du groupe des sénateurs EELV, l’affaire Leonarda ne serait pas terminée. En effet, s’appuyant sur les propos de Harlem Désir, il souhaite relancer le mouvement lycéen en faveur de la collégienne qui ne veut pas revenir en France seule. Pour ce qui concerne Polémia, après avoir largement communiqué sur cette lamentable affaire, nous concluons aujourd’hui avec la reprise de l’éditorial du 21 octobre d’Alexis Brézet, directeur des rédactions du « Figaro », et laissons le président Hollande avec l’affaire des écoutes de la NSA et ses probables démêlés « synthétiques » avec son homologue Obama.
    Polémia
    Dix-huit mois après l’élection de François Hollande, il nous aura donc été donné d’assister à ce naufrage :
    – Le président de la République française qui s’abaisse, et abaisse la France avec lui, à consacrer toute affaire cessante une intervention en direct à la télévision à une banale expulsion – parfaitement régulière de surcroît – soudain érigée sous la loupe médiatique en affaire d’État.
    – Une gamine de 15 ans qui prend à partie le chef de la cinquième puissance économique mondiale et qui lui fait la leçon avec une insolence confondante. Les parents de cette jeune fille, généreusement logés, nourris et entretenus par la France depuis quatre ans, qui multiplient les provocations avec une acrimonie qui en dit long sur leur volonté d’intégration.
    – Et pour finir, ce feu d’artifice de commentaires, souvent plus atterrés que critiques, venus de la droite comme de la gauche, qui sanctionnent l’échec cinglant d’une intervention présidentielle «solennelle», motivée au départ par le souci d’enrayer la colère d’une poignée de lycéens et qui, à l’arrivée, n’aura pas même réussi à convaincre… le premier secrétaire du Parti socialiste.
    Consternant ! Où est le courage ? Où est la hauteur de vue ? Où est la force de conviction ? Tout, dans l’épilogue (provisoire ?) de cette affaire lamentable – depuis l’enquête administrative aux attendus subtilement balancés (pas de «faute», mais «un manque de discernement») jusqu’à ce pseudo-jugement de Salomon (la jeune fille peut revenir, mais sans sa famille…) -, tout respire de bout en bout la combine politicienne, le calcul d’apothicaire, la cautèle de maquignon.
    François Hollande aurait pu – il aurait dû – affirmer que l’enquête administrative ayant établi la parfaite régularité de la mesure d’éloignement, l’affaire était close et la polémique infondée. Bien sûr, il lui aurait fallu en payer le prix sur sa gauche, du côté des Verts et d’une frange du Parti socialiste. Bien sûr, il y aurait eu du grabuge au gouvernement…
    Bien sûr, il aurait exaspéré une partie des militants qui, sur la foi d’un programme ambigu, l’ont porté à ­l’Élysée. Mais en réaffirmant l’autorité de l’État, c’est la sienne qu’il aurait restaurée. Et, sur ce terrain, il aurait trouvé le soutien de l’opinion…
    Mettant la barre à gauche toute, François Hollande aurait pu à l’inverse ordonner, au nom du «devoir d’humanité», l’annulation de la mesure d’éloignement qui frappe toute la famille Dibrani. Sans doute, ­Manuel Valls aurait claqué la porte. Évidemment, le Front national en eût fait ses choux gras. Mais, au moins, le président aurait remobilisé les plus engagés de ses partisans. Toute considération de fond mise à part, il aurait surtout manifesté qu’il y a un chef, et un cap, à l’Élysée…
    Au lieu de quoi, hollandissime jusqu’à la caricature, il biaise, il embrouille, il enfume. Il ménage la chèvre et le chou. Il avance pour mieux reculer. Il ne pose la règle que pour créer l’exception. Il ne fait une concession que pour la reprendre aussitôt. L’expulsion de Leonarda est régulière, donc la jeune fille sera autorisée à rentrer. La générosité exige qu’elle revienne, donc elle sera séparée de sa famille. Comprenne qui pourra…
    Pitoyable habileté destinée à ne mécontenter personne et qui réussit in fine à exaspérer tout le monde. Faible dans ce qu’elle a de fort, mesquine dans ce qu’elle a de généreux, la «décision» du président ajoute l’arbitraire à la faiblesse et le sentimentalisme à l’insensibilité. Injustifiable du point de vue du droit comme de celui de la simple humanité, elle fera date, à n’en pas douter. Au-delà du cas Leonarda, elle révèle et cristallise la faillite politique d’un quinquennat tout juste commencé et qui, noyé d’indécision et d’impuissance au sommet, a déjà comme un air de fin de règne.
    Alexis Brézet, Directeur des rédactions du Figaro, 21/10/2013
    http://www.lefigaro.fr/politique/2013/10/20/01002-20131020ARTFIG00178-faillite-politique.php
    via http://www.polemia.com/faillite-politique/

  • Leonarda pulvérise le mur des « cons »

    Les Dibrani : une chance pour la France !
    Il fallait bien qu’un jour l’évidence leur explose au visage. A force de vouloir présenter des clandestins, par idéologie médiatico-bobo, dans les informations et feuilletons télévisés en pauvres victimes forcement sympathiques, privées de papiers par de méchants racistes, on devait finir par trouver une caricature de profiteurs à la hauteur du ridicule des humanitaro-gauchistes. Ce sera peut être le mérite de Leonarda et de sa magnifique famille d’avoir ouvert les yeux aux plus aveugles. Car on a dépassé et de loin les limites de la connerie ambiante.
    Le président Hollande en grande tenue présidentielle s’occupant du cas Léonarda… cela restera dans les annales. Son amalgame entre les jeunes lycéens politisés et la jeunesse, tout comme son geste de générosité envers l’ingrate adolescente resteront des erreurs politiques majeures. Les journalistes, idiots utiles de l’immigration clandestine, ont immédiatement tendu leurs micros vers Leonarda au Kosovo où ils s’étaient empressés de s’agglutiner pour recevoir la bonne parole. Ils n’ont pas été déçus. Ils ont très vite été horrifiés du comportement du clan, de son arrogance et de son agressivité qui a donné à la France entière une image terrible de certains clandestins. Ils se sont rendu compte qu’ils  confortaient les partisans de la rigueur vis a vis de l’immigration clandestine et des abus du droit d’asile utilisé par des profiteurs bien renseignés. Ce sont les pires des clandestins qui ont été médiatisés.
    Leonarda en direct affirmant du haut de son importance qu’elle retournera en France, même clandestinement, non pas pour subir la loi d’une république ayant trahi ses valeurs …. mais pour imposer la sienne…. Les journalistes qui lui servaient la soupe en sont restés comme deux ronds de flanc. Certains ont même pris une fuite discrète pour ne pas être inclus dans les images en direct de cette séquence d’anthologie. Ah le direct !
    Direct aussi avec la mère incompréhensible dans son langage mais, hystérique dans son comportement et agitant sa nombreuse famille devant les cameras, et le père dans un sabir balkano-italien  exprimant sa conception des choses et sa vision de la démocratie. Ces Roms la – sont ils vraiment Roms d’ailleurs – ont fait, grâce au comportement médiatique, la leçon en direct à la France et à son  président. Cela valait son pesant d’humiliations de la patrie des droits de l’homme et du clandestin. Car finalement tous ces clandestins devenus de gentils sans papiers que la gauche et la presse veulent régulariser, ils ont de quoi se plaindre de la caricature négative renvoyée d’eux par cette famille si médiatisée.
    La presse peut se mordre les doigts d’une manip  qui se termine en queue de poisson et même en désastre politique pour le président, Manuel Valls, la gauche et qui ne profite qu’à ceux qui ne veulent pas du retour de Leonarda et sa  famille. Car quelle famille tout de même !
    Le père de Leonarda a en effet reconnu avoir menti aux autorités françaises pour obtenir le statut de réfugié : ses enfants ne seraient pas kosovares mais italiens. Pour appuyer ses dires, Resat Dibrani a montré des documents à Europe 1. Il s’agit de cinq certificats de naissance, envoyés par l’Italie au ministère de l’Intérieur kosovar. Ces papiers concernent Leonarda, sa sœur et trois de leurs frères. Ils attestent que les enfants sont nés à Fano, une petite ville sur la côte adriatique. La petite dernière serait, elle, née en France en 2011. Quant à la mère de Leonarda, elle n’a aucun papier prouvant son identité. Ces documents ne font néanmoins pas automatiquement de Leonarda et ses frères et sœurs des Italiens ou des Français puisque leurs parents n’ont pas ces nationalités. Les enfants ne sont néanmoins pas apatrides mais pas kosovares non plus car ils ne sont pas nés au Kosovo.
    Le maire de Fano, ville italienne où avait résidé la famille durant de nombreuses années, est sorti du silence. Et il décrit un père de famille très difficile à gérer, qui a fui la ville lorsque les autorités de cette ville avaient menacé de retirer la garde des enfants. Quant à l’adolescente on sait qu’elle est une championne de l’absentéisme scolaire et des fugues nocturnes. Et voilà ceux que Leonarda ne veut pas quitter, voila son intégration et son amour de l’école.
    Finalement cette manip devrait ouvrir les yeux et les « cons » de Leonarda se retrouver sur le mur des juges du syndicat, forcément émus par son cas si touchant et dans le premier rôle au milieu du très impressionnant casting des arroseurs arrosés.
    Raoul Fougax, 20/10/2013
    Source : Metamag.fr
    http://www.polemia.com/leonarda-pulverise-le-mur-des-cons/

  • Londres invite les immigrés clandestins à rentrer chez eux... par texto

    Après les camionnettes placardées d'affiches "Go Home" à l'intention des immigrés illégaux, le gouvernement britannique a envoyé un texto à près de 40 000 personnes soupçonnées d'être en situation irrégulière, les invitant à quitter le territoire.  
    "Nos registres montrent que vous pourriez ne pas être en droit de rester au Royaume-Uni. Merci de nous contacter afin que nous puissions discuter de votre cas": près de 40 000 personnes, soupçonnées d’être en situation irrégulière, ont reçu ce texto des autorités britanniques entre septembre 2012 et juin 2013.
    En ajoutant celles contactées par courrier, e-mail ou téléphone fixe, 58 800 personnes au total ont été ainsi approchées par le Ministère de l’Intérieur, qui les invite à se faire connaître et, en cas d’irrégularité avérée, à quitter le territoire.
    Marge d’erreur 
    Qualifiée de "proactive" par le gouvernement, la méthode a soulevé des critiques au Royaume-Uni de la part de l’opposition, comme de la société civile, qui a dénoncé des erreurs de destinataires. Selon le ministère de l’Intérieur, 14 personnes sur les 58 800 contactées n’étaient pas concernées par le texto. Les militants des droits civiques affirment qu’elles ont été bien plus nombreuses à recevoir le message à tort.
    Suresh Grover, militant des droits de l’Homme, et Bobby Chan, avocat spécialiste de l’immigration, ne décolèrent pas depuis qu’ils ont vu le message laconique s’afficher sur l’écran de leur téléphone. "Je suis arrivée en Grande-Bretagne en 1966 avec mes parents, je suis né en Afrique de l’Est et j’ai un passeport britannique", a expliqué Suresh Grover dans les colonnes du quotidien The Independent, se disant "choqué" et "horrifié" d’avoir été contacté de la sorte.
    Si le ministère se défend d’avoir envoyé le message à Suresh Grover, ce dernier a déclaré à la BBC vouloir porter plainte. Plus de 140 plaintes ont été reçues à ce jour par les autorités.
    "Go Home" 
    Le secrétaire d'État à l'Immigration, Mark Harper, a défendu sa politique, déclarant qu'il n'avait "pas de problème à dire aux personnes qui sont là illégalement qu'elles ne devraient plus l'être". Il a ajouté que la campagne "Go Home" (Rentrez chez vous), pourrait être étendue au reste du pays.
    Cette campagne, vivement critiquée outre-Manche, a été testée pendant deux semaines en juillet dans six quartiers londoniens à forte population étrangère. Deux camions, ornées d’une affiche représentant une paire de menottes géante, portait le slogan: "Illégal au Royaume-Uni ? Rentrez chez vous ou prenez le risque d’être arrêté". Prospectus et affiches proposant une aide au retour ont également été distribués. 
    La tournée des camions, appelés "racist vans" par leurs détracteurs, avait suscité une vive émotion en Grande-Bretagne l’été dernier. Les organisations des droits de l’Homme avaient accusé le gouvernement de créer un climat de peur et d’intolérance. La coalition au pouvoir elle-même s’était divisée sur la question.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2013/10/londres-invite-les-immigres-clandestins.html