En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le Figaro de ce matin rend compte d’un massacre des migrants éthiopiens qui tentent d’entrer en Arabie saoudite en passant par le Yemen: hommes, femmes et enfants sont mitraillés, violés, torturés par les forces saoudienne pour les empêcher de franchir la frontière. Le quotidien parle d’une tuerie d’au moins 600 personnes intervenue récemment.
Deux familles résidant en Belgique, chacune avec quatre enfants âgés de 1 à 15 ans, ont été prises en flagrant délit de contrebande de haschisch à la frontière entre le Maroc et l’Espagne. Leurs voitures contenaient au total pas moins de 200 kilos de drogue. Les parents ont été arrêtés et les huit enfants ont été pris en charge sur place par les autorités.
[…]
L’ONG Human Rights Watch a accusé les gardes-frontières saoudiens d’avoir tué des centaines de migrants éthiopiens qui tentaient de traverser la frontière entre le Yémen et l’Arabie saoudite entre mars 2022 et juin 2023. Mais, naturellement, les médias occidentaux ne s’y intéressent guère puisque ce n’est pas l’Europe qui est ici mise en accusation!
22/08/2023
ENQUÊTE – Ce jeune homme de 18 ans, déjà condamné cinq fois par la justice, était connu dans son quartier pour ses nombreuses incivilités et des violences envers sa mère.
«Il frappait sa mère. Je l’ai retrouvée plusieurs fois par terre en bas de chez elle, elle me disait : ‘c’est Oumar qui m’a shootée’», confie une habitante du quartier où vivait Oumar N. avec sa mère. Le prénom de ce jeune homme de 18 ans, mis en examen pour «viol accompagné de tortures ou actes de barbarie», est sur toutes les lèvres dans ce quartier populaire du sud de Cherbourg où tout le monde se connaît.
À l’occasion d’une rencontre avec son homologue autrichien le 18 août, le chancelier allemand Olaf Scholz a défendu les contrôles aux frontières intérieures, même s’ils entravent la libre circulation à l’intérieur de l’espace Schengen, relate le site Euractive.
Carlo Fidanza est député européen du parti nationaliste italien Fratelli d’Italia (Frères d’Italie), du Premier ministre Giorgia Meloni, donné dans les sondages à près de 30 %. Lionel Baland l’a rencontré et interrogé pour Breizh-info.
Breizh-info : Votre parti, Fratelli d’Italia, était petit et est devenu très grand.
Carlo Fidanza : Le plus grand (rire), pour le moment, si les gens le veulent !
Breizh-info : Comment expliquez-vous cela ?
Carlo Fidanza : Atteindre cet objectif a été possible grâce à la cohérence de la trajectoire que nous avons suivie, car lorsque nous avons débuté cette expérience, nous étions très petits et nous avons décidé de réaliser cela pour deux raisons : dans la vie quotidienne du parti au sein duquel nous étions la plupart d’entre nous, avec Giorgia Meloni et les autres plus importants dirigeants de l’actuel parti Fratelli d’Italia, Il Popolo della Libertà (Le Peuple de la Liberté) dirigé par Silvio Berlusconi, notre tendance idéologique n’était pas très présente. Nous nous sentions exclus par l’identité exprimée par ce parti à cette époque et nous n’apprécions pas que celui-ci apporte son soutien, en même temps que le parti de gauche Parti Démocrate, au gouvernement technique dirigé par Mario Monti. Nous n’étions pas d’accord avec cela. Nous avons tenté de l’éviter. Et lorsque Silvio Berlusconi a décidé de soutenir ce gouvernement, nous avons été très mal à l’aise avec cette décision.
Mercredi 16 août, quatre personnes ont été mises en examen puis placées en détention provisoire après le naufrage meurtrier survenu samedi 12 août dans la Manche d’une embarcation de migrants tentant de rallier l’Angleterre, au cours duquel six Afghans ont péri, a indiqué une source judiciaire, confirmant une information du Monde. Elle avaient été placés en garde à vue le jour du drame.
20/08/2023
Profitant d’une panne d’électricité, des retenus du centre de rétention de Nîmes ont mis le feu à 14 chambres. 6 en ont profité pour s’évader. 11 ont été transportés au CHU. Une enquête est en cours.
