
Marc Eynaud : Vous avez déposé une résolution cosignée par 56 députés de votre groupe pour faire de la natalité une grande cause nationale. Pourquoi cette initiative ?
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Marc Eynaud : Vous avez déposé une résolution cosignée par 56 députés de votre groupe pour faire de la natalité une grande cause nationale. Pourquoi cette initiative ?
Bernard Germain
Vous, je ne sais pas, mais moi, il y a des gens qui m’insupportent vraiment. Et au hit parade de ces personnes, il en est une qui tutoie les sommets : le sieur Périco Légasse.
Selon mes informations, il s’est fait un nom dans la rubrique « critique culinaire », notamment dans un journal du nom de la République. Il est par ailleurs le conjoint de la rédactrice en chef de ce journal. Est-ce pour cela qu’il se pense omniscient ? Nul ne le sait.
Toujours est-il que ce monsieur s’est autorisé dernièrement à faire des déclarations tapageuses à la télévision, et sur Twitter où il écrit à propos d’une arrivée massive d’immigrés à Callac (Côtes-d’Armor) :
« C’est une formidable idée, on peut allouer un lopin de terre et en faire des paysans. C’est l’avenir de notre ruralité ».
S’agissant de sa déclaration, s’il y avait un prix Nobel des déclarations débiles, il m’apparaît qu’il serait incontestablement dans la « short list » pour décrocher la palme.
Tout comme il faut lire entre les lignes, il est bon d’écouter les silences, ces points de suspension parfois plus parlants que les mots. Ainsi l’aveu de Florence Foresti, invitée, le 15 septembre dernier, de l’émission « En aparté », sur Canal+.
Elle vient là à l’occasion de son nouveau spectacle, « Boys boys boys », qu’elle donne au théâtre Marigny, à Paris, avant d’entamer une tournée en province. L’invitée est seule dans le studio, un appartement confortable où l’attendent des objets comme autant de clins d’œil à sa vie, sa carrière. La voix off l’invite à contempler une vue de Paris, de nuit. On reconnaît les toits de l’hôtel de ville, le dôme de l’église Saint-Gervais.
21/09/2022
L’affaire a fait le tour du lycée Simone-Weil (IIIe). Le frère d’une élève de première qui refusait d’enlever son voile en sortie scolaire, ce vendredi, a menacé de mort l’enseignante accompagnatrice. Il a été interpellé alors qu’il était en chemin pour en découdre avec l’enseignante, et remis en liberté dimanche, sous contrôle judiciaire.
Monsieur
Début 2023, Emmanuel Macron entend proposer un projet de loi « relatif à l'asile, donc à l'immigration dans la République ». Et le premier d'entre nous de préciser (donc de reconnaître…) : « Notre politique aujourd'hui est absurde car elle consiste à mettre des femmes et des hommes qui arrivent, qui sont dans la plus grande misère, dans les quartiers les plus pauvres. » Avant de plaider « pour une meilleure répartition des étrangers accueillis sur le territoire, dans les espaces ruraux, qui eux sont en train de perdre de la population ».
Ce mardi, un homme de 28 ans a été condamné pour deux agressions sexuelles commises en avril, alors qu’il exerçait comme coiffeur dans un salon clandestin à Douai.
C’était un salon de coiffure sans enseigne. Aménagé clandestinement dans un appartement du quartier de Dorignies à Douai. Clandestin mais plutôt réputé : on y venait de loin pour s’y faire coiffer parce que M. A-J., aux ciseaux, avait de solides références. Au Liban, ce réfugié palestinien travaillait dans un salon connu avant de se marier et de s’installer en France.
Dans une vidéo publiée sur Facebook ce samedi soir, Julien Sanchez, le maire de Beaucaire, exprime sa colère. Il a dû célébrer un mariage sous escorte policière, à cause, selon lui, des menaces d’un individu libéré de prison au début de l’été. Il dénonce “un laxisme judicaire français”.
Ce matin, Jean-Marc Morandini présentait en direct un nouveau numéro de "Morandini Live" sur CNews. Au cours de l'émission, une équipe s'est rendue à Ivry-sur-Seine (Val de Marne), où un camp de migrants s'est installé.
"Quand le réel frappe à la porte. On le vit en direct. Quand la porte sera enfoncée, on parlera autrement. Non pas que les migrants ne sont pas réels, mais c'est vraiment ça le problème. On va les accueillir, faire les meilleurs accueils, et ça coutera combien aux contribuables français ? Ça va coûter des milliards !", a déclaré André Bercoff en découvrant les images.
Le fonctionnaire de police tenait un barrage afin de stopper le chauffard du véhicule.
Un policier a été sévèrement blessé ce lundi soir à Anzin après avoir été percuté par le chauffeur d’une voiture à la suite d’un refus d’obtempérer, ont indiqué les pompiers du Nord.