Les « sans-papiers » arnaqués par l’extrême gauche ? C’est le scandale qui secoue ce petit monde. L’hebdomadaire Politis est mis en cause. Il a suspendu sa vente en kiosque le 17 juin, officiellement pour des raisons financières. Les temps sont durs en effet pour la presse d’opinion, Présent en sait quelque chose. Mais est-ce une raison pour se renflouer sur le dos des clandestins ?
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Marché noir – Cette extrême gauche qui escroque les clandestins
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Bourges : 20e mention au casier judiciaire, un migrant tchadien en situation irrégulière comparait de nouveau pour violences avec arme
Violences avec arme en récidive : le prévenu attendra son procès en prison
[…]…est soupçonné de s’en être pris, avec violence, à un homme au prétexte qu’il lui refusait une cigarette. Il lui aurait porté au moins un coup de poing, puis l’aurait menacé d’un couteau.
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Sur l’immigration le conseil d’Etat a toujours défendu une vision maximaliste de la liberté. En matière de santé c’est l’inverse
Jean-Frédéric Poisson dépose avec Via un référé-liberté devant le Conseil d’Etat, demandant l’annulation du Décret no 2021-955 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire. Ce décret instaure un passe sanitaire pour l’accès aux établissements, lieux et évènements cités, lorsqu’ils accueillent un nombre de visiteurs, spectateurs, clients ou passagers au moins égal à 50 personnes.
De son côté le Conseil d’Etat a donc entériné le projet de loi du gouvernement sur le passe sanitaire (qu’il avait décrié pour les activités quotidiennes, début juillet) et l’obligation vaccinale, allant jusqu’à déclarer légale la possibilité de suspendre la rémunération de celui qui ne veut pas être vacciné, puis son licenciement.
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Baisse des expulsions, accélération de l’immigration : que fait Macron ?
Moins de liberté pour les Français, plus de liberté pour les immigrés clandestins : telle semble être la devise d’Emmanuel Macron. La crise sanitaire a des conséquences paradoxales : des mesures de plus en plus contraignantes à l’égard de nos compatriotes, mais une indulgence coupable à l’égard des étrangers en situation irrégulière.
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Le rédacteur en chef du magazine de gauche Politis et son conjoint Azzedine Jamal accusés d’avoir escroqué des dizaines de migrants clandestins, en leur promettant des papiers contre d’importantes sommes d’argent
Dans une longue enquête, le média en ligne StreetPress accuse Azzedine Jamal de s’être fait passer pour un avocat pendant deux ans, proposant à des sans-papiers de les aider à monter leur dossier de régularisation contre des sommes importantes. Son conjoint, Gilles Wullus, s’est mis en retrait de ses fonctions de rédacteur en chef de « Politis ».
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Le voile islamique, signe visible de la transformation de la société française
Par Paul Tormenen, juriste et spécialiste des questions migratoires ♦ Lors de la convention de la droite à l’automne 2019, Éric Zemmour a fait quelques déclarations tonitruantes qui lui ont valu d’être condamné l’année suivante. Parmi celles-ci figure « l’islamisation de la rue ». Cette suite judiciaire a détourné l’attention d’un phénomène bien réel, que chacun peut pourtant constater : de plus en plus de femmes musulmanes portent le voile islamique et des tenues « ethniques ». Pour paraphraser Charles Péguy, en la matière comme dans d’autres, il faut autant essayer de voir ce que l’on voit que de dire ce que l’on voit, en tentant d’échapper aux foudres des ligues de vertu. Que nous dit ce phénomène sur l’évolution de la société française et la transformation de notre pays ?
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Le sans-papiers sera mieux traité que le sans-vaccin
Lorsqu’un pouvoir érige la vaccination comme seule solution pour circonscrire la pandémie, épargner un certain nombre de victimes et, surtout, retrouver « la vie normale » avec l’hédonisme inscrit au cœur de notre civilisation actuelle, il use d’un argument efficace. Quand il brandit « en même temps » les peines qui frapperaient les récalcitrants au passeport sanitaire prouvant la vaccination, les amendes énormes que risqueraient les commerçants, les privations et discriminations qui toucheraient les non-vaccinés – les « sans-vaccin », en somme, comme on dit les « sans-papiers » -, il ne faut pas s’étonner que la majorité se précipite vers les centres de vaccination.
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Lyon (2e arr.) : des habitants attaqués au mortier, les immeubles d’habitations visés, il s’agirait une “action punitive” contre les riverains qui se plaignaient de l’insécurité dans le quartier
Ce jeudi matin, LyonMag réalisait le bilan de la nuit de la Fête Nationale, avec notamment des incidents dans l’est lyonnais. Mais selon plusieurs témoins, des débordements ont aussi éclaté dans le quartier de la Confluence, dans le 2e arrondissement de Lyon.
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Insécurité des Français : le collectif « Lyon en colère », qui rassemble des centaines de citoyens, porte plainte contre l’État
Issu de la fusion de plusieurs collectifs citoyens de différents quartiers de Lyon, “Lyon en colère” rassemble aujourd’hui plusieurs centaines de signataires et, par la voix de l’avocat Édouard Raffin, porte plainte contre l’État à travers notamment la préfecture du Rhône.
Cette plainte, selon les citoyens lyonnais, est une conséquence directe du manque d’effectif considérable que connaît la police municipale. Au cours de l’entretien, Édouard Raffin fait donc le lien entre une police atrophiée et une population désemparée. Pour avoir été en contact avec les directeurs de la police municipale, avec différents agents, ainsi qu’avec la brigade opérationnelle de Lyon, il nous rapporte qu’ils “font tous le même constat d’une inadéquation entre les moyens dont ils disposent pour remplir leur mission et le manque d’effectif. Ils ne peuvent pas intervenir sur tous les appels qu’ils reçoivent.“
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Baisse des expulsions, accélération de l’immigration : que fait Macron ?
Moins de liberté pour les Français, plus de liberté pour les immigrés clandestins : telle semble être la devise d’Emmanuel Macron. La crise sanitaire a des conséquences paradoxales : des mesures de plus en plus contraignantes à l’égard de nos compatriotes, mais une indulgence coupable à l’égard des étrangers en situation irrégulière. Le Figaro, s’appuyant sur un rapport de la CIMADE et d’autres associations d’aide aux migrants, souligne que, durant cette année de Covid, les placement en rétention d’illégaux en vue de les renvoyer dans leur pays d’origine ont été divisés par deux.