
(…) Il dénonce les ONG européennes qui « coopèrent avec les trafiquants d’êtres humains et violent le droit international en mer », selon ses dires, relayés par le site d’actualité de l’Europe centrale « REMIX ».
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(…) Il dénonce les ONG européennes qui « coopèrent avec les trafiquants d’êtres humains et violent le droit international en mer », selon ses dires, relayés par le site d’actualité de l’Europe centrale « REMIX ».
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Dimanche 31 janvier matin, le collectif féministe Némésis a organisé une manifestation au Trocadéro à l’occasion du « No Hijab Day », journée sans voile créée par une féministe anglaise en février 2020 pour prendre le contre-pied du « Hijab Day », journée faisant la promotion du voile islamique. Ces militantes étaient revêtues symboliquement du niqab. Boulevard Voltaire a interviewé la responsable de ce collectif.
Vous êtes la responsable du collectif Némésis, collectif féministe. Vous étiez une vingtaine de militantes à manifester place du Trocadéro arborant une burqa. Pourquoi avoir organisé ce happening ?
« Face à l’urgence humanitaire en Méditerranée et alors que les États européens se désengagent toujours plus de leurs responsabilités en matière de secours en mer, plusieurs collectivités locales françaises ont décidé d’agir aux côtés de SOS MÉDITERRANÉE. Elles ont lancé, le 21 janvier 2021, la « Plateforme des collectivités solidaires avec SOS MÉDITERRANÉE » et appellent toutes les collectivités de France à les rejoindre. »
« Ces collectivités apportent un soutien financier indispensable à l’association et constituent une force d’appui essentielle pour faire avancer son plaidoyer. Elles sont également une caisse de résonance pour les citoyennes et les citoyens mobilisés dans leurs territoires, en facilitant leurs actions de témoignage et de sensibilisation. »
Pour avoir dit lors d’un cours le 27 octobre, onze jours après l’assassinat de Samuel Paty : « L’islam ne reconnaît pas la liberté de conscience. C’est quand même absolument terrifiant », et évoqué « des religions sexuellement transmissibles », Mme L., prof de droit à la fac d’Aix-Marseille, a reçu des menaces de mort, avant d’être placée sous surveillance policière. L’enseignante a déposé plainte le 6 janvier contre Mediapart pour « mise en danger de la vie d’autrui ». Le site d’information avait en effet publié le 8 décembre le nom de l’enseignante et qualifié ses propos d’«islamophobes»…
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Contacté par Le Point, l’avocat de l’enseignante pointe également du doigt les agissements de la vice-présidente de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH). Cette dernière aurait diffusé un extrait audio du cours incriminé lors d’échange de mails au sein de la CNCDH avec la mention «à vomir».
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Le Point / Valeurs Actuelles
Le collectif Nemesis a mené une action « #nohijabday » et contre l’islamisation ce dimanche matin au Trocadéro à Paris. Alice, la présidente du groupe, a été interpellée par la police.
Ce matin, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur se déclarait « scandalisé » par notre action militante à la frontière pyrénéenne et annonçait étudier la possibilité de dissoudre Génération Identitaire.
Cet après-midi, le temps de recevoir l’ordre de Paris, le procureur de la République de Saint Gaudens annonçait à l’AFP, une semaine après notre action, qu’il ouvrait une enquête préliminaire pour « provocation publique à la haine raciale. Selon M. le Procureur, cette enquête serait justifiée par « des propos tenus sur cette banderole très clairement anti-immigration et surtout la raison pour laquelle cette banderole a été déployée ».
Le 18 janvier 2020 éclatait « l’affaire Mila » du nom de cette adolescente menacée de mort par des centaines d’individus après avoir tenu des propos peu élogieux concernant l’islam.
VA – Vendredi 29 janvier, Jean Castex annonçait la fermeture des frontières françaises avec les pays extérieurs à l’Union Européenne. Une décision bien tardive, pour les cadres du Rassemblement National, qui militent pour cette mesure depuis un an.
Le discours était bien ficelé, il a suffi d’une image pour le ruiner. Alors que Macron s’exprimait le 18 février contre le « séparatisme isalamiste », il s’est fait photographier en compagnie d’une jeune femme portant le voile intégral. Symbole parfait de son impuissance.
Le verbe était haut, la voix ferme. Macron a étalé son courage, le 18 février dernier au « Quartier de Reconquête Républicaine » de Bourtzwiller à Mulhouse. Le Président a osé nommer le « séparatisme islamiste » ! Oh, le joli mot, « séparatisme » ! Plus précis que la « radicalisation » (qui n’était jamais islamiste), plus fort que le « communautarisme », les précédentes marottes présidentielles sur le thême de l’islamisme conquérant.