Eric Zemmour : « Il y a derrière l’attaque de Vienne l’influence d’Erdogan »
Face à l’info du 3 novembre
https://www.tvlibertes.com/actus/eric-zemmour-il-y-a-derriere-lattaque-de-vienne-linfluence-derdogan
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Eric Zemmour : « Il y a derrière l’attaque de Vienne l’influence d’Erdogan »
Face à l’info du 3 novembre
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Depuis le début de cette année dominée par l’épidémie, des attentats islamistes ont eu lieu, d’autres furent déjoués, certains auteurs sont passés de la case “terrorisme” à celle de “maladie mentale”. Depuis le 25 Septembre et l’agression commise rue Nicolas-Appert près des anciens locaux de Charlie Hebdo, alors que se déroulait le procès des attentats de 2015, le rôle déterminant de l’islamisme dans les attentats que notre pays subit ne permet plus les faux semblants.
La République chevauche avec la mort. Aujourd’hui, c’est une course éperdue.
L’urgence sanitaire est de nouveau à l’ordre du jour. Elle devient la règle suprême du civisme républicain. Ainsi en a décidé le président de la République. De conseils de défense en conseils de défense, déclinés sous toutes les formes et tenus à quelques dizaines de mètres sous terre à l’Elysée dans le PC « Jupiter », où Macron se plaît à jouer au chef de guerre en y convoquant qui bon lui semble sous le strict impératif du secret-défense, sont élaborées dans la plus grande discrétion les stratégies diverses de la présidence de la République dans tous les domaines, sécurité, terrorisme, santé, économie, éducation, défense.
Pour tout esprit sensé, il y a quelque chose de psychologiquement inquiétant dans un tel comportement. Il est vrai que Macron s’est constitué un tel conseil de ministres et de sous-ministres en vue de sa réélection – unique raison d’être de ce caravansérail – que les réunions gouvernementales ne sont plus des outils de commandement. D’où sa prédilection pour ce mode de décision. Là il est le chef ; et il veut être sûr d’être le chef et le seul chef, ainsi qu’il l’avait déclaré sèchement au chef d’état major des Armées, Pierre de Villiers, tout de suite après son accession à la présidence.
Au moins quatre morts, plus d’une quinzaine de blessés, six lieux frappés et plusieurs dizaines de coups de feu tirés : relativement épargnée jusque-là par l’islamo-terrorisme, la capitale autrichienne a été, hélas, lundi soir, le théâtre d’une véritable offensive djihadiste qui en dit long sur les capacités d’action considérables des terroristes musulmans en Europe ainsi que sur l’impréparation flagrante et quasi générale des pays européens à mener sérieusement cette guerre. Car, n’en déplaise aux responsables de l’UE et aux trop nombreux chefs d’Etat européens qui pendant longtemps ne se sont guère sentis concernés par le « drame français » et découvrent aujourd’hui qu’ils sont en guerre, c’est l’Europe tout entière, avec sa civilisation et ses valeurs chrétiennes, que les islamistes sont résolus à abattre.
Lundi 2 novembre aux environs de 18 heures, près du lycée Jean-de-La-Fontaine de Château-Thierry dans l’Aisne, à proximité de l’arrêt de bus du gymnase René-Cassin, un lycéen élève en classe de BTS a voulu s’interposer pour défendre une jeune fille harcelée. C’est alors qu’un autre garçon l’a poignardé de plusieurs coups de couteau.
Grièvement blessé au thorax et au bras et pris en charge par le Samu, il a été transporté à l’hôpital de Château-Thierry où il a été opéré.
Un mineur isolé de 16 ans
L’agresseur présumé, âgé de 16 ans, qui avait pris la fuite, a rapidement été interpellé par la police nationale et placé en garde à vue. Il s’agit d’un “mineur isolé en apprentissage à Saint-Quentin”, précise L’Union.
Cette agression, survenue le jour de la rentrée des vacances de la Toussaint, a suscité une vive émotion parmi toute la communauté scolaire et dans l’ensemble de la ville. Une cellule psychologique a été mise en place par la direction de l’établissement.
« Une énième attaque sur notre sol, cette fois à la veille de la Toussaint, dans une église. C’est la France qui est touchée. Mes premières pensées vont aux victimes et à leurs familles.
Contre ce qui devient malheureusement un événement ordinaire de la vie quotidienne, il faut oser réagir avec des mesures fermes. Cela nous amène de nouveau à nous interroger sur l’islamisation de notre nation et à condamner ceux qui l’utilisent pour nous faire la guerre, à l’intérieur comme à l’extérieur. »
Après Aymeric Chauprade, Julien Rochedy, Paul-Marie Couteaux, Bruno Monot, Marion Maréchal…c’est au tour de Jean Messiha de quitter le Rassemblement National. Les derniers courtisans de Marine Le Pen diront qu’il ne représentait rien et qu’il était aigri de ne pas avoir été investi pour les européennes ou les régionales.
La vérité est probablement autre comme l’explique le Figaro :
Mais la cause réelle du divorce se veut, avant tout, idéologique. Contrairement à Marine Le Pen, Jean Messiha ne voit pas une différence de nature entre l’islam et l’islamisme. Mais une simple différence de degré. « Il est temps de dire que l’Islam est incompatible avec la République », a-t-il coutume de soutenir sur les réseaux sociaux comme sur les plateaux de télévision dont il est devenu un habitué malgré son absence de mandat électif.
Des sorties qui ont contraint Marine le Pen, aux lendemains des attentats de Conflans-Sainte-Honorine et de Nice ces dernières semaines, à se justifier. « Je ne crois pas qu’il y ait une religion qui soit incompatible avec la République, a ainsi soutenu Marine Le Pen le 25 octobre dernier sur le plateau du Grand Jury. C’est son avis, ce n’est ni le mien ni celui du Rassemblement national. Jean est un Égyptien copte, peut-être a-t-il sur ce sujet une sensibilité exacerbée. »
Philippe de Villiers déplore le traitement différentiel entre le coronavirus et le virus islamiste. Pour lutter contre le premier, le gouvernement n’hésite pas à mettre en oeuvre des mesures d’exception contestables tandis que pour face au second, qui relève selon lui d’ «une vraie agression invasive», on refuse de prendre des mesures de guerre au motif qu’elles pourraient être liberticides.
Une tribune publiée sur Figarovox.
Tout est hors de contrôle: le Covid, le terrorisme. Emmanuel Macron court derrière, il court après les mots, après les morts, martial, impuissant. Le champ lexical utilisé depuis le printemps – «Nous sommes en guerre» – apparaît aujourd’hui comme une outrance et un terme inapproprié: l’épidémie court toujours et les terroristes aussi. Affleure dans la tête des Français, désemparés, l’idée que le pays n’est pas gouverné et que l’État est aux mains d’une bande d’amateurs.
Alors que les attentats islamiques se multiplient en France et en Europe, certains attendent (espèrent?), visiblement avec impatience, une attentat d’extrême droite. Mais l’impatience étant mauvaise conseillère, ces gens racontent donc n’importa quoi. Voici les deux derniers exemples en Avignon et à Lyon.
L’homme abattu à Avignon a été présenté comme un militant d’extrême droite sous prétexte qu’il portait un blouson “Defend Europe”. Du coup, Eric Coquerel (LFI) a demandé officiellement la dissolution de génération identitaire. Patatra, l’intéressé est reconnu comme patient psychiatrique lourd et, surtout, il a milité plus de 10 ans au parti communiste [source].
Le sport français est au cœur de la stratégie d’infiltration de la pieuvre islamiste, dans la guerre de civilisation qu’elle mène sur notre territoire.
Une note de la DGSI (renseignement intérieur) datée de 2018 dressant l’état des lieux de la pénétration de l’islam fondamentaliste en France détaille la stratégie des différentes mouvances pour prospérer dans l’espace social, le monde de l’entreprise, l’éducation… et le sport.
Il existerait, à ce jour, sur notre sol une trentaine d’associations sportives identifiées comme pratiquant le communautarisme et le prosélytisme religieux.