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immigration - Page 486

  • Terrorisme : des mesures d'urgence proposées par le Parti de la France

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    Un communiqué du Parti de la France :

    La multiplication des attaques meurtrières commises au nom d'Allah par les tueurs islamistes et les manifestations de haine anti-française qui agitent le monde musulman montrent clairement qu'une fatwa a été lancée contre la France.

    Face à cette situation de guerre voulue par les djihadistes, seule la force paiera.

    Le Parti de la France, dans le cadre contraint de ce que permet le régime actuel, demande la mise en œuvre a minima d'une politique de fermeté absolue.

    1. Adoption de lois d'exception permettant la mise en rétention administrative sans délais des suspects.
    2. Fermeture des frontières nationales puisque celles de l'Europe sont incontrôlables.
    3. Expulsion de tous les étrangers liés à la mouvance islamiste.
    4. Réforme du code de la nationalité permettant la substitution du droit du sang à celui du sol et la suppression de la double nationalité.
    5. Ratissage des cités par les forces de l'ordre au besoin renforcées par l'Armée.
    6. Arrêt immédiat de l'immigration dite légale et de la filière migratoire du droit d'asile.

    Ces mesures peuvent être prises sans délais.

    La droite nationale, si elle accédait au pouvoir, irait, quant à elle, évidemment beaucoup plus loin en ajoutant à ces dispositions l'application sans faiblesse d'une politique de remigration et le rétablissement de la peine de mort.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/11/01/terrorisme-des-mesures-d-urgence-proposees-par-le-parti-de-l-6273725.html

  • On confine les Français, mais pas les terroristes islamistes

    Les Français peuvent donc être assignés à résidence à titre préventif, pour la deuxième fois cette année, mais pas les fichés S : il paraît que c’est contraire à notre Constitution. Dans le même registre, le principe de précaution au nom duquel l’exécutif vient de décider la paralysie économique de nombreux secteurs de l’économie réelle (cafés, bar, restaurants, commerces de proximité) ne s’applique pas à l’arrivée de migrants sur notre sol dont on ne sait, le plus souvent, rien du parcours de vie, mais dont le vivier fournit régulièrement les terroristes islamistes qui frappent sur notre sol.

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  • Richard Millet : « Nous sommes dans une guerre civile innommée » (texte de 2011)

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    Richard Millet est romancier, mais pour lui, le roman, c'est la vérité toute nue. Dans cette perspective, dans cette inquiétude pour la vérité sur notre monde, dans cette angoisse devant un non-dit qui apparaît toujours à la fois comme le symptôme essentiel du mal et comme la cause… perdue, il vient de publier deux livres qui sont deux lectures du « désespoir contemporain ». Quel est ce mal être que nous sentons, mais auquel nous ne savons pas donner de nom, que nous échouons à décrire ? En bon analyste, c'est à travers le refoulé de la conscience contemporaine - l'immigration comme phénomène toujours latent mais toujours évité voire censuré - que Richard Millet tente d'argumenter son diagnostic. Peut-on encore s'exprimer sur l'immigration ? Le seul fait de parler de ce dont il ne faut pas parler représente plus qu'un livre; cette libération de la parole est un acte qui marque, avec le désespoir et l'impression de « toucher le fond », une espérance infracassable, qui est sans doute le dernier legs de la culture chrétienne lorsqu'elle semble disparaître. Dans Arguments pour un désespoir contemporain, Richard Millet donne un cours en cinq leçons. Dans Fatigue du sens, deuxième petit opus à la portée de tous, il laisse partir des fusées de mots pour décrire, pour tenter de définir le mal contemporain. Il nomme la guerre civile et l'exorcise en la nommant. GT

    Entretien Propos recueillis par l'abbé G. de Tanoüarn

    Richard Millet, vous êtes un des rares romancier d'aujourd'hui dont on puisse dire d'ores et déjà qu'il est à la tête d'une œuvre. Et vous vous mêlez d'écrire sur les dysfonctionnements de notre société. N'y a-t-il pas contradiction ?

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  • Fin du “padamalgam” ? De nombreux musulmans modérés ont glissé chez les fondamentalistes

    Fin du “padamalgam” ? De nombreux musulmans modérés ont glissé chez les  fondamentalistes

    Selon les services de renseignement :

    Le renseignement français s’intéresserait particulièrement à trois groupes, dont la porosité est “plus importante que jamais”, selon une source haut placée. Il s’agit des musulmans modérés, des fondamentalistes (les salafistes et les frères musulmans) ainsi que des islamistes, prêts à passer à l’action violente. Selon cette source, de nombreux musulmans modérés ont glissé chez les  fondamentalistes. Et un nombre important de fondamentalistes, qui n’étaient pas prêts à passer à l’action terroriste il y a encore quelques semaines, ont basculé chez les islamistes.

    Exemple avec l’imam Otamne Aissaoui, imam de la mosquée de l’Ariane à Nice, présenté dans les médias comme représentant les musulmans “modérés” :

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  • Le renseignement français révèle que “De nombreux musulmans modérés ont glissé chez les fondamentalistes (…) désormais, on affronte des masses qui veulent nous détruire”

    Les informations révélées par les services de renseignement français en matière d’islamisme sont loin d’être rassurantes. De nombreux musulmans modérés se seraient en effet récemment radicalisés, rapporte Europe 1.

    […] Car depuis plusieurs jours, les informations transmises à l’exécutif par les services de renseignement sont loin d’être rassurantes.

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  • Attaque au couteau à Paris: un individu «neutralisé» après une tentative d’attaque de policiers dans le 15e arrondissement

    Un homme a été «neutralisé» à Paris après avoir tenté d’attaquer des policiers au couteau. Selon le journaliste Clément Lanot qui se trouve sur place, aucun blessé n’est à déplorer. « Les policiers intervenaient initialement sur un différent de voisinage », précise le journaliste sur le Twitter. Le quartier où s’est déroulée l’attaque est actuellement bouclé par les forces de l’ordre. Un périmètre de sécurité a été mis en place.

    Selon Edouard Chanot, citant une source policière, un individu armé de deux couteaux aurait voulu tuer sa voisine et criant « Allahou Akbar » avant d’être neutralisé d’un tir de LBD par la BAC dans le 15eme arrondissement de Paris.

    Actu.fr rapporte de son côté que d’après les pompiers, un différend familial a été à l’origine de l’intervention. Les policiers auraient été appelés vers 15 heures pour une « crise nerveuse » causant « un différend familial ». Le suspect a tenté de se jeter sur les policiers avec deux couteaux, il a été interpellé.

    Déjà connu des services de police

    Selon Actu17, un homme âgé de 40 ans a foncé sur les policiers à leur arrivée en criant « Allah Akbar ». Il était muni de deux couteaux de cuisine et a été rapidement neutralisé à l’aide d’un pistolet à impulsion électrique et d’un lanceur de balle de défense (LBD) indique une source policière. L’homme a été interpellé, tout comme son père âgé de 60 ans qui se trouvait avec lui. Les deux hommes ont été placés en garde à vue.

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  • Attaque au couteau à Paris: un individu «neutralisé» après une tentative d’attaque de policiers dans le 15e arrondissement

    Un homme a été «neutralisé» à Paris après avoir tenté d’attaquer des policiers au couteau. Selon le journaliste Clément Lanot qui se trouve sur place, aucun blessé n’est à déplorer. « Les policiers intervenaient initialement sur un différent de voisinage », précise le journaliste sur le Twitter. Le quartier où s’est déroulée l’attaque est actuellement bouclé par les forces de l’ordre. Un périmètre de sécurité a été mis en place.

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  • Face à la menace d'une guerre civile, l'urgence d'une politique identitaire

    Communiqué du Mouvement National-Démocrate

    Pour la seconde fois depuis l'attentat du 14 juillet 2016, qui avait couté la vie à 86 personnes, la ville de Nice a été la cible d'une nouvelle attaque terroriste : un immigré tunisien, arrivé en France il y a un moins d'un mois, a commis hier une attaque au couteau dans la basilique Notre-Dame de Nice. Trois personnes sont mortes, dont une femme sauvagement décapitée. Deux semaines après la décapitation de Samuel Paty par un immigré tchéchène, cette nouvelle attaque vient s'ajouter à la longue liste des violences barbares perpétrées sur le sol Français au nom de l'islam.

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  • Vivre ensemble : après les Tchétchènes, les Turcs et les Arméniens !

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    Les réveils doivent être de plus en plus difficiles pour les prophètes du vivre ensemble, eux qui estiment que si l’immigration n’est pas sans poser quelques menus soucis, c’est seulement à cause du chômage, d’une mauvaise intégration sociale et, accessoirement, du racisme plus ou moins rampant des primo-habitants.

    Ainsi,  à peine remis de nuits de guérilla urbaine ayant opposé, en juin dernier, voyous maghrébins et tchétchènes, voit, ce 28 octobre, une soixantaine de Turcs remettre un peu d’ambiance dans la ville, poings levés et au cri d’« Allah akbar ». Même si les forces de l’ordre doivent disperser ce joli petit monde à coups de lacrymogènes, la Préfecture de Côte-d’Or est formelle : « Il s’agit d’une manifestation, rien de plus. »

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  • Le migrant qui a massacré trois personnes à Nice avait été secouru en mer et aidé par la Croix-Rouge

    SOS Méditerranée | Association Européenne de Sauvetage en Mer Méditerranée | [PETITION] Sauvons l'Aquarius et le sauvetage en mer

    Brahim Aoussaoui, le Tunisien qui a massacré au couteau trois personnes dans la basilique Notre-Dame de Nice, et qui en a blessé d’autres, est entré clandestinement en Europe, en s’embarquant sur la Méditerranée comme le font des centaines d’autres chaque semaine.

    « Il a été repêché par un bateau de secours italien le 20 septembre dernier et a débarqué le 9 octobre [à Lampedusa] – des éléments en cours de vérification, après avoir été placé en quarantaine en raison du Covid. Il faisait l’objet d’un arrêté d’expulsion en Italie, mais n’était pas repéré en France où il n’avait déposé aucune demande d’asile. » (source)

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