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immigration - Page 481

  • Les manipulations des associations pour aider les migrants à obtenir l’asile en France

    Les manipulations des associations pour aider les migrants à obtenir l’asile en France

    En mars 2018, nous avions publié un article provenant d’un lecteur nous ayant contacté. Vu l’actualité récente, nous republions aujourd’hui ce texte édifiant.
    Fonctionnaire retraité ayant assuré un rôle important au sein du dispositif judiciaire entourant la demande d’asile en France, Robert Martin est théoriquement soumis à un devoir de réserve ; nous avons donc respecté son anonymat en modifiant son nom. Néanmoins, face aux actions d’Emmanuel Macron et notamment à sa loi Asile et Immigration, il a décidé de nous communiquer plusieurs textes. Plusieurs textes très sérieux et documentés suivront cette première publication, plus légère et pratique, décrivant l’une des voies offertes aux migrants africains pour rejoindre l’Europe sans trop de difficulté.

    Polémia

    De faux récits faciles à construire

    Après beaucoup d’hésitations, un Sénégalais décide de rejoindre l’Europe pour fuir la misère et profiter des richesses françaises. Bien qu’hétérosexuel, il décide de jouer le rôle d’un homosexuel. En effet, le droit d’asile lui sera ainsi ouvert.

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  • Le Qatar ne finance pas seulement le PSG… mais aussi la nouvelle mosquée de Nantes

  • Français avant d’être musulmans, par Natacha Polony.

    "Respecter les musulmans, c’est considérer qu’ils sont des Français comme les autres et qu’ils ne doivent pas être réduits à leur religion. Ce que permet la discrétion propre à une République qui met à distance les signes extérieurs d’appartenance", argumente Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne".

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  • « Service après-vente, bonjour ! » : contre l’islamisme, Omar Sy aux abonnés… évasifs !

    Revenons sur le « séisme » de l’affaire Paty. Une vague de sidération a secoué le microcosme politico-médiatique à l’annonce de ce terrible assassinat. Pourtant, ce n’était pas la première fois qu’on tuait, en France, dans une école, au nom de l’islam. Rappelez-vous ! Le 19 mars 2012, le djihadiste Merah abattait froidement Arié et Gabriel, 5 et 3 ans, leur père, et Myriam, 8 ans, dans une école juive de Toulouse. Et ce 16 octobre 2020, le saint des saints de la République, l’école « laïque, gratuite et obligatoire », était atteint par le martyre de l’un de ses serviteurs. Pas de sanctuaire contre le terrorisme islamiste !

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  • Attentat de Nice Les politiques au pied du mur, par Véronique Jacquier.

    Face à la menace terroriste, hommes et femmes politiques sont conduits à répondre au défi civilisationnel qui se pose désormais en France.

    « Aujourd’hui les mots ne suffisent plus. Il n’y a pas d’avenir ni de relèvement de la France si elle n’assume pas ses racines chrétiennes. » Ainsi parle le député européen François-Xavier Bellamy. Mais quelle forme pourrait prendre cette affirmation de notre identité ?

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  • Environ 200 enquêtes ouvertes en France pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation de Samuel Paty

    En France, près de 200 enquêtes ont été ouvertes au cours de la dernière semaine d’octobre pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation du professeur le 16 octobre à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).

    La Chancellerie, qui confirme ce chiffre avancé par France Info, précise qu’il est « à appréhender avec prudence, dans la mesure où il n’y a pas de point de comparaison nationale » et n’a pas souhaité actualiser ce bilan. « Ça explose! On a beaucoup de menaces qui visent des personnalités publiques, le Président de la République, le Premier ministre, plusieurs ministres, des députés, des enseignants », détaille une source judiciaire, qui y recense beaucoup d’allusions plus ou moins directes « à des menaces de décapitation ».

    JMM

    https://www.tvlibertes.com/actus/environ-200-enquetes-ouvertes-en-france-pour-apologie-du-terrorisme-menaces-de-mort-injures-ou-provocations-a-la-haine-en-lien-avec-la-decapitation-de-samuel-paty

  • Emmanuel Macron découvre les vertus de la frontière !

    macron-le-perthus.png

    Trop tard, certainement. Pour les malheureuses victimes des terroristes islamistes qui n’auraient jamais dû se trouver sur le territoire national. Trop peu, sans doute : 4.800. C’est le nombre de policiers, gendarmes et militaires qui vont être déployés à nos frontières, soit un doublement de l’effectif. Pour 2.913 kilomètres de frontières terrestres, cela semble peu, effectivement. Mais c’est toujours ça. C’est, en tout cas, l’annonce faite, ce jeudi 5 novembre, par , alors qu’il était au Perthus, dans les Pyrénées-Orientales.

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  • Oyonnax : des scènes de guérilla en ville en plein confinement

    Dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 novembre, des scènes de guérilla urbaine se sont produites en plein cœur d’Oyonnax (Ain), relate La Voix de l’Ain.

    « Oyonnax, c’est devenu Bagdad »

    Des poubelles et des voitures brûlées, des tirs de mortiers et de pétards ont nécessité l’intervention des pompiers pour éteindre les divers incendies. Les forces de l’ordre ont été violemment prises à partie durant les interventions. La police mais aussi la BAC et même le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) ont dû être mobilisés pour disperser les agresseurs.

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  • France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations

    France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations

    Par Didier Beauregard, journaliste et essayiste  L’actualité tragique donne raison à tous ceux qui, depuis des décennies, alertent sur les conséquences de la politique de promotion de l’immigration extra-européenne. La période où les militants de gauche faisaient tout pour favoriser cette immigration semble désormais révolue. Sur les plateaux télé, certains responsables politiques de cette mouvance immigrationniste semblent très gênés, au point de réclamer désormais, toute honte bue, de la fermeté. Mais le mal est malheureusement déjà fait.
    Polémia

    « Touche pas à mon pote », ethnomasochisme institutionnel

    « Touche pas à mon pote » disait le slogan « antiraciste » des années 80, aux heures triomphantes de la Mitterandie, à l’heure où les Français prenaient conscience de l’enjeu migratoire et des dangers qui l’accompagnaient. Toute cette décennie a été marquée par une lutte inégale entre la réalité que vivait la majorité des Français, celle d’une dépossession identitaire et territoriale, et la représentation que les pouvoirs dominants voulaient leur imposer ; celle d’une France de la diversité heureuse que le racisme primaire d’indigènes obtus empêchait de s’épanouir. L’accusation collective de racisme envers un peuple qui ne demandait rien, est devenue la principale armature idéologique de la vulgate idéologique.

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  • France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations

    France et islam : de « Touche pas à mon pote » au choc des civilisations

    Par Didier Beauregard, journaliste et essayiste  L’actualité tragique donne raison à tous ceux qui, depuis des décennies, alertent sur les conséquences de la politique de promotion de l’immigration extra-européenne. La période où les militants de gauche faisaient tout pour favoriser cette immigration semble désormais révolue. Sur les plateaux télé, certains responsables politiques de cette mouvance immigrationniste semblent très gênés, au point de réclamer désormais, toute honte bue, de la fermeté. Mais le mal est malheureusement déjà fait.
    Polémia

    « Touche pas à mon pote », ethnomasochisme institutionnel

    « Touche pas à mon pote » disait le slogan « antiraciste » des années 80, aux heures triomphantes de la Mitterandie, à l’heure où les Français prenaient conscience de l’enjeu migratoire et des dangers qui l’accompagnaient. Toute cette décennie a été marquée par une lutte inégale entre la réalité que vivait la majorité des Français, celle d’une dépossession identitaire et territoriale, et la représentation que les pouvoirs dominants voulaient leur imposer ; celle d’une France de la diversité heureuse que le racisme primaire d’indigènes obtus empêchait de s’épanouir. L’accusation collective de racisme envers un peuple qui ne demandait rien, est devenue la principale armature idéologique de la vulgate idéologique.

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