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immigration - Page 604

  • La vingtaine d’attentats islamistes ayant touché la France depuis 2012 a fait 263 morts

    Commémoration des victimes de l'attentat de Nice à Paris
     
    © Sputnik . Natalia Seliverstova
    Depuis les multiples attaques de Mohammed Merah en 2012 jusqu’à la plus récente, au couteau, par Mickaël Harpon à la préfecture de police de Paris le 3 octobre, les actes qualifiés d’«attentats islamistes» ont fait 263 morts en France, et des centaines de blessés.
    Depuis les trois attaques du djihadiste Mohammed Merah en 2012, ce ne sont pas moins de 18 attaques terroristes islamistes qui ont été perpétrées dans l’Hexagone.
    L’attaque au couteau du 3 octobre, qui a fait quatre morts à la préfecture de police de Paris, est venue s’ajouter à cette liste macabre, dont le bilan s’élève désormais à 263 morts.
    Les attaques du 13 novembre 2015 à Paris et celle de 2016 à Nice sont de loin les plus meurtrières.
    Entre le 11 et le 19 mars 2012, le djihadiste Mohammed Merah a tué sept personnes lors de trois attaques à Toulouse et à Montauban.
    Il a été abattu par les forces de l’ordre le 22 mars 2012.
    Cet acte terroriste a été le point de départ d’une sinistre série d’attentats.
    Dès 2014, Daech* a exhorté ses fidèles à prendre exemple sur Mohammed Merah pour «exploser la France».
    Les attaques se sont succédé à un rythme régulier dès la fusillade par les frères Kouachi au siège de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, qui causé la mort de 12 personnes.
    Le lendemain, c’est une policière qui a été assassinée par Amedy Coulibaly, proche des Kouachi.
    Ce dernier est également coupable de la prise d’otages du 9 janvier à l’Hyper Cacher porte de Vincennes, où il a tué cette fois quatre personnes.
    Il a finalement été abattu par le RAID ce jour-là.
    Un étudiant algérien, Sid Ahmed Ghlam, a tué une mère de famille de 32 ans d’une balle en plein cœur alors qu’il préparait une attaque contre une église de Villejuif.
    Il a été arrêté le jour-même, le 19 avril 2015.
    Toujours en 2015, le 26 juin cette fois, Yassin Salhi, employé d’une usine de gaz industriel à Saint-Quentin-Fallavier, a égorgé son patron, Hervé Cornara, avant de déclencher dans le bâtiment une explosion qui fait deux blessés.
    L’attentat le plus marquant reste celui du 13 novembre 2015 à Paris, durant lequel plusieurs attaques coordonnées, notamment au Stade de France et au Bataclan, ont fait 131 morts et 413 blessés.
    Neuf terroristes qui agissaient sous les ordres de l’État islamique* ont été identifiés.
    Le seul encore vivant, Salah Abdeslam, attend son procès qui se tiendra vers 2020 au Tribunal de Paris.
    Daech* a dès lors systématiquement revendiqué les attaques qui ont suivi, comme le meurtre d’un policier et de sa compagne à Magnanville en 2016, l’attentat de Nice durant lequel un camion a foncé sur la foule le jour de la Fête nationale, avec le très lourd bilan de 86 morts et 458 blessés.
    À cela s’ajoute le 26 juillet 2016 l’égorgement du père Jacques Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen, alors qu’il célébrait la messe.
    En avril 2017, Karim Cheurfi a tiré sur un véhicule de police, tuant le conducteur et blessant deux autres policiers, ainsi qu’une passante.
    Au mois d’octobre de la même année, Ahmed Hachani, un Tunisien qui se trouvait illégalement en France, a égorgé deux jeunes femmes à la gare Saint-Charles, à Marseille.
    Une autre série d’attaques a eu lieu le 23 mars 2018.
    Radouane Lakdim, Franco-Marocain, a tué dans la même journée un CRS, un employé et un client du Super U de Trèbes, avant de prendre en otage une hôtesse de caisse du magasin.
    Le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame a de son plein gré échangé sa place contre celle de la femme en question.
    Il en est ressorti grièvement blessé, attaqué au couteau par le terroriste et a succombé à ses blessures la nuit suivante.
    Un an plus tard, une nouvelle victime est à déplorer lorsque le Franco-Russe Khamzat Azimov, originaire de Tchétchénie, tue un homme à l’arme blanche et fait quatre autres blessés.
    En 2018, on dénombre aussi les cinq victimes de l’attaque du marché de Noël de Strasbourg, le 11 décembre.
    L’assaillant, Chérif Chekatt a été abattu par la police 48 heures plus tard.
    Le 3 octobre 2019, Mickaël Harpon a poignardé à mort quatre personnes à la préfecture de police de Paris.
    a radicalisation n’avait pas été identifiée au préalable.
    Ce n’est que lors de la perquisition que les enquêteurs ont établi un lien avec Daech*, dont des vidéos de propagande se trouvaient sur une clé USB appartenant à cet homme.
    Avant 2012, la France n’avait plus subi d’attentats terroristes depuis 1995, lors desquels de multiples attaques à l’arme à feu et aux engins explosifs avaient fait huit morts et près de 200 blessés.
    *Organisation terroriste interdite en Russie
    sputniknews

  • 5 millions de radicalisés prêts à prendre les armes ?

    5 millions de radicalisés prêts à prendre les armes ?

    D’Eric Cusas dans Politique Magazine :

    On ne sait pas exactement combien il y a de musulmans en France. L’estimation basse est de cinq millions mais certains, comme l’ancien ministre à la Promotion de l’égalité des chances Azouz Begag ou la démographe Michèle Tribalat suggèrent qu’ils sont en réalité entre quinze et vingt millions. Si l’on considère que vingt-cinq pour cents de cette population (probablement sous-estimée) est radicalisé (c’est le chiffre généralement avancé au niveau mondial), cela fait tout de même entre 1.250.000 et 5.000.000 de personnes prêtes à prendre les armes en cas de confrontation soit, grosso modo (et a minima), quatre fois et demi l’effectif de l’armée d’active. Même si l’on divise ces chiffres par deux, ils restent terrifiants ! Nous parlons, ne l’oublions pas, de personnes souvent jeunes et n’ayant pas peur de mourir, pour qui la mort est même une consécration, au contraire de l’autochtone moyen. Voilà ce qui explique, du moins en partie, qu’un fonctionnaire qu’on sait acquis à l’islam salafiste reste en poste bien qu’on le sache potentiellement dangereux. Surtout ne pas froisser, ne pas donner l’impression que l’on condamne, ni même que l’on se protège, ce qui traduirait une forme de suspicion. On est ainsi passé imperceptiblement, d’un calcul électoraliste au petit pied, de la recherche d’un nouveau damné de la terre, à une sorte de pied de paix armée. J’en suis convaincu, les intégristes, qui s’inscrivent dans une logique de conquête, n’attendent que l’étincelle qui déclenchera l’affrontement. Ils savent que nos populations vieillissantes, gavées de graisse, lobotomisées par la téléréalité et, surtout, sevrées d’idéal comme des chapons de leur virilité ne sont pas prêtes au combat. Un idéal, eux, les salafistes, ils en ont un, si détestable que nous le jugions, et c’est cela, conjugué à notre pusillanimité, à notre renoncement moral, qui fait leur force. M. Collomb ne s’y est pas trompé qui, à la veille de son départ avertissait son successeur : deux parties de la population se font face et si l’on n’y remédie pas, elles finiront par s’affronter. Alors, quand l’islam frappe, au cœur même de nos villes, que faire sinon s’empresser de nier qu’il soit la cause du drame et trouver en toute hâte une explication au geste du meurtrier, si invraisemblable soit-elle ? Que faire lorsque le grotesque de cette explication de circonstance apparaît au grand jour, sinon condamner l’acte d’un déséquilibré ? L’islam rend-t-il fou ? Les musulmans radicaux ont-ils, a minima, un projet de partition du territoire en attendant une submersion démographique, même relative ? « La question ne sera pas posée ! » comme répondait inlassablement le président du Conseil de guerre à l’avocat de l’infortuné capitaine Dreyfus. Il n’y a qu’une diagonale des fous.

    https://www.lesalonbeige.fr/5-millions-de-radicalises-prets-a-prendre-les-armes/

  • Manifestation islamo-gauchiste à Paris.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Ce dimanche, la vermine islamo-gauchiste a rendez-vous dans les rues de Paris pour "marcher contre l'islamophobie".
    À l'appel des organisations musulmanes communautaristes, aux côtés d'activistes salafistes ou frères musulmans et d'imams prêcheurs de haine contre l'Occident, défileront gauchistes, communistes, progressistes-radicaux-immigrationnistes et syndicalistes révolutionnaires.
    Hier ils portaient les valises du FLN et manifestaient contre ce qu'ils appelaient le colonialisme, c'est a dire la grandeur de l'Empire français.
    Aujourd'hui ils portent les baluchons des islamistes et apportent leur soutien à la nouvelle colonisation et à l'anéantissement de notre civilisation. 
  • La « ouf », disent-ils…

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    Il fut un temps où les artistes exprimaient leurs désaccords à coups de mots et de rimes. Parmi les Ferré, Brel ou Brassens, certains auraient sans doute repris Zineb El Rhazoui lorsqu’elle avait évoqué l’idée de « tirer à balles réelles » sur les émeutiers démolissant tout sur leur passage et tirant à coup de mortiers sur les forces de l’ordre. Notre guitariste moustachu, pacifiste et antimilitariste convaincu, lui aurait peut-être répliqué une phrase du type « mourir pour des idées d’accord, mais de mort lente ».

    Mais ce temps-là est révolu. Désormais, nous avons les rappeurs. Ces artistes à la plume facile ont toujours trouvé un public au sein de la société. À travers leurs textes rebelles, ils ont amené toute une partie de la jeunesse vers la contre-culture des quartiers. On y vante régulièrement l’argent facile et le refus de l’autorité avec, en arrière-fond, des femmes dénudées au bord d’une piscine ou à l’intérieur d’une luxueuse berline de marque allemande. Une contre-culture teintée de communautarisme qui a réussi à séduire une bonne partie de la jeunesse française.

    Ces ménestrels contemporains, magnifiés par la petite bourgeoisie bohême, s’engagent et s’expriment aussi sur la société. Et voilà ce que nous avons le bonheur d’entendre ou de lire : « Pourrissons la vie de cette grosse m… puante. » Le poète Booba a trouvé un relais appréciable en la personne de Cyril Hanouna, sorte de Bernard Pivot des temps modernes, toujours enclin à faire rayonner la culture et la langue française : « Big up pour sa vidéo sur la ouf, bravo mon Booba ! », sous les approbations de ses chroniqueurs et du public.

    La « ouf » : magnifique verlan de « fou ». Une folle qui alerte depuis sa jeunesse au Maroc contre l’intégrisme islamique. Une folle menacée de mort, sous protection policière constante, qui se bat en France pour éviter, au pays de Molière et de Voltaire, de sombrer dans l’obscurantisme de la charia qu’elle a connue. Une folle qui a vu ses compagnons de Charlie Hebdo se faire massacrer à balles (réelles) de Kalachnikov par les frères Kouachi alors que la médiasphère dans son ensemble n’avait que des « pas d’amalgame » en bouche et des petites bougies pour images.

    Des fous comme Zineb El Rhazoui, l’Histoire de France en a déjà connu. Il y en avait dans les maquis pour saboter les convois nazis. On en trouvait également à Valmy et, bien avant, aux côtés de Jeanne d’Arc pendant la guerre de Cent Ans. Bon nombre d’entre eux ont fini dans des geôles sordides, torturés ou brûlés vifs sur des bûchers, sous les approbations ou le silence d’un peuple groggy et d’élites soumises à l’ennemi. Mais c’est aussi sans doute grâce à des fous comme Zineb El Rhazoui que la France est encore debout et qu’elle se veut éternelle.

  • Islamophobie : le nouveau chantage victimaire ? – Le Samedi Politique

     
    Alors que la question de l’Islam est au cœur de l’actualité de ces dernières semaines, Philippe d’Iribarne, directeur de recherches au CNRS et auteur de « Islamophobie, intoxication idéologique (Ed Albin Michel), revient sur cette notion où les musulmans seraient victimes de discrimination en raison de leur religion.
    Entre quête de victimisation, communautarisme et revendications, des associations se sont désormais spécialisées dans la lutte contre l’islamophobie.
    Que cache ce nouveau combat ?
    Est-il légitime en France ?
    Les réponses dans ce numéro du Samedi Politique.

  • Islamo ignorance et petite gauche complice

    6a00d8341c715453ef0240a49b7295200c-320wi.jpgC'est dans Libé, journal résiduel ex-gauchiste devenu feuille fourre-tout, qu'a été lancé l'appel à manifester, pour ce 10 novembre, contre la prétendue nuisance dite "islamophobie". Il s'agit d'une opération du CCIF, filiale assez notoire des Frères musulmans. Cette manœuvre a été ainsi lancée le 1er novembre. "Plus de cinquante personnalités, semblait alors exulter le journal de la petite gauche qui publiait la tribune, appellent à manifester le 10 novembre à Paris contre la stigmatisation des musulmans de France". Stigmatisation : toujours ce mot ritournelle, qui insulte à la mémoire de saint François d'Assise.

    Or, cette manipulation s'est révélée au fil des jours trop grosse, cousue de mensonges et d'hypocrisie. Beaucoup protestent. D'autres laissent comprendre qu'ils ont donné leur signature, comme on le fait pour une police d'assurance, sans lire. D'autres, comme Cyprien Cini le 7 novembre s'amusent franchement[1] du "petit malaise" qui, en résulte, une fois de plus chez les politiques.

    C'est donc aussi dans Libé qu'on pourra lire quelques jours plus tard une étonnante volte-face signée de Laurent Joffrin, qui titre dans sa lettre du 8 novembre "Comment rater un appel à manifester". Autrement dit si la manif se révèle désastreuse ou contre-productive le camarade éditorialiste s'en lave les mains.

    Toute cette ridicule et significative pantalonnade résulte d'abord d'une ignorance crasse des réalités de l'islam.

    On ne peut pas, à ce stade, excuser par conséquent le sabotage de l'information, celle du public, mais aussi celle des décideurs supposés omniscients. Une récente séquence a été dénoncée au parlement, par exemple, dans une question d'actualité[2] posée au gouvernement par Gérard Longuet, sénateur de la Meuse. Celui-ci souligne un scandale sans doute habituel dans les médiocrités de M. Castaner. Pour reprendre le texte : "les agents du service public ont été privés d'une formation organisée par l'université Paris I Panthéon-Sorbonne". Destinée à les sensibiliser sur le terrain de la radicalisation, elle devait être dispensée par Mohamed Sifaoui, spécialiste sans concession.

    L'ignorance à vrai dire n'est pas seulement programmée, elle est assumée. À l’époque soviétique l'exécrable formule sorbonnarde et germanopratine préférait se tromper avec Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir que d'avoir raison avec Raymond Aron. Aujourd'hui, si les protagonistes et les enjeux semblent différents, la complaisance demeure identique

    Une Caroline de Haas, responsable féministe incarne ainsi la catégorie de ces éternels et dangereux compagnons de route. Elle effectua, naguère, ses années d'apprentissage de 2006 à 2009 comme Secrétaire générale de l'UNEF. Sans paraître dupes, en s'offrant la coquettrie d'une petite divergence, tout en reconnaissant qu’elle se trompe, dans son blogue de Mediapart elle proclame le 6 novembre : "je serai à la manifestation dimanche contre l'islamophobie".

    Assez vite, les eaux se sont séparées.

    Le Mélenchon, pour citer l'exemple le plus criant, s'est enferré à défendre les islamistes, au nom de sa conception d'une laïcité à la turque et de l'argument suprême de l'antiracisme. Comme si l'islam et l'islamisme concernaient uen "race" ! Ancien, et dans son esprit futur, candidat à la présidence de la république se comporte dès lors comme un parfait idiot utile[3].

    Pascal Bruckner de son côté, résume l'ensemble des arguments de la partie adverse en dénonçant "cette gauche qui va défiler aux côtés de tous les extrémistes de lʼislam"[4]Regrettons simplement ici les insuffisances récurrentes des professeurs de bienséance centristes à la Bruckner, enfermés dans l'entre-soi hexagonal.

    Le caractère mondial du conformisme politiquement correct, adossé lui-même à l'internationale de l'islamisme totalitaire, ne devrait échapper à aucun observateur lucide.

    Observons ainsi ce qui se passe outre-Manche, au-delà de l'écume politicienne. L'Angleterre s'apprête à sortir de l'Union européenne, et l'Écosse semble en train de choisir une voie divergente. Mais la Grande Bretagne, royaume de plus en plus désuni, quittera-t-elle pour autant le totalitarisme politiquement correct ? Il est permis d'en douter quand on apprend ce qui advient à un intellectuel sikh, Lord Indarjit Singh. Celui-ci vient de quitter la BBC. Il l'accuse de fonctionner comme une police de la pensée. Et elle a en effet interdit d'évoquer l'histoire d'un de ses coreligionnaires opposé à l'oppression musulmane. La BBC interdit aussi de parler de la conversion forcée des Hindous en Islam, sous l'empire moghol de l'Inde du XVIIe siècle. Les hindouistes considèrent en effet que ce fut le plus grand génocide de l'histoire.

    Mais chut : l'islam relooké politiquement correct n'accepte pas que l'on s'interroge sur son histoire.

    JG Malliarakis  

    Retenez la date : le Mercredi 27 novembre conférence de JG Malliarakis sur la Naissance de l'Illusion mondialiste à l'occasion de la réédition du livre d'Emmanuel Beau de Loménie "La Ratification du Traité de Versailles"
    de 18 h à 20 h à la Brasserie du Pont Neuf 14, quai du Louvre M° : Louvre, Pont Neuf ou Châtelet

    Apostilles

    [1] Cf. Le surf de l'info sur RTL
    [2] Question d'actualité au gouvernement n° 0992G de M. Gérard Longuet (Meuse - Les Républicains) publiée dans le JO Sénat du 31/10/2019
    [3] Mais "utile" à qui en dernière analyse ? Il facilite une manœuvre, elle aussi grosse comme une maison. Telle candidate préprogrammée qui, se réclamant d'un soutien aux grévistes du 5 décembre, s'apprête à reprendre aux protestataires de gauche les 2 ou 3 points de popularité perdue par ce que son électorat de base perçoit pour ses outrances et ses incompétences. L'hypothèse sondagière de sa présence au second tour, à nouveau, en 2022 est considérée comme la garantie de réélection de son adversaire. Attention toutefois : Louis-Ferdinand Céline le disait joliment : "L'histoire ne repasse pas les plats".
    [4] Entretien publié par Figaro Vox le 7 novembre

    https://www.insolent.fr/2019/11/islamo-ignorance-et-petite-gauche-complice.html

  • Bistro Libertés avec Papacito : La haine anti-flics : l’escalade ?

    La haine des policiers : l’escalade ?

    Les forces de l’ordre font face à une multiplication des guets-apens, des actes de rébellion, de jets de projectiles et de tirs de mortiers. En moins d’un an, les violences dirigées contre les forces de sécurité ont augmenté de près de 15 %. Un « tout le monde déteste la police » qui trouve un écho jusqu’au sein des vrais Gilets Jaunes parfois victimes de violences ou d’erreurs policières. La haine des policiers : l’escalade ?

    Le populisme en Europe : la stagnation ?

    La défiance des populations envers les « partis de gouvernement » au profit de mouvements d’un type nouveau, qu’on appelle « populistes », est sans nul doute le fait le plus marquant depuis au moins deux décennies. Pour le philosophe Alain de Benoist, nous vivons le moment populiste ! Cependant, Matteo Salvini n’est plus au pouvoir, Boris Johnson piétine, l’Autrichien Heinz-Christian Strache a été sèchement remercié. Le populisme en Europe : panne et stagnation ?

    Papacito est un blogueur, vidéaste, acteur et scénariste de bande dessinée.

    Auteur et fondateur du blog FDP, il est connu pour ses prises de position carabinées.

     Publié chez Ring, Il n’hésite pas à se mettre en scène dans les clips de son éditeur et sur les couvertures de ses livres.

    Dans « Le crépuscule des titans »,  en bon royaliste, il prend la défense du moyen âge et nous invite à libérer les héros de leurs tombeaux.

    Les bandes déssinées  « FDP » qu’il signe avec Marsault ont des tirages à faire pâlir les grandes maisons d’édition.

     Il cartonne sur YouTube avec des vidéos frôlant le million de vues. Il bouleverse les tabous de notre société édulcorée.

     Il choque, horrifie ou terrifie certains. Provocateur barbare pour les uns ou chevalier wisigoth pour les autres ; ce qui est certain,  c’est qu’il est un grand maître de la communication numérique.

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-papacito-la-haine-anti-flics-lescalade

  • Page spéciale sur la manifestation islamo-gauchiste du 10 novembre contre l’islamophobie

    Jean-Luc Mélenchon affirme qu'il participera à la marche contre l'islamophobie demain à Paris

    .....

    Marche contre l'islamophobie: Marine Le Pen fustige le soutien et "la trahison" de Jean-Luc Mélenchon

    Lire l'article

  • MEDITERRANEE : L’UNION EUROPEENNE, PREMIERE COMPLICE DES PASSEURS !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    La Méditerranée, mer presque fermée, est bordée par un nombre impressionnants d’États, du plus petit, la principauté de Monaco, jusqu’au plus peuplé, l’Égypte du maréchal Sissi.

    Dans son périmètre, après un léger ralentissement dû, en partie, à la présence à Rome d’un pouvoir « fort », c’est reparti pour les navettes maritimes entre l’Italie et la Libye, depuis que Mattéo Salvini a quitté son poste de ministre de l’Intérieur. En attendant son inéluctable retour aux affaires, question de temps, et avec l’objective complicité de Macron, de Conte, le président du Conseil italien, et de la chancelière Merkel sur le déclin, la noria des bateaux aux missions humanitaires, « humanitaires » entre guillemets, va continuer, pour le plus grand bien du portefeuille des passeurs.

    Toutes ces ONG, dont certaines ont le sieur Soros derrière elles, vont chercher des migrants, principalement arabo-africains mais pas que, en quête d’un hypothétique Eldorado. Ils sont  lancés en mer sur des barcasses bien fragiles, et sont récupérés, la plupart du temps, sur simple coup de fil donné par les passeurs, par toutes ces pleureuses humanitaires qui déverseront leurs cargaisons humaines à Malte, en Sicile et à Lampedusa.

    Et comme d’habitude, Allemagne, France, Pays-Bas, Luxembourg, Irlande, Portugal, se répartiront les effectifs de ces « demandeurs d’asile » (la plupart, d’ailleurs, en seront déboutés et deviendront des clandestins, venant gonfler les hordes déjà en nos murs !) C’est là que l’on mesure l’hypocrisie de la politique du fameux « en même temps » du jeune résident de l’Élysée, j’écris « résident » à dessein. Alors qu’il tente, vainement à mon sens, de récupérer une partie de l’électorat de droite en le caressant, un peu, dans le sens du poil par une interview donnée à Valeurs Actuelles, il continue, parallèlement, d’ouvrir les vannes aux clandestins.

    Un flot ininterrompu

    Qu’on en en juge avec ces dernières semaines : l’Asso 30, battant pavillon italien, au service des compagnies pétrolières qui travaillent off shore, a débarqué en Sicile le 3 novembre, 150 « naufragés » dont 4 enfants. Le même jour, 88 immigrants étaient débarqués  des flancs de l’Alan Kurdi, à Tarente, un port de la région des Pouilles, l’Allemagne et la France en prenant chacune 30, les autres étant réparti entre l’Irlande, 2, le Portugal, 4, etc… en application d’un préaccord « européen » conclu à Malte. Ce navire était affrété par une ONG allemande.

    Le 29 octobre, après avoir fait des ronds dans l’eau pendant onze jours, l’Océan Viking, au service de « SOS Méditerranée » et de « Médecins sans frontières », était autorisé à se délester de son humaine cargaison à Pozzallo, soit 151 clandestins dont 40 mineurs. La délicate situation politique de la Libye, écartelée entre le gouvernement de Tripoli, reconnu sur le plan international, et le régime du maréchal Haftar, installé à Benghazi, soutenu par l’Égypte et, plus mollement, par la France, ne facilite pas les missions de la garde côtière libyenne. Elle n’avait pas pu intercepter l’Open Arms, de l’ONG espagnole PROACTIVA, débarquant une première fois à Malte, le 27 octobre, 44 illégaux et, une seconde fois, le 1 er novembre, toujours à La Valette, 15 clandestins récupérés sur un canot dérivant.

    On sait que la solution n’est pas de ramasser les dizaines de milliers de migrants illégaux exploités par les passeurs, et qui risquent leur vie en mer, mais de détruire, avant que ne partent tous ces demandeurs d’asile, ces nids de vipères que sont ces négriers modernes qui prospèrent au détriment de la misère humaine, sur les côtes libyennes. Une opération militaire combinée des principales puissances européennes riveraines, Espagne, Italie, France, n’aurait rien d’impossible. Les éléments commandos sont là, l’arme aux pieds, disponibles dans ces trois pays. Mais il manque une volonté politique pour donner des ordres, une mission avec un objectif précis et, dans cette affaire, l’Union européenne, une fois de plus, une fois de trop, démontre son incapacité, pour ne pas dire son inutilité, voire même, sa capacité de nuisance en voulant imposer des quotas de migrants à ses membres (sous peine de sanctions financières, un comble, à l’encontre des pays récalcitrants !).

    Les zones de tension, productrices de réfugiés, ne manquent pas, et certaines portes sont encore grandes ouvertes : les îles grecques submergées par des proche-orientaux complaisamment abandonnés par le sieur Erdogan, les présidios espagnols de Ceuta et de Melilla enclavés au Maroc, où, parfois, des Africains qui n’ont plus rien à perdre, se ruent à l’assaut de barrières grillagées, nos départements d’outre-mer, Guyane, Mayotte et la Réunion, où, respectivement, Surinamiens, Comoriens et Sri-Lankais espèrent, de là, pouvoir gagner la métropole, sans oublier la frontière américano-mexicaine où les Latinos, grâce à un mur interrompu, gagnent les USA, la nouvelle Babel, etc…

    Les « mesurettes » du gouvernement Macron

    Alors même qu’en France, le gouvernement annonce des mesures restrictives, très modestes, envers les étrangers, disons « indésirables », notamment ceux qui profitent de notre système de santé  pour faire du « tourisme médical », il va augmenter les effectifs des immigrés en voulant initier une politique des quotas économiques, pour complaire au patronat. Plus précisément, au lieu de faciliter la remise au travail de chômeurs par des mesures, à la fois incitatives et coercitives, d’augmenter notre capacité en matière de formation professionnelle, on va céder à la facilité.

    Eh bien non, disons-le très fort, nous préférons, par exemple, des informaticiens Français, plutôt que des ingénieurs importés de feu l’Empire des Indes, des médecins « Gaulois », à la place de Roumains ou d’Algériens. Comme en matière démographique, tout se planifie, même si les bonnes intentions ne sont pas toujours « récompensées ». Une grande politique familiale aurait évité à l’Allemagne de voir sa « Germanité » se réduire, à terme, comme une peau de chagrin : on annonce, au rythme où vont les choses, seulement 36 millions d’Allemands « de souche » à la fin du siècle ! Moins dramatique pour la France, mais pas bien loin. Ce n’est pas en vidant l’Afrique pour repeupler l’Europe, que l’on résoudra les difficultés des uns et des autres.

    Une grande politique du développement, avec birth control, - par l’électrification totale du continent et l’arrivée d’eau potable dans tous les villages de brousse comme dans les mégalopoles -, couplée avec une totale étanchéité de nos côtes et de nos frontières, serait l’un des remèdes aux maux de la planète. « Mais ceci, comme aurait dit Kipling, est une autre histoire ».

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  • Allemagne: Des milices civiles patrouillent dans presque tous les états fédéraux

    Qu'est-ce qu'une milice civile!
    Le terme  n'est pas défini légalement.
    On entend généralement par là un groupe organisé de citoyens patrouillant dans une zone donnée, souvent dans le but déclaré d'empêcher que leur crime soit commis.
    Le but peut être de dissuader les cambrioleurs.
    Cependant, de nombreux civils sont politiques.
    Surtout depuis 2016, de nombreux groupes ont été créés qui ciblent explicitement les réfugiés.
    Les extrémistes de droite ont essayé "avec cette forme d'action facile à mettre en œuvre, une connectivité des positions extrémistes de droite à la société majoritaire à démocratie bourgeoise à produire", écrit le gouvernement fédéral dans sa réponse actuelle à la petite demande de la fraction de gauche.
    Non seulement les groupes ont voulu suggérer que l'État était incapable de garantir la sécurité et l'ordre publics et a donc perdu sa légitimité.
    "Au contraire, des étrangers ou des opposants politiques sont intentionnellement intimidés par la présence de" forces de défense civile "extrémistes de droite sur le terrain", a-t-il déclaré.
    Surtout pour les acteurs de droite, jouer en tant que militant est attrayant car ils pourraient se présenter publiquement comme des "faiseurs" qui font quelque chose - "par exemple contre des crimes de masse présumés commis par des réfugiés", écrit le chercheur sur l'extrémisme de droite Matthias Quendt dans une expertise pour l'Amadeu en 2017 Fondation Antonio.
     Combien de vigiles y a-t-il en Allemagne?
    Ceci n'est pas connu
    Le gouvernement fédéral ne les compte pas.
    Déjà en 2018, elle avait déclaré qu'elles ne deviendraient pertinentes pour les autorités de sécurité que si elles manifestaient des aspirations anticonstitutionnelles ou commettaient des crimes.
    Spiegel.de / Zeit.de
    Traduction Google

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/11/allemagne-des-milices-civiles.html