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immigration - Page 607

  • Des marchés d’esclaves illégaux facilités par les géants du web

     

    AFP / D. Charlet

     

    Les géants du web sont au cœur d’une polémique au Moyen-Orient suite à une enquête de la BBC.Google, Apple, Facebook et Amazon (Gafa) sont accusés de faciliter, via leurs applications, les marchés illégaux d’esclaves, notamment au Koweït, où les domestiques venues d’Afrique sont nombreuses. 
    La BBC a décidé d’enquêter au Koweït, où une grande majorité des foyers dispose de domestiques issues du continent africain.
    Celles-ci entrent dans le pays avec un visa qui nécessite un employeur ou un sponsor officiel. Toutefois, ces tiers retirent par la suite leur visa à ces femmes qui n’ont donc plus la possibilité de changer d’emploi sans l’accord de leurs employeurs.

    Elles deviennent donc des travailleuses invisibles et non-payées.
    Les enquêteurs de la BBC révèlent ainsi qu’un marché illégal s’organise pour les revendre sur internet, dans un vaste réseau qui concernerait des milliers de femmes.
    Sur diverses applications, on retrouve donc des petites annonces pour faire le commerce de ces jeunes femmes.

    Des marchés facilités par les applications
    C’est là que les géants du web interviennent, puisque ces marchés illégaux sont facilités par l’utilisation de leurs applications et servent donc de plateforme de vente et d’achat.
    Urmila Boohly, rapporteuse spéciale de l’Onu, estime d’ailleurs qu’ils doivent être tenus pour responsables.
    « C’est l’exemple par excellence de l’esclavage moderne.
    Google, Apple, Facebook et toute autre entreprise qui hébergent ce type d’application doivent être tenues pour responsables.
    Elles font la promotion d’un marché en ligne d’esclaves », a-t-elle estimé auprès de la BBC.
    Du côté des applications, on prend les mesures que l’on peut pour éviter ces marchés illégaux. Instagram a notamment supprimé le hashtag « bonnes à transférer ».
    Une autre application, 4Sale, a supprimé la catégorie d’offres de ce type, tandis que Google s’est dit alarmé par la problématique.
    Les mesures sont peut-être encore trop légères, mais les mastodontes de la Sillicon Valley n’ont pas encore été inquiétés d’un point de vue judiciaire.
    Lire aussi : Le monde compterait plus de 40 millions d’esclaves
    metrotime

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/11/des-marches-desclaves-illegaux.html

  • Arrêtons de dire « les jeunes » pour dénommer des délinquants !

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    Les mots ont un sens. Et lorsque des journalistes ou responsables politiques les utilisent, ils savent pourquoi. Nous avons déjà abordé l’utilisation abondante du terme « mamans » pour désigner des femmes portant cet étendard qu’est le voile islamiste. L’heure est maintenant venue de décrypter ce qui se cache derrière le mot « jeune ».

    Il désigne généralement un « homme jeune ». Ici placé, il s’agit d’un adjectif qui vient qualifier le nom « homme ». Mais en le mettant dans une phrase telle « des jeunes ont incendié… », il devient substantif. Autrement dit, la substance même du sujet d’une telle phrase serait liée au fait d’être jeune. Est-ce vraiment le problème ? Serait-ce simplement le fait d’être jeune qui pousserait un individu à se munir de cocktails Molotov, de mortiers, de couteaux ou tous autres ustensiles pour dégrader des écoles, des collèges, des fêtes foraines, des commissariats ou menacer des pompiers ? Si on poursuivait le raisonnement, on en déduirait logiquement qu’il s’agirait d’un manque de maturité qui toucherait des personnes immatures de Creuse, des Landes ou du Jura et que tout ceci passerait avec le temps. Or, ceux-là ne se baladent pas encapuchés la nuit avec des bâtons. La pauvreté et le chômage existent pourtant bel et bien en milieu rural.

    Non, les « jeunes » en général et sans raison ne vont pas saccager des bâtiments publics payés avec les impôts de leurs parents. En figure de style, cette utilisation de l’expression « des jeunes » relèverait de la périphrase ou de l’euphémisme, comme pour ne pas voir la responsabilité de ceux qui commettent ces actes. On retrouve aussi cette forme de déni dans l’utilisation volontaire du terme « bêtises » pour nommer des saccages et des agressions.

    Non, « le jeune » n’est pas une catégorie justifiée pour désigner les auteurs de ces faits. Le problème est que les qualificatifs pertinents relèveraient alors de la « stigmatisation », de « l’amalgame », de « l’islamophobie », du « racisme », alors on ne peut les utiliser.

    Ainsi, si on ne peut qualifier ces individus avec leurs véritables adjectifs, utilisons au moins des termes comme « émeutiers », « voyous », « casseurs », « délinquants »… mais, de grâce, arrêtons de dire « les jeunes », car nos jeunes, eux, n’y sont pour rien !

    Axel Vontargier

    https://www.bvoltaire.fr/arretons-de-dire-les-jeunes-pour-denommer-des-delinquants/

  • Islamisme : naufrage de la gauche collabo, par Ivan Rioufol

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    Le gratin des collabos de l’islamisme a signé son entrée dans l’Annuaire de Honte. En effet, plus de cinquante personnalités ont appelé, vendredi dans Libération, à manifester contre l’islamophobie, le 10 novembre à Paris. Alors que bilan officiel des actes racistes en France pour 2018 a recensé 100 actes antimusulmans, soit le plus bas niveau depuis 2010, les signataires assurent : “Depuis des années, la dignité des musulmanes et des musulmans est jetée en pâture (…) Depuis des années, les actes qui les visent s’intensifient”. En réalité, seuls les actes antisémites (541) ont bondi de 74% en 2018, majoritairement sous la pression de la judéophobie islamique. Les actes antichrétiens (1063) sont restés stables. Mais le récent attentat contre la mosquée de Bayonne par un vieux cinglé, ajouté à la remarque faite par un élu RN à une mère portant le hidjab dans une enceinte publique, ont suffi à ces militants de l’islam pour faire passer les musulmans de France pour les victimes d’un racisme “en raison de leur foi”.

    La lutte contre l’islamophobie n’est plus seulement la bannière des fondamentalistes, qui cherchent à criminaliser la critique de l’islam politique et à réintroduire le délit de blasphème. Ce combat est devenu également celui d’une gauche qui s’est perdue dans la flatterie d’une idéologie totalitaire, violente, sexiste, judéophobe. A côté d’organismes infiltrés par l’islamisme comme le CCIF ou l’Unef, ou de militants comme Yassine Belattar, Rokkaya Diallo ou Edwy Plenel, se retrouvent dans Libé les noms de Jean-Luc Mélenchon (LFI), Philippe Martinez (CGT) Yannick Jadot (EELV), Olivier Besancenot (NPA)…

    Ce pacte entre l’islamisme et la gauche communautariste n’est, à dire vrai, pas une surprise. Ces deux mondes partagent une même détestation de l’Occident et de ses libertés. Mais ce front vient opportunément consolider la stratégie de victimisation de l’islam politique, qui pousse les exaltés à la confrontation avec leurs opposants. Samedi, une manifestation islamiste anti-Zemmour, organisée devant CNews, a laissé déborder un ahurissant flot de haine et de menaces. Abdelaziz Chaambi, militant de la Coordination contre le racisme et l’islamophobie et fiché S, a tout d’abord dénoncé “la poignée de sionistes” qu’il croit voir dans une partie du PS. Il a ensuite rendu hommage à ses “frères de Gaza“. “Gaza, c’est l’islam qui résiste et qui se bat contre l’armée sioniste”, a-t-il déclaré sous les applaudissements d’une petite foule. “Maintenant il faut se battre !“. Parlant d’Eric Zemmour, Chaambi l’a présenté comme “un bâtard né d’un mariage incestueux entre les politiques et les médias“.

    Il a poursuivi : “Ils ont fabriqué un monstre. Une bête immonde, quand elle est nourrie de nourriture avariée, elle nous chie sur la gueule. Quand elle mange de la nourriture franco-française, elle nous chie des Caroline Fourest, des Bruckner, des Praud, des Zemmour, des Morano, des Rioufol, des Clavreul, des Bouvet, des Odoul. Et quand ce monstre mange du couscous ou de la harissa il nous chie des Zohra Bitan, des Lydia Guirous, des Zineb El Rhazoui “.
    Voici avec qui la gauche traîtresse et ses censeurs ont choisi de faire cause commune. Est-il besoin de commenter davantage ce naufrage?

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 4 novembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/215919/islamisme-naufrage-de-la-gauche-collabo-par-ivan-rioufol/

  • Émeutes urbaines: la répétition générale.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Après Issy-Saint-Léger, Champigny-sur-Marne, Étampes, Émerainville, Grigny, Les Mureaux, Mantes-la-Jolie, Trappes, en région parisienne, mais aussi Toulouse ou Béziers, les scènes de guérilla urbaine qui viennent de se dérouler à Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines, ne sont que les premiers feux d'un embrasement général qui viendra tôt ou tard. 
    Qualifier, comme vient de le faire le Premier ministre Édouard Philippe, cette flambée de guet-apens contre la police et les pompiers de "violences commises par de petites bandes d'imbéciles et d'irresponsables" relève au mieux du déni, au pire du foutage de gueule.
    Dans les deux cas, l'impuissance de l'Etat à maintenir l'ordre en usant, avant qu'il ne soit trop tard, de tous les moyens de répression nécessaires, est criminelle car elle ouvre grand la porte aux prémices d'une guerre qui, pour se dérouler sur notre sol, ne sera pas, pour autant, une guerre civile.
    Les bandes ethniques organisées et offensives qui passent désormais délibérément à l'action le font par haine globale et viscérale de la France. Une France qu'ils rêvent de voir à feux et à sang.
    Nous n'en sommes encore qu'au stade de la répétition générale. Quand la pièce se jouera il sera trop tard pour regretter de n'avoir pas agi a temps.
  • Immigration : en même temps, ça continue ! – Journal du mardi 5 novembre 2019

     

    Immigration : en même temps, ça continue !

    Mercredi, le gouvernement dévoilera son plan sur l’immigration. Vingt mesures dont les premières fuites sont déjà apparues dans la presse ce mardi en guise de ballon d’essai. Derrière un durcissement de façade, l’impact des propositions semble ténu… De quoi assurer que la situation migratoire en France n’est pas prête de changer.

    Trump officialise sa sortie de l’accord de Paris sur le climat

    Donald Trump une nouvelle fois au cœur des critiques avec l’officialisation de la sortie des Etats-Unis de l’accord de Paris sur le climat. Des critiques concentrées sur le chef d’Etat américain alors que d’autres pays semblent paradoxalement épargnés… C’est le cas notamment de la Chine où le président Macron multiplie les courbettes face à son homologue Xi Jinping.

    Sophie le Tan, nouvelle victime de l’humanisme judiciaire?

    Alors que les enquêteurs s’affairent à confondre le meurtrier de Sophie Le Tan, les preuves s’accumulent contre le principal suspect, Jean-Marc Reiser, déjà condamné par le passé. Une affaire qui pourrait mettre en lumière les nombreuses failles de l’appareil judiciaire.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/immigration-en-meme-temps-ca-continue-journal-du-mardi-5-novembre-2019

  • Jean Messiha, à propos de la manif anti-Zemmour : « Des minutes de haine à l’état pur, d’injures racistes, antisémites… »

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    Une manifestation anti-Zemmour a été organisée samedi devant les locaux de CNews. Abdelaziz Chaambi, militant contre l’islamophobie et fiché, selon Valeurs actuelles, a tenu des propos particulièrement virulents à l’encontre du journaliste et essayiste : « Zemmour le virus islamophobe, Zemmour c’est un bâtard, excusez-moi le terme, engendré par un mariage incestueux entre les politiques et les médias ».

    Jean Messiha réagit au micro de Boulevard Voltaire à ces propos mais aussi à ceux du secrétaire d’Etat Jean-Baptiste Djebarri pour qui Marine Le Pen fantasme sur « une France gauloise, blanche et hétérosexuelle ».

    https://www.bvoltaire.fr/jean-messiha-a-propos-de-la-manif-anti-zemmour-des-minutes-de-haine-a-letat-pure-dinjures-racistes-antisemites/

  • L’invasion de l’Europe est avant tout une guerre civile

    Chronique de Paysan Savoyard (n°226 – octobre 2019)

    La France et l’Europe sont en train d’être envahies. Les immigrés amènent avec eux le chaos : le communautarisme, l’islam, la délinquance, la haine des Blancs, le désir de prendre une revanche définitive sur les occidentaux qui les ont toujours dominés. On ne peut dès lors qu’éprouver à leur égard détestation et crainte et ressentir l’évidence de ce constat : soit ils repartent, soit nous disparaissons.

    Cette vision des choses est pourtant faussée. Les immigrés, certes, viennent nous envahir, nous coloniser, nous dominer, nous remplacer : ils en ont pleinement conscience et ils en jubilent. Mais s’ils viennent en Europe, c’est bien parce que les dirigeants des pays européens ont souhaité et organisé leur venue. Là est le point fondamental : s’ils sont là, c’est qu’on les a fait venir.

    • Les motifs de l’immigrationnisme sont le mondialisme économique et le mondialisme idéologique

    Depuis cinquante ans en effet, la classe dirigeante européenne mène une politique immigrationniste systématique et déterminée. Lois, décrets, décisions diverses, tout est conçu et mis en oeuvre pour susciter, encourager et organiser une  immigration massive. Les motifs de cette politique sont de deux ordres, qui se rencontrent et se conjuguent : l’appât du gain et l’idéologie mondialiste. Les détenteurs du capital veulent organiser un monde ouvert afin d’accroître à la fois leur pouvoir et leurs profits. Les citoyens du monde veulent abattre les frontières au nom de l’utopie d’un monde pacifique et égalitaire, d’où le racisme aurait disparu. Certains de ces mondialistes sont cosmopolites par haine de l’Europe et des Européens.

    Les partisans de l’immigration, cependant, ne sont pas seulement les membres du CAC 40 et les militants no border : les immigrationnistes les plus nombreux se résignent à l’immigration, qui leur paraît inéluctable. Ils apportent sans enthousiasme au Système un soutien plus ou moins actif, par souci de maintenir une stabilité relative et d’éviter les affrontements généralisés.

    • La mondialisation et l’immigration s’inscrivent dans la guerre séculaire que mènent les progressistes contre la tradition

    Il faut relever que la classe dirigeante et ses divers soutiens ne sont pas seulement mondialistes et immigrationnistes. Ils ont également pour objectif de bousculer et de détruire tous les cadres sociaux établis. Au nom du progrès, ils sont féministes, favorables aux revendications des LGBT et envisagent avec faveur les révolutions sociétales en chantier : PMA, GPA, révolution des rapports hommes-femmes, suicide assisté, euthanasie active, manipulations génétiques, transhumanisme… : rien de ce qui peut déconstruire les coutumes et moeurs traditionnelles ne les effraie.

    C’est là, fondamentalement, une conséquence de la révolution française. La révolution a marqué l’accession au pouvoir d’une classe sociale, la bourgeoisie, dont l’objectif a été dès l’origine de mettre en pièces la société traditionnelle, au profit d’une conception nouvelle : « l’humanisme », ou « esprit des Lumières », ou « progressisme », ou « modernité », tous ces termes étant à peu près synonymes.

    La société traditionnelle avait les caractéristiques suivantes. Elle était structurée par des cadres collectifs. Elle était fondée sur les devoirs de l’individu envers les groupes auxquels il appartenait. Elle était hiérarchique et inégalitaire. Elle était ancrée à la tradition. Elle était avant tout chrétienne. La société issue des Lumières est, tout à l’inverse, centrée sur l’individu. Cet individu est égal en droits à tous les autres. Il est libre de toute appartenance et de tout devoir envers le passé et les règles traditionnelles. Il est tourné vers le progrès. Aucune frontière ne peut venir entraver sa liberté. Il est libre avant tout à l’égard de Dieu, qui lui est indifférent.  Tout oppose donc ces deux modèles de société, la société traditionnelle, « collectiviste » en quelque sorte, et la société moderne, individualiste.

    La guerre civile française et européenne avait commencé avec les guerres de religion : la Réforme était venue contester l’ordre établi et l’obligation faite à tous de confesser la même religion. Dans un deuxième temps, la révolution française a permis l’accession au pouvoir de la bourgeoisie et par là-même la victoire du camp du progrès. L’idéologie progressiste s’est ensuite imposée en Europe, grâce notamment aux guerres révolutionnaires et napoléoniennes. Le dix-neuvième siècle a vu s’affronter en France les deux conceptions de la société, avec une succession de restaurations et de révolutions. Le vingtième siècle enregistre à son tour de nouveaux épisodes de cette lutte entre tradition et modernité : loi de 1905, 6 février 1934, suivi du Front populaire, Vichy, guerres de décolonisation : à chaque fois, sur des sujets qui se renouvellent, ce sont deux France qui s’affrontent, la France du progrès et celle de la tradition. La révolution libertaire de mai 1968 marque une victoire importante des progressistes, qui parviennent à modifier les mœurs radicalement et en profondeur.

    Les progressistes sont au pouvoir depuis deux cents ans et leurs adversaires « réactionnaires » tenants de la tradition ont aujourd’hui pratiquement disparu. Cependant malgré deux cents ans de modernité militante, certains aspects de la société traditionnelle subsistent toujours. La famille traditionnelle, bien que très affaiblie, reste un cadre reconnu. Hommes et femmes conservent des rôles différenciés. Les nations sont encore là, ainsi que leurs frontières. La morale traditionnelle continue d’inspirer les comportements et reste la référence du plus grand nombre. C’est pourquoi, les progressistes continuent la lutte pour éradiquer ce qui reste de la société traditionnelle, et pour achever de « libérer l’individu » de ce qui peut encore l’entraver. Au nom des « valeurs républicaines » d’égalité, de liberté, de laïcité, de progrès et de fraternité universelle, « idées chrétiennes devenues folles », les Modernes poursuivent leur guerre contre ce qui peut subsister d’obscures traditions.

    • L’immigration est pour les progressistes le moyen radical et définitif de gagner la guerre civile française

    Dans cette guerre civile de plus de deux siècles, l’immigration est désormais le cheval de bataille des progressistes. Ceux-ci ont bien conscience qu’ils tiennent là le moyen radical d’éliminer définitivement la société traditionnelle. En détruisant les frontières de facto, avant de les supprimer le moment venu de jure, les progressistes tout à la fois feront disparaître les Etats et dilueront les peuples et la civilisation européenne elle-même : ils remplaceront les antiques nations charnelles par un monde nouveau, sans frontières, fondé sur les « valeurs universelles».

    C’est pourquoi les gouvernements poussent les feux et multiplient les mesures immigrationnistes. L’immigration de travail, commencée à la fin des années cinquante, était devenue considérable à partir du milieu des années soixante-dix, début de l’immigration familiale : le prétexte de l’accueil des réfugiés est, depuis le début des années deux-mille, le moyen d’amplifier encore les flux.

    Cette politique immigrationniste vient compléter la politique de mondialisation, conduite elle aussi depuis le milieu du vingtième siècle. Afin d’augmenter leurs profits et leur pouvoir, les détenteurs du capital et du pouvoir économique poursuivent leur objectif d’effacement des frontières économiques. Mondialisme économique et mondialisme idéologique continuent donc de converger, s’additionnent et se renforcent mutuellement.

    Le président français Macron est aujourd’hui l’un des leaders du Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire. Avec ses collègues européens, il s’apprête à mettre en œuvre Mercosur et CETA. Il va faire adopter la PMA. Il est aussi l’un des principaux porte-voix du camp immigrationniste et universaliste. Rappelons à cet égard quelques-unes de ses déclarations significatives, à la fois immigrationnistes et anti-françaises : « Les réfugiés sont une opportunité économique » (07/09/15) ;  « Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse, elle est multiple » (05/02/17) ; « Il n’y a pas de culture française… L’art français je ne l’ai jamais vu » (21/02/17) ; « La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime. Un crime contre l’humanité. C’est une vraie barbarie ». (Alger, 14/02/17) ; « L’immigration se révèle une chance d’un point de vue économique, social, culturel » (02/03/17). « L’accueil et l’hébergement (des migrants clandestins) sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’Etat, il a encore augmenté, c’est environ 2 milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter...» (18/01/19) ; « les entreprises privées qui discriminent les femmes voilées à l’embauche seront sanctionnées » (28/02/19).

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    Il serait encore tout à fait possible de mettre fin à l’invasion et de procéder à une remigration massive. Nous pourrions modifier les lois. Mettre fin aux multiples dispositifs sociaux qui encouragent l’immigration. Mettre en place des dispositifs incitant les immigrés à se rapatrier. Expulser sans délai, pour commencer, les délinquants étrangers et les clandestins. Si nous voulions arrêter l’immigration et redevenir maîtres chez nous, nous possédons encore – pour combien de temps ? – tous les moyens financiers, techniques, militaires et policiers d’imposer notre volonté. C’est délibérément qu’aucune de ces solutions n’est mise en œuvre.

    Les immigrés sont l’instrument de la destruction de l’Europe, de ses peuples et de sa civilisation : mais les responsables sont bien ceux qui ont ouvert les frontières et encouragé les immigrés à les franchir. Il faut donc ne pas se tromper d’analyse : la classe dirigeante des pays européens n’est ni impuissante, ni dépassée, ni incompétente, ni inefficace, ni faible,  ni pusillanime, ni timorée. Elle n’est pas impuissante à arrêter l’invasion, elle veut l’accroître au contraire, et mener à son terme son projet mondialiste : diluer l’Europe et les Européens dans un ensemble sans frontières, peuplé d’individus atomisés, consommateurs et travailleurs interchangeables et sans identité.

    L’invasion est donc d’abord une question interne aux sociétés européennes et, pour ce qui est de la France, un problème entre Français. La classe dirigeante et ceux qui la soutiennent ne servent pas les intérêts du peuple français, qu’au demeurant ils méprisent : au nom d’intérêts et d’idéaux mondialistes, ils le trahissent.

    C’est là l’un des rares points de divergence que j’aurais avec Renaud Camus. Avant d’être le résultat d’une invasion étrangère, la submersion de la France et de l’Europe est le produit d’une trahison. Cette trahison inédite dans l’Histoire constitue l’un des épisodes, sans doute le dernier, de la guerre civile commencée il y a deux cents ans.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2019/10/30/linvasion-de-leurope-est-avant-tout-une-guerre-civile/

  • Génétique, remigration… Le discours identitaire expliqué

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    Par Nicolas Faure ♦ Que veulent vraiment les identitaires européens ? Que pensent réellement ceux qui annoncent vouloir défendre leur identité et leur peuple ? Quelles sont les bases de leur discours ? La réponse en un court article explicatif.

    Le discours identitaire européen s’appuie (comme tous les autres discours identitaires du monde) sur le primat de la génétique. Le discours identitaire est avant tout scientifique, en opposition au discours cosmopolite qui est égalitariste, et donc obscurantiste.

    L’identité européenne, une réalité génétique

    Il existe des différences génétiques significatives entre les populations humaines.
    Exemple : les différences moyennes de taille, de masse corporelle et de propension à la schizophrénie entre Asiatiques, Européens et Africains sont génétiques.

    Les travaux de tous les généticiens – de Cavalli-Sforza à Evelyne Heyer – démontrent bien que l’identité européenne est une réalité génétique.

    Dans une tribune parue dans le New York Times, David Reich – professeur généticien à Harvard, juif et de gauche – admet que les populations humaines diffèrent les unes des autres. Il évoque même des capacités cognitives moyennes différentes entre les populations.

    Les différences intellectuelles entre les populations humaines sont effectivement significativement génétiques. Une donnée de première importance ! Toutes les informations utiles dans cette vidéo de Sunrise et ses sources.

    L’Europe aux Européens

    Toute personne un minimum honnête conviendra qu’une Chine composée à 70 % d’Européens, même parfaitement assimilés, ne serait plus la Chine.
    De la même manière, une France composée à 70 % d’extra-européens parfaitement assimilés ne serait plus la France.

    Reconnaître la justesse de cette proposition de bon sens, c’est bien acter que le génétique prime sur le culturel.

    C’est la fameuse phrase du général de Gaulle ! Celui dont tant de politiciens aiment à se réclamer. On peut avoir une petite minorité d’extra-européens en France (ou ailleurs en Europe), mais pas plus.

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  • Les contradictions ou les mensonges de Macron sur l’immigration et l’islam, par Christian Vanneste

    3309368304.jpgDepuis longtemps déjà les Français soucieux de la survie de leur pays pensaient avoir le choix entre ceux qui voulaient en finir avec lui et leur proposaient une France métissée promise à la faillite économique et ceux qui leur promettaient de remettre à flot le pays tout en colmatant les brèches par où entrait une population différente de moins en moins disposée à s’assimiler. La troisième option leur était présentée comme l’horreur absolue aussi bien pour l’économie que pour l’humanité, et servait d’épouvantail pour faire triompher l’une ou l’autre des deux premières. Finalement, c’est une quatrième solution qui l’emporta : la France serait sauvée par un génie de la finance, et la peur du marasme fit disparaître celle de l’invasion. Depuis deux ans, la France n’a guère amélioré ses performances économiques, mais le thème du changement de population perçu naguère comme un fantasme paranoïaque est devenu beaucoup plus puissant, avec l’extension d’une « communauté » musulmane venue d’ailleurs, de moins en moins encline à l’assimilation et de plus en plus disposée à la provocation, voire plus.

    Malgré les efforts conjoints des politiques et des médias, l’idée qu’on puisse mettre sur le même plan, les deux blessés après « l’attentat » commis contre une mosquée à Bayonne par un vieil homme qui n’a plus toute sa tête et les 263 morts des attentats islamistes dans notre pays, n’est pas de nature à rassurer l’opinion. Celle-ci est de plus en plus consciente qu’une communauté différente s’est installée et se développe sur le territoire en affectionnant d’occuper celui-ci avec les signes ostentatoires de sa présence. Les voiles islamiques ne sont pas des fichus qu’on porte par tradition et par habitude, au nom d’une décence féminine, ce sont les marques d’une appartenance qui se veut conquérante, et il faut être bien naïf ou de mauvaise foi, pour en nier l’intention.  Le point de savoir jusqu’où doit être toléré ce signal est anecdotique. La menace qu’il représente pour l’existence de notre pays et pour la permanence de son identité ne l’est pas. Le président de la République a tenté de répondre à cette angoissante question qui n’était manifestement pas à son programme.

    Il l’a fait selon son habitude en tentant de manipuler l’opinion. Il s’est adressé pour évoquer le sujet à un hebdomadaire clairement de droite, « Valeurs Actuelles ». C’était une manière de dire que non seulement il n’esquivait pas le problème mais allait même au-devant de ceux qu’il préoccupait davantage. Peu après avoir dit que le voile dans l’espace public n’était pas son affaire, il a donc reconnu que notre politique de peuplement était mauvaise, que notre intégration économique était en échec au moment même où l’islam était en crise, que l’abandon d’exigences républicaines avait accentué les difficultés. Demande-t-on à un Chef d’Etat des analyses ? Non, on lui demande des actes, et il est clair qu’ici la clarté apparente du discours de contrition n’ouvre la voie à aucune solution. M. Macron a simplement dit : je vois la question et je m’en occupe.

    Peu de temps auparavant, il avait dit qu’il fallait être vigilant contre l’hydre islamiste, et qu’il refusait le communautarisme. La seconde affirmation est évidemment fausse. En 2016, selon le sociologue canadien, Mathieu Bock-Côté, en égrenant l’origine des citoyens venus à son meeting de Marseille, Emmanuel Macron a dévoilé sa vision idéologique multiculturaliste : « Je vois des Arméniens, des Comoriens, des Italiens, Algériens, Marocains, Tunisiens, Maliens, Sénégalais… Mais je vois quoi ? Je vois des Marseillais… Je vois des Français. » 

    Emmanuel Macron n’est évidemment pas un homme de droite attaché à l’identité de la France. C’est un mondialiste qui pense que les Etats-nations sont voués à disparaître au profit d’une gouvernance mondiale qui devra gérer non seulement la circulation des biens et des capitaux, mais aussi celle des personnes tout aussi indispensable pour répondre aux déséquilibres démographiques de la planète. Son attachement à souligner l’importance du risque climatique, qui ne concerne guère la France, n’est que la conséquence de son idéologie : effectivement, le climat ne peut être traité qu’à un niveau mondial. Selon lui, le réchauffement climatique est un danger, les migrations ne le sont pas : elles conduisent tout naturellement à créer des nations composites sur le modèle américain qui exige le respect mutuel des composantes, et de leurs cultures différentes. Le multiculturalisme est la conséquence logique de cette politique, sauf que la France n’est pas un pays d’immigration de longue date comme le rappelait récemment Michèle Tibalat, que ses immigrants ne sont pas issus de l’Amérique latine catholique, qu’ils ne viennent pas avec l’espoir de devenir les citoyens d’un Eldorado admiré, mais souvent avec l’idée d’une revanche à prendre sur d’anciens colonisateurs, entretenue d’ailleurs stupidement par les Français partisans de l’immigration.

    Les Français ont élu un homme qui est totalement inconscient de la principale menace qui pèse sur eux, car il ne se rend pas compte à quel point le multiculturalisme suicidaire, qui se construit dans les quartiers où les minorités deviennent majoritaires, est le terreau de l’islamisme. Mohamed Merah a été le prototype de ces enfants d’immigrés non assimilés, passant de la drogue et de la délinquance au terrorisme, par la case prison parce que détenteurs d’une double nationalité, et éduqués souvent dans la haine de la France, ils sont la réserve d’une armée hostile au sein même du pays. Entre le quartier où la police n’entre plus par peur du guet-apens et l’acte terroriste à l’extérieur, la différence est de degré et non de nature. C’est la raison pour laquelle l’hydre du terrorisme verra sans cesse ses têtes repousser. L’idée d’une « société de vigilance » dans des quartiers où se pratique l' »omerta » communautaire fait preuve d’un paradoxal aveuglement. On ne peut « en même temps » vouloir l’immigration de masse en provenance de pays musulmans et prétendre s’attaquer à l’hydre de l’islamisme.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/05/les-contradictions-ou-les-mensonges-de-macron-sur-l-immigrat-6187906.html#more

  • Zoom – Marie d’Armagnac : Salvini, le recours pour l’Italie

    La victoire récente de Matteo Salvini et de ses alliés dans la terre traditionnellement de gauche d’Ombrie relance le débat sur l’arrivée inéluctable au pouvoir du leader de la Ligue. Marie d’Armagnac, journaliste indépendante, publie aux éditions L’Artilleur : « Matteo Salvini, l’indiscipliné ». Un ouvrage pour comprendre l’ascension de l’ancien ministre de l’Intérieur italien, qui, après avoir démissionné du gouvernement, attend patiemment son heure de gloire.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-marie-darmagnac-salvini-le-recours-pour-litalie