Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 603

  • « Face aux islamistes, défendons la France ! »

    face-islamisme-defendons-france-588x330.jpg

    « Face aux islamistes, défendons la France ». Tel sera le thème de la manifestation organisée dimanche 17 novembre à Paris, à l’appel du Collectif Stop Islamisme, porté par les Identitaires, et Academia Christiana. Au nom de Polémia, Jean-Yves Le Gallou y prendra la parole sur un sujet majeur à propos duquel il alerte depuis longtemps.
    Intitulé «Le choc de l’islam », le texte qui suit a trente-cinq ans, c’est le chapitre trois du livre La préférence nationale : réponse à l’immigration.
    Trois points majeurs s’y trouvaient soulignés :

    • Plus qu’une religion l’islam c’est un ensemble de lois, de coutumes, de mœurs. Bref le voile islamique est davantage un marqueur civilisationnel qu’une exigence religieuse.

    • L’islam c’est une communauté par-delà les frontières toujours traversée par l’esprit du djihad

    • L’islam par son potentiel de violence et d’esprit de conquête peut servir à fédérer contre les Européens l’hostilité de différentes minorités ethniques.

    C’était écrit en 1984. Nous y sommes hélas. Grace à l’aveuglement des médias et des juges et à la lâcheté des intellectuels et des hommes politiques. Résistons !
    Polémia

    Le choc de l’islam

    La seconde religion en France

    Nul ne peut aujourd’hui ignorer cette réalité inimaginable voici seulement vingt ans : l’Islam est la seconde communauté religieuse en France. Il y a 400 mosquées à Paris. 1 000 dans toute la France.

    Les combats d’opinion autour de la construction d’édifices religieux démontrent avec clarté les besoins croissants de la communauté musulmane. Pourtant l’absence d’églises et surtout de clergé, tragique pour un catholique, placé alors devant un vide sacramentel, n’est pas aussi redoutable pour un musulman : elle n’empêche pas la perpétuation de l’extension de la communauté islamique. L’Ummah, ou communauté des croyants, est une des réalités capitales de l’Islam. Y entrer n’exige que de faire la profession de foi, l’un des piliers de l’Islam, qui tient en deux formules solidaires : ” Il n’y a pas de divinité en dehors de la divinité ” et ” Mahomet est l’envoyé de Dieu “. Énonciations d’une clarté et d’une simplicité frappantes. L’Islam attache à l’unité une importance qui ne s’arrête pas à la proclamation de l’unité de Dieu mais trouve son effet dans toutes les manifestations de ce monde. Ainsi, tout chef de famille, puisqu’il est musulman, est l’imam, le prête dans sa maison, et sa famille apparaît comme un raccourci de l’Ummah tout entière. L’homme, vicaire – khalifat – et image de Dieu, la famille unie autour du patriarche, la société soumise à l’autorité d’un chef politique et religieux, ne sont que des projections d’une même réalité. Toutes sont constituées à partir du dogme intransgressable de l’Unité. Dieu ne vient pas sous forme humaine racheter le monde de ses péchés ; il l’aborde dans l’Islam qui se reflète dans le monde et participe de la nature divine. L’Islam est un bloc spirituel, religieux, juridique et social dont rien n’est exclu.

    L’Islam au‑delà des nations et des Etats

    Le musulman, du seul fait qu’il appartient à l’Ummah, ne peut en être détaché. Peu importe le lien où il vit. L’Islam est partout où il est et où il mène la vie d’un croyant. Au-delà du fait national, l’Islam peut unir sans distinction d’origine les croyants réunis sur un sol, et ce d’autant mieux que la religion musulmane implique un mode de vie qui peut être vécu partout sans structure d’accueil particulières. Au-delà du fait étatique, l’Islam peut imposer son appréhension du monde : les chefs d’Etat du monde musulman qui ont tenté de moderniser à l’occidentale leur pays, sans respect suffisant de la tradition islamique, ont été contestés, sinon renversés : l’Iran, la Tunisie, l’Egypte, le Soudan en ont fait l’expérience. Dans certains pays d’Afrique noire comme le Sénégal et le Nigéria, la communauté musulmane qui forme un véritable Etat dans l’Etat réclame une islamisation des institutions de la société, mettant ainsi en péril les libertés des autres communautés religieuses, chrétiennes notamment. Dans l’Islam, en effet, tout pouvoir vient de Dieu. Dès lors, se dessine une alternative : ou bien le pouvoir politique est un pouvoir légitime, c’est-à-dire régulier d’un point de vue traditionnel ; ou bien, et nous serons en France dans ce cas si nous n’y sommes déjà, il se présente sous la forme d’une puissance illégitime, mais irrésistible et contraignante, devant laquelle la communauté se met en sommeil, se soumet, sans reconnaître pour autant sa légitimité jusqu’à ce qu’un changement du rapport des forces manifeste la volonté divine de rendre le pouvoir à ses légitimes détenteurs. En tout cas, un musulman ne peut que mépriser un gouvernement qui ne dispose ni de la légitimité, ni de la force. “En dehors de la révélation du Prophète, déclare un immigré musulman il n’y a que mensonges et illusions. Et si je travaille en France, je considère que c’est une traversée du désert dont je n’ai rien à apprendre, ni à attendre…et je le répète, hors de l’Islam, il n’y a rien… Vous, vous avez pu tricher sur la Bible, nous, nous ne tricherons pas sur le Coran.” Cohérent avec lui-même et sa foi, un musulman ne respectera donc au mieux, dans un Etat laïc et étranger, que la force. Il bâtira par ailleurs sa vie, à partir de très précises indications que lui fournissent le Coran et la Sunna, c’est-à-dire la tradition issue des enseignements du Prophète.

    Islam et Occident : deux mondes incompatibles ?

    Un musulman peut s’il le désire, trouver dans sa religion un guide dans presque toutes les circonstances. La Sunna concerne tout, vie morale, sociale, spiritualité, soins d’hygiène. On peut s’arrêter sur les prescriptions qui organisent la vie familiale, dans la mesure où, comme on le sait, les conceptions de l’Islam sont, en la matière, assez étrangères aux nôtres. Elles assujettissent la femme aux privilèges masculins. Les contestations récentes qui on t opposé des Européennes divorcées de musulmans se plaignant de s’être vu enlever leurs enfants illustrent bien l’incompatibilité dramatique de deux conceptions différentes. L’attitude des pères s’explique dans une société où la lignée l’emporte sur l’individu, et les droits de l’homme sur ceux de la femme. La tolérance, ici, consiste à ne pas être critique mais à admettre la réalité des différences : “Les hommes, dit la sourate IV du Coran, ont autorité sur les femmes… Celles dont vous craignez l’indocilité, admonestez-les ! Si elles vous obéissent, ne cherchez plus à les contraindre, Allah est auguste et grand.” Ces simples exemples illustrent les abîmes qui séparent les conceptions et le mode de vie musulmans des nôtres. La bonne volonté ne saurait suffire. On peut bâtir des logements aux immigrés pour rétablir leur environnement, mais une cour intérieure, qui dans le Maghreb est un lieu de vie, ne sera, aux alentours de Clermont-Ferrand, qu’un réceptacle pour les averses six mois l’an. “Pour un Occidental, écrit Gilles Kepel, dans le magazine l’Histoire, imprégné de laïcité ou de notions chrétiennes (rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu), les manifestations contemporaines de l’Islam posent un problème : une religion, une foi font irruption dans le domaine politique et prétendent déposséder les hommes de la gestion de leur société pour la remettre entre les mains de Dieu. D’autant que la volonté de Dieu est exprimée par le Coran, révélée au prophète Mahomet par l’archange Gabriel. Si pour les musulmans, le livre est indépassable et fournit un “système total et complet” ; pour les non-musulmans, il ne constitue qu’une prophétie codifiée dans l’Arabie tribale et chamelière du VIIe siècle, c’est-à-dire un texte bien incapable de dire le droit à l’âge des ordinateurs, des missiles et des navettes spatiales.” La confrontation culturelle évoquée par l’auteur, en admettant qu’elle se fasse dans les meilleures conditions possibles – ce qui est d’ores et déjà exclu -, ne pourra qu’engendrer incompréhension et méfiance dans les gestes du quotidien, là où l’on juge aux actes et non aux intentions. La relation multicommunautaire, on l’oublie trop souvent, n’est pas l’affaire d’intellectuels : elle se vit, et l’actualité nous apprend qu’elle ne se vit pas toujours dans la paix.

    Reniement ou société à la carte ?

    Parce que l’Islam ne se cantonne pas dans le domaine religieux mais tisse des liens très étroits entre le spirituel et le temporel, l’immigration qui en provient pose des problèmes radicalement nouveaux aux pays d’accueil. Comme le reconnaissait Pierre Emmanuel dans La France Catholique du 16 septembre 1983 : “Aux yeux d’un gouvernement français laïque, en 1983…, l’intégration des musulmans passe par leur renoncement à la loi coranique”, loi qui aujourd’hui, observera l’auteur, ne saurait s’appliquer dans le cadre de la société française. L’assimilation de musulmans ne saurait être que particulièrement difficile à conduire et à justifier. L’immigré musulman, au contraire, va connaître une désidentification totale. Il deviendra, qu’il appartienne à la première ou à la seconde génération, un complet étranger pour les siens. Admettons la possibilité de la métamorphose, mais qu’en est-il de sa légitimité, sauf dans le cas de choix individuels nettement exprimés ? Le reste aura lieu sous la pression de besoins immédiats et passagers. Les prétendus avocats des immigrés peuvent-ils considérer ce reniement même inconscient, comme une victoire ? Ce reniement est-il même envisageable ? Un des quarante hadiths fondamentaux prévoit qu’”il n’est permis de verser légalement le sang que dans trois cas : celui de l’home marié qui comment l’adultère, celui de l’assassin qui légalement mérite la mort, celui de l’homme qui renie sa religion et se sépare de sa communauté”. Car l’allégeance à l’Islam ne saurait être interrompue par une conversion : elle est perpétuelle, sauf à s’exposer à la mort. A contrario, la reconnaissance de l’Islam en France, comme composante du paysage social français, exigerait qu’il soit tenu compte de sa nature et de ses lois particulières. Les premiers Mérovingiens confrontés à une situation de ce genre avaient adopté dans leurs Etats le principe du droit personnel. Il y aurait donc, en France, un droit personnel, lequel serait l’indispensable corollaire de la reconnaissance de l’identité musulmane. Ce droit applicable aux seuls musulmans (quid des conflits entre musulmans et non-musulmans ?) aurait la particularité d’être en parfaite contradiction avec le droit français issu du droit romain. Mais, imagine-t-on de nos jours une société à la carte où ce qui est crime pour le voisin est acte de piété pour soi ? A supposer qu’il soit possible de mettre en place cette société multiculturelle, peut-on croire que la situation serait stable ? C’est douteux.

    Intégrisme et djihad

    “L’Islam dans les conditions normales, écrit Frithjof Schuon, frappe par le caractère inébranlable de sa conviction et la combativité de sa foi ; ces deux aspects complémentaires (sont) représentés l’un par la Kaaba, qui est le centre, et l’autre par l’épée de la guerre sainte, qui marque la périphérie ” Le centre, dans la vie du monde, et sur un certain plan, correspond à l’ummah ; nous relèverions plutôt de la périphérie. On ne peut ignorer le danger que porte avec elle, aujourd’hui, et presque à son corps défendant, toute communauté islamique : l’explosion, la renaissance intégriste de l’Islam, le fondamentalisme. Dans les pays musulmans, il est facteur de trouble ; en France et en Europe, il évoque l’ombre de la djihad, fût-ce sous la forme épisodique du terrorisme. L’affrontement entre partisans intégristes et politiques modérés, épris de modernisme a donné lieu à des batailles sanglantes et acharnées : en Iran, bien sûr, mais aussi en Arabie Saoudite (assaut de la grande mosquée de La Mecque le 20 novembre 1979), sans oublier les attentats au Liban, l’assassinat de Sadate en 1981, et l’insurrection de Hama, en Syrie, en février 1982, qui se solda par des milliers de morts. Or l’intégrisme rencontre en Europe tous les encouragements propres à favoriser son extension : une masse de coreligionnaires déstabilisée, un pouvoir faible, et un peuple d’infidèles. Déjà on peut voir dans nos villes se promener des “sœurs musulmanes” voilées de noir. Jusqu’à quel point est-il judicieux, dans ces conditions, d’importer et de laisser se développer chez nous une querelle qui ravage le monde arabe ? Pourtant ce n’est pas le principal danger de l’intégrisme en milieu européen. Les divisions de l’Islam ne nous concernent après tout que par leurs retombées. Il est, par contre, permis, devant les vagues terroristes déclenchées par ces mouvements, de s’interroger sur la manière dont la communauté musulmane s’acquittera de l’obligation qu’a tout bon croyant de faire sa djihad. L’idéal, comme la doctrine la djihad, a sa grandeur, mais aussi, nonobstant les propos apaisants de certains, ses dangers. Le djihad n’est ni la marque de reconnaissance exclusive de l’Islam caractérisé alors par sa seule intolérance, ni une simple voie pacifique et intérieure qui n’agite que l’âme des paisibles soufis. Elle est bien un pilier de l’Islam, un des fondements doctrinaux de son rapport au monde. Le même terme, djihad, désigne à la fois “guerre sainte et voie de Dieu” – les deux étant, en l’espèce, synonymes. La guerre, en effet, peut être intérieure : c’est la Grande Guerre sainte que mènent ascètes et autres contemplatifs, combat qui, par les exceptionnelles qualités humaines qu’il exige, limite ipso facto l’usage extensif du mot dans cette acception. Aussi la djihad est-elle surtout comprise par le musulman comme participation à la guerre pour la conversion des infidèles, la défense et l’expansion de l’Islam. Ils ne manquent pas d’encouragements à remplir leurs obligations. Un célèbre hadith ne déclare-t-il pas : “Le sang des héros est plus près du Seigneur que l’encre des sages et les prières des dévots.” Par l’action, le musulman assume un dépassement intérieur comparable aux peines de l’ascèse, et se délivre de l’incertitude, de l’obscurité, de la peur de la mort. Sans même remonter jusqu’à la conquête arabe, force est de constater que le sort des populations chrétiennes en milieu musulman n’est pas enviable : les Turcs ont massacré les Arméniens à deux reprises (1894–1896 et 1915–1918) et la minorité copte d’Egypte est en butte à une persécution continue : son patriarche est aujourd’hui en exil sur ordre du président Sadate. Jean–Pierre Péroncel–Hugoz cite cet extrait d’une lettre d’étudiants coptes : “Nous ne voulons pas être tolérés sur une terre où nous étions chez nous, où nous étions chrétiens, plusieurs siècles avant l’invasion musulmane, nous voulons y avoir l’égalité des droits avec nos compatriotes musulmans.” Aujourd’hui, on peut se demander, en toute sérénité, quel devoir dicterait, à une communauté musulmane importante et solidement implantée en France, la conscience du pouvoir dissolvant sur les masses de toutes origines de la civilisation occidentale. Pour eux, la guerre est commencée et l’Occident a porté le premier coup en dissolvant les mœurs et le mode de vie, ce qui met en danger l’identité musulmane. Comment réagiront-ils devant une communauté où se résument tous les caractères sataniques : incrédulité, matérialisme, licence ? D’abord, sans doute en exigeant de restaurer le respect de leur mode de vie que tout, du Ciel à la Terre, leur confirme comme étant le bon face à la dégénérescence occidentale. Famille, habitudes vestimentaires, restauration de l’enseignement coranique, tout peut être envisagé. Nous ne disons pas que ces exigences seront le fait d’une majorité, ni qu’elles seront satisfaites, mais, si elles ne le sont pas, le terrorisme d’Allah s’instaurera, et si la minorité a ses martyrs, la majorité ne la désavouera pas. L’intégrisme a pour lui la simplicité sans frontières du message coranique. Sur des masses abandonnées à elles-mêmes, sans véritable patrie, et pour qui l’Islam pourra être cette patrie retrouvée, son influence ne peut que grandir.

    Lien vers La préférence nationale : réponse à l’immigration en intégralite https://www.polemia.com/pdf/prefnat.pdf

    https://www.polemia.com/face-islamistes-defendons-france/

  • La vague populiste qui traverse l’Europe est passée dimanche par l’Espagne

    12/11/2019 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Les élections législatives espagnoles avaient lieu ce dimanche, et le jeune parti Vox, entré au Parlement en avril avec 24 sièges a remporté 15% des suffrages avec 52 sièges ! Il s’est ainsi placé comme la troisième force politique du pays, derrière le Parti socialiste (PSOE) du Premier ministre Pedro Sanchez et le Parti populaire, conservateur. Pour son chef Santiago Abascal, c’est l’ascension « a plus fulgurante de la démocratie espagnole ».

    Quasi inexistante il y a quelques années, cette formation politique séduit de plus en plus d’électeurs notamment issus des régions impactées par l’immigration de masse comme l’Andalousie, où le parti a réalisé une percée historique lors des dernières élections régionales.

    https://fr.novopress.info/

  • Islamophobie : La manif de la honte ?

    islamophobie-la-manif-de-la-honte-MEBJVa7F5vA-845x475.jpg

    Dimanche, la manifestation contre l’islamophobie a rassemblé musulmans et gauchistes dans une improbable synthèse. Boulevard Voltaire était présent. Au cours de ce reportage, des manifestants du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), d’Olivier Besancenot, ont empêché l’équipe de Boulevard Voltaire de filmer et voulu la conduire à la police !

    https://www.bvoltaire.fr/islamophobie-la-manif-de-la-honte/

  • Les Languedociens ont répondu nombreux à l'appel de la Ligue du Midi hier après-midi à Montpellier

    75246598_2348965952020920_1523349703603781632_o.jpg

    Notre ami Richard Roudier peut être satisfait : son initiative unitaire cliquez ici a rencontré un franc succès... malgré la présence d'une poignée de provocateurs antifascistes à la solde du Système qui se sont ridiculisés en tentant de perturber cette belle mobilisation nationale et identitaire.

    On en reparle très rapidement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Panique au Vatican, les catholiques italiens ont plus confiance en Salvini qu’en François

    Le pape François représenté en superman campe, depuis 2014, sur les murs de Rome, près du Vatican, sur le compte twitter de Vatican Communication, a fait la Une des médias mainstream, mais n’est pas le super-héros des catholiques italiens.

    Un récent sondage a jeté la panique dans les Palais Apostoliques : Salvini serait préféré à François ! En matière politique, les Italiens ont plus confiance en Matteo, le charismatique responsable de La Ligue qu’en El papa argentin, le chouchou des bien-pensants.

    La Ligue s’affirme comme le parti le plus voté parmi les catholiques : les pratiquants assidus votent pour elle à 32,7 %, ceux qui vont à la messe de manière fréquente la plébiscitent 38,4 % ou occasionnellement à 35,4 %.

    Les formations de la coalition jaune-rouge qui a le soutien du Vatican, le Parti démocrate et le Mouvement 5 Etoiles (M5S) ne peuvent se prévaloir d’un tel taux : les assidus votent pour le PD à 26,9 % et les pratiquants occasionnels à 20 %. Le M5S recueille seulement 14,3 % de votes de la part des catholiques pratiquants et 18,9 % parmi les non-croyants.

    Même si critiqué par les évêques italiens, le chapelet de Salvini a eu un franc succès !

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/panique-au-vatican-les-catholiques-italiens-ont-plus-confiance-en-salvini-quen-francois/114139/

  • Alors, Jean-Luc, comment ça va ?

    L’image contient peut-être : 17 personnes, personnes souriantes, foule et plein air
     Tu permets que je te tutoie, Camarade.
    Après tout « camarade » nous l’avons été, nous « peuple de gauche » et même si ce n’était plus trop le cas depuis longtemps, je continuais à nourrir une certaine forme de tendresse pour toi.
    Un peu comme avec un ex que l’on n’arrive pas à détester complètement et qu’on regarde toujours avec une pointe de nostalgie, même si on sait que c’est bel et bien terminé.
    Il faut dire que tu as su m’en donner des frissons...

    Ton magnifique discours lors de l’enterrement de ton ami Charb vois-tu encore aujourd’hui je ne peux y repenser sans pleurer.
    Et donc, alors, Camarade, c’était comment cette manifestation ?
    Raconte. Tu étais à l’aise au milieu des pires entrepreneurs identitaires et des intégristes ?
    Tu as serré des paluches ?
    J’ai vu qu’il y avait dans la manif des jeunes enfants à qui on a fait porter une étoile jaune.
    Tu as trouvé ça mignon qu’on compare le sort réservé aux enfants juifs séparés de leurs parents, déportés, exécutés, gazés à celui des enfants de confession musulmane qui ont à subir… quoi en fait ? Concrètement ?
    Et Madjid Messaoudene, tu l’as vu alors ?
    Il est sympa ? T’as fait un selfie ?
    Tu sais ce grand type rigolo, élu de Saint Denis qui, au lendemain de la tuerie de Toulouse tweetait en rafale des blagues et des jeux de mots sur Mohamed Merah (je n’oublie pas merah cine / qu’est ce que tu merah-conte etc).
    Mort de rire. Enfin mort oui, surtout les enfants de l’école maternelle.
    Bon, et à part ça… Il y avait du beau monde ?
    Tu l’as vu Nader Abou Anas ? Mais si enfin, le salafiste qui dit qu’une femme doit être obéissante à son mari et qu’elle ne doit sortir de chez elle qu’avec sa permission ! Il était là ?
    Et l’autre, tu sais le rigolo, qui explique aux enfants qu’ils vont finir en cochon s’ils écoutent de la musique il est venu aussi ?
    Celui qui dit dans ses prêches qu’une femme non voilée n’a pas de pudeur et pas d’honneur et qu’elle ne doit pas s’étonner de subir des agressions tu vois de qui je parle ?
    Et les gens de l’association « participation et spiritualité musulmane", tu les as croisés ?
    Mais si souviens-toi, les homophobes, les anti-avortements excités de la « Manif pour Tous » les potes de CIVITAS quoi.
    Ça y’est tu les remets ? Ils devaient être tout près des pancartes demandant l’abrogation des lois de 2004.
    N’empêche, ça a dû te faire drôle, toi le progressiste, le laïque passionné, l’universaliste, toi qui expliquais en 2010 que les femmes voilées se stigmatisaient toutes seules, toi qui récusais le terme même d’islamophobie en défendant le droit à critiquer les religions, toi qui déplorais en 2018 que la religion devienne de plus en plus ostentatoire dans notre société…
    Alors dis-moi Camarade, ça t’a fait quoi quand Marwan Muhamad, du CCIF, l’officine officieuse des Frères musulmans a fait scander à la foule « allahou Akbar » ? ça t’a pas un peu terrifié d’écouter ce cri qui aura été le dernier qu’auront entendu tes amis de Charlie Hebdo juste avant de s’écrouler ?
    Et quand ils ont fait huer le nom des opposants qui sont déjà menacés, Mohamed Sifaoui, Bouvet, Zineb etc qu’as-tu fais Jean luc ?
    Tu as tapé dans tes mains en rythme aussi ou tu t’es discrètement bouché les oreilles ?
    Je voudrais juste savoir Camarade. J’ai besoin de comprendre.
    Est-ce qu’il y a un moment, même fugace où le souvenir de Charb, de son poing crânement levé, de son sourire malicieux, de son testament « lettre ouverte aux escrocs de l’islamophobie » t’a glacé le sang ?
    Est-ce que à un moment, t’est revenu le souvenir de tes mots, si beaux, si forts à l’enterrement de ton ami : « La mort est passée. Elle rôde encore autour de nous et nous sentons son souffle froid (…)Tremblants de peine et sidérés, nous sommes venus nous réchauffer une fois de plus auprès de lui. Car Charb tisonnait si bien pour nous la braise rouge ! Rouge ! Contre la cendre des convenances boursouflées et des certitudes aveuglées, nos rires étaient ses incendies du vieux monde! (…)
    Charb, tu as été assassiné comme tu le pressentais par nos plus anciens, nos plus cruels, nos plus constants, nos plus bornés ennemis : les fanatiques religieux, crétins sanglants qui vocifèrent de tous temps.
    Charb, ils n’auront jamais le dernier mot tant qu’il s’en trouvera pour continuer notre inépuisable rébellion »
    Je voudrais juste savoir Camarade.
    Ça fait quoi de renier ses valeurs dans l’espoir de glaner des voix communautaires ? ça fait quoi de trahir ses amis ?
    Je voudrais juste savoir Camarade.
    Ça fait quoi de renier ses valeurs dans l’espoir de glaner des voix communautaires ? ça fait quoi de trahir ses amis ?
     Je voudrais juste savoir Camarade.
    Est-ce que ce soir, comme nous tu te prends la tête entre tes mains ?
    Est-ce que au moins, maintenant, tout seul, dans le secret de ton cœur, tu as honte « Camarade » ?

  • Grèce : un barbecue « porc et vin à volonté » organisé près d’un camp de migrants, en signe de protestation

    15789943742-800x445.jpg

    Un groupe anti-migrants grec a organisé dimanche un barbecue comportant du porc grillé et du vin, à proximité de l’ancienne base militaire de Diavata, transformée en camp de réfugiés, près de Thessalonique, en signe de protestation contre les migrants entrants ou résidents et majoritairement musulmans.

    « Nous sommes rassemblés ici pour cette soirée barbecue afin d’envoyer un message symbolique à tous que la Grèce ne perdra pas sa culture avec le temps et qu’elle restera ce qu’elle a toujours été« , a déclaré Dimitris Siampazis, l’organisateur en chef et leader du mouvement ‘Enomenoi Makedones’ (‘Macédoniens unis’).

    « Il s’agit d’une protestation novatrice pour montrer notre opposition à l’afflux continu de migrants illégaux« , déclare Dimitris Ziambazis. « Cette situation ne peut plus durer. Nos maisons et nos communautés se transforment en ghettos, et nous ne le tolérerons pas« , ajoute-t-il.

    Source: Fdesouche

    Photo couverture: capture Youtube

    https://www.alterinfo.ch/2019/11/11/grece-un-barbecue-porc-et-vin-a-volonte-organise-pres-dun-camp-de-migrants-en-signe-de-protestation/

  • Les banlieues subventionnées brûlent, les campagnes délaissées crèvent

    banlieues-subventionnes-brulent-campagnes-delaissees-crevent-588x330.jpg

    Les récentes émeutes urbaines n’en finissent pas de faire parler. Une contribution récente à Polémia en témoigne. Ces phénomènes sont pourtant paradoxalement courants en France. Mais il semblerait que la multiplication et l’intensification de ces événements dramatiques soit également parallèle à une autre hausse, celle de l’exaspération des Français. La preuve avec cette tribune virulente et virile de Julien Dir.
    Polémia

    La misère en Bretagne, oubliée par Paris

    Il y a des matins où j’aimerais attraper un chargé de communication de l’Élysée par le col, lui mettre quelques claques, et le traîner de force dans la ruralité. En Centre-Bretagne, dans la Creuse, dans ces territoires oubliés, méprisés par les élites, souvent abandonnés à la merci de petits barons locaux qui y font la pluie et le beau temps.

    Un chargé de communication (« Mais qui vous dit que c’est un homme ? »), ou bien un de ces élus qui vient pleurer des larmes de crocodile à propos des pauvres banlieusards qui seraient des victimes du système, du racisme, de la pauvreté, du système.

    Mais bon sang, venez une journée dans la campagne de Pontivy ! Venez une journée à la rencontre de ces anciens qui crèvent en silence dans la campagne de Carhaix, dans des fermes dont les sols, encore en terre battue, témoignent de l’abandon qu’ils subissent.

    Venez une journée, une seule, dans la campagne de Gourin, à la découverte d’une jeunesse elle aussi abandonnée, à qui aucun plan emploi n’est proposée à la sortie de l’école, à qui aucun conseiller en aides sociales n’est dédié. Et qui plonge parfois, dans la drogue, dans l’alcoolisme. Venez découvrir ces logements sociaux pas rénovés depuis plusieurs décennies. Ou ces maisons insalubres dans lesquelles des familles viennent habiter à la recherche d’un calme et d’une sécurité qu’elles ne trouvaient plus à proximité des grandes villes.

    Des familles qui finalement, ont troqué la sécurité de leurs enfants contre la mérule, la mauvaise isolation, les fuites diverses et variées. Venez sentir cette puanteur dans certains logements. Ces conditions de vie qui rappellent parfois Germinal, sauf que plus de 100 années ont passé.

    En Bretagne, pauvreté ne rime pas avec émeutes

    Quand j’entends Édouard Philippe annoncer des mesures pour la Seine-Saint-Denis, département le plus criminogène de France, département dont même les autorités ne sont pas capables de recenser le nombre exact d’habitants tant la pression migratoire y est forte, j’ai envie de sortir ma fourche et de monter à Paris lui apprendre la vie. Ce ne sont pas des millions qu’il faut déverser dans les banlieues qui se moquent éperdument de l’État. Ce sont des soldats en armes qui terroriseraient les islamistes. Ce sont des « Bope » françaises qui mettraient rapidement fin au règne des dealers.

    Dans notre ruralité à nous, les déserts médicaux ne se fabriquent pas parce que les médecins y fuient les violences et les caillassages. Ils existent, parce que les autorités n’ont rien fait depuis des années au niveau de la médecine pour inciter à s’installer chez nous. Où est le Mélenchon de la ruralité qui ferait de certains médecins, de certains spécialistes, des fonctionnaires mutés dans la ruralité qui crève ?

    Dans nos campagnes à nous, la jeunesse ne crame pas des voitures, alors même qu’elle n’a pas les moyens financiers des incendiaires de banlieue. Notre jeunesse n’attaque pas non plus les postiers, les pompiers, les policiers, les héros qui maintiennent un minimum de service public dans ces territoires abandonnés. Abandonnés par des autorités et des élus qui les méprisent y compris électoralement, le nouveau Dieu métropole étant désormais un réservoir à électeurs suffisamment important pour délaisser paysans et exclus de la ruralité.

    Édouard Philippe qui parle d’aider la Seine-Saint-Denis pendant que nos anciens crèvent dans leurs maisons sans chauffage, pendant que certaines familles n’osent pas allumer la lumière à 18h parce que l’électricité coûte trop cher, c’est presque une invitation à le remettre en place dans un octogone. Et encore, eu égard au nombre d’individus en France qui commencent à être énervés (doux euphémisme) contre ces élus qui font le choix d’autres peuples, d’autres communautés, contre le propre peuple dont ils sont issus, l’octogone afficherait complet pendant plusieurs siècles, et le visage d’Édouard Philippe ne ressemblerait plus à grand chose.

    Compromission et lâcheté

    C’est un pari que font nos décideurs politiques. Celui de récompenser, avec notre argent (celui de nos impôts), des territoires gérés par des caïds, par des factieux, par des assassins (les dealers sont des assassins). Des salles de sport et des médiathèques toutes neuves, pour la troisième fois en dix ans, pendant que le peuple des campagnes peut bien crever. De toute façon il vieillit, il faut le remplacer n’est-ce pas ? Et puis « ce sont des illettrés » comme dirait un certain Emmanuel Macron…

    Ce mépris des villes pour les campagnes, des décideurs des métropoles pour le reste du territoire, se paiera toutefois un jour ou l’autre. Ce clientélisme vis-à-vis de groupes criminogènes qui contrôlent certains territoires se paiera aussi, d’une façon ou d’une autre.

    « Ne surtout pas opposer la France périphérique à la France des banlieues » disent-ils à longueur de journée sur les plateaux TV, tremblotant dans leurs fauteuils douillets. Bien sûr que si ! Ces deux mondes n’ont rien à voir. N’ont pas les mêmes valeurs, les mêmes cultures, les mêmes langues, les mêmes comportements. Nous n’avons rien en commun, et nous ne voulons pas vivre ensemble !

    Les Gilets jaunes étaient un avertissement douillet, un premier cri de révolte d’un peuple qui commence à en avoir marre d’être tenu à la gorge pendant qu’on lui urine sur les pieds. Le message n’a visiblement toujours pas été entendu là-haut, à Paris.

    Des millions pour la Seine-Saint-Denis pendant que les miens crèvent dans leurs campagnes ? Bonnets rouges, Gilets jaunes, et demain, colère noire ?

    Julien Dir 10/11/2019

    Source : Breizh-Info

    Crédit photo : Domaine public

    https://www.polemia.com/banlieues-subventionnees-brulent-campagnes-delaissees-crevent/

  • Espagne : percée des patriotes de Vox lors des législatives et son entrée au Sénat

    Vox.jpg 

    FE de las Jons.jpg

    Espagne. Lors des législatives de ce 10 novembre 2019, Vox passe de 10,26 % à 15,09 % et de 24 à 52 sièges sur 350 à la Chambre des députés. La FE de las JONS décroche 0 %.

    Lors des élections pour le Sénat de ce 10 novembre 2019, Vox passe de 0 à 2 sièges sur 208. La FE de la Jons n’obtient pas de siège.

    http://lionelbaland.hautetfort.com/

  • Robert Ménard : “Le gouvernement nous ment et nous trompe !”

    robert-m-nard-8220-K1OledloOWk-845x475.jpg

    Le maire de Béziers, avec son parler vrai, évoque la politique d’immigration du gouvernement et revient sur la signification de la chute du Mur de Berlin trente ans après. Selon lui, il y a un malaise dans notre pays vis-à-vis du communisme.

    https://www.bvoltaire.fr/robert-menard-le-gouvernement-nous-ment-et-nous-trompe/