
La mairie, accusée d’immobilisme par l’opposition Rassemblement National, en appele à l’Etat. Aujourd’hui entre 80 et 180 migrants sont interpellés par la police aux frontières entre l’Italie et la France.
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La mairie, accusée d’immobilisme par l’opposition Rassemblement National, en appele à l’Etat. Aujourd’hui entre 80 et 180 migrants sont interpellés par la police aux frontières entre l’Italie et la France.
Dans le cadre du débat sur l’immigration, Boulevard Voltaire donne la parole à Jean Messiha (RN), lui-même chrétien et d’origine égyptienne, qui expose sa vision critique du positionnement de l’Eglise catholique sur ce sujet :
Vous accusez l’Église catholique d’avoir protégé un migrant en situation irrégulière. N’êtes-vous pas en contradiction avec l’esprit de bienveillance prôné par l’évangile ?
Oui et non. L’Église a toujours été dans son rôle pour accueillir les opprimés. Il ne s’agit pas du tout de cela. La question n’est pas que l’Église catholique abrite des pauvres, mais plutôt le rôle joué par l’Église catholique en tant qu’institution et notamment par le pape pour favoriser l’immigration sous toutes ses formes. Le pape François et un pape qui pour la première fois vient d’un pays du tiers monde où on retrouve les communautés catholiques les plus nombreuses. Le pape doit bien sûr avoir un discours à l’égard de ces communautés catholiques là alors même que la pratique du catholicisme s’effondre en France et en particulier en Occident de manière générale.
Un biais sert au pape pour orienter son opinion ou ses déclarations sur la question migratoire.
L’Express relate le retour, « en toute discrétion », le lundi 17 août, d’une Française, veuve d’un djihadiste qui avait passé « plusieurs mois dans un centre de détention à la frontière syro-turque ». Elle a été expulsée par la Turquie après cinq ans passés en Syrie.
Sept veuves de djihadistes et 13 enfants bientôt expulsés
À son arrivée en France, la mère de famille, âgée d’une cinquantaine d’années et blessée à l’œil, est passée devant le juge d’instruction en charge de son dossier, puis a immédiatement été incarcérée.
Sept autres Françaises – toutes veuves de djihadistes – devraient, également, être expulsées prochainement, ainsi que leurs treize enfants, âgés de quelques mois à 15 ans.
Qu’est-ce que la « tenaille identitaire » ?
« Il y a une tenaille identitaire en France, comme dans tous les pays occidentaux. À une extrême droite populiste, qui n’a jamais été aussi forte et décidée à déstabiliser la société, répondent des courants de repli intégristes religieux. Ces deux-là se renforcent l’un l’autre. Si on n’y prend pas garde, si on ne montre pas notre détermination, la tenaille se refermera. » En 2016, ainsi parlait Gilles Clavreul[1], haut-fonctionnaire, délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme de 2015 à 2017 sous le gouvernement Valls II et chef de file du Printemps républicain, mouvement de défense de la laïcité. En 2005, il avait qualifié le CCIF, Collectif contre l’islamophobie en France, de « collectif anti-démocratique, raciste et antisémite », et en 2017, demandé l’interdiction de la campagne d’affichage municipal contre l’immigration clandestine organisée par Robert Ménard, maire de Béziers.
Ils ne voulaient pas que leur fille se marie avec un chrétien : la famille musulmane d’une adolescente d’origine bosniaque l’a tondue et violemment frappée lundi à Besançon quand les deux amants sont rentrés d’une fugue.
Les actes se suivent et se ressemblent : des conducteurs sans permis, sans assurance, parfois sans papiers, souvent alcoolisés ou drogués percutent des personnes qui se trouvent au mauvais endroit, au mauvais moment. Retraités, femmes, enfants. Ils tuent aussi des policiers en essayant d’échapper à des contrôles routiers. Dernière occurrence dramatique en date ? Jeudi 13 août 2020 à Saint Malo, un policier a été volontairement percuté par le conducteur d’une voiture – et non par « un véhicule ». Les voitures ne tentent pas de tuer d’elles-mêmes, elles sont l’outil de tentatives meurtrières et c’est bien la récurrence de ces actes criminels qui inquiète. Ces actes ne sont pas le fait de chauffards. Un chauffard est un individu qui conduit mal, ne sait pas conduire, ne respecte pas le code de la route ou bien multiplie les fautes de conduite. Là, les victimes percutées le sont par des assassins à la voiture, nouvelle arme d’une violence extrême.
D'un côté, il y a ceux qui nient l'insécurité ou, pire, parlent d' "ensauvagement".
De l'autre, il y a la réalité :
• 3411 pompiers agressés en 2018 (hausse de 280% en 10 ans)...
• 233 élus agressés physiquement depuis janvier...
• 260 000 victimes de coups et blessures volontaires ( hausse de 8%)
VA – La Suède est en émoi. Comme le relaye le site breitbart.com, un migrant avait été initialement reconnu coupable de viol et d’abus sexuels sur une petite fille et condamné à 12 ans, l’enfant qu’il violait n’ayant que dix ans lorsque les abus ont commencé. La cour d’appel a jugé que si l’homme est coupable de viol d’enfant, son cas ne répondait pas aux exigences de raisons exceptionnelles pour l’expulser du pays comme l’avait décidé le tribunal. Le procureur chargé de l’affaire a fait appel de la nouvelle décision et a demandé l’expulsion du violeur étranger. Selon un communiqué de presse du ministère public, l’homme vit en Suède depuis environ 22 ans, ce qui a été donné comme raison pour laquelle il ne devrait pas être expulsé.
Claude Chollet, on a assisté à une avalanche de faits divers, cet été. À quoi attribuez-vous cette omniprésence ?
Le sociologue marxisant Pierre Bourdieu (dont certaines analyses demeurent intéressantes, notamment sur la reproduction des élites) avait coutume de dire que l’exploitation des faits divers détournait le public des vrais problèmes. Dans un de ses derniers livres (Les Cosaques et le Saint-Esprit, Éditions de la Nouvelle Librairie), le talentueux écrivain Bruno Lafourcade écrit : « Les faits divers, ce n’est pas anecdotique : c’est de la vérité qui bouillonne à la surface du réel. » L’avalanche de faits divers signale que la température du réel sociétal monte. Les minorités ethniques et culturelles tiennent le haut du pavé et, après des années de laxisme, ne comprennent pas que tout ne soit pas permis. Disons que presque tout est permis, comme on a pu le voir lors des émeutes après la victoire récente d’une équipe de football supposée française et à capitaux du Qatar sur une autre équipe supposée allemande. Si vous reprenez les événements de l’été 2018 ou 2019, vous obtiendrez les mêmes faits divers, à ceci près que, chaque année, ils sont plus nombreux, plus violents, plus sanglants.