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immigration - Page 614

  • En France, Google fait un don important à des associations pro-immigration

    Sur son blog officiel, le géant de Mountain View rappelle qu’il a lancé – en mai dernier – le Google.org Impact Challenge en France, un appel à projets de 3 millions d’euros, invitant les associations et les acteurs de l’économie sociale et solidaire à proposer leurs idées pour promouvoir l’inclusion numérique.

    C’est ainsi que le 19 novembre dernier, 10 finalistes ont présenté leurs “idées innovantes” à un panel de jurés lors d’une cérémonie à la Maison de l’Artisanat.

    Parmi les projets qui vont recevoir un don très important, on note deux associations qui viennent en aide aux réfugiés en France…

    Le 1er prix du jury Konexio recevra un don de 600.000 euros pour son projet de parcours de formation au numérique gratuit pour un usage personnel et professionnel à destination des jeunes des quartiers défavorisés et des migrants.

    Le 2e prix du jury Unis-Cité recevra 500.000 euros afin de favoriser l’intégration des réfugiés en France grâce à un parcours de formation au numérique animé par des jeunes en service civique.

    Voir l’annonce complète sur le blog de Google France : https://france.googleblog.com/2019/11/google-recompense-10-associations.html

    https://fr.novopress.info/

  • Zoom – M. Maffesoli et H. Strohl : Du modèle républicain à l’idéal communautaire

    Michel Maffesolli, professeur émérite à la Sorbonne et Hélène Strohl, inspectrice générale des affaires sociales honoraire, présentent « La faillite des élites – La puissance de l’idéal communautaire ». Pour eux, ceux qui nous gouvernent n’ont pas su remettre en cause leur grille d’analyse de la société. Un aveuglement qui les a conduit à nier le retour en force d’un être sociétal, des tribus, à reconnaître la puissance du surnaturel. Face à la chute du modèle républicain, Michel Maffesoli et Hélène Strohl proclament l’avènement de l’idéal communautaire et de la solidarité des réseaux…

    https://www.tvlibertes.com/zoom-m-maffesoli-et-h-strohl-du-modele-republicain-a-lideal-communautaire

  • Voile, communautarisme, immigration : la présidentielle 2022 en ligne de mire ?

    Le professeur de droit Christophe Boutin analyse la situation migratoire en France et la stratégie d’Emmanuel Macron sur cette question en vue de sa potentielle réélection en 2022.

    De ce que les polémiques concernant les réponses présidentielle et gouvernementale à l’immigration se multiplient, certains n’hésitent pas à imaginer que nous serions déjà dans la précampagne des élections présidentielles de 2022, où l’on nous annonce comme quasi-inévitable un nouvel affrontement au second tour entre Marine Le Pen et l’actuel locataire de l’Élysée. Outre que les prévisions à si long terme doivent toujours être prises avec infiniment de précautions, ce serait oublier, d’abord, que le président doit faire face à une visibilité accrue de l’immigration, avec des interactions entre des questions différentes, et qu’il peut aussi faire des choix politiques résultant d’échéances électorales plus proches. Le premier point de cette visibilité accrue de l’immigration relève en effet de l’impact des obligations vestimentaires que s’imposent certains fidèles de la religion musulmane, et qui, quoi qu’en aient des commentateurs qui n’hésitent pas à convoquer pour cela l’image des vestales de la Grèce antique ou celle des nonnes de nos couvents, ne relèvent pas des pratiques usuelles dans notre aire culturelle – et moins encore de nos jours. On sait que depuis quelques années la France tente de réglementer ces pratiques, se lançant dans un jeu du chat et de la souris dans lequel l’État est nécessairement perdant lorsque les provocations de ceux qui entendent braver les normes reçoivent un large soutien médiatique et politique.

    Au nom de la lutte contre l’islamophobie, ce mot que tentent d’imposer les courants islamistes les plus directement politiques, qu’il s’agisse de ceux qui sont proches des Frères musulmans ou de ceux soutenus par des États wahhabites, il s’agit, d’une part, d’imposer une législation sur le blasphème et, d’autre part, de pouvoir en finir avec des mesures restrictives. Mais à raison de l’importance de la population musulmane présente sur le territoire français, cette revendication rend plus visible, en même temps que plus conflictuelle, la question de l’immigration. D’une part, parce que cette dernière n’est clairement plus pensée en termes d’intégration des migrants à une communauté culturelle leur préexistant, mais bien comme devant faire coexister sur le même territoire des groupes communautaires différents ; d’autre part parce qu’il ne s’agit pas ici de quelques dizaines de bouddhistes en robes safran, vus alors avec amusement, mais de groupes devenus territorialement majoritaires dans certaines zones.

    Cet aspect de contrôle territorial lié à une immigration rendue plus visible par l’appartenance religieuse l’est tout autant si l’on évoque la violence qui sévit dans ce que l’on nomme par euphémisation les «quartiers difficiles». Cette dernière aboutit on le sait à l’interdiction d’action des services publics de l’État – services de sécurité, bien sûr, mais aussi pompiers, ambulances ou médecins –, dans des zones passées sous le contrôle effectif de groupes de délinquants dans lesquels la proportion de personnes issues de l’immigration semble plus élevé que la moyenne nationale – même si l’interdiction de statistiques ethniques peut laisser planer un doute.

    Pour lire la suite, c’est ici !

    https://fr.novopress.info/

  • Bernard Lugan : « Au Mali, les dirigeants français ont voulu imposer l’utopique ‘vivre ensemble’ »

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    Bernard Lugan cliquez ici

    Le sentiment anti-français en hausse au Mali

    En dépit de l’élimination par l’armée française le 21 février 2019 de l’Algérien Yahia Abou al-Hamman, chef de « l’émirat de Tombouctou », et qui était l’un des trois principaux chefs de la coalition jihadiste sahélienne GSIM (Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans), la situation se complique au Mali.

    Le sentiment anti Français y a même explosé le 10 février 2019 quand, à Bamako, devant plusieurs dizaines de milliers de partisans, l’imam wahhabite Mahmoud Dicko a déclaré : « Pourquoi c’est la France qui dicte sa loi ici ? Cette France qui nous a colonisés et continue toujours de nous coloniser et de dicter tout ce que nous devons faire. Que la France mette fin à son ingérence dans notre pays. » 

    Un singulier remerciement pour tout ce que nos Armées ont fait pour son pays…

    Les 3 erreurs de la France

    La vérité est que, face à la grande complexité des réalités maliennes, l’erreur française fut triple :

    1) En 2013, il aurait fallu subordonner la reconquête de Gao, de Tombouctou et du nord Mali par Serval à la reconnaissance préalable par Bamako d’une nouvelle organisation constitutionnelle et territoriale prenant véritablement en compte les spécificités nordistes, ce qui n’a pas été fait.

    2) Au lieu de cela, Paris imposa une fois de plus l’aberrante solution électorale. Or, comme l’ethno-mathématique a automatiquement donné la victoire aux plus nombreux, c’est à dire aux sudistes, la revendication touareg a donc été « démocratiquement » délégitimée..

    3) Les autorités françaises ont refusé de voir que pour Bamako, l’ennemi principal est le séparatisme touareg et non l’islamo-jihadisme combattu par Barkhane.

    Au lieu de partir du réel ethno-racial sahélien, aveuglés par leur idéologie, les dirigeants politiques français ont voulu imposer l’utopique « vivre ensemble ». Ils imaginaient sans doute que la fée électorale allait, d’un coup de baguette magique, faire accepter à des nomades berbères ou arabes de se soumettre au bon vouloir des agriculteurs noirs sédentaires que leurs ancêtres razziaient, et aux sudistes de cesser de prendre leur revanche sur ceux qui, avant la colonisation libératrice, réduisaient leurs ancêtres en esclavage.

    Par la faute de nos gouvernants, Barkhane se trouve donc désormais prise entre le marteau et l’enclume avec des possibilités de manœuvre réduites en raison de la multiplication des mines posées sur les axes de communication obligés.

    Certes, de brillantes opérations permettent de liquider les têtes du jihadisme mais il faut bien voir que, de plus en plus fixée sur des emprises coupées des populations, comment Barkhane dont l’essentiel des moyens est désormais utilisé à son auto-protection pourrait-elle répondre aux problématiques régionales millénaires ?

    D’autant plus que ses cadres ne reçoivent plus de formation africaniste, depuis que les véritables enseignements en cette matière ont été supprimés, tant à Coëtquidan qu’à l’Ecole de Guerre…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/27/bernard-lugan-au-mali-les-dirigeants-francais-ont-voulu-impo-6193648.html

  • Matteo Salvini tire sur des migrants et ne fait aucune victime

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    Armé d’un revolver, Matteo Salvini tire sur des migrants. L’un d’entre eux, plié en deux, semble avoir été touché. Le drame est là dans toute son horreur. L’artiste italien Salvatore Scuotto, auteur de cette sculpture, n’y est pas allé de main morte. D’un côté, des assassins, de l’autre des victimes. Tant de nouveauté dans le message épate le bobo rebelle en quête de causes qui ne l’engagent à rien.

    Souci du détail : l’ex-ministre italien tient dans sa main gauche un chapelet orné d’une croix. Le pape François, qui ne cesse de vanter l’accueil des migrants, se décarcasse en pure perte. Les cathos sont des salauds aux yeux du bon samaritain sans frontières.

    Dans son effort d’étalage de clichés, le modeleur n’a pas oublié de représenter les migrants, dépenaillés, décharnés, comme tout droit sortis d’un champ de coton du XIXe siècle. Des Soudanais en jeans et tee-shirt avec smartphones rivés sur l’oreille n’auraient produit aucun effet sur la clientèle. Sans doute victime d’un coup de fatigue, l’artiste engagé à omis de placer un fouet à la ceinture de Salvini. La boulette.

    Cette « œuvre », qui mériterait d’être en pâte à sel tant son simplisme est navrant, pourrait s’intituler « Voyage dans la tête d’un gauchiste ». Le cerveau des « Welcome Refugees » tout entier disséqué. Des migrants assimilés aux esclaves de l’Amérique de 1810, un Blanc odieux bénéficiant d’un droit de vie ou de mort sur eux. À la sortie de l’expo, des voitures à cheval sont-elles mises à la disposition des visiteurs afin que le choc avec la réalité ne soit pas trop violent ?

    L’Amérique du XIXe siècle et l’Allemagne des années 30 sont les deux dadas du bien-pensant. Du progressisme comme s’il en pleuvait, mais saupoudré d’épouvantails vieillots laissant à penser que nous vivons des heures merveilleuses. À ce sujet, le hululement du gauchiste, les soirs de pleine lune, est glaçant : « Plus jamais çâââââ… Plus jamais çâââââ… » Les mères de famille rentrent les enfants.

    Mais rassurons-nous sur le sort du migrant visé par Salvini. Au canon de l’arme qu’il tient en main pend un panneau game over. Ouf ! C’était pour de faux. Mais pourquoi le pauvre esclave des champs de coton semble-t-il hurler de douleur ? Il feint ? Il simule ? Eh bien, bravo, Monsieur Scuotto, pour le message. Vous répondrez de votre œuvre odieusement raciste devant les tribunaux !

    Jany Leroy

    https://www.bvoltaire.fr/matteo-salvini-tire-sur-des-migrants-et-ne-fait-aucune-victime/

  • Les femmes des cités, oubliées des féministes, par Ivan Rioufol

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    Qui sont les conjoints meurtriers ? Qui sont les violeurs ? Qui sont les harceleurs ? L’homme blanc!, répondent les néo-féministes, prêtes à tirer à vue. On se souvient de l’accusation sans appel de l’une d’entre elles, Caroline de Hass, dans L’Obs (14 février 2018) : “Un homme sur deux ou trois est un agresseur“. Cette militante avait tweeté le 7 janvier 2016, après une série de viols et de violences sexuelles commis contre des femmes lors de la soirée du Nouvel An par de jeunes maghrébins, à Cologne et dans d’autres villes allemandes : “Ceux qui me disent que les agressions sexuelles en Allemagne sont dues à l’arrivée de migrants : allez déverser votre merde ailleurs“.

    Caroline de Haas est de ces “féministes” qui ont participé à la “manifestation de la honte” du 10 janvier à Paris, organisée par des mouvements islamistes et d’extrême gauche, notamment en soutien aux femmes voilées. C’est elle également qui a co-organisé la Marche contre les violences sexistes et sexuelles, qui a réuni près de 40.000 personnes à Paris, samedi. Un succès incontestable. Toutefois, il n’y a aucune audace à dénoncer un “patriarcat” dans une société conquise depuis longtemps par le féminisme, au point d’avoir rendu l’homme inutile dans la procréation entre lesbiennes. L’écart de salaires dans certaines professions reste le seul reliquat d’une inégalité qui doit être corrigée. Mais rien n’est plus facile que de se contenter de dénoncer le prédateur occidental et hétérosexuel, dont Harvey Weinstein, Jeffrey Epstein, Roman Polanski seraient les symboles.

    Si les féministes ont un vrai combat à mener, il est auprès des femmes des cités. Elles sont soumises au machisme et au sexisme d’une culture qui n’a aucune raison d’être épargnée des critiques communes. Le courage serait de manifester en Seine-Saint-Denis, par exemple. Quand Caroline de Haas, Laurence De Cock, Clémentine Autain ou Rokhaya Diallo se joignent aux islamistes, elles cautionnent une idéologie qui reconnait aux hommes la prééminence sur les femmes (sourate II-228), autorise le mari à frapper son épouse (sourate IV-34), permet la polygamie, ferme les yeux sur les excisions, les mariages forcés, etc. En 2014, l’actrice Julie Gayet, compagne de François Hollande et participante à la Marche de samedi, avait apporté son concours à un clip de Lisa Azuelos dénonçant les mariages forcés de petites filles.

    Mais, afin de ne pas stigmatiser les minorités maghrébines, africaines ou asiatiques qui pratiquent ces usages, la scène avait été transposée dans l’univers d’une famille parisienne de la grande bourgeoisie catholique… Samedi, des femmes ont été éjectées du cortège pour avoir rappelé la réalité des agressions sexuelles, qui ne se résument pas au procès récurrent du mâle blanc. Défendre la femme est une nécessité et il y a des salauds dans tous les milieux. Mais observer les “féministes” baisser les yeux devant l’islam rétrograde laisse voir leur trahison.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 18 novembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/216147/les-femmes-des-cites-oubliees-des-feministes-par-ivan-rioufol/

  • Zoom – Mgr Dominique Rey – L’islam : menace ou défi ?


    Monseigneur Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon fait un double constat : l’islam est pluriel avec une frange radicale et la France vit une balkanisation de son territoire. Les constats débouchent sur un avertissement fondé sur l’engagement de l’évêque auprès des Chrétiens d’Orient : les tensions et les drames qu’ils connaissent dans leur pays pourraient bien se vivre en Occident, de manière aussi tragique. Monseigneur Rey répond à toutes les ambiguïtés de l’Eglise en matière d’immigration, à toutes les incompréhensions, comme la présence de l’évêque de Belfort à un sulfureux rassemblement contre l’islamophobie.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-mgr-dominique-rey-lislam-menace-ou-defi

  • Les 4 raisons qui expliquent le succès de la manifestation contre l’islamisme à Paris – Clément Martin (Les Identitaires)

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    Dimanche 17 novembre à Paris, Génération Identitaire organisait une manifestation contre l’islamisme. Place Denfert-Rochereau, près de 1 000 personnes se sont retrouvées dans la rue et ont marché ensemble jusqu’à Cambronne.

    Une forte mobilisation malgré l’absence de relais dans les médias mainstream et la censure des réseaux sociaux

    À l’inverse de la manifestation contre l’islamophobie, dont l’annonce a été complaisamment relayée par les médias, notre manifestation contre l’islamisme n’a pas été annoncée dans la presse. D’autre part, nos canaux de communication ont été largement amoindris par la censure qui nous vise sur l’intégralité des réseaux sociaux. Dans ces conditions, parvenir à mettre près de 1 000 personnes dans la rue relève presque du tour de force.

    Un record d’affluence en 15 ans d’activisme identitaire

    Les identitaires ont déjà manifesté plusieurs fois à Paris depuis le début de leur existence. En 2016, nous avions organisé la manifestation « On est chez nous » où nous avions réuni 500 personnes. À l’époque, nous avions encore notre page Facebook et notre compte Twitter. Cette année, alors même que les conditions étaient réunies pour connaître un tassement de la mobilisation (censure sur les réseaux sociaux, etc) nous avons réussi à dépasser nos précédents records d’affluence.

    La préfecture de police de Paris a plié

    En 2017, nous avions voulu manifester à Paris contre l’islamisme. La préfecture de police de Paris (alors infiltrée par un islamiste) avait interdit notre rassemblement sous des prétextes fallacieux. Nous avions considéré qu’il s’agissait là d’une interdiction abusive et nous avions porté plainte. Au mois de juin dernier, nous avons fait condamner l’État devant le tribunal administratif pour cette décision. Cette fois-ci, la préfecture de Police a préféré autoriser notre rassemblement malgré certaines menaces d’interdiction en amont pour nous décourager. Nous avons finalement emporté la victoire.

    Première manifestation nationale contre l’islamisme depuis les attentats de Merah

    Depuis les attentats islamistes de Mohammed Merah en 2012, aucune manifestation d’ampleur n’avait eu lieu dans la rue pour dénoncer l’islamisme. Face à l’inaction des différents gouvernements, il était temps que les Français puissent descendre dans la rue. Grâce à Génération Identitaire, c’est chose faite.

    Nous remercions tous les participants pour cette belle victoire de la résistance identitaire qui doit faire taire les pessimistes et servir de référence pour d’autres mobilisations à venir. Nous sommes les principaux adversaires de Bellatar, de Madjid Messaoudene (LFI) et du CCIF dont nous réclamons la dissolution. Face aux islamistes, défendons notre identité !

    Clément Martin

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/216142/les-4-raisons-qui-expliquent-le-succes-de-la-manifestation-contre-lislamisme-a-paris-clement-martin-les-identitaires/

  • Colloque Polémia – Comment résister à la dictature macronienne, par Francis Bergeron

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    9497-20191126.jpg« Dictature Macron ? Les voies de la résistance » : le thème de la journée organisée par Polémia samedi aurait pu semblait quelque peu polémique et outrancier, il y a deux ans. A l’époque, l’homme et son équipe passaient pour des libéraux, dans le mauvais comme dans le bon sens du terme. La présence d’Edouard Philippe ou de Bruno Le Maire, ex-LR, qui se disaient adeptes à tous crins de la liberté, laissait supposer que sur ce point, au moins, nous ne risquions pas vraiment une évolution dictatoriale.

    Mais la crispation actuelle du pouvoir s’accompagne de mesures de plus en plus liberticides. Présent en sait quelque chose, avec cette décision du 29 octobre dernier qui l’a privé d’une aide publique destinée à « assurer le pluralisme de la presse écrite quotidienne ». C’est dire si le colloque de Polémia tombait à pic.

    Il existe désormais un outil pour mesurer objectivement les atteintes à la liberté d’expression. Cet outil s’appelle Libertex. Il compare la situation dans dix grands pays réputés à peu près démocratiques : l’Allemagne, le Danemark, les Etats-Unis, la France, la Hongrie, l’Italie, le Japon, le Royaume-Uni et la Russie.

    Libertex s’intéresse à onze critères qui, cumulés, permettent de classer comparativement les dix pays analysés. La mauvaise surprise, c’est que la France figure désormais en dernière place dans ce classement d’indice. Ceci est dû en particulier à nos lois mémorielles de type loi Gayssot, aux nouvelles dispositions et pratiques relatives aux « propos haineux », aux demandes de censure sur Facebook, aux pressions gouvernementales exercées sur les applications de messagerie instantanée.
    L’arbitraire dans la distribution des fonds publics

    Libertex estime également que plus un pays subventionne ses médias et moins il est libre. Ce critère peut sembler en contradiction avec ce dont se plaint aujourd’hui Présent : précisément la suppression des aides de l’Etat pour ce qui le concerne. Mais, comme le remarque le rapport Libertex, le cas de Présent illustre bien l’arbitraire qui peut présider à ces distributions de fonds publics. Dans ce système d’aides d’Etat, L’Humanité, pourtant en mort cérébrale, est aujourd’hui le quotidien national le plus subventionné, par numéro diffusé, tandis que Présent est donc carrément privé de toute aide légale. A ce compte-là, il serait bien préférable, en effet, que personne n’ait d’aides !

    En quoi consiste le système dictatorial de Macron ? Philippe Bornet et Guillaume Bernard, spécialistes de la question, les identitaires Romain Espino et Clément Galant étaient bien placés pour exposer les méthodes de répression.

    La seconde partie du colloque, sur les moyens de résister, avait un côté offensif et novateur qui n’a pas laissé indifférent un public venu en nombre. Pour l’avocat Frédéric Pichon, il ne faut pas céder aux intimidations du pouvoir. Le professeur Vincent Badré (qui avait participé à notre hors-série sur les manuels scolaires) explique comment combattre la propagande à l’école. François Bousquet, dans la foulée de son récent essai, rappelle qu’il n’y a pas de résistance sans courage. Enfin Jean-Yves Le Gallou reste persuadé que le réveil des peuples est plus fort que les apprentis dictateurs, que le « moulag » macronien.

    Le stand de Présent a vu défiler de très nombreux participants entendant manifester leur soutien à notre quotidien. D’où une razzia sur le calendrier de Chard, les hors-série, et le numéro du jour : une forme d’encouragement à la résistance, pour nous aussi.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 25 novembre 2019

    https://fr.novopress.info/216129/colloque-polemia-comment-resister-a-la-dictature-macronienne-par-francis-bergeron/

  • Féminicides : Le Grenelle de l’incompétence et du mensonge – Journal du lundi 25 novembre 2019

     

    Féminicides : Le Grenelle de l’incompétence

    Ce lundi, le premier ministre Edouard Philippe a présenté les 40 mesures censées s’attaquer aux violences faites aux femmes. Des propositions qui viennent donc s’ajouter à un arsenal déjà existant qui n’est tout simplement pas appliqué.

    #Noustoutes : la manif’ qui ne dit pas tout

    Bloomberg, un milliardaire à l’assaut de la Maison-Blanche

    Le milliardaire et ancien maire de New-York, Michael Bloomberg, a annoncé sa candidature à l’investiture démocrate pour l’élection présidentielle américaine. S’il ne compte pas lésiner sur les moyens pour succéder à Donald Trump, sa présence est loin de faire l’unanimité chez les ânes démocrates.

    Le Forum de la dissidence fait le plein

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/feminicides-le-grenelle-de-lincompetence-journal-du-lundi-25-novembre-2019