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immigration - Page 697

  • Algérie : quel avenir après Bouteflika ? – Journal du mercredi 3 avril 2019

     
    Algérie : quel avenir après Bouteflika ?

    Alors que le président algérien a annoncé sa démission, plusieurs scénarii se dégagent pour l’après Bouteflika. En cas de transition douloureuse ou de désordre généralisé, la France pourrait être la première victime d’un effondrement de l’Etat algérien.

    Actes anti-chrétiens : la déferlante

    Le nombre d’actes anti-chrétiens explose en France dans une relative indifférence. Alors que certains politiques commencent à s’intéresser à la question, les causes du mal semblent profondes et la réponse politique complexe.

    Surpopulation carcérale : La France, championne d’Europe

    Avec plus de 71 000 prisonniers au 1er mars, la France est toujours championne d’Europe de la surpopulation carcérale. Alors que le gouvernement a promis de s’attaquer à ce fléau, le nombre de détenus affole une nouvelle fois les compteurs et la réforme de la justice ne devrait pas changer la donne.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/algerie-quel-avenir-apres-bouteflika-journal-du-mercredi-3-avril-2019

  • Jean-Yves Le Gallou s'entretient avec Daniel Conversano (Vive L'Europe, mars 2019)

  • Royaume-Uni : après avoir infiltré des agences publiques, des musulmans ont détourné des milliards dont une partie pour financer le terrorisme

    Pendant des années, un gang britannique s’est infiltré dans les agences gouvernementales et a acheminé de l’argent à Al-Qaïda. Le trésor public le savait, mais n’en a pas informé le MI5.

    Les gangsters ont volé des milliards de livres sterling d’argent des contribuables britanniques et utilisé des dizaines de millions pour financer le terrorisme, selon les rapports de la police et du renseignement.

    Un réseau de Britanniques d’origine asiatique [Note de Fdesouche : asiatique est le terme utilisé par le politiquement correct britannique pour désigner Pakistanais, Afghans etc…] basé à Londres, Buckinghamshire, Birmingham, dans le nord-ouest de l’Angleterre et en Écosse a monté des fraudes à la TVA et aux prestations sur le Trésor pendant plus de deux décennies et a également tiré profit de fraudes hypothécaires et de fraudes par carte de crédit sur des banques et des particuliers. Le gang a récupéré un montant net estimé à 8 milliards de livres sterling rien qu’en comptant les fonds publics.

    Le groupe, qui a des liens avec les attentats à la bombe qui ont fait 52 morts à Londres (7/7), aurait envoyé 1% de ses gains, soit 80 millions de livres sterling, à Al-Qaïda au Pakistan et en Afghanistan, où il a financé des madrasahs, des camps d’entraînement et autres activités terroristes, d’après les informations qui ont fuité.
    […]

    The Times

    Un gang britannique s’est infiltré dans des agences gouvernementales et a acheminé de l’argent vers Al-Qaïda, selon les rapports de la police et des services de renseignements. Voici comment ils ont récolté des millions.

    Fraude à l’identité
    1 Un membre d’un gang s’infiltre dans une agence de conseil en prestations sociales
    2 Obtient des numéros d’assurance sociale délivrés aux enfants
    3 les passe au propriétaire d’une usine pour créer des travailleurs fantômes demandant des crédits d’impôt
    4 Crée de faux contrats de location pour des travailleurs fantômes
    5 Demande des prêts hypothécaires, des cartes de crédit et des assurances.
    6 Augmente sa capacité d’emprunt, emprunte au maximum et disparaît

    Fraude hypothécaire
    1 Achète une propriété bon marché et délabrée au nom d’un fantôme

    2 Fait en sorte qu’un expert corrompu augmente sa valeur après des travaux bidons
    3 Obtient un prêt à 95 % en utilisant un agent corrompu
    4 Après que le fantôme n’a pas effectué les paiements, la propriété est reprise et mise aux enchères.
    5 Répéter l’opération

    Fraude par carte de crédit
    1 […]

    The Times

    […]
    Le niveau d’infiltration pourrait s’être étendu jusqu’au gouvernement, un rapport interne du trésor public (HMRC) affirmant que « de nombreux membres[de gangs] participaient à des think tanks et à des business forums qui les mettaient en contact avec de hauts responsables politiques britanniques ».

    « J’ai moi-même vu un membre côte à côte avec Tony Blair à au moins deux reprises après la guerre en Irak », a ajouté l’auteur – bien que le Sunday Times note qu’il n’y a « aucune indication que Blair était au courant des crimes allégués ».

    Il a été affirmé que des « milliers » de livres sterling avaient été données par ce gang au Parti travailliste, alors au pouvoir.

    Les membres du gang auraient également été associés au prédicateur de haine Abu Hamza [photo] et à Shehzad Tanweer, l’un des kamikazes 7/7.

    Les signalements d’activités suspectes et de fraudes auraient été documentés à plusieurs reprises par le trésor public, au moins quatre agents du trésor ayant imploré leurs patrons de prendre des mesures.

    Toutefois, ces questions n’auraient pas été traitées, « en raison de leur nature complexe et de leur manque de ressources ».

    Un enquêteur aurait été prêt à rencontrer les services de sécurité, mais ses supérieurs l’en ont empêché, car le trésor public ne voulait pas violer le secret fiscal des personnes soupçonnées de terrorisme , et les rapports suggèrent que ce n’est qu’après les attentats de Londres (7/7) que les hauts responsables du trésor public ont décidé d’agir.
    […]

    Breitbart

    http://www.fdesouche.com/1185183-royaume-uni-apres-avoir-infiltre-des-agences-publiques-des-musulmans-ont-detourne-des-milliards-dont-une-partie-pour-financer-le-terrorisme

  • Pacte de Marrakech : la fausse fake news…, par Ivan Rioufol

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    Se méfier des chasseurs de “fake news” : ils se révèlent souvent les adeptes des désinformations et des mensonges qu’ils dénoncent. “La désintox a souvent le parfum de l’intox”, note la spécialiste des médias, Ingrid Riocreux (1), exemples à l’appui. Dans son livre, elle stigmatise “le monde idéal du Journaliste, où tout le monde est favorable à l’IVG et à l’immigration, où règne un consensus universel parfait sur la question du réchauffement climatique, où tout le monde considère Donald Trump uniquement comme un histrion, (…)“. La mode est, ces temps-ci, à la “déconstruction” d’informations qui dérangent.

    L’exercice est rarement très convaincant. Les redresseurs de torts, presse écrite comme audiovisuelle, s’y adonnent néanmoins avec gourmandise. Ce sont les mêmes faux curés qui adorent depuis toujours prêcher la morale, quitte à plier les réalités à leur idéologie humanitariste. Ces pédago-justiciers appartiennent à un petit monde en quête de respectabilité : il a de lui-même une opinion si élevée qu’il juge ceux qui lui tournent le dos comme des arriérés. Dernièrement, la meute éreintait ainsi les “complotistes” qui alertaient, comme votre serviteur (bloc-notes du 14 décembre), sur la signature, le 10 décembre 2018 à Marrakech (Maroc) du “pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières”, ratifié notamment par Emmanuel Macron. Les traqueurs de “fake news” juraient que ce texte, présenté en effet comme non contraignant, n’avait aucune incidence sur les politiques migratoires pourtant promues en termes élogieux. Ce que nous y lisions n’était donc pas ce que nous y lisions…

    C’est pourtant en appui de ce pacte, également signé par le Vatican, que le pape François a argumenté son “discours aux migrants”, samedi à Rabat. Il a appelé “à passer des engagements pris” à des “actions concrètes pour considérer les migrants comme des personnes et non des numéros”. Sa position vient démentir les bobards colportés par une maréchaussée mobilisée dans l’enfumage toxique. Le pape considère, logiquement, que le texte signé l’engage et qu’il doit être suivi d’effets. La France comme Le Vatican ont ainsi accepté de “recadrer le discours sur la migration“, de faciliter le regroupement familial, de valoriser les cultures accueillies. Les signataires (160 pays) sont d’accord plus généralement pour défendre une immigration qui “contribue à la prospérité mondiale”, pour sanctionner financièrement les médias mal-pensants, pour ne pas faire de différence entre l’immigré légal et le clandestin.

    Non seulement le pacte de Marrakech offre, comme je le soulignais, un socle pour des jurisprudences et des lois futures, mais il autorise dès à présent à promouvoir une ouverture à l’immigration de peuplement. “Vous n’êtes pas des marginaux, a assuré le pape aux migrants, vous êtes au centre du cœur de l’Eglise“. Pour le Chrétien, selon le pape, un immigré est “le Christ lui-même qui frappe à nos portes”. Ceux qui ont banalisé le pacte de Marrakech en insultant les lanceurs d’alerte ont menti. Ce sont les mêmes professionnels du déni.

    (1) Les marchands de nouvelles (L’Artilleur)

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 1er avril 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • NOUS SOMMES LA HAINE (LE RACISME ANTI-BLANC EN 2019)

  • Le grand remplacement des élites depuis le système scolaire.

  • Défense des peuples autochtones? Chiche!

    europe-tableau-Delecluze.jpgLe 18 janvier dernier pour sa première visite en Amazonie, depuis la ville de  Puerto Maldonado, au Pérou, le pape François  avait lancé un vibrant plaidoyer en faveur des «  peuples autochtones amazoniens (qui)  n’ont jamais été autant menacés sur leurs territoires » par  « la forte pression des grands intérêts économiques. » Peuples autochtones qui avaient aussi en Jacques Chirac un défenseur engagé. En 2006, à  l’occasion de l’inauguration du Musée des Arts premiers quai Branly, M. Chirac déclarait notamment: «Qui ne voit qu’une mondialisation qui serait aussi une uniformisation ne ferait qu’exacerber les tensions identitaires, au risque d’allumer des incendies meurtriers ?». Une évidence, notions-nous alors, pour notre famille de pensée qui combat résolument le «monde gris » des tenants d’une idéologie mondialiste qui réduit l’individu à sa simple dimension « marchande » et voit dans la préservation des cultures enracinées et des identités un frein insupportable à la mondialisation  Bien sûr, les organismes de l’ONU, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron comme le pape François apparaissent sensibles à la défense des identités pour tous… sauf pour les Français et les Européens. Ils n’ont rien fait pour empêcher voire ont encouragé une submersion démographique qui s’apparente à un véritable ethnocide culturel et qui répond justement à cet objectif « d’uniformisation » de la planète qu’ils prétendent ou ont prétendu combattre.

    Dans cette même veine, Facebook, sous le prétexte a priori bien légitime de lutter contre la propagation de la haine, a annoncé son intention de « bannir les contenus relevant du nationalisme blanc ». Haine suprémaciste qui n’est l’apanage d’aucune race,  il est donc loisible de s’interroger sur le fait de savoir si les discours a priori haineux à caractère ethnique seront bannis de la même façon quand ils seront portés par des non blancs… Par ailleurs, «le réseau social explique qu’il a depuis longtemps banni les discours de haine raciale et la suprématie blanche, mais reconnaît qu’il n’appliquait pas la même règle pour le nationalisme et le séparatisme. » Tout le problème est bien de s’accorder sur la définition même de cette haineà laquelle les esprits progressistes assimilent souvent sans vergogne, le simple souhait pour les occidentaux de défendre leur identité qu’il serait pourtant  aussi stupide qu’odieux de criminaliser.

    Guillaume Bernard, maître de conférences (HDR) à l’ICES (Institut Catholique d’Etudes Supérieures), le notait avec justesse en octobre 2013 sur le site Atlantico : « alors même qu’ils incarnent l’identité de référence, celle du lieu, nombre de Français se considère acculés à une sorte de résistance. Pour résumer, l’immigration est vécue comme une invasion, la mondialisation comme un déracinement. Il ne s’agit donc pas d’un rejet de l’autre en tant qu’il est différent, mais le refus de la dépossession de ses racines et du fractionnement culturel du territoire. »

    Un état de fait que le pape François a à l’évidence beaucoup de mal à appréhender. En visite à Rabat (Maroc) la semaine dernière, le Saint-Père s’est fait de nouveau le chantre du multiculturalisme et du vivre-ensemble, convoquant pour se faire les Evangiles a rapporté vatican news : « L’Église reconnaît les migrants comme l’image du Christ. Ici il y a un chemin à faire ensemble, comme de vrais compagnons de voyage, un voyage qui nous engage tous, migrants et autochtones, dans l’édification de villes accueillantes, plurielles et attentives aux processus interculturels, des villes capables de valoriser la richesse des différences dans la rencontre de l’autre (…).  Le Saint-Père (a remercié) tous ceux qui se mettent au service des migrants, qui sont les images du Christ lui-même qui frappe à nos portes».

    «Faisant allusion à la conférence de Marrakech, qui a entériné il y a quelques mois l’adoption du Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière, François a expliqué que «ce qui est en jeu, c’est le visage que nous voulons nous donner comme société et la valeur de toute vie. (…) le Pape a rappelé que l’établissement de canaux migratoires réguliers, avec des voies sûres et légales, «est nécessaire pour ne pas accorder de nouveaux espaces aux ‘marchands de chair humaine’ qui spéculent sur les rêves et sur les besoins des migrants.»

     Dire cela, constate Bruno Gollnisch, c’est méconnaitre gravement toute la nocivité de ce Pacte des migrations, dit de  Marrakech, adopté par l’assemblée de l’ONU en décembre dernier. Dans le dernier numéro en date  de l’excellente revue  trimestrielle Conflits, l’universitaire Thierry Buron soulignait  la philosophie générale de ce Pacte, pour le moins problématique: «les migrations sont un fait historiquement inévitable, une conséquence de la mondialisation»,  «un  droit», « (migrations qui sont) un facteur de prospérité et (qui)  doivent devenir bénéfiques pour tous.» «La lutte contre les trafics humains doit permettre l’organisation de migrations régulières, avec toutes les aides possibles. Les migrations ne sont jamais illégales, mais seulement irrégulières. Il faut donner des papiers à tous (…). Le retour du migrant est possible, seulement  volontaire et aidé.»

    Un Pacte qui  «va dans le sens des associations humanitaires pro-immigrés, qui ont joué dans son élaboration un rôle actif auprès des organes de l’ONU; il reprend leur thématique, leurs objectifs et leur langage (…).  Ses défenseurs, réagissant aux mouvements de protestation (notamment des populistes et nationaux européens, NDLR), insistent sur son caractère non contraignant. Pourtant   le contenu et le ton sont nettement injonctifs. La souveraineté des Etat est reconnue formellement, mais tout, dans le fond et dans la forme, impose aux pays de destination une politique, une idéologie et une morale en faveur des migrations. »

    Bref, un Pacte a service d’une  logique planétarienne, dans lequel  «les concepts de nation et d’identité ne sont pas pris en compte. Les Etats et les forces politiques et sociales, courroies de transmission du Pacte dans les pays, ont l’obligation de lutter contre les médias, les groupes et les personnes suspectes de racisme, de xénophobie, de discrimination et d’intolérance au moyen de la répression afin de rendre l’image du migrant positive. Le Pacte n’institue pas un équilibre entre immigrants et populations d’accueil (on ne prévoit pas  de les consulter) sur le plan des besoins, des intérêts, des perceptions. Il préconise un programme théorique et pratique mondial de coopération ayant priorité sur des accords régionaux et bilatéraux concrets.» Un Pacte, on l’aura compris destiné avant tout «aux pays de souche européenne, responsables autrefois de la colonisation et sommés de s’ouvrir aujourd’hui aux flux du monde entier. »

    Une question migratoire dont les Européens ont bien compris le caractère crucial pour leur avenir, même si le sondage yougov, réalisé auprès de 40.000 personnes dans seize pays de l’UE commandé par le très antinational groupe de réflexion  European Council on Foreign Relations (ECFR), en minore l’importance. Pour autant, France Inter est bien forcé de noter que «Parmi les questions posées –quels sont, selon vous, les deux principaux problèmes auquel fait face votre pays ?, l’immigration arrive en tête des réponses les plus souvent données (23 % des réponses) à l’échelle de l’Europe.»

    Il y a quatre mois, et il serait étonnant que dans ce laps de temps les préoccupations des citoyens aient beaucoup changé, l’Eurobaromètre dont faisait état fdesouche indiquait que L’immigration est de très loin le problème le plus important pour les Français et les Européens . A la question  Quels sont les problèmes les plus importants auxquels doit faire face l’UE ? l‘immigration arrivait largement en tête pour 40% des sondés,  devant le terrorisme (20%), l’état des finances publiques des Etats membres(19%) , la situation économique (18%), le changement climatique (16%) et le chômage (13%)… Les indigènes, les autochtones européens  ont clairement des priorités qui ne sont pas celles de la Caste euromondialiste.

    https://gollnisch.com/2019/04/02/defense-des-peuples-autochtones-chiche/

  • Un centre sicilien pour immigrés servait de base à la mafia nigériane

    Un centre sicilien pour immigrés servait de base à la mafia nigériane

    Ce n’est pas par la presse immigrationniste de gauche (pléonasme) que l’on apprend cela :

    Le centre de Mineo était une base d’opérations pour la mafia nigériane. Mais aucune trace de la nouvelle dans les journaux – 10 arrestations de fugitifs en France et en Allemagne avec la circonstance aggravante d’association de malfaiteurs de type mafieux. Leur base était le centre sicilien pour migrants. On en parle dans Il Giornale, Libero, Verita et QN. Zéro dans La Reppublica, Il Corriere, La Stampa, Messagero etc… Ce doit être parce que la dernière circulaire de la bien-pensance impose de reclasser cette histoire de mafia nigériane en « fake news inventée par les xénophobes ».

    Une douzaine de citoyens nigérians, tous fugitifs en Italie et considérés comme appartenant à une organisation criminelle qui opérait depuis quelque temps en Sicile, ont été arrêtés en France et en Allemagne […] ils sont tenus pour responsables, sous diverses formes, d’association de type mafieux, association visant le trafic illicite de drogue, de violences sexuelles et de violences sexuelles en groupe. Selon les enquêtes de l’équipe mobile de Catane et de Sco, ils appartiennent à une organisation criminelle nigériane disséminée dans divers pays européens et non européens, d’une matrice sectaire appelée ‘Vkings’ ou ‘Supreme Vikings Confraternity’. Tous les dix auraient fait partie de la cellule sicilienne qui opérait à Catane et dans la province et qui avait sa base dans la centre de Mineo. Dans ce centre, selon l’enquête, il y a eu plusieurs fois des affrontements avec d’autres groupes afin de maintenir la prédominance parmi les communautés étrangères. […]

    Il était dans le « Cop » (Conseil des professeurs), l’un des principaux organes de la secte secrète. Il révèle les rites, les hiérarchies et les affaires du dôme noir. Il est maître du trafic de drogue – de la cocaïne à la marijuana, échangée avec les Albanais -, de la prostitution et du trafic humain, du clonage de cartes de crédit et de la falsification de documents. Des hommes de la rue et des cols blancs. Machette et iPhone. Les dirigeants sont généralement des immigrants légaux. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/un-centre-sicilien-pour-immigres-servait-de-base-a-la-mafia-nigeriane/

  • « Mineurs isolés » : l’Etat organise lui-même sa submersion migratoire

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    Par Etienne Lahyre, haut fonctionnaire, analyste politique ♦ L’Etat français organise-t-il lui-même la submersion migratoire de son territoire et de son peuple ? C’est l’avis – entre autres ! – d’Etienne Lahyre, pour qui les élites gouvernement clairement contre le peuple.

    C’est le 16 juillet 1971 que tout a commencé. Le père de la constitution de la cinquième république mort depuis plus de six mois, on pouvait commencer à danser sur son cadavre.

    Bal tragique rue de Montpensier : une morte, la Constitution de la Cinquième République

    De la promulgation de la constitution jusqu’au début des années 1970, le Conseil constitutionnel s’en tenait à la lettre et à l’esprit des institutions gaulliennes : sa principale mission se bornait à garantir la constitutionnalité des lois. Il était, pour le Général de Gaulle, un outil parmi d’autres, contribuant à la « rationalisation » du parlementarisme. Ces parlementaires dont de Gaulle s’était toujours méfié. Il était hors de question pour le Conseil d’envisager une seule seconde de déboulonner la statue du commandeur.

    Seulement voilà, le souffle de mai avait fait vaciller ladite statue, qui avait fini par s’effondrer un an plus tard sous les coups de boutoir de la gauche, mais surtout de la droite orléaniste. Le climat intellectuel était propice à une révolution juridico-politique, à un coup d’état institutionnel. Gaston Monerville s’était cassé les dents face au Général de Gaulle : saisi par le Président du Sénat, le conseil constitutionnel avait refusé de contrôler la conformité avec la Constitution de la loi relative à l’élection du Président de la République au suffrage universel direct et adoptée par le Peuple dans le référendum du 28 octobre 1962, au motif, fort légitime au demeurant, qu’il ne lui appartenait pas d’apprécier la conformité d’une loi adoptée par le Peuple à la suite d’un référendum, en tant que celle-ci « constitue l’expression directe de la souveraineté nationale ». En France, la Cour suprême, c’est bien le peuple, pour paraphraser de Gaulle.

    Son successeur à la présidence du Sénat, Alain Poher, largement défait par Georges Pompidou à l’élection présidentielle de 1969, aura sa revanche face à l’exécutif. Le conseil constitutionnel, saisi par Poher, censure les dispositions d’un texte destiné à compléter la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d’association, en se fondant sur le préambule de la Constitution : la décision du 16 juillet 1971 constitue l’acte de naissance du premier des fameux « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République », auxquels le Conseil donnera désormais valeur constitutionnelle. Depuis des décennies, elle est présentée à tous les étudiants en droit comme le cœur nucléaire de la « jurisprudence audacieuse » (sic !) du Conseil constitutionnel, garant de l’état de droit et protecteur des « libertés individuelles ». En France, la Cour suprême n’est plus le peuple : elle se nomme désormais Conseil constitutionnel, Conseil d’Etat ou Cour de Cassation. Et la justice n’est plus rendue « au nom du peuple français », mais au nom des dogmes de l’idéologie dominante, post-démocratique et post-nationale, aux antipodes de la conception originelle de l’office du juge.

    Le rapport de force s’est inversé : le Président de la République n’est plus la clé de voûte des institutions voulue par Michel Debré. Il court sans cesse derrière l’idéologie dominante dont les effets sont gravés dans le marbre par la jurisprudence : sa légitimité politique issue du suffrage s’efface progressivement face à une autorité prétendument morale des Juges.

    Les « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République » sont les nouvelles tables de la loi ; à la différence près qu’aucun Moïse ne se risquerait à les briser, cela serait péché mortel. Et la funeste « question prioritaire de constitutionnalité » (QPC), introduite dans la Constitution en 2008 par Nicolas Sarkozy, se révèle un puissant outil de déconstruction de notre droit.

    L’Etat n’a pas la volonté de lutter efficacement contre les fraudes à l’identité

    C’est dans le cadre d’une QPC que le Conseil constitutionnel, saisi par la Cour de Cassation, a été amené à se prononcer, le 21 mars dernier, sur la conformité à la Constitution de l’article 388 du code civil. La loi du 14 mars 2016 a introduit dans cet article les dispositions suivantes : « Les examens radiologiques osseux aux fins de détermination de l’âge, en l’absence de documents d’identité valables et lorsque l’âge allégué n’est pas vraisemblable, ne peuvent être réalisés que sur décision de l’autorité judiciaire et après recueil de l’accord de l’intéressé.

    Les conclusions de ces examens, qui doivent préciser la marge d’erreur, ne peuvent à elles seules permettre de déterminer si l’intéressé est mineur. Le doute profite à l’intéressé.

    En cas de doute sur la minorité de l’intéressé, il ne peut être procédé à une évaluation de son âge à partir d’un examen du développement pubertaire des caractères sexuels primaires et secondaires. »

    La première chambre civile de la Cour de cassation estime dans son arrêt du 21 décembre 2018 que « les questions posées, en tant qu’elles invoquent une atteinte aux droits et libertés garantis par les articles 2, 4, 5, 6 et 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, les alinéas 1er, 10 et 11 du Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, l’alinéa 1er du Préambule de la Constitution du 4 octobre 1958 et au principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine, présentent un caractère sérieux ». C’est, une nouvelle fois, le respect du « bloc de constitutionnalité » qui est invoqué, au travers des principes de dignité humaine et de protection de la santé.

    La lecture de la décision du Conseil constitutionnel (https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/2019/2018768QPC.htm) permet de relever, en premier lieu, que ce ne sont pas moins de dix associations qui sont intervenues à l’appui de la requête. Et que bon nombre de ces officines vivent principalement de subventions publiques : tel le sapeur Camember, l’Etat finance les associations pour mettre en pièce sa propre législation relative à l’immigration.

    Le Conseil répond à chacun des points soulevés par le requérant en se bornant à une exégèse des dispositions législatives existantes qui témoigne de leur portée somme toute insignifiante : les examens radiologiques osseux comportent une marge d’erreur, ne peuvent être pratiqués qu’après une décision d’un magistrat de l’ordre judiciaire, dans les cas où la personne en cause ne dispose d’aucun titre d’identité et qu’elle allègue un âge invraisemblable, et sous réserve de son consentement formel. Etant entendu que le fait  de refuser de se soumettre à l’examen ne saurait être regardé ne saurait établir, à lui seul, la majorité de l’intéressé. On a connu dispositif plus aisé à mettre en œuvre et plus probant.

    Le conseil rappelle par ailleurs les dispositions de l’article 47 du code civil aux termes desquelles « tout acte de l’état civil des Français et des étrangers fait en pays étranger et rédigé dans les formes usitées dans ce pays fait foi, sauf si d’autres actes ou pièces détenus, des données extérieures ou des éléments tirés de l’acte lui-même établissent ». Celles-ci ne permettent pas à l’Etat de lutter efficacement contre le fléau de la fraude documentaire : un rapport parlementaire datant de 2005 (https://www.senat.fr/rap/r04-439/r04-4391.pdf) indiquait déjà que dans certains pays d’Afrique, une grande partie des actes d’état civil étaient falsifiés. Ce phénomène ne peut que s’amplifier eu égard à l’étendue de la corruption en Afrique, et surtout au boom démographique que connaitle continent.

    « Tyrannie de la faiblesse » et volonté d’extinction du politique

    De la Goutte d’or à Rennes, de Vannes à Montpellier, des bandes de « mineurs isolés étrangers», quel que soit leur âge réel, commettent en toute impunité des actes de délinquance. Tant l’analyse de la réglementation existante que les témoignages unanimes des forces de l’ordre révèlent les failles béantes dans les dispositifs de contrôle qui caractérisent l’aboulie de la puissance publique face à l’immigration.

    Le principe de « l’intérêt supérieur des droits de l’enfant » figurant dans la Convention des Nations Unies sur les droits de l’enfant est en tout à fait tout à fait respectable, voire louable. En pratique, son dévoiement conduit à la prolifération de réseaux criminels et à la mise en danger de certains mineurs en les laissant à la merci de ces réseaux. Ce principe est rappelé dans la directive « Retour » du 24 décembre 2008 (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32008L0115&qid=1434632244825&from=FR#page=6), mais la rédaction de ce texte laisse une marge de manœuvre certaine aux Etats dans le recours à l’éloignement de mineurs non accompagnés. Et la France a, sans surprise, fait le choix de ne pas inscrire dans sa législation la possibilité d’un tel éloignement (cf. Loi du 16 juin 2011 relative à l’immigration, à l’intégration et à la nationalité et  décret n°2011-820 en date du 8 juillet 2011, élaborés sous Présidence Sarkozy). Ce sont donc les conseils départementaux à qui l’Etat a confié ce fardeau (40.000 mineurs concernés selon l’Assemblée des Départements de France). Ces jeunes sont pris en charge par les départements, même si leur minorité n’est pas établie. Un décret du 31 janvier 2019 crée bien un fichier biométrique recensant ceux-ci, mais il fait l’objet d’un recours pour excès de pouvoir devant le Conseil d’Etat, formé par les associations pro-immigrés.

    L’entrée irrégulière en France n’est plus sanctionnée, le refus d’un examen osseux est admis : c’est délibérément que l’Etat a renoncé de lui-même à tout contrôle des flux de mineurs étrangers non accompagnés. C’est délibérément qu’il passe sous les fourches caudines des juges. C’est délibérément qu’il s’obstine à refuser de consulter le peuple sur toute question relative à l’immigration.

    « Les autres avant les nôtres » : tel est le mantra des gouvernements successifs, mus par l’idéologie dominante fondée sur le double postulat que l’immigration est à la fois nécessaire et bénéfique.

    Le droit a perdu sa vocation initiale, purement instrumentale : il n’est plus « l’expression de la volonté générale » du peuple français, au travers de loi ; il est devenu essentiellement prétorien, et au travers de cette construction de règles placées au sommet de la hiérarchie des normes, vise à sortir certains enjeux du débat public. Le droit prétorien est une arme de destruction massive du politique.

    Notre pays est devenu celui dans lequel le droit est élaboré contre l’Etat et dans lequel les représentants de l’Etat gouvernent contre le peuple.

    Etienne Lahyre 01/04/2019

    https://www.polemia.com/mineurs-isoles-etat-organise-submersion-migratoire/